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La pièce d'André Nerman "Terre des Hommes" termine sa tournée américaine à Los Angeles

Les Etats-Unis vont connaître plus que “Le Petit Prince” d’Antoine de Saint-Exupéry. Après Wichita, Boston, Hotchkiss, Toronto ou Buffalo, la pièce “Terre des Hommes” sera présentée le jeudi 1er novembre dès 7pm au Whittier College à Los Angeles.
Adaptée et mise en scène par André Nerman, cette interprétation du roman éponyme d’Antoine de Saint Exupéry -paru en février 1939- rassemble plusieurs aventures de l’ancien pilote de l’Aéropostale. Les spectateurs suivront les songes du passager d’un avion joué par Pascal Germain, qui dans son rêve rencontre Saint-Exupéry (joué par André Nerman). Ensemble, ils revivront les plus grands voyages de l’aventurier de ses débuts en 1920 à son crash dans le désert libyen en 1935.
André Nerman et sa compagnie Caravague organisent depuis dix ans des tournées en français à travers les Etats-Unis. Il y a déjà présenté “Jacques Brel ou l’Impossible Rêve” et “Un rapport sur la banalité de l’amour”.

En Floride, la navette autonome de Transdev circulait sans autorisation

Le groupe de transport français Transdev doit renoncer à sa navette autonome testée depuis plusieurs semaines pour le ramassage scolaire à Babcock Ranch, près de Fort Myers en Floride. Considérant son utilisation illégale, les autorités américaines ont immédiatement fait stopper les essais.
« L’innovation ne doit pas compromettre la sécurité publique », indique dans un communiqué la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA), l’agence fédérale américaine chargée de la sécurité routière. « Utiliser des navettes autonomes pour transporter des enfants est irresponsable et inapproprié », ajoute la NHTSA qui précise que la navette scolaire autonome de Transdev circulait sans autorisation. Le groupe de transport français aurait bien reçu un accord pour des tests et des démonstrations mais en aucun cas pour un transport régulier d’enfants.
Ainsi, Transdev a dû se résoudre à mettre de côté son expérimentation qui devait durer six semaines. La navette scolaire autonome, pouvant transporter jusqu’à 12 enfants, effectuait de courts trajets prédéfinis à une vitesse maximale de 12 kilomètres par heure en présence d’une personne capable de reprendre le contrôle à tout moment. « Elle évoluait de manière sûre, sans aucun incident connu, dans un environnement contrôlé et sans jamais sacrifier la sécurité au profit de l’innovation », souligne Transdev dans un communiqué, sans donner suite aux sollicitations de French Morning.
Malgré tout, à Babcock Ranch, qui se veut la première ville verte des États-Unis, plusieurs essais sont prévus prochainement avec d’autres navettes autonomes « mais ils seront conformes aux normes et règlementations imposées par la NHTSA et n’impliqueront plus aucun enfant », insiste Syd Kitson, l’un des promoteurs de la commune. « Il est important pour nous de conserver le partenariat avec Transdev car les navettes autonomes finiront par transformer notre quotidien et sont vraiment incontournables pour la ville du futur que nous construisons actuellement ».

Rachid Hami présente son film "La Mélodie" à San Francisco

Une douce mélodie sur la Baie. Le film « La Mélodie » de Rachid Hami sera projeté pour la première fois sur la côte Ouest le jeudi 8 novembre au Landmark’s Clay Theater.
Simon, un violoniste cinquantenaire, interprété par Kad Merad, enseigne son instrument à une classe de 6e à Paris. Ses méthodes austères ne vont pas faciliter ses rapports avec les élèves. Mais quand le petit Arnold se passionne pour le violon, son talent et l’énergie positive redonne à Simon le goût de la musique. Il se met en tête d’emmener les enfants jusqu’à la Philarmonie.
Le film sera suivi d’une séance de questions/réponses avec le réalisateur Rachid Hami. L’événement est soutenu par Unifrance et le Consulat Général de France à San Francisco.

Gérer son patrimoine quand on est Français aux Etats-Unis

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Vous détenez un bien immobilier en France ? Vous possédez une assurance-vie française alors que vous résidez aux Etats-Unis ? Quelles sont les règles fiscales américaines qui s’appliquent sur le patrimoine à l’étranger ?
Toutes ces questions n’auront plus de secret pour vous après la conférence qui aura lieu mardi 20 novembre dans les locaux de Sheppard Mullin.
Jean-Philippe Saurat et Andrew Massat du cabinet franco-américain d’experts-comptables Massat Consulting Group et Alexandre Quantin de la société de conseil USA France Financials, spécialisée dans la gestion de patrimoine des Français aux Etats-Unis, aborderont différents aspects de la fiscalité franco-américaine, notamment le traitement fiscal des contrats d’assurance-vie français aux Etats-Unis et l’imposition américaine des biens immobiliers loués en France. Ils donneront aussi des conseils pour gérer sa fiscalité et son patrimoine quand on est expatrié aux Etats-Unis.

The French Vakery, les viennoiseries vegan qui régalent San Francisco

Une file d’attente qui n’en finit pas, des yeux qui brillent à la perspective de goûter aux croissants de The French Vakery, et un stand très vite “sold out”. Depuis ses premières ventes au Bastille Day de San Francisco cet été, le succès des viennoiseries de The French Vakery ne se dément pas, à la grande joie de sa créatrice, Elise Duplechan.
Pourtant, la Nantaise débute à peine dans le domaine de la boulangerie. Avant de s’installer en Californie, il y a environ un an, elle avait un salon de coiffure à Rio, au Brésil. “A mon arrivée ici, j’ai cherché un autre domaine dans lequel je pouvais mettre à profit mes compétences de business developer, et je voulais que ce soit en rapport avec la cuisine française.
Son déménagement aux Etats-Unis correspond aussi à sa conversion au véganisme, résultat d’une quête d’un mode de vie plus sain.  C’est lors de la Vegan Street Fair qu’Elise Duplechan a le déclic: “Le stand où la file était la plus longue vendait des donuts! Au départ, je trouvais que c’était tellement basique comme concept, puis l’idée a fait son chemin: j’ai réfléchi égoïstement à ce qui me manquait le plus dans mon alimentation vegan, et les croissants sont arrivés en tête de liste. J’allais pouvoir allier mes origines françaises à mon mode de vie et en faire un business.
Grâce à des vidéos trouvées sur YouTube, et l’amour de la bonne cuisine transmis par sa mère et sa grand-mère, Elise Duplechan se lance dans l’aventure French Vakery. “J’ai dû faire beaucoup d’essais avant d’arriver à un résultat satisfaisant: la pâte feuilletée levée nécessite plusieurs jours de fabrication, et cela m’a coûté plusieurs tournées pour trouver la bonne composition et la cuisson parfaite.
Le choix des ingrédients est également très important pour la boulangère. “Tous les ingrédients que j’utilise sont bio et vegan. On me demande souvent ce que j’utilise à la place du beurre: j’utilise de la margarine à base d’huiles végétales, de coco ou de noix de cajou.” La production de The French Vakery se résume à quelques produits-phares: Croissants, pains au chocolat, beignets fourrés à la compote de pommes ou au Nutella maison. “Je ne lésine pas sur la garniture, en particulier la crème d’amandes dans les croissants aux amandes ou la crème pâtissière dans les pains suisses.

Depuis juillet, Elise Duplechan enchaîne les marchés et les festivals. Le succès est toujours au rendez-vous, et les viennoiseries de The French Vakery s’arrachent littéralement comme des petits pains. “J’en fabrique en général 200-300 par événement: si j’en faisais 500, je les vendrais tous, sourit l’entrepreneuse. Mais je suis seule à travailler, avec une cadence souvent infernale: je dois travailler la nuit pour cuire mes viennoiseries vers 3-4 h du matin et ainsi garantir leur croustillant.
Malgré l’arrivée imminente d’un bébé, Elise Duplechan fourmille d’idées pour l’avenir de The French Vakery: “Je veux former des équipes afin d’essaimer The French Vakery, un peu à la manière de l’enseigne Paul en France. J’ai aussi le projet de faire des pâtisseries pour des mariages, ou des gros événements, en mettant en valeur les classiques de la gastronomie française, comme les mille-feuilles, le Paris-Brest, le Trianon…” Elle a également déjà reçu de nombreuses propositions pour ouvrir des boulangeries à Dubaï et à Los Angeles, un projet qui n’est pas à l’ordre du jour.

Ba&sh vous ouvre son dressing à New York

Mise à jour: cet événement a été décalé au 14 décembre
Il y aura du champagne et des vêtements. Ba&sh et French Morning organisent une “Dream closet party” dans la nouvelle boutique la marque française à NoLiTa le vendredi 14 décembre.
Le concept: les participantes pourront emprunter gratuitement pour le week-end les pièces issues des collections de Ba&sh. Le tout autour d’une coupe de champagne (ou deux) et de petits fours. Le nombre de places est très restreint. N’attendez pas pour réserver la vôtre.
Du jeans au pull, la marque fondée en France par Barbara Boccara et Sharon Krief propose des vêtements hauts-de-gamme à des prix abordables.

Célèbrez Unthanksgiving sur l'île d'Alcatraz le 22 novembre

Chaque jour de Thankgiving depuis 1975, l’île d’Alcatraz accueille, avant le lever du soleil, les représentants de différentes tribus amérindiennes pour honorer leur culture et défendre leurs droits.
Des ferries partiront toutes les 15 minutes dès 4:15 am du Pier 33, et ce jusqu’à 6am. Le retour s’effectuera vers 8:45am. Il est fortement conseillé d’acheter ses billets à l’avance car l’événement est généralement sold out.
Baptisé “Unthanksgiving” ou “The Indigenous Peoples Sunrise Ceremony”, cet événement a une forte valeur symbolique et politique: en plus de partager leurs traditions avec des danses et des rituels ancestraux, les Amérindiens offrent une autre lecture de l’histoire de Thanksgiving, rappelant que l’arrivée des pèlerins en Amérique a marqué le début de l’oppression des Amérindiens, et une perte significative de terres et de richesses, loin de l’image d’Epinal du partage de nourriture dont est synonyme Thanksgiving.
Le choix d’Alacatraz est aussi hautement symbolique: de 1969 à 1971, l’île a été occupée par des Amérindiens qui ont fait valoir leur droit à récupérer des terres gouvernementales laissées vacantes, selon les dispositions du traité de Laramie de 1868. La prison située sur Alcatraz était en effet désaffectée depuis 1963, après avoir servi de pénitencier fédéral pendant plus de trente ans. L’objectif était de créer un espace culturel et éducatif pour les Amérindiens. Après plus de 19 mois sur Alcatraz, les Amérindiens qui y vivaient furent contraints de partir: l’eau et l’électricité étaient coupées, plusieurs bâtiments furent mystérieusement incendiés, et la police se chargea de chasser manu militari les derniers résistants. Aujourd’hui, les graffiti de l’époque en faveur des Amérindiens sont toujours visibles à plusieurs endroits sur Alcatraz.
Malgré l’heure matinale de la célébration, Unthanksgiving attire chaque année de nombreux sympathisants de la cause amérindienne. En 2017, Colin Kaepernick, ancien quarterback de l’équipe des 49ers de San Francisco, y a participé: militant pour l’égalité des droits, il a été ostracisé par la NFL pour avoir mis un genou à terre pendant l’hymne américain en signe de protestation contre les violences faites aux minorités.

Comment encourager le bilinguisme à la maison

Les programmes et écoles bilingues se développent. Excellente nouvelle! Mais ce n’est pas suffisant: c’est aussi à la maison que se joue l’avenir bilingue de vos enfants.
Pour les parents, la tâche n’est pas facile. Les experts estiment qu’il faut qu’un enfant passe un tiers de son temps éveillé dans la langue minoritaire (celle qui n’est pas la langue de la scolarité ou de l’environnement social), soit 25 heures par semaine ou 3 à 4 heures par jour, pour se mettre sur la voie du bilinguisme. Mais comment faire quand les deux parents sont anglophones et que l’enfant n’est pas exposé à une autre langue à l’école ? Et à l’inverse, comment les familles non-anglophones peuvent-elles “s’organiser” pour que la langue minoritaire soit maitrisée et préservée par l’enfant au sein du foyer ?
Bref, y a-t-il un modèle d’apprentissage idéal et de quels facteurs dépend-t-il ? Ces questions seront au centre d’une table-ronde parrainée par le Lycée français de New York dans le cadre du Salon de l’Education bilingue de French Morning, le samedi 3 novembre à (11am-midi) à Fordham University Law School. Elle rassemblera Sylvia Edwards, une Américaine d’origine caribéenne impliquée dans le mentoring de jeunes, la nouvelle proviseure du Lycée français de New York Audrey Peverelli, qui maîtrise quatre langues ainsi qu’une représentante de Lunii, startup qui fabrique des “machines à histoire” pour les enfants. La discussion sera animée par Kathleen Stein-Smith, auteure de The U.S. Foreign Language Deficit.
La recherche a théorisé les modèles familiaux de transmission des langues étrangères au sein des foyers multiculturels. Les couples utilisent ainsi deux méthodes principales pour enseigner la langue minoritaire: “One Parent One Language” (OPOL) et “Minority Language at Home” (MILAH). La première désigne un cadre où chaque parent parle dans sa langue maternelle à l’enfant tandis que la seconde décrit un environnement où la langue minoritaire est parlée exclusivement à la maison (et la langue majoritaire, à l’école).
Chaque méthode a ses avantages et ses inconvénients. “OPOL” permet ainsi à chaque parent de parler sa propre langue, ce qui est synonyme d’investissement émotionnel plus fort. Toutefois, c’est une méthode qui exige de la discipline. “MILAH” requiert moins d’efforts, surtout si les deux parents partagent la même langue, mais elle peut être source de retard de vocabulaire sur le court terme.
Pour les couples anglophones dont l’enfant est scolarisé dans un milieu 100% anglophone, ces modèles ne s’appliquent pas. Ils doivent alors s’en remettre à des moyens alternatifs (nounous ou jeune fille au pair maniant la langue, groupes de jeu, livres bilingues, DVD pédagogiques, émissions de télévision…).
Pour y voir plus clair, achetez vos tickets à tarifs réduits ici. L’inscription au Salon de l’Education bilingue est nécessaire pour pouvoir assister aux conférences.
Le programme des conférences:
11am: “Fostering bilingualism at home”, panel discussion.
12 pm: “The Benefits of a Bilingual Brain” “fireside chat”: Ana Ines Ansaldo, interviewée par Fabrice Jaumont.
2 pm: “Launching an Italian DL program in Manhattan”
Plus de 60 exposants seront là, représentant six langues: écoles, activités péri-scolaires, libraires, éditeurs… pour vous aider à vous y retrouver dans les offres de plus en plus nombreuses en matière d’éducation bilingue (liste des exposants ici).
Le Salon de l’Education bilingue de New York est soutenu par le Lycée Français de New York (lead sponsor), Canal + International, XL Airways, la FASNYThe Ecole, le Lyceum KennedyLunii, les Services culturels de l’Ambassade de France, la Délégation Générale du Québec et le département de français de Fordham University.

5 bars où écouter de la musique country à New York

“Country roaaads, take me hooome…” Enfilez votre chapeau de cow-boy et vos santiags pour une soirée au vrai goût d’Amérique dans l’un de ces bars “country” de New York.
Hill Country
Cet établissement du Flatiron District vous fait voyager à Hill Country, cette région du Texas bercée par la culture du rodéo, du barbecue et de la “country music”. Au rez-de chaussée, on trouve un restaurant de spécialités texanes avec notamment une formule barbecue “all you can eat” le lundi jusqu’à 10pm, le tout sur fond de musique country. Mais le vrai spectacle se trouve au “Boot Bar” situé au sous-sol. Cette grande salle accueille des concerts tous les week-ends et reçoit régulièrement des chanteur(se)s connues. La plupart des performances sont gratuites, consultez leur site internet. Hill Country, 30 W 26th St, (212) 255-4544.
Skinny Dennis
Ce petit honky-tonk typique de Williamsburg est notre adresse coup de coeur. Il accueille des “live-music” 7j/7, et parfois même deux concerts dans la même journée. Les passionnés de country, les hipsters du quartier et les touristes curieux s’y mélangent dans une atmosphère toujours bon enfant. N’espérez pas repartir sans avoir goûter la spécialité du lieu, le Willie’s Frozen Coffee, une boisson glacée au whisky et au café pour le moins originale. Skinny Dennis152 Metropolitan Ave, (212) 555-1212. 
Johnny Utah’s
Un bar country au milieu des buildings de Midtown. Qui l’aurait-cru? Johnny Utah’s est pourtant une institution à New York. L’établissement sert des spécialités du sud-ouest, et propose gratuitement à ses visiteurs de monter sur son taureau mécanique. Idéal pour défier ses amis au rodéo le temps d’une soirée, sur des “hits” de musique country à la mode. 6939, 25 W 51st St, (212) 265-8824.
The Waylon
Les deux passions de ce bar-restaurant aux airs de saloon sont le football américain et la country. L’établissement accueille des concerts tous les vendredi et parfois en semaine. Et si vous n’êtes pas rassasié, The Waylon dispose même d’un jukebox avec des centaines de titres sur lequel vous pourrez faire votre propre playlist. 736 10th Ave, (212) 265-0010.
Big Apple Ranch
La communauté LGBT a également son bar country à Times Square, ou plutôt son école de danse. Big Apple Ranch propose des cours de “two-step” à 8pm et de “line dancing” à 8:30pm le deuxième et quatrième samedi de chaque mois pour les partenaires de même sexe. La piste de danse est ensuite ouverte à tout le monde jusqu’à 1am. L’établissement dispose même de son propre groupe de danseurs, The Manhattan Prairie Dogs, qui se produit régulièrement sur place. 151 W 46th St, 11th floor, (917) 974-3401.

Pourquoi investir dans l’immobilier locatif à Paris ?

(Article partenaire) Acheter pour louer a toujours été un projet attractif. Aujourd’hui plus qu’avant.

Pour les investisseurs expérimentés, placer de l’argent dans l’investissement locatif n’est plus une décision à remettre en cause. D’ailleurs, selon la dernière étude que le Crédit Foncier a réalisée, le marché de l’investissement locatif français connaît une forte hausse depuis cinq ans. Si en 2013, les logements construits pour être ensuite loués représentaient 13,4% des logis bâtis, ce chiffre est passé à 15,5% en 2018. En France, 68% des particuliers préfèrent placer leurs épargnes dans l’immobilier. Pour le 1er semestre 2018, 93% des investisseurs locatifs sont heureux de leur investissement dans la pierre.

Comme à Tokyo, Londres, New York, l’immobilier coûte cher à Paris. Malgré tout, la capitale française reste une ville intéressante pour les investisseurs immobiliers. Paris enregistre une très forte demande locative. Dans le chef-lieu de la région Île-de-France, les loyers sont élevés, ce qui est extrêmement intéressant pour ceux qui souhaitent se lancer dans l’investissement locatif dans cette ville.

Paris, pour un placement immobilier sûr et rentable

Le marché immobilier de Paris a toujours séduit les investisseurs immobiliers. Comptant  2.220.140 habitants en ville et 16,7 millions dans le grand bassin parisien, Paris est la ville la plus peuplée de l’Hexagone. 

Paris bénéficie également d’un fort dynamisme économique. Ces deux points font de Paris un marché ultra-tendu où il n’y a pas suffisamment d’appartements par rapport au nombre de locataires. C’est une excellente nouvelle car cela permet d’éviter les vacances locatives.

De plus, la taxe foncière parisienne est très faible. Elle représente environ 10 à 15 jours de loyer. En moyenne, en France, elle représente en moyenne 30 jours de loyer. Pour les investisseurs immobiliers avérés, placer de l’argent dans un bien immobilier à Paris, c’est réaliser un investissement sûr et rentable.

Un autre point positif est, qu’à Paris, le loyer ne cesse d’augmenter. Alors, pour ceux qui souhaitent optimiser la valorisation de leur patrimoine sur le long ou court terme, il faut penser à privilégier l’investissement locatif à Paris.

La ville accueille aussi un grand nombre d’étudiants qui viennent de toute la France, mais aussi des quatre coins du monde.

Enfin, la fiscalité des revenus locatifs est attractive. Surtout le régime LMNP, qui permet de ne pas payer d’impôts sur les revenus locatifs pendant 5 à 10 ans selon les variables de l’opération.

A Paris, le ticket d’entrée est d’environ 170.000€.Investissement Locatif a été fondé en 2011 par Mickael Zonta. La société regroupe tous les métiers nécessaires pour accompagner les investisseurs dans toutes les étapes de leurs projets immobiliers. Cela, sans avoir besoin d’être sur place.

La société s’occupe de la recherche de bonnes affaires grâce à des chasseurs immobiliers, de la représentation chez le notaire, du suivi des travaux d’aménagement, de la prise en charge de l’ameublement et de la décoration réalisés par des architectes d’intérieur, de la location et de la gestion. La société Investissement Locatif peut également vous accompagner pour la recherche de financements. Vous pouvez investir 100% à distance.

Contact:

Screen Shot 2017-07-10 at 9.07.54 AMMickael Zonta, dirigeant de la société Investissement Locatif

Contactez Mickael ZONTA et son équipe :

Groupe Investissement Locatif – 169 rue de la Roquette, Paris 75011

www.investissement-locatif.com
[email protected]// +33 (0)1 84 17 67 60
Skype : mickaelzonta

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Le E-1, visa du commerce

Quand on dit “Ambassade des Etats-Unis en France“, on pense à une salle remplie de gens stressés qui attendent que leur numéro soit appelé en se demandant s’ils tomberont sur un agent gentil. Pas François Foulquier. “Pour le E-1, on est convoqué l’après-midi. La salle était vide. Je suis rentré et on m’a tout de suite pris. L’agente m’a posé des questions. Elle était super sympa. Il n’y a pas eu de pièges. Pour les visa E-1, ils aiment bien être au calme pour regarder les dossiers en profondeur“.
A la différence du E-2, accordé aux investisseurs étrangers, le visa E-1 est donné aux individus qui participent aux échanges commerciaux (services, biens, finance, tourisme…) avec les Etats-Unis. Plusieurs conditions générales sont nécessaires pour l’obtenir: le demandeur doit être issu d’un “pays avec lequel les Etats-Unis ont un traité commercial ou de navigation“, selon l’USCIS. L’entreprise du demandeur doit être en mesure de prouver qu’elle réalise des échanges “substantiels” – c’est-à-dire “continus” et impliquant des transactions “de taille conséquente” – avec les US. Le business avec les Etats-Unis doit représenter plus de 50% du volume des transactions réalisées par l’entreprise en question.
Cela n’a pas été difficile à prouver pour François Foulquier. L’Orléanais est venu aux Etats-Unis pour être directeur national des ventes chez Technobake, une entreprise basée à Saint-Louis (Missouri) qui importe les produits Panibois. Cette société du nord de la France est une référence sur le marché des produits boulangers (planches, moules de cuisson en bois, chaussures spéciales, ustensiles…).
Technobake commercialise aussi les fameuses vestes pour chefs Clément. “Il fallait prouver que je pouvais faire le job mieux qu’un Américain mais aussi montrer le volume d’importation qu’on passait… On avait pris des photos du building, des entrepôts et des produits pour prouver qu’on existait bien. C’était beaucoup de paperasse”.
François Foulquier commence sa carrière à Panibois en alternance en 2013. La marque, peu présente aux Etats-Unis, décide de l’envoyer outre-Atlantique pour développer le marché. “J’avais étudié à Londres, je parlais anglais. Je voulais rester dans l’international. Je n’avais pas les Etats-Unis en tête, même si j’aimais bien le pays. J’avais été en vacances. On avait accueilli un Américain chez nous“, explique-t-il. Son diplôme en poche en 2015, le voilà donc dans un avion en partance pour Saint-Louis, en VIE à Technobake.
Satisfait de son travail, son patron veut l’embaucher. “On a regardé dans quelle case de visa je pouvais rentrer”. Le E-1 paraissait l’option la plus adéquate. Malheureusement, son VIE n’attend pas. François Foulquier doit rentrer en France à la fin de son volontariat. S’en suit une longue, très longue, attente de près d’un an sans savoir s’il allait repartir. “Pour ne pas perdre la main“, il travaille en horaires décalés et traite les demandes à distance. “C’est long à vivre. On est en France mais on ne peut pas s’installer car on doit bientôt repartir“.
En 2017, dix mois de procédure plus tard et un dossier “qui n’est jamais arrivé” à l’ambassade américaine, François Foulquier obtient son E-1 pour une durée de cinq ans renouvelables (tant qu’il travaille pour son sponsor).
S’il retrouve la petite équipe de Technobake avec plaisir, on ne peut pas en dire autant de la ville de Saint-Louis. “C’est au milieu de nulle part, souffle-t-il. Mais les habitants du Midwest sont très accueillants. Je me suis fait des amis qui m’invitent à Thanksgiving. C’est très familial“. De toute manière, il n’est pas souvent au bureau. Sa clientèle de boulangers, pâtissiers, d’hôtels, de casinos et les salons professionnels l’amènent en Floride, Californie et à New York. Outre cette population de professionnels de la restauration, il vise aussi les communautés de “home bakers” américains, très actifs. “Il y a une perspective d’evolution. On a fait +30% quand je suis arrivé. Cette année, on est à +40%. Le marché est énorme“.

Rita Wilson récompensée par les Amis américains de Blérancourt à New York

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Vous l’avez vue dans “Frasier”, “M.A.S.H”, “Sleepless in Seattle” et “My Big Fat Greek Wedding”. L’actrice Rita Wilson pourra bientôt ajouter une nouvelle ligne à son CV: récipiendaire du premier “Anne Morgan Woman of Courage Award”.
Cette récompense sera attribuée le vendredi 9 novembre par les Amis américains de Blérancourt lors du gala de l’association au Colony Club. Ce prix, nommé pour la fille de JP Morgan, qui vint en aide aux populations frappées par la Première guerre mondiale en France, récompense la carrière de l’artiste américaine aux multiples casquettes. En plus d’être devant la caméra, elle a chanté sur Broadway et produit de nombreux films à succès, dont les deux volets de “Mamma Mia”.
Le gala, dont le menu sera concocté par la cheffe du restaurant Benoît Laëtitia Rouabah, servira à lever des fonds pour le Musée franco-américain de Blérancourt, qui retrace l’histoire des relations franco-américaines.