À la recherche d’un lieu insolite pour le dîner de la Saint-Valentin ? Le restaurant Le Petit Bouchon convie les amoureux à une soirée romantique dans les locaux de l’Ambassade de France le jeudi 14 février à 5:30pm ou 9pm, ces deux horaires étant les derniers disponibles. Réservez au plus vite vos places si vous voulez être de la partie.
À la tête du restaurant, le chef français Mark Courseille proposera aux participants un menu à six plats, comprenant notamment une soupe de panais, une terrine de saumon, un soufflé au fromage accompagné de caviar ou encore filet de boeuf ou de bar et un dessert chocolaté. Tout cela sera arrosé de vins et de champagne. Le menu proposé par le chef originaire de Bordeaux s’élève à la somme de 150$.
Fêtez la Saint-Valentin à l'Ambassade de France à Washington
Regardez Star Wars avec un orchestre symphonique à Miami
On a tous vu et revu Star Wars, mais pas comme ça. Le quatrième volet de la saga, “Star Wars: A New Hope”, sera projeté avec un orchestre symphonique de 81 instruments le dimanche 3 mars à l’Adrienne Arsht Center. Les tickets sont en vente (séances à 2:30 et 7pm).
Imaginée pour cet épisode datant en 1977, qui fut le premier de la trilogie initiale, la musique du film est signée par le légendaire compositeur John Williams. Elle lui a valu de recevoir l’Oscar de la meilleure bande originale. Et en 2005, l’American Film Institute, organisation de préservation du 7ème art américain, l’a sacrée meilleure musique de film de tous les temps. Rien que ça. Dans cet épisode, elle accompagne avec brio les aventures de la Princesse Leia (Carrie Fisher), Han Solo (Harrison Ford) et du jeune Luke Skywalker (Mark Hamill), alors qu’ils se lancent à l’assault de l’Etoile noire de l’Empire, arme capable de détruire une planète entière.
Lou Doillon chante "Soliloquy" à Los Angeles en juin
La musique folk de la protégée d’Étienne Daho avait déjà séduit le public de Los Angeles il y a six ans. Lou Doillon remet ça avec un opus plus pop, lors d’un concert à Lodge Room -une ancienne loge maçonnique reconvertie en salle de concerts- à Highland Park, le vendredi 28 juin.
Après le succès mondial des albums folk “Places” (sorti en 2012, double disque de platine) et “Lay Low” en 2015, l’artiste française à la voix éraillée présente son troisième album “Soliloquy”, qui flirte avec l’électronique. Pour cela, Lou Doillon s’est entourée de Benjamin Lebeau, la moitié de The Shoes, de Dan Lévy, la moitié de The Dø, et autres grands noms de la production. On y trouve douze titres, dont “It’s You” avec Cat Power, qui contrastent avec ses deux premiers albums plutôt sombres.
Longtemps actrice et mannequin, la fille de Jane Birkin et du réalisateur Jacques Doillon s’est révélée en tant que chanteuse grâce au tube “I.C.U.”.
Pourquoi y a-t-il des palmiers à Los Angeles ?
Quand on entend le nom “Los Angeles”, on pense directement aux studios de cinéma, au soleil et… aux palmiers. Et pour cause, ils sont partout : ces arbres peuplent et surplombent les rues et boulevards iconiques de la ville, mais aussi les parcs, les musées et le cimetière du Hollywood Forever. Bref, ils symbolisent la cité des anges. Cela paraît donc évident qu’ils ont toujours été là. Et si c’était faux ?
Asseyez-vous, car ce que vous allez lire va vous déconcerter : l’omniprésence des palmiers à L.A n’est ni historique, ni naturelle. Comme le rappelle l’historien Jared Farmer dans son livre Trees in Paradise, l’arbre local typique était le Schinus molle, communément appelé “faux-poivrier”. Mais ils ont été arrachés au début du XXe siècle car ils abritaient de nombreux insectes endommageant les arbres à agrumes. Quant à la seule espèce de palmier originaire de Californie, c’est l’arbre “à jupon” dit Washingtonia filifera (dont le stipe est épais et les feuilles larges et palmées).
Les autres espèces, les longilignes que tout le monde a à l’esprit, ont été importées il y a plusieurs décennies. Ce sont les missionnaires franciscains du XVIIIe siècle qui ont ramené pour la première fois des palmiers (souvent mentionnés dans la Bible) sur le territoire semi-aride de la Californie du Sud. Il faudra attendre 1931 pour que le département des forêts de la ville de Los Angeles décide de planter plus de 25.000 palmiers de type mexicains -les moins onéreux, à 3,60 dollars chacun-, pour arborer les grands boulevards et rues. Un investissement destiné à embellir la cité pour les Jeux olympiques de 1932, et à créer de l’emploi. Sans compter qu’ils ne risquaient pas de perdre leurs fruits sur les piétons (même s’ils ne courent pas les rues à L.A).
S’inspirant de la French Riviera, cette culture a permis de transformer le sud de la Californie en “littoral méditerranéen de l’Amérique”, comme le décrit Kevin Starr dans Inventing the Dream. Et les palmiers ont naturellement prospéré, la mairie en recensant jusqu’à 75.000 en 1990 à Los Angeles.
Mais ce mythe (horticole) n’aura pas de “happy end”. De nombreux palmiers plantés dans les années 1930 sont en fin de vie, quand d’autres sont malades en raison de champignons et de la prolifération d’insectes. Face à cette hécatombe, le Département de l’eau et de l’énergie de la Californie a fait savoir que la plupart d’entre eux seront remplacés par des arbres plus résistants, moins consommateurs d’eau et adaptés au climat de la région -excepté sur Sunset et Hollywood Boulevard, qui ont obtenu une dérogation. Une bonne nouvelle pour l’écrivain Victoria Dailey, qui considère que ces “intrus” ont été “kidnappés et castrés” par la ville. Los Angeles devrait subir une révolution de son paysage dans les années à venir.
Lou Doillon chante à San Francisco en juin
Elle vient de sortir un nouveau CD et le partagera avec ses fans à San Francisco. La chanteuse montera sur la scène du Great American Music Hall (GAMH) le 29 juin. Les tickets sont en vente depuis le 8 février.
L’auteure-compositrice-interprète française, fille du cinéaste Jacques Doillon et de la chanteuse Jane Birkin, fera la promotion de son troisième album, “Soliloquy”. Celui-ci comporte douze chansons “foisonnantes“, a noté Le Parisien dans un interview récente de l’artiste, qui contrastent avec ses deux premiers albums plutôt sombres. Plusieurs autres voix ont collaboré sur ce disque, dont l’Américaine Cat Power.
Mort de Walter Jones, l'élu derrière les "Freedom Fries"
Les Français connaissent bien la tristement célèbre expression “Freedom Fries”, mais pas l’homme qui en était à l’origine. Le parlementaire Walter Jones est mort dimanche 10 février, jour de son 76ème anniversaire.
Le démocrate-devenu-républicain de Caroline du Nord avait fait son entrée à la Chambre des Représentants en 1994, où il fut “une voix républicaine fiable“, rappelle le Washington Post. En mars 2003, en réponse à l’opposition française à l’intervention militaire américaine en Irak, il avait fait remplacer, avec le représentant républicain de l’Ohio Robert Ney, tous les mots “French” qui apparaissaient au sein des trois cafétarias de la Chambre. Les “French Fries” (qui ne sont pas vraiment françaises d’ailleurs) et les “French toast” sont ainsi devenues “Freedom Fries” et “Freedom Toast”. À l’époque, il avait déclaré avoir été “découragé plus que je ne peux le dire” par la position française d'”agression passive“.
Ce geste, vu comme l’apogée du “French-bashing” qui régnait aux Etats-Unis à l’époque, respectait une tradition américaine datant de la Première guerre mondiale, poursuit le Washington Post, “quand la choucroute a été re-baptisée “chou de la libert锓. Face au lourd bilan humain de la guerre en Irak, Walter Jones avait fini par devenir l’un des grands opposants au conflit au sein du parti républicain.
Les conjoints d'expatrié.e.s, entre sacrifices et réinvention
Valises bouclées, tout semble prêt. Chaque année, de nombreux couples sont amenés à s’expatrier aux Etats-Unis et dans le monde. Souvent, l’un suit l’autre. Peu préparées, ces expatriations peuvent être difficiles à vivre pour les conjoints, qui ont parfois du mal à se retrouver dans le projet.
En la matière, la parité n’est pas encore au goût du jour. Selon une étude d’Expat Communication et Humanis en 2017, 92% des conjoints suiveurs sont des femmes. Loin d’avoir à envier ceux qu’elles accompagnent, ces femmes sont 42% à parler deux langues et 73% à avoir un master ou un doctorat. Pourtant, l’intégration professionnelle n’est pas tâche facile, même pour celles qui ont un visa leur permettant de travailler aux Etats-Unis. « J’ai passé entre 6 et 9 entretiens pour des postes intéressants, je n’ai pas été engagée. J’ai fini dans une boîte française mais je suis beaucoup trop diplômée et expérimentée pour mon poste actuel », confie Stéphanie Dauder, qui a suivi son mari travaillant dans le luxe à New York.
Trouver du travail peut prendre du temps et les barrières sont nombreuses : responsabilités liées à l’éducation des enfants, réseau limité, incertitude sur le type de carrière souhaitée. Amandine Plochat, sous visa J-2, a suivi son mari chercheur: « J’étais kiné à domicile à mon compte. J’ai dû tout stopper rapidement et partir. Je ne peux pas exercer ici. Je vais commencer en tant que volontaire dans le laboratoire de mon mari ». 28% des conjoints estiment que l’expatriation est une rétrogradation dans leur carrière, 59% le voient comme une promotion et 30% comme un sacrifice. Amandine Plochat n’a pas de regrets : « C’est une opportunité pour moi, mon métier ne m’aurait pas permis ce genre d’expérience. C’est un sacrifice mais je suis contente de découvrir que ça en vaut la peine ».
Souvent, les conjoints ont l’impression de n’être que l’ombre de l’autre. L’intégration sociale se fait difficilement. Dans un pays où l’on se retrouve démuni de tout repère, rester à la maison n’aide pas. “Quand on a fini de s’installer, je me suis retrouvée seule à la maison sans boulot. Mon mari, lui, rencontrait plein de nouvelles personnes, il s’est très vite fait des amis”, raconte Amandine Plochat.
“Il faut revisiter tout son mode de vie”, avoue Capucine Lamour. Cette jeune femme de 35 ans a rejoint son mari il y a trois ans. “Pour m’intégrer, je pensais rejoindre des Américaines, sortir, parler avec elles, mais ici ça ne fonctionne pas comme ça”. Psychologue de formation, elle s’est rapprochée de la communauté française et est devenue coach pour les conjoint(e)s d’expatriés. “J’ai connu des cas très différents les uns des autres, mais souvent les mêmes problématiques reviennent”, raconte-t-elle. Depuis, cette jeune maman a fondé un groupe d’entraide sur Facebook pour les autres mères françaises de New York.
Eric Georges fait partie des 8% d’hommes qui ont suivi leurs femmes, si l’on en croit l’étude d’Expat Communication. Après une expatriation à Singapour, Eric Georges a suivi sa femme avocate aux Etats-Unis, sous visa L2. “Je venais de monter ma boite de conseil en achats à Singapour lorsque l’on a dû partir pour les Etats-Unis. J’ai dû tout recommencer du début, me refaire tout un réseau. Ça passe par rencontrer des Français”, confie-t-il.
Heureusement, ces conjoints suiveurs ne sont pas seuls. Il existe des livres pour aider les couples et les familles à préparer leur expatriation. Des associations existent pour les épauler à l’étranger. C’est le cas des “Accueils”. Initiés par la FIAFE (Fédération International des Accueils Français et Francophones à l’Etranger), 195 structures sont présentes dans le monde entier dans le but d’accueillir, informer, intégrer les Français s’expatriant à l’étranger.
L’Accueil New York accueille plus de 500 familles. “On est tous passé par ce stade d’intégration au début de l’expatriation, notre but c’est aussi de rassurer le conjoint”, explique Christel Grein, présidente de l’ANY. À Houston, quatre conjointes d’expatriés ont créé Houston Expat Pro, un réseau professionnel destiné aux conjoints. “L’idée est née du constat que le conjoint d’expatrié doit se réinventer à chaque fois et ne sait pas vers qui se tourner, surtout au niveau professionnel”, explique Maylis Curie, présidente de Houston Expat Pro. A l’aide de séances de networking, de réunions et d’ateliers, l’association a aidé à lancer des activités d’entreprenariat, souvent des reconversions.
Malgré tout, si c’était à refaire, tous les conjoints interrogés le referaient sans hésiter. “Je suis avec la personne que j’aime, c’est le plus important pour moi. J’apprends à construire ma vie autour de ça”, positive Capucine Lamour. “Si c’était à refaire, raconte Stéphanie Dauder, je le referais pour la qualité de vie, la joie des enfants, les voyages”.
Clément Michel, un Français face aux défis des transports publics américains
Clément Michel croit que les Etats-Unis, pays de la voiture-reine, peuvent se déplacer autrement. Et que le savoir-faire français peut les aider. “Quand j’étais en Australie, il y avait beaucoup de travail à faire sur le réseau de transport public, mais quand je suis arrivé aux Etats-Unis, c’était encore un plus grand défi”, se rappelle le président-directeur général de Keolis Amérique du Nord, qui travaillait pour le groupe de transports à Melbourne quand il a été nommé à son poste actuel en février 2016.
Keolis est un peu chez elle en Amérique du Nord. Basée à Paris, l’entreprise est détenue à 70 % par la SNCF et à 30 % par la Caisse de dépôt et placement du Québec. Outre la Virginie et le Massachusetts où elle travaille dans le milieu des trains, la filiale a remporté des contrats de réseaux de bus à Los Angeles, Fresno et Las Vegas (où elle gère la première navette autonome de la ville des casinos). Fin octobre, la société a annoncé un contrat de 20 millions de dollars pour opérer le réseau de bus et de transport adapté (pour les seniors, handicapés…) de la ville de Greensboro (Caroline du Nord). En Floride, elle est présente à travers des sociétés de taxis et des navettes. Depuis 2012, Keolis est le principal partenaire de VIA, un taxi partagé qui tente de concurrencer Uber et Lyft.
Le Français de 43 ans – qui a grandi à la Réunion et a fait ses gammes à Saint-Gobain en Chine – est arrivé aux Etats-Unis dans un contexte de crise. Il a remplacé l’ancien directeur Eric Asselin alors que l’entreprise, qui exploite le réseau de trains de banlieue de la région de Boston depuis 2014, devait faire face à des retards à répétition et du matériel défaillant. Ce qui a obligé Keolis à verser des pénalités à l’État du Massachusetts, son client.
Le groupe avait alors déménagé ses bureaux de Virginie à Boston. L’enjeu était de taille pour le nouveau patron: l’exploitation du réseau de Boston est le plus gros contrat de Keolis -il a fait passer son chiffre d’affaires de 300 à 600 millions de dollars aux Etats-Unis. Avec quatorze lignes et 1.000 kilomètres de voies empruntées par 130 .000 voyageurs par jour en moyenne, il s’agit du plus grand réseau américain confié à un opérateur privé.
Dans le même temps, Clément Michel doit piloter un autre gros dossier: l’exploitation et la maintenance du réseau des trains de banlieue Virginia Rail Express qui desservent le nord de l’État de Virginie, dans la région de Washington. “En 2009, les Etats-Unis étaient le seul pays de l’OCDE à voir son nombre d’usagers de transports en commun diminuer”, se souvient-il. Il est passé de 5,6 millions de personnes en 2008 à 4,9 en 2009.
Fervent défenseur des transports en commun à l’heure du changement climatique, Clément Michel voit les Etats-Unis comme un grand projet où tout reste à faire. Néanmoins, avec les différents classements des villes les plus vivables aux Etats-Unis, les municipalités réorientent leurs politiques publiques vers le transport partagé. “Los Angeles a investi des milliards de dollars pour remodeler ses modes de transport”, souligne-t-il. Keolis a remporté en Californie son deuxième plus gros contrat aux Etats-Unis en 2014.
Le savoir-faire français est apprécié. “Nous avons l’habitude de la gestion de grandes villes avec des réseaux de trains, de bus et de vélos”, explique-t-il. Mais aux Etats-Unis, Keolis a une approche plus technique car le manque de coordination entre différentes municipalités empêche un réseau global.
Il prend l’exemple de Washington D.C. qui a “un métro super, mais pas pratique, avec des billets de circulation qui ne sont pas adaptés”. Contrairement à de nombreuses villes américaines, la capitale base le prix de son ticket sur le nombres de stations à emprunter et les horaires plutôt que de pratiquer prix fixe comme à New York. Pour lui, “le réseau de bus à Washington n’est pas coordonné avec la Virginie où chacun a son propre réseau, il n’y a pas de vision d’ensemble”.
Une discussion avec Bernard-Henri Lévy à San Francisco
Et BHL est de retour aux Etats-Unis. L’intellectuel français engagé Bernard-Henri Lévy sera au Commonwealth Club de San Francisco, le lundi 25 février, pour faire la promotion de son livre à paraître The Empire and the Five Kings: America’s Abdication and the Fate of the World.
Bernard-Henri Lévy évoquera les défis qui attendent l’Occident, alors que les Etats-Unis se retirent de la scène internationale et que d’autres forces – la Russie, la Turquie, la Chine, l’Iran et l’islam sunnite radical – s’affirment et remettent en question les valeurs libérales qui ont défini la civilisation occidentale jusqu’à aujourd’hui.
Des cadeaux français pour la Saint-Valentin à New York
Soutenir des entrepreneurs français à New York tout en faisant plaisir à votre amoureux.se, c’est possible. Voici une liste de cadeaux “français” disponibles dans la Grosse Pomme et qui n’attendent que vous le 14 février.
“What women want”
Ce nouveau service monté par une entrepreneuse française de New York garantit ni plus ni moins que la paix des coeurs. Et quand tout fiche le camp dans le monde, c’est important. Il propose d’aider les couples à planifier, pendant un an, ces petites attentions qui entretiennent l’amour (surprises, petits cadeaux, moments ensemble…). Pour les messieurs un peu distraits, il permet aussi de créer des rappels de dates importantes (anniversaire de mariage ou de rencontre, anniversaire tout court…). Bref, vous ne serez plus jamais pris au dépourvu quand elle vous demandera: “tu n’as pas oublié quelque chose aujourd’hui ?“. Site
Les dessous sexy de Maison Close
C’est toujours le moment d’acheter de la lingerie sexy, mais ça l’est encore plus le 14 février. Pour l’occasion, la marque Maison Close, implantée à SoHo, propose une série de vêtements et d’accessoires qui feront monter la température: string ouvrable, un plumeau caresse, des gants noirs et un soutien-gorge seins nus… 32 Grand St, New York.
Un parfum d’Atelier Cologne
La marque française, qui fête ses 10 ans cette année, propose des parfums ainsi que différents produits pour le corps (savons, crèmes, lotions…). Pour la Saint-Valentin, elle propose un coffret de parfums contenant un à trois flacons de Cologne Absolue, son produit-phare inspiré de l’Eau de Cologne. Points de vente ici.
Des crèmes L’Occitane en Provence
Le magasin dont les Français raffolent dispose de plusieurs points de vente à New York. Pour la Saint-Valentin, la marque de produits de beauté naturels qui sentent bon le Sud propose notamment un trio de crèmes pour les mains à la rose et au beurre de karité. Plein d’idées de cadeaux pour elle et lui sur le site de L’Occitane.
Les chocolats Gabriel Kreuther
La chocolaterie du chef bi-étoilé Gabriel Kreuther, Kreuther Handcrafted Chocolate, ne pouvait pas passer à côté de la Saint-Valentin. Comme d’autres chocolateries, l’établissement dirigé par le chef-pâtissier Marc Aumont sort les grands moyens. Plusieurs produits sont en vente, dont des cadenas d’amour chocolatés, des figurines en chocolat et des sucettes fraises-chocolats. Kreuther Handcrafted Chocolate. 43 W 42nd St. Site
Un repas en amoureux au District
Le “marché” français de Lower Manhattan met aussi les petits plats dans les grands. Son restaurant Beaubourg propose un dîner prix fixe à 75 dollars du 14 au 16 février, un menu à emporter valable du 13 au 15 et un repas en amoureux dans son restaurant étoilé L’Appart pour 215 dollars du 13 au 16. A noter que le chocolatier français Thierry Altan, par ailleurs Meilleur ouvrier de France, vend des boîtes de macarons estampillées “love” au District pour la Saint-Valentin. Brookfield Place, 225 Liberty Street. Réservations ici.
Bernard-Henri Lévy parle de l'avenir de l'Occident à New York
Et BHL est de retour aux Etats-Unis. L’intellectuel français engagé Bernard-Henri Lévy sera au 92 Y de New York, le mercredi 13 février, pour faire la promotion de son livre The Empire and the Five Kings: America’s Abdication and the Fate of the World. Il sera interrogé par Simon Schama, un professeur d’Histoire à Columbia University.
Bernard-Henri Lévy évoquera les défis qui attendent l’Occident, alors que les Etats-Unis se retirent de la scène internationale et que d’autres forces – la Russie, la Turquie, la Chine, l’Iran et l’islam sunnite radical – s’affirment et remettent en question les valeurs libérales qui ont défini la civilisation occidentale jusqu’à aujourd’hui.