Devant la célèbre toile “Champ de blé avec cyprès” de Vincent van Gogh, Virginie Dupaquier clôt sa visite d’une heure, chaudement remerciée par un groupe de cinq visiteurs francophones. Depuis dix ans ans, cette bénévole française fait découvrir avec passion les trésors du Metropolitan Museum of Art (Met) aux visiteurs.
Cette année, le Met a ouvert des inscriptions en ligne jusqu’au 15 février pour recruter deux nouveaux bénévoles francophones, qui commenceront leur formation en septembre prochain et s’ajouteront aux 400 guides bénévoles qui sillonnent chaque jour les galeries historiques du musée. Pour faire découvrir le musée aux futures recrues, le Met organise pour la première fois cette année une journée portes ouvertes mercredi 9 janvier de 10am à 12pm.
Depuis juin dernier et pour une durée de deux ans, Virginie Dupaquier a été promue au poste de responsable des 84 guides internationaux du Met, qui propose des visites en dix langues étrangères, dont le français. « On est tous énormément engagés », insiste la guide de 56 ans, à New York depuis dix-neuf ans.
Alors qu’elle s’occupait de ses quatre enfants en bas âge, sa candidature au Met a été retenue en septembre 2008. « On n’a pas besoin d’avoir une formation en histoire de l’art pour devenir bénévole au Met », témoigne cette ancienne chef de marché pour une entreprise pharmaceutique.
Si la porte est ouverte à tous, la mission ne doit pas être prise à la légère. Les bénévoles sont formés pendant un an de septembre à juin, à raison d’une session par semaine, pour apprendre à monter leurs propres parcours de visite (entre 7 et 8 œuvres par tour d’une heure), à se repérer dans l’immense musée et à présenter les œuvres au public. A l’issue de la formation, chaque apprenti doit réussir un audit final pour obtenir le titre de guide officiel.
« On apprend énormément sur chaque pièce mais le Met nous encourage à les présenter en trois points seulement, parce qu’il ne faut pas noyer les visiteurs d’informations », raconte Virginie Dupaquier, qui confie passer en moyenne un mois à étudier une nouvelle œuvre qu’elle compte inclure dans son parcours. « On apprend aussi des postures, des attitudes. Par exemple, on regarde les gens et pas les œuvres pendant les explications », poursuit-elle.
En plus des heures de recherches passées dans les bibliothèques du Met et de leurs tours hebdomadaires, les guides bénévoles participent chaque année à 5 conférences organisées par le musée et à 4 formations complémentaires, animées par les conservateurs.
« On prévient les bénévoles dès le recrutement : c’est un poste qui demande du temps et de l’implication », prévient la responsable passionnée.
Le Met cherche des guides français. Vous ?
Bécassine visite le Lycée français de San Francisco en janvier
Les élèves du Lycée français de San Francisco ne feront pas leur rentrée seuls en janvier. Il seront accompagnés de la joyeuse Bécassine. Le film de Bruno Podalydès sera projeté le vendredi 11 janvier au Théâtre du Lycée français (TLF).
Ce film, qui rassemble à l’écran Emeline Bayard, Karine Viard, Denis Podalydès et Josiane Balasko, est une adaptation de la fameuse bande-dessinée de Jacqueline Rivière, Caumery et Emile-Joseph Porphyre Pinchon. Bécassine la Bretonne, qui a conservé son innocence d’enfant, est la nourrice de la petite Louloutte, dont elle s’occupe dans la joie et la bonne humeur dans le chateau de la Marquise de Grand-Air. Mais les difficultés financières et l’arrivée d’un marionnettiste vont compliquer les choses.
En français avec sous-titres anglais. Pour un public de plus de 6 ans.
Atelier Cologne ouvre sa "Maison bleue" éphémère à Los Angeles
En manque d’idées cadeaux ? Atelier Cologne offre une solution avec sa “Maison bleue” éphémère à Los Angeles. Cette destination “immersive et sensorielle” est ouverte dans le quartier de Melrose Place jusqu’au 30 décembre.
C’est le premier emplacement d’Atelier Cologne à Los Angeles, bien que temporaire (San Francisco dispose de deux boutiques). Connue pour ses huiles essentielles naturelles, la maison de parfums, fondée par Sylvie Ganter et Christophe Cervasel il y a 10 ans, est imprégnée d’éléments du style de vie californien, comme en témoignent les planches de surf et les faux orangers qui décorent le pop-up. La boutique angeline propose de personnaliser des étuis en cuir, afin d’y incorporer des parfums au format voyage.
Sept cavistes pour trouver de bonnes bouteilles de vin à Los Angeles
Même si les applications pour évaluer les vins (comme Vivino) sont précieuses, il est bien plus agréable de se laisser guider par un caviste. Voici nos sept adresses pour dénicher un grand cru ou un vin de soif.
Lou Wine Shop à Los Feliz
Tout le monde connaît (et adore) “Lou” (Amdur). Il faut dire qu’il a su asseoir sa réputation depuis ses débuts dans la restauration en 2005. Aujourd’hui, il sévit dans le magasin Lou Wine Shop niché dans un centre commercial de Los Feliz (depuis 2014). S’appuyant sur les compétences culinaires qu’il a acquises à l’université, Lou Amdur est un spécialiste des vins «naturels et inhabituels». La recherche d’une bouteille est toujours une aventure dans les rayons aux noms originaux illustrés par des aimants géants (comme la section Netflix & Chill). Vous pourrez également vous décider lors des dégustations à thème (mardi, jeudi et samedi). Lou Wine Shop, 1911 Hillhurst Ave, Los Angeles.
Wally’s Wine à Beverly Hills
Tous les amateurs de vins -dont les collectionneurs- connaissent cette institution vieille de 50 ans, autrefois installée à Westwood. Chez Wally’s Wine, désormais dans le quartier huppé de Beverly Hills, on peut trouver des milliers de vins, dont des Bordeaux raffinés à des prix raisonnables, mais aussi une gamme de bières artisanales et une carte de fromages. Les novices ne seront pas en reste, ils peuvent se laisser guider par son personnel de passionnés. Considéré comme le plus grand détaillant de vins indépendants de la côte ouest, le lieu est fréquenté par une clientèle de célébrités. Les dégustations y ont lieu les samedis de 2 à 4 pm. Wally’s Wine, 447 N Canon Dr, Beverly Hills.
Domaine LA à Hollywood
Rendez-vous chez Domaine LA, dans le quartier de Hollywood. Le magasin de Jill Bernheimer est spécialisé dans les vins de petites productions et la biodynamie, avec un penchant pour les «pet-nat» (vins pétillants). Les vins d’Italie, France, Californie, Oregon et Washington dominent les sélections, avec un “mur de délices abordables” offrant une palette de bouteilles à moins de 15 dollars. Vous pourrez également participer à leurs dégustations les dimanches, de 2 à 5 pm. Domaine LA, 6801 Melrose Ave, Los Angeles.
Vinovore à Silverlake
C’est l’un des derniers venus de la scène viticole de Los Angeles, et il est complètement dans l’air du temps. Tenu par Coly Deen Haan (l’une des premières sommelières à Los Angeles) et Dean Harada, Vinovore ne propose que des vins issus de viticultrices — et beaucoup de quilles bio-dynamiques ou naturelles à un prix raisonnable. Au total, des centaines de bouteilles uniques et triées sur le volet, provenant du monde entier. Pour vulgariser l’univers du vin, un grand tableau “Quel genre de Vinovore êtes-vous?” vous permet de découvrir des bouteilles qui correspondent à votre animal spirituel. Avec sa librairie, et son énorme statue Zoltar à l’entrée, Vinovore dépoussière le monde des cavistes. Vinovore, 616 N Hoover St, Los Angeles.
Bar & Garden à Culver City
Il y a d’abord le plaisir des yeux chez Bar & Garden, qui a conservé l’enseigne vintage du “liquor store” vieux de 60 ans. Il offre aussi un intérieur rénové avec un puits de lumière naturelle, ainsi qu’un mélange harmonieux de verdure et de bois. Puis, il y a le plaisir gustatif. Le magasin de vins et spiritueux de Culver City, créé par Lauren Johnson et Marissa Mandel, se distingue par sa sélection de vins uniques, principalement européens. Ils plébiscitent les petits producteurs qui n’utilisent ni herbicides, ni pesticides, ni engrais chimiques dans leurs vignobles. Les dégustations sont nombreuses -et accompagnées de charcuteries et fromages. On recommande la “Five for Five” (à 5 dollars) tous les vendredis de 5 à 8 pm. Bar & Garden, 6142 Washington Blvd, Culver City.
Heritage Fine Wines à Beverly Hills
Avec sa belle pièce boisée aux larges baies vitrées, la boutique de Jordane Andrieu peut intimider de prime abord. Mais il faut dépasser l’appréhension pour découvrir la chaleur de la propriétaire de Héritage Fine Wines, qui offre un aperçu du terroir hexagonal (Médoc, Champagne, Gevrey-Chambertin, Bandol…) et européen, avec une forte représentation de vins de petits producteurs. Il y en aura pour toutes les bourses : la gamme de prix s’étend de 15 à 900 dollars. La boutique propose aussi d’autres produits d’épicerie fine, ainsi que de beaux objets pour la table. De quoi ravir les nostalgiques de l’art de vivre à la française, et faire des heureux à l’approche des fêtes. En plus de cela, la boutique propose des dégustations en musique (et avec fromages) les vendredis de 7 à 10 pm. Heritage Fine Wines, 467 N Canon Dr, Beverly Hills.
Silver Lake Wine à Arts District
Il n’est plus à présenter dans son quartier d’origine, après plus de 13 ans d’existence. Également présent à Arts District depuis moins de deux ans, Silver Lake Wine est un pilier de Los Angeles. Dans ses étals en bois, relevés par les briques apparentes, le client trouvera des vins artisanaux de petits producteurs à des prix abordables, vendus par un personnel compétent. La directrice Katie Vonderheide recommandera, sans concession, le Helmet Red de Paso Robles ou le Union Wine Co. d’Oregon. Les dégustations y ont lieu tous les mardis de 5 à 9 pm. Silverlake Wine, 1948 E. Seventh Street, Los Angeles.
Impôt sur le revenu: certains expatriés échappent à une hausse, pas d'autres
Les députés ont adopté, mardi 18 décembre, un amendement au projet de loi de finances qui plafonne la hausse de l’impôt sur le revenu pour certains Français établis hors de France.
L’amendement prévoit que les revenus inférieurs à 27.086 euros de source française resteront soumis au prélèvement en vigueur de 20%, et non aux 30% voulus par le gouvernement. La modification a été proposée par le député des Français d’Amérique du Nord Roland Lescure.
Jusqu’à présent, les revenus de source française des non-résidents étaient soumis à une imposition forfaitaire de 20%. Mais un amendement adopté en novembre dans le cadre des discussions sur le Projet de loi de finances 2019 (PLF) prévoyait de relever ce taux à 30%. Les Français en dehors d’Europe auraient été particulièrement affectés par cette mesure. Contrairement aux Français résidant dans l’Espace Economique Européen (EEE), ils ne bénéficient pas de la suppression de la CSG-CRDS sur les revenus fonciers annoncée par le gouvernement en octobre.
“Pour nos compatriotes en dehors d’Europe, c’est la double peine ! Ils doivent non seulement payer la CSG de 17% sur leurs revenus fonciers mais ils voient aussi augmenter leur impôt sur le revenu de 50% sans aucune contrepartie“, ont écrit les neuf députés LREM (La République en Marche) des Français de l’étranger dans un communiqué commun.
Le Sénat a voté fin novembre un amendement pour rétablir le taux de 20% sur tous les revenus, mais l’Assemblée nationale ne s’est focalisée que sur les revenus inférieurs à 27.000 euros.
Sur le non-abandon par le gouvernement de la CSG-CRDS pour les Français hors d’Europe, Roland Lescure confiait ses regrets début novembre. “Pour cette année, c’est perdu, a-t-il dit. Il y a eu des avancées, mais sur la CSG-CRDS le gouvernement n’a pas souhaité aller jusqu’au bout. Je le regrette car on avait l’occasion de faire une réforme globale de la fiscalité telle que proposée par le rapport d’Anne Genetet“, députée de la majorité auteure d’un rapport sur la mobilité. L’élu promet de continuer à mettre la pression sur le gouvernement sur ce dossier. “D’un point de vue politique, je vais continuer à pousser l’an prochain pour une vision globale et cohérente de la fiscalité“.
Une bouquinerie française solidaire s'installe à South Pasadena
Vous cherchez une manière de vous débarrasser de livres qui s’entassent chez vous ou de combler votre manque de lecture ? L’association Français du Monde organise sa première Bouquinerie solidaire devant la Vidéothèque à South Pasadena, le samedi 29 décembre, de 10 am à 4 pm. Vous y trouverez des livres d’occasion en français, romans, livres jeunesse et scolaires, essais, oeuvres policières…
L’objectif de cet événement : faire circuler les livres en français au sein de la communauté francophone ou francophile, en récupérant les livres dont vous souhaitez vous séparer et en les proposant à la vente à un prix réduit et unique (3 dollars par livre). Toutes les recettes des ventes seront reversées à des associations de solidarité.
La Bouquinerie solidaire reviendra plusieurs fois par an, à divers endroits de Los Angeles, afin de vous proposer un stock de livres régulièrement renouvelé.
Yann Tiersen en concert à Miami en 2019
“ALL”, c’est le nom du futur album de Yann Tiersen. Il sortira en février. Pour en faire la promotion, le Français s’offre une tournée aux Etats-Unis et au Canada, qui l’emmènera le dimanche 2 juin 2019 à l’Olympia Theater de Miami.
Cet album a la particularité d’avoir été entièrement enregistré dans l’Eskal, le studio et centre communautaire de l’artiste sur l’île bretonne d’Ouessant, où il vit. Cette dernière avait déjà servi d’inspiration à son dernier album, “Eusa”, qui comportait différents sons issus de l’île. Pour “ALL”, le papa de la bande-son du film à succès “Le fabuleux destin d’Amélie Poulain” explore une nouvelle fois la beauté sonore de la nature. En plus de sons d’Ouessant, il a intégré des ambiances de la forêt californienne Redwood et d’autres lieux.
L'Alliance Française de Los Angeles prépare sa rentrée 2019
(Article partenaire) L’Alliance Française de Los Angeles entamera le 2 janvier sa rentrée 2019.
Le programme des cours a encore été étoffé : avec plus de 80 classes différentes de français par semaine, pour tout âge et niveau, l’Alliance Française de Los Angeles est sans conteste “The Place to Be” pour les amoureux de la langue de Molière et des cultures francophones. Ajoutons à cela des classes privées de français et d’anglais, des classes à distance via Skype, des ateliers d’histoire, d’histoire de l’art, de philosophie, des classes d’écriture, les groupes de conversation ou le club de lecture… : autant dire qu’il y en a pour tous les goûts. Si vous avez un.e ami.e ou un.e conjoint.e qui veut se lancer, c’est le moment !
L’Alliance, c’est aussi un centre culturel qui permet aux Français immigrés et aux amoureux de la culture française de se retrouver autour d’expositions, de conférences, de projections et de pièces de théâtre. Les raisons de découvrir ce petit morceau de France à Los Angeles ne manquent pas.
——–
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Fishs Eddy, les cadeaux de "No-hell" à New York
Fishs Eddy, c’est notre boutique-chouchou à l’approche des fêtes. Imparable pour dénicher, en last-minute, le cadeau-souvenir de New York qui fera mouche.
L’histoire de cette échoppe de vaisselle devenue en 30 ans une institution, on vous l’avait brièvement racontée là…
En octobre dernier, Julie Gainer, co-fondatrice et actuelle propriétaire de ce concept-store florissant, a même édité un ouvrage autobiographique – best-seller depuis – joliment appelé “Minding the store : a big story about a small business”.
Alors, si vous n’avez toujours pas trouvé votre bonheur chez Story ou dans les différents marchés de Noël de votre communauté, passez une tête chez Fishs Eddy.
Vous vous amuserez avec l’équipe loufoque des vendeurs qui jongle avec beaucoup d’auto-dérision au milieu d’un décor enchanteur. La gamme de produits à offrir ou à collectionner pour le fun varie du classique new-yorkais gentillet (assiettes, bols, ustensiles en céramique) à des messages humoristiques plus trash à prendre au second degré, évidemment.
Bref, le shopping chez Fishs Eddy est une vraie bulle d’oxygène au milieu de cette sur-consommation à ne plus savoir qu’enfer!
Y’a d’la joie dans ce petit paradis…
Joyeux No-Hell!
Si pour Noël, les babioles made in NYC ne sont pas votre truc :
– Faites donc un tour sur le compte de la talentueuse photographe Pascale Roux de Bézieux, qui se lance en solo avec le concept de Mise en Scène in NY.
Vous trouverez à coup sûr, l’inspiration pour un shooting entre amis ou en famille qui immortalisera, en grand format et haute définition, votre passage à New York.
– Pour un cadeau clin d’oeil, séquence auto-promo oblige, on vous recommande chaudement Les consonnes toujours 2 fois, de Prunelle de Mézieux, désormais disponible chez Albertine. Ce recueil de mots d’esprit ravira tous ceux que le Witz titille!
Frédéric Fekkai rachète sa marque: "Ça me démangeait"
“Ça me torturait de voir la marque portant mon nom pas gérée comme je le voulais“. Cela faisait plusieurs années que le coiffeur de luxe Frédéric Fekkai rongeait son frein. Il a finalement racheté en novembre la marque de produits de beauté et de salons Frédéric Fekkai Brands, qu’il avait créée dans en 1996 puis revendue en 2007. “L’opportunité de la racheter s’est présentée et j’en suis ravi”, confie-t-il. Le montant de la transaction est tenu secret.
Frédéric Fekkai s’est fait connaitre pour sa gamme de produits haut-de-gamme pour cheveux (shampoing, après-shampoing, fragrances…) et corps, ainsi que ses salons luxueux, visités par des stars comme Renée Zellweger, Claudia Schiffer ou encore Kim Basinger. Après une période de forte croissance, il a vendu le business en 2007 à la firme d’investissement L Catterton Partners. Le géant Procter & Gamble l’a rachetée l’année d’après pour 400 millions de dollars. Mais, en pleine restructuration de son portfolio de marques de soins personnels et de beauté, P&G l’a revendue en 2015 à un groupe d’investisseurs.
Frédéric Fekkai a racheté sa société éponyme dans le cadre d’une holding nommée Blue Mistral, qu’il a créée cette année avec la société d’investissement Cornell Capital.
Il reprend le contrôle de son bébé à un moment où le marché de la coiffure doit s’adapter aux demandes des nouvelles générations de consommateurs, notamment les “millennials” (18-34 ans), et l’explosion des réseaux sociaux. “Le monde a changé. Nous devons nous adresser à plusieurs générations. Il n’y a pas que les millennials, mais aussi les baby boomers qui dépensent encore beaucoup d’argent. Mon objectif est de livrer au public des produits à grande performance et une expérience luxueuse et innovante“.
Cela passe notamment par le recours à la technologie pour créer une “expérience plus pointue dans les salons” et faire intervenir des services de beauté qui dépassent l’univers du cheveu. “Ma force est faire des choses en dehors des cases, d’émerveiller les clients pour qu’ils se rendent compte de leur beauté“. Le Français s’appuiera aussi sur la marque de produits de beauté naturels d’Aix-en-Provence, Bastide, qu’il a rachetée avec son épouse Shirin von Wulffen en 2017, pour lancer des “lignes de produits plus adéquates, plus actuelles“. “Mon business, dit-il, c’est de créer des marques, de m’adresser directement au public avec des offres intéressantes. Ça me démangeait“.
Comment fêter Noël comme un vrai Américain ?
Les Américains sont doués pour faire perdurer les traditions de Noël. Pendant plusieurs semaines, le pays entier prépare l’une des fêtes les plus attendues de l’année. Voici quelques astuces pour fêter Noël comme un vrai Américain.
1- Regarder des “Christmas movies”
En fonction de vos goûts cinématographiques, le mois de décembre aux États-Unis peut soit vous faire passer vos journées sur le canapé, soit vous faire fuir très loin de la télévision. Les Américains adorent regarder des classiques de Noël pour se mettre dans l’ambiance des fêtes de fin d’année. “Le Grinch”, “Miracle on 34th Street”, “A christmas story”… Des dizaines de classiques sont diffusés à la télévision et au cinéma jusqu’à la fin des fêtes de fin d’année. Si vous ne les avez pas encore vus, c’est le moment.
2- Participer à la tradition du “stocking”
Accrocher des chaussettes (ou bas de Noël) sur sa cheminée ou sur le sapin est une tradition importante aux États-Unis, en particulier pour les enfants. L’objectif est de les remplir de petits cadeaux (la plupart des magasins ont des rayons spécialisés dans le “stocking”). Précision importante : chaque personne de la famille possède une chaussette en son nom.
3- Décorer l’extérieur de sa maison et organiser des concours entre voisins
Guirlandes colorées, traîneau de Père noël, bougies, bonhomme de neige fluorescent… Lors des fêtes, les maisons américaines revêtent chaque année leur parure de lumière et le résultat est plutôt impressionnant. Si vous souhaitez jouer le jeu, sachez que les Américains adorent organiser des concours entre voisins pour décerner le prix de la maison la mieux décorée. Une manière de se forger une solide réputation au sein de votre quartier.
4- Envoyer des cartes de Noël à toute la famille
Si vous vous êtes baladés dans les centres commerciaux lors des périodes de Noël, vous avez pu remarquer que les rayons de cartes de Noël sont remplis à craquer. Les Américains achètent des lots de cartes de vœux par dizaines et les personnalisent en y ajoutant des photos de famille. Certains se rendent même chez un photographe professionnel pour l’occasion.
5- Organiser des Secret Santa Swap au travail
Si vous travaillez avec des Américains, ils vous ont sûrement proposé de participer au Secret Santa Swap. Le principe est simple : après avoir fixé un montant maximum, chacun tire au sort une personne et doit lui faire un cadeau. De nombreuses entreprises organisent ce genre de jeu, mais il est également possible de le faire en famille.
6- Faire perdurer la tradition de “The Elf on a Shelf”
Les elfes du père Noël viennent surveiller les enfants avant chaque Noël, pour savoir s’ils sont sages. Ils retournent ensuite au Pôle Nord pour faire leur rapport au père Noël en personne. Utilisés dans de nombreuses familles, “The Elf on a Shelf” est tiré d’un livre de Carol Aebersold.
7- Boire de l’Eggnog
Aussi appelé “lait de poule” l’Eggnog est une boisson qui peut paraître un peu étrange à la première gorgée. Originaire d’Angleterre, l’Eggnog est une boisson sucrée composée de lait, de sucre, de jaune d’œuf et de cannelle. Les Américains ajoutent ensuite un peu de rhum ou du brandy selon les goûts.
8- Construire sa propre maison de pain d’épices
Vendue sous forme de kit, la maison en pain d’épices, appelée “gingerbread house”, est une tradition américaine importante qui a été importée d’Allemagne. Assembler tous les morceaux peut prendre plusieurs heures en fonction de vos talents artistiques, mais le résultat en vaut la peine. La maison est entièrement comestible mais ne la mangez pas tout de suite, c’est avant tout une décoration !
9- Apprendre à cuisiner la “pecan pie” et la “green bean casserole”
Si vous souhaitez fêter Noël comme un vrai Américain, il vous faudra cuisiner des tartes… Beaucoup de tartes. Oubliez donc les bûches de Noël et concentrez vous sur la “pecan pie”, la tarte aux noix de pécan, la traditionnelle “apple pie” (tarte aux pommes) et sur la “pumpkin pie” (tarte à la citrouille). Les Américains cuisinent également la célèbre “green bean casserole”, ainsi que de la dinde, du bœuf ou du jambon.
10- Chanter des chants de Noël, les “Christmas Carols”
“Jingle Bells”, “White Christmas”,”Let it snow!”… Les chants de Noël sont très populaires aux États-Unis. Pendant plusieurs semaines, les stations radio sont envahies par les cantiques populaires. Se rendre à un concert ou même chanter dans une chorale est très courant.
11 bonnes raisons d'opter pour un Bachelor in Management (BSc) en Europe
(Article partenaire)
1. Evoluer et grandir dans un environnement multiculturel
Des élèves des quatre coins du monde se bousculent pour étudier le management dans les universités européennes. Vous ne serez pas seulement entouré(e) de Français mais également de personnes avec des parcours, des cultures, et des façons de voir le monde parfois très différentes des vôtres.
2. Gagner en indépendance et s’épanouir
Vous pouvez bien sûr continuer à étudier dans la ville où vous êtes né(e), et aller à l’université avec vos amis de lycée… Ou vous pouvez décider de partir à l’aventure. Etudier dans un pays étranger vous permettra de devenir plus indépendant(e), plus autonome, et de développer votre capacité d’adaptation. De nos jours, ces trois qualités sont indispensables pour devenir un bon manager ou dirigeant d’entreprise.
3. Impressionner vos futurs employeurs en réalisant des stages à l’étranger et des projets à impact positif
Les meilleures universités, comme ESCP Europe et ses 55.000 anciens élèves répartis dans 150 pays, ont des liens étroits avec le monde de l’entreprise en France et dans le monde. L’école vous permettra d’entrer en contact avec de grandes entreprises françaises pour y réaliser un stage. Cette expérience terrain, que vous aurez gagnée avant même de recevoir votre diplôme, sera de nature à impressionner et à attirer de futurs employeurs.
En effet, lors d’une étude effectuée auprès de 10.000 employeurs dans 116 pays, 60% d’entre eux ont déclaré être impressionnés par les candidats ayant déjà de l’expérience à l’international en sortant d’école.
4. Développer ses compétences interculturelles
Une chose est sûre : il vous faut de bonnes compétences relationnelles pour travailler dans le management. Et plus encore, d’excellentes compétences en communication interculturelle. Mais qu’est-ce que la communication interculturelle ? Un exemple concret : les Américains parlent fort, expriment leur accord alors que la personne est encore en train de parler, sont tactiles lorsqu’ils se saluent… Dans d’autres pays en revanche, ce genre d’attitude peut être mal perçu. En travaillant et vivant avec des élèves venus du monde entier, vous développerez des compétences en communication interculturelle, c’est-à-dire une capacité à reconnaître ces nuances et à déjouer les pièges culturels qui pourraient se présenter à vous lors de vos voyages à l’étranger.
5. L’Europe entière est à portée de main (ou de train) !
Quand vous êtes dans un pays européen, il est très facile de visiter les autres pays qui vous entourent. Un rapide trajet en avion ou même en train, et un nouveau pays s’offre à vous !
Les universités européennes veulent que leurs élèves profitent de cette superbe opportunité de découvrir le continent dans toute sa diversité. Par exemple, avec le Bachelor in Management (BSc) ESCP Europe, vous pouvez passer chacune des trois années de votre cursus dans un pays différent ! Démarrez votre programme sur leur campus de Paris ou Londres, passez la deuxième année à Madrid, Turin ou Paris, et finissez votre programme en beauté en choisissant d’effectuer votre troisième année à Berlin ou Paris.
6. Avoir des relations partout dans le monde
Dans un monde de plus en plus globalisé, où les entreprises se développent au-delà des océans et où les partenariats réunissent différents fuseaux horaires, vous aurez besoin de contacts à l’international.
Que ce soit votre professeur qui a travaillé pendant des années chez BNP Paribas, ou ce camarade de classe du lundi matin qui a lancé une start-up florissante à Sydney, il est certain que vous allez ressortir de cette expérience avec de nombreux contacts, dans de nombreux pays.
7. Apprendre de nouvelles langues en complète immersion
Etudier dans un pays étranger est bien entendu une occasion unique de progresser dans la ou les langues de votre choix. Avec ESCP Europe, ce sera: trois ans, trois pays et trois langues en plus des cours dispensés en anglais. De quoi revenir avec un sacré bagage linguistique, très apprécié des recruteurs.
8. Développer ses « soft-skills »
Les « soft-skills », c’est le savoir-être, c’est-à-dire la capacité à évoluer sans accroc dans tous types d’environnements et avec tous types de personnes, d’adapter son comportement en fonction des enjeux d’une situation donnée : on vous laisse imaginer à quel point cette capacité est cruciale en management. Avec ESCP Europe, développez vos « soft-skills » en prenant part à des ateliers et des séminaires dédiés. La communication orale, écrite, et la rhétorique n’auront plus de secret pour vous !
Voir cette publication sur Instagram
9. Découvrir les cultures européennes
Vous avez toujours rêvé de découvrir les différentes cultures européennes ? En allant étudier en Europe, vous serez complètement immergé(e) dans la culture du ou des pays que vous allez visiter. Les coutumes, les traditions, les drôles d’habitudes, toutes ces petites choses qui font le charme d’un pays… il y a tant à apprendre !
10. Travailler à distance dans une équipe internationale ? Aucun souci pour vous
On a rarement l’occasion de s’habituer au travail à distance pendant nos études. Avec certains programmes tels que le Bachelor in Management (BSc) de ESCP Europe, vous serez amené(e) à travailler en équipe avec des élèves basés dans des campus situés dans d’autres pays. Réussir à travailler efficacement dans une équipe internationale sans pouvoir être physiquement présent au même endroit, voilà un atout qui fera de vous le manager international de demain.
11. Obtenir un diplôme internationalement reconnu
Bien choisir son diplôme est une étape très importante, et il faut notamment bien faire attention à choisir un diplôme qui soit reconnu. Le Bachelor in Management (BSc)
de ESCP Europe est reconnu internationalement et est notamment visé à
Bac+3 par le ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de
l’innovation français. Et l’école fait partie des 1% de business schools au monde
bénéficiant de la triple accréditation AACSB, EQUIS et AMBA.
Alors, qu’attendez-vous ? Apprenez-en plus sur leur programme internationalement reconnu ici, ou postulez directement au Bachelor in Management de ESCP Europe.
————————
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.