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La Martinique, destination de rêve à quelques heures des États-Unis

(Article partenaire) Avec plusieurs choix de vols hebdomadaires, notamment depuis New York, Fort Lauderdale et Miami, la Martinique est plus accessible que jamais. Si cette île des Antilles françaises a de quoi charmer les vacanciers pendant la semaine, avec des allers simples à partir de 79 $ grâce à Norwegian Air, la douce folie de s’y envoler pour un long week-end est désormais tentante!
Au fil des ans, l’étonnante Martinique a su s’adapter aux nouveaux courants touristiques et a beaucoup à offrir à ceux qui souhaitent fuir le quotidien. Partez découvrir les richesses culturelles de cette île et laissez-vous charmer par l’accueil chaleureux qui vous y attend!

Verte, la Martinique


Vous êtes écolo dans l’âme? La surnommée “île aux fleurs”, classée parmi les 35 hotspots de la biodiversité mondiale, prône un tourisme durable. Ainsi, certaines agences locales, dont Voyager Vrai, orientent les visiteurs vers des découvertes éthiques et responsables, comme l’hôtel Bambou aux Trois-Îlets, qui bénéficie du label écologique Clef Verte.

Paradis de la rando


Avec plus de 250 km de sentiers, il est possible de découvrir tous les charmes de l’île à la marche. Dans la partie nord, la montagne Pelée est le point culminant de la Martinique avec ses 1397 mètres d’altitude. Les fanatiques de rando apprécieront les sentiers croisant les bananeraies pour atteindre le sommet de ce volcan aujourd’hui endormi, qui offre une superbe vue sur la ville de Saint-Pierre. Pour une découverte plus en douceur, la presqu’île de la Caravelle est aussi incontournable.
Ceux qui ne craquent pas pour la marche ne seront pas en reste puisque la chouette compagnie Watt Up!, au Marin, loue vélos, trottinettes, scooters, voitures et embarcations 100 % électriques. Coup de cœur ici pour le BBQ boat, un bateau équipé d’un grill à bord pour une escapade de groupe inédite en mer.

Terrain de jeu grandeur nature


Long de 400 km, le littoral martiniquais, entre autres bordé de plages volcaniques de sable noir ou de sable blanc comme au Cap Chevalier, a de quoi faire rêver… et bouger. Il s’agit d’ailleurs d’une destination de surf et de kite surf encore trop peu connue.
Pour les nageurs, des hauts fonds, dont la célèbre Baignoire de Joséphine, proposent une baignade mémorable dans une eau paradisiaque peu profonde.
La Martinique offre des expéditions incroyables en kayak de mer. En outre, les sorties en canyoning au cœur de la forêt tropicale, où rivières et cascades comblent les débutants comme les amateurs de sensations fortes, gagnent en popularité.

Belle jusque dans ses fonds marins


Personne ne visite l’île française sans prendre un selfie devant le Rocher du Diamant. Même s’il est interdit d’accoster sur ce lieu protégé, les eaux limpides, les grottes sous-marines et les coraux qui l’entourent en font un des meilleurs sites de plongée des environs.
À propos d’explorer les fonds marins autrement, une nouvelle activité de scooter subaquatique permet de plonger comme un dauphin. Celle-ci est disponible au Caribean Yachting aux Anses-d’Arlet.

Terre de rhum

Saviez-vous que les rhums agricoles de la Martinique sont les seuls au monde à bénéficier de l’Appellation d’Origine Contrôlée (AOC)? Pour les faire découvrir, une filière spiritouristique a été développée et plusieurs distilleries sont désormais ouvertes aux amateurs. Par exemple, l’entreprise Rum’trotters propose des séjours jumelant ateliers sur le rhum, découverte de l’île et hébergement haut de gamme.

Une cuisine riche en saveurs


Pour accompagner un cocktail à base de rhum, rien de mieux que l’authentique cuisine martiniquaise. Délicatement épicée, la gastronomie créole, qui a été re-visitée par de talentueux chefs ces dernières années, saura ravir les plus exigeants.
Enfin, sur une note plus traditionnelle, nul ne peut décoller de Fort-de-France sans avoir goûté aux fameux acras de morue accompagnés de sauce chien… Un pur délice, rien de moins. Et pour ses saveurs comme pour ses autres atouts, ne serait-ce que pour trois nuits, la Martinique est magnifique !
Plus d’infos ici.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Comment la France peut sortir de son retard en éducation bilingue

“Un enfant bilingue est bilingue quelle que soit soit sa langue”: Christine Hélot dénonce la stigmatisation du “bilinguisme des pauvres” en France, mise en évidente par la récente polémique sur l’enseignement de l’arabe. C’est un des nombreux sujets qu’elle aborde dans ce 3ème épisode de Révolution Bilingue, le podcast produit par French Morning et présenté par Fabrice Jaumont.
Si vous aimez Révolution Bilingue, pensez à le noter sur iTunes et partagez-le avec vos amis!
Listen to “Education bilingue: le retard français” on Spreaker.

All Day, le café le plus adorable de Downtown Miami

Si, comme l’équipe Miami Off Road, vous aimez les lieux paisibles et insolites, mais aussi le bon café (ou le thé), voilà une adresse à noter dans vos tablettes. Dans le Nord Downtown, proche des boites de nuit et autres immeubles en construction, se trouve une oasis de calme : le café All Day.
Dans un décor pastel et épuré, industriel mais avec une touche de romantisme, on vient déguster des boissons chaudes (ou non) et déjeuner façon brunch entre gourmets. Les ingrédients, majoritairement issus de l’agriculture biologique et locale, sont choisis avec soin. Les cafés sont goûtés à l’aveugle et sélectionnés parmi des productions artisanales.
Le café est préparé à l’ancienne, et le thé servi avec un minuteur réglé de façon précise pour un temps d’infusion optimal. Tout cela dans une vaisselle qui semble tout droit sortie d’une maison de poupée anglaise. Pas de plastique, pas de carton, pas de tasse blanche standardisée…
L’ambiance est paisible, presque monacale, mais sans silence pesant. En sortant, on a l’impression d’arriver dans une autre dimension.
Pour vous régaler jusqu’au bout, All Day se fait livrer chaque jour l’excellent pain frais de Zak the Baker. Mais le clou du goûter, c’est le partenariat avec The Salty Donut. Un donut au parfum d’enfance est produit exclusivement pour ce café ! Celui-ci change régulièrement, alors n’hésitez pas à venir le plus souvent possible. Le reste du menu est un savant mélange de classique américains et cubains : bagels et oeufs brouillés, empañadas, pastelitos et croquetas.
Et parce qu’un café à Miami se doit d’en avoir une, il est possible de commander depuis la traditionnelle “ventanita”, une fenêtre sur la rue, pour toutes vos commandes de gourmandises à emporter.

Vivre Noël à New York (gratuitement)

New York met tout le monde d’accord : c’est une destination extraordinaire, mais aussi atrocement chère. Entre les billets d’avion, les visites incontournables, les spectacles, les sorties et les cadeaux de Noël, les fêtes de fin d’année deviennent rapidement un gouffre financier.
Mais pas de panique, vous pouvez profiter de la Big Apple sans être aussi riche qu’un Rockefeller ! Voici quelques idées de sorties et de bons plans gratuits pour soulager vos portefeuilles sans rien perdre de la magie new-yorkaise.
Les illuminations de Dyker Heights

Les maisons de Dyker heights s’illuminent dès la tombée de la nuit. Crédit : CM/French Morning

Cette sortie vous coûtera techniquement le prix d’un ticket de métro. Vous admirerez les impressionnantes décorations du quartier de Dyker Heights à Brooklyn. Sur plusieurs blocs (de 83rd St à 86th St), des dizaines de demeures sont illuminées par les habitants (et des sociétés professionnelles de décoration) jusqu’à environ 9pm le soir.
Les sapins monumentaux
Le sapin du Rockefeller Center brillera jusqu’au 7 janvier. Crédit : rockefellercenter.com

Armez-vous de manteaux chauds et de vos plus belles moufles pour venir admirer les gigantesques arbres décorés. Le plus célèbre reste sans doute le sapin du Rockefeller Center, qui borde la patinoire iconique de Midtown. Les promeneurs pourront également admirer le conifère massif de Wall Street, celui du Washington Square Park près de l’arc de triomphe (une tradition qui remonte à 1924 !) ou encore celui de South Street Seaport, illuminé depuis le 3 décembre sur Fulton Street.
Les vitrines des grands magasins
Saks Fith Avenue conçoit chaque année un mini-spectacle en lumières sur sa façade. Crédit : Saks Fifth Avenue/Facebook

Entre deux sapins (et plusieurs centaines de touristes), la Cinquième avenue regorge de grands magasins qui célèbrent dignement les fêtes. Des vitrines de Bergdorf Goodman (754 5th Ave) aux automates de Macy’s (151 W 34th St) sur le thème « Believe In The Wonder Of Giving » cette année, en passant par celles de Bloomingdale’s (1000 Third Avenue) qui célèbrent le Grinch, la façade illuminée de Saks (611 5th Avenue) qui rend hommage à Broadway ou encore les vitrines de Tiffany’s (727 5th Ave), les rues new-yorkaises offrent un spectacle qui vaut le détour.
Les marchés de Noël
Le marché de Union Square occupe la moitié de la grande place. Crédit : Urbanspace/Facebook

Même si vous n’y achetez rien (ou pas grand-chose), les marchés de Noël sont un bon moyen de plonger dans l’ambiance des fêtes, que vous flâniez au Winter Village de Bryant Park (jusqu’au 2 janvier 2019), entre les cabanons d’Union Square (jusqu’au 24 décembre), ceux de Columbus Circle (jusqu’au 24 décembre)  ou – pour les plus frileux qui préfèrent les marchés couverts – à la foire de Noël de Grand Central (jusqu’au 24 décembre).
L’atelier du père Noël de Macy’s
L’attraction de Macy’s offre une expérience immersive dans l’univers du père Noël. Crédit : Macys/Facebook

En plus de ses vitrines, le magasin Macy’s propose une immersion dans l’antre du père Noël, « Santaland ». L’accès à cet espace féerique est gratuit mais uniquement sur réservation (de 30 minutes à 5 jours à l’avance) avec, à la clé, une rencontre avec le père Noël en personne. Les photos avec le père Noël sont toutefois payantes (20,99 dollars) mais non obligatoires. L’attraction sera disponible jusqu’au 24 décembre.
Les chorales de Noël
The Washington
Square Association distribuera des livrets de chant aux passants pour permettre à tous de chanter. Crédit : Washington Square Association/Facebook

On oublie souvent qu’en plus d’en mettre plein les yeux, New York régale les oreilles. Les amoureux des chants de Noël pourront se retrouver au Washington Square Park avec The Rob Susman Brass Quartet de 5pm à 6pm le lundi 24 décembre ou dans l’une des nombreuses églises où écouter du gospel à New York.

La réforme de la Caisse des Français de l'Étranger (CFE) adoptée

Il aura fallu près de trois ans mais ça y est: la réforme de la Caisse des Français de l’Étranger (CFE) a été définitivement adoptée, à l’unanimité, par l’Assemblée nationale mercredi 12 décembre.
Le texte, porté par le sénateur socialiste Jean-Yves Leconte, vise à rendre le fonctionnement de cette caisse décrite comme la “sécurité sociale des expatriés” plus lisible, alors que la taille de la communauté française à l’étranger ne cesse de croitre et que la santé se hisse en tête des préoccupations des expatriés.
La réforme prévoit de rendre l’offre plus claire, réviser la grille tarifaire de l’organisme et moderniser sa gouvernance.
Les tarifs seront désormais fixés en fonction de l’âge (huit tranches) de l’assuré et de la composition familiale, et non plus de son salaire. Selon la CFE, ces nouveaux tarifs seront “plus avantageux pour la plupart des clients“. Ils entreront en vigueur dès le 8 janvier pour les adhésions des clients individuels prenant effet à compter du 1er février 2019. Dès janvier, l’organisme lancera de nouveaux produits destinés à mieux couvrir les expatriés en France notamment.
Parmi les autres avancées présentées par la Caisse: “la rétroactivité des cotisations, due en cas d’adhésion tardive après le départ de France est définitivement supprimée; l’option « soin France » couvrant les soins en France de 3 à 6 mois sera désormais incluse dans le tarif de base; et les conjoints actifs, français ou non, pourront être couverts dans le cadre d’un contrat famille“. Le système sera ouvert aux salariés français d’entreprises de droit local. La caisse pourra également nouer des partenariats avec des complémentaires locales.
Confrontée à une baisse du nombre de ses membres depuis plusieurs années, la CFE compte près de 110.000 adhérents et un peu plus de 200.000 personnes couvertes au total, en comptant les ayants droit, selon l’Agence France-Presse.

11 expressions américaines à connaître au travail

Vous souhaitez impressionner votre boss ou passer pour un vrai Américain au bureau? Nous avons sélectionné onze expressions à recaser à tout prix.
Shoot me an email
Remplacez le trop classique et pas assez cool “send me an email” par “shoot me an email“. Un peu plus violent, mais efficace. Le terme est surtout utilisé entre collègues ou membres d’une même entreprise et fait référence à un projet en cours. Exemple: l’un des membres de votre équipe commerciale sollicite votre avis sur une proposition à envoyer à un client, au moment où vous entrez en réunion. Répondez-lui: “shoot me an email with all the info and I’ll get back to you after my meeting”. (Balance moi les infos et je reviens vers toi après ma réunion).
To do things by the book
Littéralement: “faire les choses en suivant le livre”, l’expression signifie tout simplement “suivre les règles de l’entreprise”. Exemple: Votre patron vous annonce que les investisseurs de l’entreprise vont vous rendre une petite visite demain. Il vous prévient: “they’re going to be watching us, so we have to do things by the book” (Ils vont nous surveiller, donc on va devoir suivre les règles).
Get the ball rolling
C’est l’équivalent de “let’s get started”, qu’on traduirait en français par “lancer la machine”. L’expression fait référence au lancement d’un projet qui implique au moins deux personnes. Votre manager vous sollicite pour parler de l’organisation de cette conférence prévue dans huit jours? Répondez-lui: “sure, we need to get the ball rolling on this” (Bien sûr, il faut qu’on lance la machine dès maintenant).
Loop me in
Vous souhaitez suivre un échange d’e-mails entre deux personnes de votre équipe? Dites-leur: “loop me in, please”, (mettez-moi dans la boucle s’il vous plaît/mettez moi en copie des échanges) et le tour est joué.
To have a lot on your plate
Utilisée principalement à la première personne, l’expression “avoir son assiette bien pleine” signifie que vous avez beaucoup de choses à faire, que vous êtes “busy”. Exemple: votre manager vous demande de gérer l’organisation du prochain team-building de l’entreprise. Dites-lui gentiment: “sorry, I already have a lot on my plate. Can someone else take the lead on this one?” (Désolé, j’ai déjà plein de choses à faire. Quelqu’un d’autre pourrait s’occuper du projet? )
To be ahead of the curve
Votre entreprise a lancé un nouveau produit qui vient de rafler 60% des parts de marché de son secteur? “We were so ahead of the curve” (Nous avons su flairer/anticiper la tendance).
Back to the drawing board
L’équipe de développeurs web dont vous faites partie a réfléchi pendant deux semaines au lancement d’un nouvelle application que vous présentez aujourd’hui à votre patron. Mais celui-ci n’en est pas du tout convaincu. Annoncez-le à vos collègues en disant: “back to the drawing board, guys” (retour à la case départ les gars).
Crunch the/some numbers
Littéralement “croquer les chiffres”, on traduit plutôt cette expression par “étudier/se pencher sur les chiffres”. Vous allez racheter une entreprise à New York mais souhaitez d’abord relire ses deux derniers bilans comptables? Dites à votre associé: “I’m gonna crunch the numbers on that” (je vais me pencher sur les chiffres).
To deep-six (something)
Vous avez finalement convaincu votre patron que cette application mobile était nécessaire, mais six mois après son lancement, les résultats ne sont pas à la hauteur. Votre boss vous prévient: “we’re going to deep-six the app” (on va annuler le projet/ arrêter l’application). Moins extrême, “to shelve” signifie “geler/mettre en suspens” quelque chose.
Cut corners
“To cut corners” se traduit littéralement par “couper les angles”. L’expression signifie “choisir la facilité”, “prendre un raccourci” tout en renvoyant à la notion de tricherie. Exemple: vos collègues sont impressionnés par votre présentation powerpoint sur l’impact des monnaies virtuelles sur le taux des devises internationales. Dites leur la vérité: “I cut some corners by copy-pasting a survey that I found on the web” (j’ai pris quelques raccourcis en copiant-collant une étude que j’ai trouvée sur internet).
To touch base (with someone)
De nombreuses expressions américaines sont inspirées du baseball. Celle-ci en fait partie. “To touch base” est un synonyme de “to get in contact”. Dans le monde du travail, on la traduirait par “on en reparle/rediscute à tel moment”. Exemple: je sollicite ma collègue américaine pour un article que je souhaite écrire sur les expressions américaines à utiliser au travail. Je lui propose: “why don’t I do some research today and we’ll touch base tomorrow?” (Je vais faire mes proches recherches aujourd’hui et on en reparle demain, ok?).

Gagnez le guide "New York à petits prix" du Lonely Planet

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Tous les bons plans de New York dans votre poche: telle est la promesse des guides New York à petits prix du Lonely Planet. La cinquième édition de ce petit ouvrage bourré d’adresses pour les petits budgets vient de sortir. Elle est co-signée par notre journaliste Maxime Aubin.
French Morning et Lonely Planet vous offrent la possibilité de gagner deux guides par tirage au sort. Il suffit de remplir le formulaire ci-dessous. Très pratique et clair, New York à petits prix comporte des adresses à Manhattan bien sûr, mais aussi Queens, le Bronx et Brooklyn ainsi qu’un plan dépliable du subway pour se repérer plus facilement. Visités pendant deux ans, les plus de 400 plans (restaurants, bars, magasins, musées…) ont tous été testés et approuvés par les auteurs du guide qui livrent pour chacun d’eux des informations d’insiders (horaires des happy hours pour faire des économies, anecdotes, recommandations…).
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Faites votre shopping de Noël au Marais à San Francisco

La boulangerie Le Marais ne fait pas que de bons pains et croissants. Elle joue les Pères Noël. L’enseigne ouvre une boutique appelée “Le Marché” à côté de son café dans le quartier de Tenderloin. Une soirée d’ouverture est organisée ce jeudi 13 décembre à partir de 6pm.
Le Marché propose une sélection de produits français (papeterie, vêtements, bijoux, tasses, sacs…). Pendant l’événement, le cidre chaud coulera à flots et une loterie pour gagner des produits en vente dans la boutique sera organisée. Le Marché sera ouvert tous les jours de 10am à 6pm.

Fêtez la nouvelle année avec le DJ français Dombresky à Austin

Originaire de Montpellier, Quentin Dombres dit Dombresky s’est fait connaître grâce à son tube “Utopia”.
Il mixera en compagnie de deux artistes britanniques, Nero et Feed Me, au Warehouse 305 d’Austin à 9pm pour le réveillon du 31 décembre.
La soirée, intitulée “ERA”, célébrera “le temps qui passe”. Les participants sont invités à trouve un déguisement sur ce thème. Places disponibles à 59,99$ ici.
 

Comment les start-ups françaises lèvent-elles de l’argent aux États-Unis ?

Chaque année, nombreux sont ceux qui tentent leur chance aux États-Unis. Peu importe leur domaine de prédilection, ils rêvent d’une success-story digne du célèbre mythe du self-made-man. Pour les start-ups françaises désireuses de lever des fonds au pays de l’oncle Sam, l’investisseur américain est souvent synonyme d’espoir et de chimères.
On l’imagine parfois à tort comme le super héros qui pourra résoudre tous les problèmes à coup de chèques à plusieurs zéros. En réalité, ce n’est pas si simple. Depuis 2010, seulement une soixantaine d’entreprises françaises spécialisées dans la technologie sont parvenues à lever des fonds aux US selon Maxence Drummont, ancien membre du French Tech Hub. Lors d’un webinar sur le financement des start-ups françaises aux Etats-Unis le 7 novembre, il a cité parmi les entreprises qui ont réussi Blablacar, Gooded et Price Match pour les plus connues. Pour relever ce défi, elles ont dû réunir plusieurs critères.  

L’art du réseautage 
Les Français qui cherchent des financements à l’étranger n’ont pas à se lancer en solo dans cette aventure. Être capable de développer son réseau outre-Atlantique est l’une des conditions sine qua non pour réussir. En s’entourant des bonnes personnes, vous optimisez ainsi vos chances de trouver rapidement un Business Angel. Parmi les aides externes que vous pouvez solliciter figurent les incubateurs de start-ups. Via différents programmes d’insertion, ils proposent des services adaptés au projet de chacun. Le French Tech Hub, lui, s’est donné pour mission depuis 2012 de faciliter l’installation d’entreprises françaises aux US. Elle propose ainsi un coaching permettant à ses clients de se préparer efficacement au marché américain. Cela passe par le peaufinement d’un projet à la mise en relation avec d’éventuels investisseurs. 
Pas de recette miracle, seulement un projet qui tient la route ! 
L’entrepreneur doit aussi avoir un projet viable et innovant, défiant toute concurrence. L’investisseur américain veut que son placement lui rapporte vite et gros sans se faire du souci pour la survie du projet. En plus de l’offre, le “Business Angel” comme on l’appelle ici recherche également une personnalité.
Pour Sylvia Gallusser, responsable du programme “Funding Access” de la French Tech Hub San Francisco, cela doit impérativement passer par le storytelling. “Ici, on aime la personnification de l’entreprise par son leader. On dit souvent que c’est l’exécutif qui compte et c’est à ce moment-là que l’individu rentre en jeu. On attend du futur entrepreneur d’être l’avenir de l’entreprise, mais aussi d’être celui qui va la faire prospérer et élever ses coéquipiers.” Si celui-ci n’a pas le profil escompté, il peut se faire évincer par un des nombreux contacts de son investisseur. C’est l’une des multiples concessions que le fondateur de la start-up devra faire. Dans le même esprit, il se peut qu’il ait également à délocaliser son bureau aux États-Unis.
Selon Sylvia Gallusser, c’est presque une obligation : “Lorsque l’on discute avec des personnes souhaitant être financées par des investisseurs américains, une question revient régulièrement : “faut-il oui ou non s’installer aux États-Unis?” Les chiffres le prouvent, c’est quasi-inévitable. La plupart des entrepreneurs font ce choix et ceux qui ne l’ont pas fait totalement le font au moins partiellement en mutant leur PDG.
Connaître son investisseur et le défier 
Il n’existe pas un mais plusieurs profils-types de l’investisseur américain. Tous ont un point commun : ils s’intéressent aux compagnies françaises sans être pour autant des spécialistes du marché français. Une fois qu’ils placent leur argent, ils peuvent soit véritablement s’investir dans l’entreprise ou bien opter pour un partenariat “fantôme”.
Pour Baptiste Grégori, manager stratégie et ventes à la French Tech Hub, c’est souvent quitte ou double. “Il existe deux profils d’investisseurs: l’investisseur qui a été entrepreneur et qui va accompagner celui sur qui il mise. Il est souvent tenté de gérer la société dans laquelle il place son argent. Le second profil est l’investisseur financier qui prône une distance. Dans tous les cas, l’investisseur américain est très actif. Il appelle très régulièrement, demande des chiffres…
Pour garder le contrôle sur son entreprise, il ne faut pas hésiter à jouer les fins stratèges, notamment là où la concurrence fait rage. C’est le cas de la Silicon Valley, leader en termes d’investissement étranger aux États-Unis. Comme nous le rappelle Baptiste Grégori, “c’est 10 fois plus de fonds levés qu’à New York et Boston, qui occupent les deuxième et troisième places en termes de placements de fonds.” Avant de se lancer dans un partenariat financier, il faut analyser méticuleusement ses options et prendre le temps d’y réfléchir. Rares sont les deals qui se signent en trois mois. 

6 spectacles de Noël à voir à New York

Pour sauter à pieds joints dans la magie de Noël à New York, rien ne vaut un show dont seul le berceau de Broadway a le secret. Voici une liste de spectacles sur fonds rouge et vert qui réjouiront petits et grands pendant les fêtes de fin d’année.
The Rockettes au Radio City Hall

Le traditionnel spectacle du Radio City Hall rouvre ses portes cette année avec une performance millimétrée de 36 danseuses sur le thème de New York et de la magie de Noël. Jusqu’au mercredi 2 janvier, 1260 Avenue of the Americas New York, NY, 10020, à partir de 41 dollars. Site
« The Nutcracker (« Casse-Noisette ») du New York City Ballet

Comme chaque année à l’approche de Noël, le célèbre ballet est à l’honneur. Et il y en a pour tous les goûts ! Le New York City Ballet interprète une version classique chorégraphiée par George Balanchine jusqu’au dimanche 30 décembre au David H. Koch Theater. Les puristes retrouveront également le chef d’œuvre de Tchaïkovski au Florence Gould Hall Theater de la FIAF du 14 au 16 décembre, mis en scène par Keith Michael.
Pour une version sexy, rendez-vous au Théâtre XIV à Brooklyn où « The Nutcracker Rouge » sera joué jusqu’au dimanche 13 janvier. Pour les amateurs de danse plus contemporaine, direction le Kings Theater à Brooklyn pour une interprétation du « Hip Hop Nutcracker » dimanche 23 décembre.
« How The Grinch Stole Christmas! » au Madison Square Garden

Le conte de Noël de Theodor Seuss Geisel débarque à New York dans une comédie musicale familiale, dans le cadre d’une tournée nationale. Le pitch: une créature isolée (“The Grinch”) décide de gâcher le Noël de la petite ville de Whoville. Mais cela ne va pas se passer comme il l’entend. Jusqu’au dimanche 30 décembre, Hulu Theater at Madison Square Garden, 4 Pennsylvania Plaza, New York, NY 10001, à partir de 36 dollars. Site
« All is Calm: The Christmas Truce of 1914 » au Sheen Center

Dans un registre plus dramatique, le Sheen Center propose une pièce chantée racontant la trêve de Noël 1914 des soldats français, anglais et allemands en pleine Première Guerre mondiale, que le film « Joyeux Noël » (2006) de Christian Carion a rendue célèbre en France. Jusqu’au dimanche 30 décembre, 18 Bleecker St, New York, NY 10012, à partir de 71 dollars. Site
« The Illusionists : Magic of the Holiday » au Marquis Theater

Marre des chants de Noël ? Voici un spectacle de magie sur le thème des fêtes qui promet de vous émerveiller grâce au talent de 5 illusionnistes. Jusqu’au dimanche 30 décembre, 210 West 46th Street New York, NY 10036, à partir de 99 dollars. Site
« Home Alone » (« Maman, j’ai raté l’avion ») en concert au Lincoln Center

Vous êtes un fan du classique de Noël réalisé par Chris Columbus ? Le Lincoln Center projettera le blockbuster de 1990 tandis que l’Orchestre philharmonique de New York en interprétera la bande originale composée par John Williams. Jeudi 20 décembre et vendredi 21 décembre à 7pm, David Geffen Hall, 10 Lincoln Center Plaza, New York, NY 10023, à partir de 45 dollars. Site

Où trouver la bûche de Noël à San Francisco et ses environs ?

Noël approche et c’est l’heure de commander l’incontournable bûche! Voici notre sélection de pâtisseries où la trouver.
Arizmendi Bakery, dans le Sunset
On ne change pas une recette qui gagne: cette année encore, la coopérative du Sunset proposera une bûche avec une génoise garnie de crème pâtissière au rhum et recouverte de chocolat, sans oublier les airelles et champignons en meringue pour la décoration. Les réservations sont conseillées et possibles jusqu’au 22 décembre, et il faudra venir chercher son dessert le 24 décembre entre 10am et 4pm. Compter 38 dollars pour environ 12 personnes. Arizmendi Bakery, 1331 9th Ave, San Francisco, CA 94122. (415) 566-3117. Site.
Thorough Bread and Pastry, dans le Castro
Chocolat ou fruits, pas de jaloux cette année: chez Thorough Bread, on a le choix entre une bûche vanille-fruit de la passion, ou chocolat-praline. Date butoir pour passer commande: le 19 décembre. Les bûches seront à retirer le 24 de 7am à 2pm. Compter 42 dollars pour environ 10 personnes. Thorough Bread and Pastry,248 Church St, San Francisco, CA 94114. (415) 558-0690. Site.
Miette, dans Hayes Valley
Les amoureux de chocolat vont fondre pour la bûche de chez Miette: une génoise chocolat, tendrement enroulée sur de la mousse au chocolat au lait, le tout recouvert de ganache. Les gourmands choisiront la grande, pour 10-12 personnes, les petits comités préféreront la petite, pour 4-6 convives. Compter entre 35 et 50 dollars selon la taille. Miette, 449 Octavia Street, San Francisco, CA 94102. (415) 626.6221. Site.
B. Patisserie, dans Pacific Heights
Laquelle choisir? Le dilemme est de taille: fraise sur sablé breton, carrot cake-compote d’ananas, chocolat-crème brûlée, ou cookies and cream? Pour les indécis, on peut acheter des parts individuelles de bûche, goûter un peu de chaque et reprendre de la meilleure. Si votre choix est fait, sachez que la date limite pour commander sa bûche est le samedi 15 décembre. Compter 75 dollars pour 10 personnes. B. Patisserie, 2821 California St, San Francisco, CA 94115. (415) 440-1700. Site.
Tartine, dans la Mission
Que ce soit à l’adresse originale ou à Tartine Manufactory, attendez-vous à faire la queue pour récupérer votre bûche la veille de Noël. La réputation de l’endroit ne faiblit pas, obligeant à limiter la quantité de bûches et autres pâtisseries de Noël à 6 par personne! Au menu cette année, génoise garnie de crème au beurre parfum café, le tout recouvert de chocolat Valrhona. Les parts sont généreuses et la bûche servira au moins 10 convives. Tartine Bakery, 600 Guerrero St, San Francisco, CA 94110. (415) 487-2600. Tartine Manufactory, 595 Alabama St, San Francisco, CA 94110. (415) 757-0007. Site.

Mademoiselle Colette, à Menlo Park et Palo Alto
En attendant l’ouverture de sa troisième enseigne à Redwood City, Mademoiselle Colette a bûché sur son menu de fêtes de fin d’année: la bûche exotique allie un biscuit croustillant avec une mousse vanille et crémeux mangue/ fruit de la passion, le tout enrobé d’un glaçage exotique et décoré d’étoiles en chocolat blanc; la bûche chocolat-yuzu conjugue un biscuit praliné croustillant avec une mousse chocolat au lait, un biscuit génoise au chocolat noir et un crémeux yuzu, avec un glaçage au chocolat noir pour parfaire le tout. Chaque bûche régalera environ 6-8 personnes. Compter entre 58 et 62 dollars. Mademoiselle Colette, 816 Santa Cruz Avenue, Menlo Park, 94027; 499 Lytton Ave., Palo Alto, 94301. Site.
Maison Alyzée, à Mountain View
Nouvelle venue dans le sud de la Baie, la boulangerie-pâtisserie Maison Alyzée située sur Castro street propose deux bûches cette année: une tout chocolat, alliant croquant du riz soufflé, moelleux du brownie et légéreté de la mousse, et une bûche fruitée, mêlant les saveurs de citron vert, framboise et noix de coco. Compter de 45 dollars pour 4/6 personnes à 110 dollars pour 12/14 personnes. Maison Alizée, 212 Castro St. Mountain View, CA 94041. Site.
La Farine, à Oakland
La boulangerie-pâtisserie d’Oakland dont la réputation n’est plus à faire propose une bûche dans la plus pure tradition des fêtes de fin d’année: génoise au Frangelico, mousse au chocolat, avec un glaçage tout chocolat et décor en pâte d’amande. Prévoyez une belle tablée, car cette bûche ravira au moins 15 personnes. Compter 68 dollars. La Farine, 6323 College Ave., Oakland, CA 94618; 4094 Piedmont Ave, Oakland, CA 94611; 3411 Fruitvale Ave., Oakland, CA 94602. Site.