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French Cinema Days : dernières places et une projection supplémentaire pour « L’amour ouf »

Cinéphiles, réservez vos deux premiers week-ends de novembre : après le succès de la première édition en 2023, les French Cinema Days, organisés par French Premiere, French Talent USA et la French American Cultural Society, sont de retour au Vogue Theatre de San Francisco. Initialement programmé du vendredi 1er au dimanche 3 novembre, le festival a ajouté deux projections supplémentaires du « Comte de Monte Cristo » et de « L’amour ouf » le dimanche 10 novembre pour répondre à l’enthousiasme des spectateurs.

Plusieurs films affichent déjà complets, mais il sera sans doute possible de trouver des billets à la revente sur les réseaux sociaux.

À l’affiche de ce festival :

  • Vendredi 1er novembre à 7pm : « Emilia Perez » de Jacques Audiard, avec Zoé Saldaña, Karla Sofía Gascón, Selena Gomez. Complet
  • Samedi 2 novembre à 3pm : « Marcello Mio » de Christophe Honoré, avec Chiara Mastroianni, Catherine Deneuve, Fabrice Luchini, Nicole Garcia. Dernières places.
  • Samedi 2 novembre à 6:30pm : « Little Girl Blue » de Mona Achache, avec Marion Cotillard. La comédienne sera présente à la projection pour une séance de questions-réponses. Complet.
  • Dimanche 3 novembre à 3pm : « Le comte de Monte Cristo » de Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patelliere avec Pierre Niney et Anaïs Demoustier. Complet.
  • Dimanche 3 novembre à 7pm : « L’amour ouf » de Gilles Lellouche avec François Civil, Adèle Exarchopoulos, Alain Chabat, Benoit Poelvoorde, Raphael Quenard. Complet.
  • Dimanche 10 novembre à 3pm : « Le comte de Monte Cristo » de Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patelliere avec Pierre Niney et Anaïs Demoustier. Complet.
  • Dimanche 10 novembre à 7pm : « L’amour ouf » de Gilles Lellouche avec François Civil, Adèle Exarchopoulos, Alain Chabat, Benoit Poelvoorde, Raphael Quenard. Nouvelle date pour laquelle il reste des places. Billets.

[Vidéo] Le parcours fiscal d’un expatrié français aux États-Unis

Nous vous donnions rendez-vous en ligne mardi 12 novembre 2024 pour un webinaire dédié au parcours fiscal d’un expatrié français aux États-Unis.

Ce webinaire avait pour objet d’apporter l’éclairage de professionnels, intervenant de manière croisée, sur les principales questions que se pose un·e Français·e au cours de sa vie d’expatrié·e (départ de France, installation aux États-Unis et retour en France).

Luc Marouby, avocat expert en fiscalité patrimoniale internationale, et Jean-Philippe Saurat, associé du cabinet franco-américain d’experts-comptables Massat Consulting Group, ont abordé des sujets variés tels que la notion de résidence fiscale, l’Exit Tax, la structuration d’investissements immobiliers, les formalités fiscales, l’anticipation des donations et successions, le traitement transfrontalier des LLC, les managements packages…

Nos deux experts ont également apporté leur éclairage de spécialistes sur l’actualité fiscale, notamment la multiplication des contrôles fiscaux aux États-Unis, et la modification du régime de la location meublée en France.

? Prenez rendez-vous avec Luc et Jean-Philippe sur Calendly
? Jean-Philippe Saurat : [email protected]
? Luc Marouby : [email protected]

Retrouvez le replay ci-dessous ou directement sur Youtube

Language & Laughter Studio ouvre sa deuxième maternelle française à Brooklyn

En plein cœur de l’effervescence du quartier de Clinton Hill et du Barclays center à Brooklyn, au coin des rues animées de Fulton Street et Vanderbilt Avenue, une entrée teintée nous fait entrer dans un cocon de lumière, de couleur et de nature. Face à nous, une superbe fresque peinte au mur, qui évoque la nature et inspirée par Fort Greene, œuvre de l’artiste Olivia Angelozzi. Nous sommes dans la nouvelle maternelle de Language and Laughter Studio, fraîchement ouverte en septembre par la dynamique Pascale Setbon. Elle est la fondatrice d’une première maternelle à Cobble Hill, inaugurée en 2006, et a longtemps hésité à ouvrir cette deuxième structure. « Nous avons mis deux ans à nous décider et avons signé le bail en août 2023. Tout s’est passé à merveille avec nos architectes et nous avons pu ouvrir comme prévu, le 9 septembre dernier », raconte-t-elle.

© Anne-Laure Peytavin

Un espace fluide, tout en couleur et lumière

L’espace, designé par le cabinet d’architectes O’Neill McVoy qui a réalisé le Children’s Museum du Bronx, fait la part belle à la fluidité : de grands panneaux vitrés de pailles et de plastique recyclés aux formes arrondies délimitent les salles de classe, dans les tons bleus, jaunes, verts, roses et violets. « Pendant la journée, la lumière les fait changer de couleur, c’est très beau, précise Pascale Setbon. Je voulais un lieu avec des courbes, pour ne pas que les enfants se sentent enfermés ou limités. Ils peuvent circuler partout où ils veulent ».

Les salles de classe sont délimitées par un rideau qui peut être enlevé pour agrandir l’espace à souhait. Les toilettes sont appelés la « rivière » et sont à la fois centrales et faciles d’accès, dans un écrin de bleu. Les bambins arpentent les lieux et caressent au passage Ima, le chien de la maison qui se balade de pièce en pièce.

Entrée de Language & Laughter Studio à Cobble Hill. © Nicholas Calcott

Quatre classes de 1 à 4 ans, immersion en français

Alors que sa première adresse sur Nevins Street compte 10 élèves de 2 à 4 ans, la nouvelle antenne de Language & Laughter Studio accueille quatre classes par tranche d’âge, entre 1 et 4 ans, et un total de 51 enfants. L’éducation se fait en immersion totale en français, et est issue de l’expérience de longue date de Pascale Setbon. « Quand je suis arrivée avec un enfant à New York à la fin des années 90, je ne voulais pas que ma famille perde sa langue et son identité, tout en s’intégrant dans la culture américaine. Cela m’a amené à proposer des cours de français et les parents m’ont ensuite incitée à ouvrir ma propre maternelle. Pour ce nouveau projet, j’ai été le moteur et suis fière de le voir aboutir », explique-t-elle avec un large sourire.

Salles de classe de Language & Laughter Studio. © Nicholas Calcott

Connexion avec la nature et les espèces vivantes

Dans cette maternelle très connectée à la nature, où les enfants vont à l’extérieur tous les jours au parc de Fort Greene ou à l’aire de jeu, les piliers du curriculum reposent sur les quatre éléments : eau, terre, feu et air. Sur une étagère, des sculptures de miscellium sur l’importance de la transformation de la matière, ou encore des tables dédiées aux ateliers d’automne avec des citrouilles et les feuilles du parc. « Nous introduisons le rapport avec la terre, ce que nous avons en commun avec les espèces vivantes. Ici, les enfants apprennent à respecter tout ce qui vit ». Le curriculum est aussi évolutif, et change régulièrement en fonction de l’intérêt porté par les enfants.

Enfants à l’atelier d’art. © LLS

La maternelle a organisé un atelier récent en partenariat avec l’Alliance New York, dans lequel les artistes Thierry Niang et Roxane Revon ont travaillé pendant deux semaines avec les enfants à Fort Greene Park pour laisser libre cours au mouvement et à l’art inspiré par la vie des plantes. « C’était magnifique de voir les enfants entrer dans cet univers et exprimer leur créativité, en connexion avec les éléments ». L’ambition est que les enfants apprennent à connaître et aimer leur corps, mais aussi à écouter leur cœur et le ressenti. « Nous voulons véhiculer les valeurs qui m’ont plu à New York, celles de s’ancrer au moment présent et de s’ouvrir à l’autre, conclut Pascale Setbon avec un sourire. C’est le travail d’une vie ».

Noémie Hautcoeur (Canada, Japon) : Le dessin pour se reconstruire à tout prix loin de lui

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Noémie Hautcoeur a vu sa vie basculer après s’être installée au Canada juste avant la pandémie. D’abord dans une relation amoureuse qui paraissait idéale, celle-ci devient progressivement toxique et plonge Noémie dans une situation très compliquée, de plus en plus dangereuse. Cherchant un moyen de se libérer de son emprise, c’est lors d’un voyage à deux au Pérou que tout bascule et que Noémie puise la force nécessaire de tout quitter et de repartir de zéro.

Cette rupture lui a permis de se reconnecter avec ses passions de toujours : le dessin, le tatouage et le Japon, une culture qui la fascine depuis toujours. Elle décide de suivre son instinct artistique et de se lancer pleinement dans le monde du tatouage. Aujourd’hui, Noémie est une tatoueuse accomplie à Montréal, où elle exprime sa créativité en transformant les corps en véritables œuvres d’art.

Son parcours est un exemple de résilience et de transformation personnelle. Noémie nous rappelle que, même face aux défis les plus douloureux, il est toujours possible de se réinventer et de trouver un nouveau bonheur.

French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d’écoute : SpotifyApple PodcastDeezerGoogle PodcastPodcast AddictAmazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief.

Retrouvez nos partenaires et sponsors : https://linktr.ee/FrenchExpat

Derrière leurs rideaux rouges, les Français de Maison Close ont fait des petits

En deux ans à peine, Maison Close est devenu à Soho un passage obligé de la vie nocturne new-yorkaise. Les propriétaires, Thibaut Castet et Theliau Probst, deux jeunes Français, y ont créé un lieu pas comme les autres, entre fête et gastronomie, dans le pur esprit de certaines adresses parisiennes ou de la Côte d’Azur. Leurs soirées du week-end y sont délurées et on y vient autant pour la fièvre qui s’empare des lieux aux rideaux rouges après 10pm (oui, 22 heures !) que pour les plats français emblématiques (tartare, escargots, sole meunière, bœuf bourguignon…) revisités par le chef Geoffrey Lechantoux.

© Maison Close

« On a une passion pour l’hospitalité, on adore faire partager aux gens des moments de plaisir, leur faire vivre une expérience », expliquent les deux propriétaires qui, encouragés par le succès de leur première adresse, fourmillent de projets et de réalisations. Ils prévoient ainsi d’ouvrir très bientôt Monsieur Bistro, un restaurant plus traditionnel qui sera situé Upper East Side (Lexington et 65th street). La carte sera d’inspiration méditerranéenne, légère (healthy, dit-on aux États-Unis) avec un modern twist, et destinée à une clientèle de tous les jours, avec notamment un menu à prix fixe. Le cadre, lui, sera fidèle à l’esthétique très recherchée et élégante chère aux propriétaires.

Un pied dans l’Upper East Side

« Avec ce restaurant, on met un pied dans un quartier emblématique de la restauration à New York, confient-ils. C’est là que toutes les adresses françaises les plus connues, les plus classiques de la gastronomie, toutes celles qui nous ont fait rêver, ont un jour pris place. De nombreux chefs renommés ont commencé dans l’Upper East Side. C’est hyper prestigieux pour nous de pouvoir y être. On fait ce qu’on aime sans se donner trop de limites ». L’ouverture est prévue le 4 novembre, alors que le restaurant reçoit actuellement les dernières touches, comme la cinquantaine d’œuvres d’art qui seront accrochées aux murs.

Là n’est pas le seul projet de ces deux associés devenus des amis inséparables. Ils ont ouvert l’été dernier un club, Petite Disco, dans le quartier de Chelsea (161 W 23rd street). « On a toujours été proches du monde de la nuit et on reste dans la même démarche de proposer notre vision de la fête, expliquent-ils. On a voulu créer un lieu pour y faire la fête mais aussi pour y accueillir un public qui a envie de bien s’habiller, d’impressionner par son apparence et son look, par son élégance. »

Instagram will load in the frontend.

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Club à Chelsea et restaurant marocain

Cette petite discothèque, d’où son nom, peut accueillir jusqu’à 150 personnes, uniquement sur réservation. Bientôt, un autre projet du duo verra le jour : un nouveau restaurant festif, Ayah, proposant une cuisine d’inspiration marocaine. L’an dernier, pendant l’été 2023, Thibaut Castet et Theliau Probst ont aussi fait germer deux lieux éphémères dans les Hamptons, Talya et Maison Close, tous deux situés à Montauk. En deux ans à peine, déjà six projets pour les deux Français !

« On s’est rendu compte qu’on adore créer des concepts », confient-ils. Un sacré rebond alors que le Covid aurait pu signifier la fin de leur aventure américaine. « On a tout perdu ce jour-là, se souviennent-ils. On était tous les deux serveurs et employés dans la restauration. On vivait depuis une dizaine d’années à New York, et on avait sympathisé après avoir travaillé ensemble. Quand tout a fermé, on n’avait plus rien à perdre. On a décidé de se lancer. On a visité cet espace qui allait devenir Maison Close et on a tout de suite vu le potentiel. » Coincé entre Thompson street et West Broadway, le lieu n’avait jamais vraiment réussi à prendre. Jusqu’à ce que deux Français ayant le sens de la fête n’en fassent leur maison. Close évidemment.

Jeunes créateurs : Comment séduire les plus belles boutiques de Los Angeles

Ils s’appellent Maxfield, Just One Eye, The Webster, Terminal 27 ou encore H.Lorenzo. Ces magasins ou concept-stores installés à Los Angeles distribuent aujourd’hui les marques les plus influentes du monde du prêt-à-porter, du bijou et des accessoires de mode. Des temples souvent réservés aux marques stars où les jeunes créateurs rêvent d’être distribuées.

Si plusieurs marques françaises, déjà établies, à l’instar de Jacquemus, Marine Serre, Alexandre Vauthier, Ludovic de Saint Sernin, Louis Gabriel Nouchi et plus émergentes telles Carne Bollente ont gagné leur place dans la Cité des Anges, le parcours réservé aux jeunes créateurs n’est pas simple. Consultant en communication à Los Angeles, Jonathan Frydman, qui a notamment accompagné la jeune marque new-yorkaise Paris Laundry et la marque de soins Fré pointe l’importance de la visibilité. « La distribution est un élément capital. Être vendu chez Erewhon, The Webster ou Maxfield donne de la crédibilité. Du name dropping qui convainc ensuite la presse de s’intéresser à vous. »

Courage et… bonnes connexions

À défaut de trouver une boutique ou un showroom, reste au jeune créateur n’ayant pas les moyens, à faire parler de soi. « Avec du courage, de la persévérance et les bonnes connexions, des opportunités s’ouvrent un moment ou l’autre, continue Jonathan Frydman. Il faut sauter sur celles qui se présentent. Le placement de produit, une célébrité qui porte une de vos créations, l’attention d’un investisseur par la lecture d’un article dans la presse mode professionnelle, tout cela peut y aider ».

La marque Uter à Los Angeles vient de lancer sa ligne de hoodies. © Jennifer Massaux

Rare jeune créateur français à avoir réussi à imposer sa marque dans l’un des temples de la mode, The Webster, Philippe Uter connaît tous les rouages du sujet. « Lorsque j’ai présenté ma première collection aux acheteurs, les types de sets en soie avaient la cote, explique-t-il. Ils ont tout de suite accroché au concept, au design, à la qualité. Une opportunité incroyable quand on se lance sans aide, qui m’a fait connaître auprès de la presse, des célébrités, des acheteurs d’autres boutiques et auprès de tous les acteurs de l’industrie. »

Mais décrocher la porte d’un temple de la mode peut aussi ne pas suffire. Si le gain de visibilité peut aider, « vendre dans un multimarque pose le problème du rapport de marge entre le prix d’achat et le prix de revente, ajoute Philippe Uter. Les profits sont limités, et généralement insuffisants pour subvenir au bon développement d’une marque ou d’une prochaine collection. Les magasins attendent que nous développions quatre collections par an et cela réclament un gros budget, auquel il faut ajouter marketing et communication. En vendant uniquement sur ma plateforme, je pourrais à l’avenir conserver 100% de mes profits et espérer financer de futures collections. »

Un peu de chance aussi…

Le 19 septembre dernier, la créatrice française de bijoux Marie-Alexandrine Yvernault faisait, elle, son entrée pour la première fois au sein de la sélection du magasin Maxfield, à West Hollywood. Pas de stratégie écrite à l’avance ni de dossier envoyé pour être sélectionnée, mais un coup de chance lui permet de faire connaître ses collections à LA. « Si j’avais déjà exposé mes bijoux à New York à la Magen H Gallery, je ne connaissais pas vraiment le marché américain, explique-t-elle. Ma grande chance a été de rencontrer Tommy Perse, le fondateur de Maxfield, dans la galerie d’art que tient mon mari à Paris. Il a aimé mes bijoux et m’a proposé de les y exposer. » Depuis plusieurs semaines, une cinquantaine de ses pièces, toutes enrobées de pierres, y sont ainsi présentées.

La marque de bijoux et bracelets Elgé
La marque de bijoux et bracelets Elgé DR

Pour pousser un peu plus la chance, d’autres font appel aux showrooms ou aux brand strategist. « Dans le domaine de la joaillerie, seules les marques très connectées réussissent à faire leur place », explique Lionel Geneste, fin spécialiste du secteur et qui représente notamment la créatrice française Sylvie Corbelin, le créateur américain Mike Joseph et la maison indienne VAK aux États-Unis.

Selon lui, certaines maisons bien connectées, à l’image de la créatrice Marie Lichtenberg, ancienne éditrice du Elle, peuvent y parvenir seules. « Installer son produit dans une boutique ne suffit généralement pas à faire sa place. LA comme New York imposent aux marques d’exister et d’être actives. La résonance de la ville, d’Hollywood, dans le monde entier, ses événements obligent à faire partie du système, à cultiver un réseau de stylistes, de célébrités, de clientes, à représenter son créateur aux bons moments, à connaître les magasins, leurs clientèles, les bons acheteurs jusqu’aux équipes de vente qui parleront de la marque aux potentiels clients. ».

La boutique Just One Eye à Hollywood DR

Les marques de joaillerie et d’accessoires choisies par les concept-store proposent aujourd’hui, dans la majorité des cas, leurs créations en dépôt-vente, un format qui permet au magasin de ne pas s’engager sur les achats et ventes, et promet au créateur de bénéficier d’une large visibilité et d’un nouveau potentiel de clientèle.

« Chaque jeune créateur qui souhaite s’installer et durer à Los Angeles appelle à une stratégie particulière, poursuit Lionel Geneste. Certaines parient sur le bénéfice d’image, d’autres sur les ventes et sur la conquête d’un nouveau marché. Tous devront concourir avec les grandes maisons du luxe qui proposent toutes, depuis quelques années, leurs collections de joaillerie et faire parler d’elles aux bonnes personnes. Nous tentons de les y aider. »

Combien coûte une baguette de pain en Floride ?

S’il y a bien un sujet de la plus haute importance lorsque l’on est français à l’étranger, c’est la qualité du pain. Pour les expatriés tricolores de Floride, cette question sera une fois de plus tranchée le dimanche 27 octobre à Miami lors du concours annuel de la Best Baguette 2024. En revanche, le sujet qui ne sera pas abordé ce jour-là, c’est son prix. Rien que de l’évoquer peut en fâcher plus d’un. Alors nous avons tenté d’y voir plus clair.

Des prix plutôt homogènes dans le Sunshine state

En moyenne il faut compter 3,25$ pour une fabrication classique et 3,75$ pour une tradition. Soit plus de deux fois plus que la fourchette haute des prix que l’on peut trouver dans sa boulangerie préférée en France.

Pourquoi un tel écart ?

« Le prix de la farine n’est pas du tout le même qu’en France. Les États-Unis ne sont pas un pays producteur de céréales comme chez nous. Donc le coût de la principale matière première, la farine, est bien plus élevé. » affirme Yves François, un boulanger de métier parisien qui est à la tête de L’Atelier des pains à Delray Beach. Il vend entre 30 et 40 pains par jour en haute saison et vient de relever le prix de sa tradition, passant de 3$ à 3,50$. « Ce n’est pas de gaieté de cœur mais le sac de farine a augmenté, le coût de l’emballage a augmenté, tout augmente sans parler de l’électricité. Donc je n’ai pas le choix. Je dois répercuter ces hausses sur le prix de vente », admet Yves François qui assure, comme beaucoup de boulangers en Floride, ne pas importer de farine française.

Une baguette plus lourde

Autre facteur souvent méconnu, le poids de la baguette. Elle pèse environ 400 grammes ici contre 300 à 325 grammes dans l’Hexagone. De quoi justifier un prix plus élevé.

C’est aussi le poids de la baguette classique vendue par Matthieu Bettant, propriétaire de Bettant Bakery, installée depuis 2019 à South Beach et dont le prix est fixé à 3,50$. « Je n’ai pas vraiment de problème de prix car ma clientèle est essentiellement américaine et sud-américaine » assure t-il. « Sur ce sujet, ils ne sont pas aussi sensibles que les Français », poursuit le boulanger originaire de la région lyonnaise. Pour lui, le prix élevé du pain est le reflet du coût de la vie aux États-Unis. « Tout coûte plus cher ici par rapport à la France. Le salaire moyen est deux fois plus élevé ici et les loyers sont plus chers donc la baguette est plus chère ».

Une denrée rare

Pour Mylène Galbrun, qui est propriétaire des deux boulangeries nommées Rendez-Vous à Sarasota, sur la côte ouest de la Floride, le coût de la main d’œuvre peut être un facteur de prix élevé mais elle a une autre explication. « C’est la rareté, on n’en trouve pas partout des baguettes alors ça joue sur le prix », précise-t-elle en précisant avoir une clientèle en majorité européenne. Elle affirme vendre une soixantaine de baguettes par jour à 3,25$ pour la classique et 3,75$ pour la tradition. Un chiffre bien loin de certaines boulangeries dans l’Hexagone qui peuvent écouler jusqu’à plus d’un millier d’unités par jour.

Étudier en France après une scolarité aux États-Unis : Le salon en ligne pour faire les bons choix

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REPLAY: VISIONNEZ LES ENREGISTREMENTS DES CONFÉRENCES SUR LE SITE DE L’ÉVÉNEMENT

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Après vos études à l’étranger, choisissez votre future école en France !

Ce salon digital est dédié aux étudiants francophones vivant à l’étranger et souhaitant venir -ou revenir- en France pour leurs études supérieures.

Durant 3 jours, nous vous proposons de découvrir dix établissements d’études supérieures français, à travers des présentations par catégories.

Une session sera également dédiée à l’explication du fonctionnement de Parcoursup et Campus France.

Rendez-vous en ligne du 18 au 20 novembre 2024
[Je m’inscris]

Le programme des conférences :

? Les bachelors en écoles de commerce – 1ère partie · lundi 18 novembre à 12pm ET. Avec Albert School, ESCP, ICN Business School
Parcoursup, Campus France: comprendre les procédures d’inscription en France · lundi 18 novembre à 2pm ET
Les bachelors en écoles de commerce – 2ème partie · mardi 19 novembre à 12pm ET. Avec NEOMA Business School, IESEG, CEFAM, EM Lyon.
Les écoles pour créatifs · mercredi 20 novembre à 12pm ET. Avec Galileo Global Education.

L’inscription est gratuite et vous permet de recevoir un rappel par email pour vous connecter à la ou les session(s) qui vous intéresse.

Un événement French Morning Media Group.

Auteuil, Bellucci, Gardin : les films français à voir au Festival de Fort Lauderdale

Événement incontournable pour les cinéphiles de Floride, le Fort Lauderdale International Film Festival (FLIFF) revient du vendredi 8 au dimanche 17 novembre pour sa 39e édition. Dix jours de festivités au cours desquels seront projetés plus de cent longs-métrages, documentaires et courts-métrages indépendants, en provenance d’une dizaine de pays. Parmi eux, six œuvres en français, sous-titrées en anglais.

Blanche Gardin incarne Max dans « Un monde merveilleux » (mardi 12 novembre à 7pm et jeudi 14 novembre à 7:30pm), une comédie de science-fiction réalisée par Giulio Callegari, présentée en première mondiale avant sa sortie en France en 2025. L’humoriste et comédienne prête ses traits à une mère irascible vivant de petites arnaques avec sa fille, jusqu’à l’arrivée inattendue d’un robot domestique qui bouleverse leur quotidien.

Acteur phare de la série à succès « Parlement » et scénariste en pleine ascension, Xavier Lacaille donne la réplique à Louise Bourgoin dans « Bis Repetita » (mercredi 13 novembre à 5pm et dimanche 17 novembre à 4pm), le premier long-métrage d’Émilie Noblet. Ils y campent un duo improbable : Delphine, une prof désabusée qui troque des bonnes notes contre la paix, et Rodolphe, thésard passionné. Leur relation est mise à l’épreuve lorsqu’ils se retrouvent impliqués, contre leur gré, dans un championnat de latin à Naples.

Monica Bellucci crève l’écran dans « Paradis Paris » (vendredi 8 novembre à 7:30pm et samedi 16 novembre à 5pm), une tragi-comédie qui explore les destins croisés de Parisiens confrontés à la mort. L’icône italienne se glisse dans la peau de Giovanna, une ancienne cantatrice déclarée morte par erreur. André Dussollier, Alex Lutz, Rossy de Palma et Roschdy Zem complètent le casting de ce film réalisé par la cinéaste franco-iranienne Marjane Satrapi.

Devant et derrière la caméra, Daniel Auteuil interprète Maître Jean Monier dans « Le Fil », un drame judiciaire qu’il réalise. Le film suit cet avocat qui, après avoir acquitté un meurtrier récidiviste, s’éloigne du droit pénal. Mais il se retrouve entraîné dans une affaire de meurtre complexe. Inspirée des récits de Jean-Yves Moyart, connu sous le nom de Maître Mô, l’histoire explore les ambiguïtés de la justice et les frontières entre culpabilité et innocence.

Adapté du roman La Mort de Belle de Georges Simenon, le thriller psychologique « Belle » (mardi 12 novembre à 3pm et mercredi 13 novembre à 5:30pm) sera également projeté en première mondiale. Guillaume Canet et Charlotte Gainsbourg incarnent un couple ordinaire dont la vie bascule lorsque le corps de la jeune fille qu’ils hébergent est retrouvé chez eux. Ce film réalisé par Benoît Jacquot, actuellement sous le coup d’une mise en examen pour viols, n’a pas encore de date de sortie en France.

Avec « Maria » (vendredi 8 novembre à 1pm et dimanche 10 novembre à 2pm), la réalisatrice Jessica Palud retrace la trajectoire bouleversante de l’actrice Maria Schneider, dont la carrière a été marquée à jamais au début des années 1970 par son rôle dans « Le Dernier Tango à Paris » de Bernardo Bertolucci, où elle subit une scène de sexe brutale avec Marlon Brando, vécue comme un viol. Elle n’avait que 19 ans à l’époque. Ce biopic est inspiré de l’ouvrage Tu t’appelais Maria Schneider, écrit par sa cousine, la journaliste Vanessa Schneider.

Ellē remporte le premier Prix Best Baguette de Washington 2024

Huit boulangeries de Washington DC, du Maryland et de la Virginie ont participé à la première édition de Best Baguette Washington, une compétition qui a pour but de récompenser la meilleure baguette de la région. Entre bouches pleines de pain et mains occupées par les verres de vin, plus de 800 personnes sont venues savourer les baguettes des différents boulangers ce lundi 21 octobre à la Maison française. Pour cette première édition, sponsorisée par Paris Gourmet et Beurremont, deux jurys différents ont voté pour la Meilleure Baguette et pour le meilleur pain traditionnel pour le prix Lafayette.

Les vainqueurs de Best Baguette avec le jury de la catégorie Meilleure Baguette. © Nastasia Peteuil

Ellē, Bread Alley et Fresh Baguette, les grands vainqueurs

Parmi les huits boulangeries finalistes (Bread Alley, Dog Tag Bakery, Ellē, Fresh Baguette, Gustave Boulangerie, Manifest Bread, Seylou, Sunday Morning Bakehouse), cinq d’entre elles ont été récompensées par un prix. Le boulanger du restaurant Ellē, Daniel Ramirez, a été désigné pour la Meilleure Baguette. Il n’a pas caché sa surprise quand il a entenu son nom et a laissé explosé sa joie sur scène.

« Nourrir les gens, c’est ce que j’aime par-dessus tout, donc c’est un honneur », a confié le boulanger avant la remise des récompenses, ajoutant que « habituellement, en tant que boulanger, on est en arrière-plan, donc c’était sympa de pouvoir rencontrer le public de ce soir ».

Fresh Baguette, une boulangerie fondée par Florent De Felcourt en 2013, a reçu deux prix : celui du public, et la deuxième place de la Meilleure Baguette. Florent Delcourt a expliqué, lors de la remise du prix, que cette distinction « est une grande réussite, c’est important, ça montre la passion et le travail acharné de notre équipe ».

Daniel Ramirez, le boulanger du restaurant de Mount Pleasant Ellē avec Chef Hugues Cossard, membre du jury. © Nastasia Peteuil

Une décision serrée selon le jury

Séparés par seulement deux points, le boulanger de Ellē (98 points) et l’équipe de Fresh Baguette (96 points) ont divisé le jury de professionnels et d’influenceurs. Patrick Vanas, Chef Ahmed Ibrahim, Maria Kopsidas, Jason Fisher, Sandie Soman et Chef Hugues Cossard ont noté de 1 à 5, à l’aveugle, leur pain préféré et n’ont pas réussi à se mettre clairement d’accord.

Ancienne scientifique et créatrice de contenu, Sandie Soman souligne que le jury « a regardé l’odeur, les arômes, la texture, la présentation, c’était une belle expérience ». Lors de la remise des prix, Maria Kopsidas a glissé que la seconde place, Fresh Baguette, était pour elle le grand vainqueur, un sourire aux lèvres.

Daniel Ramirez a été très surpris de la nouvelle, obtenant la première place, juste devant Fresh Baguette. © Nastasia Peteuil

Le podium du Grand Prix de la Meilleure Baguette

1- Ellē

2- Fresh Baguette

3- Bread Alley

Situé dans un espace datant des années 1920, Ellē est le fruit du travail de Lizzy Evelyn et Nick Pimentel, qui ont fait évoluer leur petite boulangerie de quartier en un restaurant gastronomique qui commence à faire parler autour de lui. Plus surprenant encore, Daniel Ramirez a rejoint l’équipe il y a tout juste six mois.

Le boulanger de Fresh Baguette, Florian Duverger, a reçu deux prix lors de la soirée. © Nastasia Peteuil

Le podium du Lafayette Bread Award

1- Bread Alley

2- Dog Tag Bakery

3- Seylou

Bread Alley était, au départ, un projet dans la cuisine du restaurant Le Diplomate. Puis le projet est devenu une boulangerie à part entière. Direction Union Market pour acheter le fameux pain Lafayette. A noter, pour l’édition de Washington, le Specialty Bread award est devenu le Lafayette Bread Award en l’honneur du bicentenaire de la tournée historique du marquis de Lafayette en Amérique. Sam Cooper, l’un des boulangers présents, a expliqué avoir sélectionné son pain à l’harissa en l’honneur du Marquis et « de son côté rebelle et épicé ». Le prix a été remis par Mark Schneider, membre du jury et historien (lire son portrait ici).

Le Marquis de Lafayette (Mark Schneider) en personne a remis le prix à Bread Alley. © Nastasia Peteuil

Prix du public

Après avoir goûté les pains des huit boulangeries, le public a également eu son mot à dire. À l’inverse du jury de professionnels, les amateurs de boulangerie ont clairement tranché en direction de Fresh Baguette, qui a reçu un tonnerre d’applaudissements à l’annonce du vainqueur par la consule Caroline Monvoisin. Jane Williams, une participante américaine, a expliqué adorer cuisiner « donc je me suis mise à faire mon pain, je suis là pour mes recherches personnelles, et c’était intéressant de voir que chaque boulangerie a sa propre interprétation d’une même recette ».

L’équipe de Fresh Baguette avec le PDG Florent Delcourt lors de la remise du prix Public. © Nastasia Peteuil

Un événement organisé par French Morning, sponsorisé par Paris Gourmet et Beurremont

Plus d’images de l’événement ci-dessous:

Vie d’Expat : Quand vient le moment de partir

Les lecteurs de French Morning nous soumettent régulièrement leurs problèmes liés à l’expatriation. Deux fois par mois, Vie d’Expat essaie de les aider en ouvrant sa bibliothèque de livres sur l’épanouissement personnel. Illustration Clémentine Latron.

Aujourd’hui, suivons l’histoire de Claire qui s’est longtemps posée la question du retour. Jusqu’à ce que les étoiles semblent s’aligner.

« Il y a neuf ans, mon mari Richard et moi avons quitté la France pour les États-Unis. Ce départ n’était pas vraiment planifié. Plutôt une opportunité professionnelle inattendue. Un hasard. Richard est parti seul pour une mission qui devait durer un an. Je l’ai rejoint ensuite, avec nos deux enfants, pensant que nous rentrerions rapidement. Mais finalement, nous sommes restés dix ans.

Ces années ont été marquées par des moments de bonheur, mais aussi de difficultés, notamment administratives. Le Covid a été particulièrement éprouvant. Nous nous sommes retrouvés coincés, sans possibilité de rentrer en Europe, même si nous étions en règle ici. J’ai détesté ce sentiment d’impuissance, comme si nous étions prisonniers d’un pays où nous n’étions jamais totalement les bienvenus. Ce malaise a progressivement éveillé en nous des questions plus profondes sur notre place ici.

Après cette période, on a commencé à réfléchir sérieusement à notre avenir. Nous avons demandé et obtenu la Green Card, première étape avant d’opter pour la citoyenneté américaine. Mais en réalité, nous ne nous voyions pas vieillir aux États-Unis. Les fondements les plus importants pour nous que sont la culture, la santé et l’éducation sont aussi les plus coûteux.  

Au-delà des aspects pratiques, c’est la culture américaine elle-même qui nous a semblé, peu à peu, moins adaptée à nos valeurs. Les relations sociales, que nous avons d’abord trouvées stimulantes, parce que nouvelles, se sont révélées souvent superficielles et transactionnelles. Nous avons éprouvé un besoin croissant de liens plus authentiques, plus profonds. Nos amitiés les plus sincères se sont toujours formées avec des familles européennes ou latines, ce qui nous a fait réaliser que nous étions culturellement trop éloignés de l’Amérique pour y rester indéfiniment.

Un autre facteur important a été nos familles en France. Nos parents vieillissent, et la distance commençait à peser lourd. Un accident mineur survenu à mon père a agi comme un signal d’alarme : il était peut-être temps de rentrer avant qu’il ne soit trop tard. Cette réflexion s’est accompagnée d’un questionnement plus large sur notre qualité de vie. L’inflation ici rognait chaque année un peu plus notre pouvoir d’achat, et le contraste avec la France devenait évident. Nous avons décidé de rentrer l’année prochaine. Les étoiles nous ont semblé alignées : nos deux enfants auront terminé leur cycle d’étude. 

En fin de compte, cette aventure américaine a été enrichissante, folle, étonnante, fantastique. Mais nous avons réalisé qu’elle devait prendre fin, sans regret. Ce retour est choisi, réfléchi, et nous sommes heureux de pouvoir l’organiser à notre rythme. Nous garderons toujours une part des États-Unis en nous, et nous y reviendrons sûrement, mais cette fois-ci en tant que visiteurs, pour profiter des aspects que nous aimons, sans les contraintes du quotidien. »

La réponse de French Morning

Merci Claire pour votre témoignage. Abordons aujourd’hui le mécanisme complexe de la “prise de décision”. Étudié depuis longtemps par la philosophie et plus récemment, par les neuro-sciences, son fonctionnement est loin d’avoir livré tous ses secrets. Ce n’est que récemment que les chercheurs ont commencé à s’intéresser à l’impact des émotions sur la prise de décision. Pendant longtemps, on a considéré que les décisions étaient fondées uniquement sur des principes rationnels, selon un logique pure, dénuée de toute émotion, qui serait capable de résoudre n’importe quel problème en s’appuyant sur des faits et des données.

Mais dès 1994, des recherches ont montré que les émotions jouent un rôle essentiel dans la prise de décision : notre cerveau les utilise pour guider nos choix, souvent en une fraction de seconde. Nos capacités de mémoire ne suffisent pas pour analyser toutes les options possibles de manière purement rationnelle. Ainsi, notre cerveau se sert des émotions pour réduire les options disponibles : une émotion négative associée à une option la fait rejeter, tandis qu’une émotion positive permet de la conserver.

Les émotions sont particulièrement cruciales lorsque nous devons réagir face à un danger immédiat, où elles influencent la décision en un instant. Pour des choix plus réfléchis, comme c’est le cas dans le récit de Claire, les émotions continuent de jouer un rôle en orientant notre perception. Par exemple, on peut dire « je sens que ce n’était pas la bonne décision » pour exprimer ce signal émotionnel inconscient.

Ainsi, les émotions aident à anticiper les conséquences de nos choix, mais servent aussi à les confirmer au moment de la décision. C’est en vous appuyant sur les émotions ressenties à l’évocation de votre départ que vous êtes parvenue, Claire, à la bonne décision.

Pour approfondir le sujet, vous pouvez lire l’article dont nous avons fait le résumé pour accompagner ce témoignage.

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Penser de façon globale

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