Il s’est enfin jeté à l’eau. Benoît Lecomte a quitté mardi 5 juin la côte Est du Japon pour, peut-être, devenir la première personne à nager à travers la plus grande étendue d’eau au monde.
Après avoir traversé l’océan Atlantique à la nage en 1998, le Français de 51 ans est parti s’attaquer au Pacifique. Une nage entre Tokyo et San Francisco de près de 9.000 kilomètres pendant six mois afin de sensibiliser le grand public à la contamination par les plastiques et à d’autres formes de pollution océanique. Son départ a fait l’objet d’une avalanche d’articles dans la presse internationale. L’un des articles a été partagé par l’acteur Leonardo DiCaprio, très actif sur les questions de défense de l’environnement.
Cela fait depuis 2012 que le Français du Texas prépare ce pari un peu fou. L’an dernier, il avait dû reporter une nouvelle fois son départ pour bénéficier d’une météo plus favorable.
Il prévoit de nager huit heures par jour et sera accompagné tout au long du voyage par un bateau de soutien, où il se reposera, mangera et dormira avant de recommencer sa nage tous les matins. Huit personnes l’accompagnent pour ce périple pas comme les autres. Des scientifiques en profiteront pour récolter des données sur la qualité de l’eau et mener des expériences centrées sur la présence de plastique dans le Pacifique. Il est possible de suivre sa progression sur un “live tracker”.
Ce Français du Texas commence (enfin) sa traversée du Pacifique à la nage
Le Startup Tour 2018 arrive à Los Angeles
C’est au tour de Los Angeles d’accueillir sa demi-finale du Startup Tour, la deuxième édition du grand concours de start-ups organisé par le réseau FrenchFounders. Ce concours est destiné aux jeunes pousses françaises qui partent à la conquête de l’Amérique du Nord.
Le mardi 19 juin à Polsinelli, des start-ups sélectionnées (Delair, Spartan, Lyvly, EmoJam, Whispli et Delair Studios) pitcheront leur concept devant un jury d’investisseurs et de PDGs.
Le vainqueur de cette étape locale, dont le nom sera annoncé à l’issue de la séance, sera invité à la grande finale qui se tiendra en septembre à New York. A la clé pour la start-up lauréate: un package d’une valeur de 100.000 $ qui permettra d’accompagner son développement aux Etats-Unis.
Mondial 2018 : où voir les matches de l’équipe de France à Miami ?
Les passionnés de football vont vibrer du 14 juin au 15 juillet. Vingt ans après son triomphe au Mondial de 1998, l’équipe de France va tenter de remettre le couvert en remportant une deuxième Coupe du monde, en Russie. Si vous n’avez pas votre billet d’avion, voici notre sélection d’établissements qui retransmettent les matches des Bleus à Miami et dans sa région.
À La Parisienne Bakery, on se lèvera tôt pour applaudir les Bleus. La boulangerie de North Miami Beach invite les supporters à voir les trois matches de poule, y compris celui contre l’Australie à 6am le samedi 16 juin. La Parisienne Bakery – 1909 NE 154th St, North Miami Beach – 305 948 9979
Les drapeaux tricolores vont s’agiter du côté de Café Crème à North Miami. L’établissement, qui accueille régulièrement d’anciens joueurs internationaux venus déguster des spécialités françaises retransmettra sur ses quatre écrans la plupart des matches de la Coupe du monde, dont ceux des joueurs de Didier Deschamps face au Pérou et au Danemark. Café Crème – 750 NE 125th St, North Miami – 786 409 3961
Pour ne rien rater de la compétition, le Chef Pascal Oudin, qui dirige Brasserie Central et Pascal’s on Ponce, fera coup double. Le Français diffusera les différentes rencontres sportives, sauf le France-Australie, dans ses deux établissements de Coral Gables et proposera un happy hour durant les 90 minutes de jeu. Brasserie Central – 320 San Lorenzo Ave #1205, Coral Gables – 786 536 9388 / Pascal’s on Ponce – 2611 Ponce de Leon Blvd, Coral Gables – 305 444 2024
La Cave d’Azur de Miami Beach promet également de mettre l’ambiance durant toute la compétition. Le bar à vins retransmettra tous les matches pendant ses heures d’ouverture en semaine, soit à partir de 11am. Et si les Tricolores se qualifient pour la phase finale, l’établissement ouvrira exceptionnellement ses portes pour que les supporters puissent encourager leur équipe un verre à la main. La Cave d’Azur – 309 23rd St, Miami Beach – 305 763 8688
La fièvre du ballon rond s’est déjà emparée du Semilla Eatery & Bar. Plusieurs maillots dédicacés ainsi qu’une multitude de fanions colorés recouvrent les murs de cet établissement de Miami Beach qui retransmettra tous les matches de la compétition, y compris le France-Australie du 16 juin à 6am (EST). Semilla Eatery & Bar – 1330 Alton Rd, Miami Beach – 305 674 6522
Ambiance bleu-blanc-rouge garantie également au Buena Vista Deli qui retransmettra l’intégralité des matches. L’établissement proposera une formule petit-déjeuner à la française, avec baguettes, croissants et cafés, pour les lève-tôt qui viendront soutenir les Bleus le samedi 16 juin à 6am (EST) pour leur entrée dans la compétition. Buena Vista Deli – 4590 NE 2nd Ave, Miami – 305 576 3945
Le Bouchon du Grove ne manquera pas non plus cet évènement sportif. L’établissement typique des fameux restaurants lyonnais, implanté à Coconut Grove, ouvrira ses portes plus tôt que prévu afin de permettre aux supporters d’encourager leur équipe favorite. Le Bouchon du Grove – 3430 Main Hwy, Miami – 305 448 6060
Niché en plein coeur du quartier de Brickell, l’établissement Amour de Miami retransmettra également la plupart des matches de la compétition, le tout accompagné de spécialités culinaires françaises. Amour de Miami – 921 Brickell Ave, Miami – 305 377 8811
Fan inconditionnel de football, Michael Athéa, qui gère le fan club officiel de l’Olympique de Marseille à Miami, installera une fan zone avec deux écrans géants et des gradins dans son complexe sportif Urban Soccer Five et diffusera tous les matches de la compétition. Au programme : merguez au barbecue, boisson anisée et pétanque dans une ambiance conviviale. Urban Soccer Five – 1125 NW 71st St, Miami – 786 253 2888
3 endroits pour découvrir le New York d'Audubon et ses oiseaux
Considéré comme le premier ornithologue du Nouveau Monde, Jean-Jacques Audubon (1785-1851), appelé “John James Audubon” aux Etats-Unis, s’est attelé à peindre toutes les espèces d’oiseaux d’Amérique du Nord.
Fraîchement débarqué aux Etats-Unis en 1803 pour échapper aux conscriptions napoléoniennes, le jeune Français se pique d’intérêt pour les volatiles. Après avoir arpenté le territoire américain à la recherche de nouveaux spécimens, il s’installe dans le nord de Manhattan en 1843, sur les bords de l’Hudson River. Voici trois adresses pour marcher dans ses pas.
1. A la découverte des oiseaux des parcs new-yorkais
Il n’y a pas que des pigeons et des moineaux à New York. Loin de là. L’Audubon Society s’attèle à le prouver grâce à ses visites guidées gratuites dans les parcs de la ville. Bécasse d’Amérique, pic maculé, paruline polyglotte … une quinzaine d’espèces d’oiseaux se côtoient chaque jour à Bryant Park, à deux pas de Times Square. Et 129 différentes espèces y défilent par an ! L’occasion de re-découvrir ces coins de verdure qu’on croyait familiers. Des guides bénévoles et passionnés mènent la danse, redoublant d’anecdotes et de conseils pour protéger les oiseaux.
N’hésitez pas à prendre des jumelles. Si quelques paires sont distribuées en début de visite, il n’y en a pas pour tout le monde. Elles sont bien utiles pour observer l’adorable – mais minuscule – “yellow warbler” (paruline jaune) qui aime sautiller sur les hautes branches.
Prochaines visites :
–Bryant Park : Lundi 4 juin 8am-9am
Jeudi 7 juin 5pm-6pm (reprise du 10 septembre au 18 octobre pour les migrations
d’automne)
–Van Cortlandt Park (Bronx) : tous les samedis de 9am à 10:30am (jusqu’au 21 juillet)
–Queens Botanical garden : Samedi 9 juin 9am-10:30am
2. Visite guidée des fresques d’oiseaux dans le nord de Manhattan (Audubon Mural Project Tour)
L’époque a changé : alors qu’Audubon n’hésitait pas à abattre plusieurs oiseaux par jour pour les peindre et les recenser, la National Audubon Society les peint pour les protéger.
En collaboration avec Gitler &_____ Gallery, l’association a lancé en 2014 l’Audubon Mural Project, mêlant art et engagement écologique. Depuis bientôt quatre ans, des dizaines de fresques d’espèces d’oiseaux menacées par le réchauffement climatique ornent les façades d’immeubles des quartiers de Hamilton Heights et Washington Heights (entre la 133 et la 181th street). Si 82 fresques ont été réalisées pour l’heure, l’objectif est de représenter chacune des 314 espèces en danger. Colorées, poétiques, ces fresques ont donc aussi un goût d’urgence.
Pour les découvrir, préférez le week-end ou la fin de journée : beaucoup de fresques sont peintes sur les rideaux de fer des magasins – et restent donc invisibles lorsqu’ils sont ouverts. Coup de pouce non-négligeable : la carte de l’Audubon mural project indique leur emplacement exact.
Des visites guidées sont également proposées une fois par mois le dimanche à 10am.
Pendant 2h, les participants partent à la découverte d’une trentaine de fresques du quartier. Pas de quoi s’ennuyer : chacune d’elle est peinte par un artiste différent et l’on passe sans transition de fresques monumentales aux petites toiles coincées dans l’embrasure d’une fenêtre. La visite se termine par la découverte de la tombe d’Audubon au Trinity Cemetery voisin, impressionnante croix celtique ornée de bas reliefs d’oiseaux.
3. Exposition des aquarelles d’Audubon à la New York Historical Society
“Back to basics”. Pour finir en beauté, la découverte des planches originales d’Audubon s’impose. Des oeuvres d’autant plus d’actualité qu'”American Animals” de Bart Layton, sorti en salles le 1er juin, suit pas à pas le cambriolage organisé par des étudiants à la Transylvania University (Kentucky) en 2004 pour dérober d’inestimables gravures d’Audubon.
Quelques-unes des 435 aquarelles et gravures de l’ornithologue, publiées de 1827 à 1838 dans The Birds of America, sont présentées dans une galerie intimiste de la New York Historical Society.
A l’inverse des représentations assez mécaniques et empesées du début du XIXe siècle, Audubon a imposé un style fluide et vibrant, représentant les oiseaux dans leur habitat naturel.
L’exposition, permanente, est toutefois renouvelée chaque mois. De quoi faire faire quelques tours et détours dans les couloirs du musée, sobrement autoproclamé « plus grand dépositaire mondial de l’Audubonmania ».
"Ascenseur pour l'échafaud" à Washington DC
Décédée en juillet dernier, Jeanne Moreau n’a pas fini d’illuminer les écrans de cinéma. Icône de la Nouvelle vague, adulée par les réalisateurs internationaux (d’Antonioni à Fassbinder en passant par Buñuel et Wim Wenders), l’actrice sera à l’honneur mardi 12 juin à 7pm lors d’une projection d’ “Ascenseur pour l’échafaud“ de Louis Malle à la Maison française de l’Ambassade de France de Washington.
Sorti en 1958, ce film noir superbement orchestré par la BO originale de Miles Davis est considéré comme l’un des premiers longs métrages de la Nouvelle Vague. Julien (Maurice Ronet) accomplit une crime parfait en assassinant son patron (Jean Wall) à l’aide de la femme de ce dernier dont il est l’amant (Jeanne Moreau). Mais en retournant sur les lieux du crime pour effacer un indice compromettant, il se retrouve coincé dans l’ascenseur. Les ennuis commencent …
La projection s’inscrit dans la série de films « Forever Jeanne Moreau » à l’Ambassade de France. Celle qui fut « la plus grande actrice du monde » selon Orson Welles a reçu un oscar d’honneur en 1998. Pensez à arriver en avance : les portes ferment à 7pm pile. Réservation obligatoire.
Jean-Michel Cohen Solal : "Je veux m’arracher à une société sans poésie"
Depuis six ans, Jean-Michel Cohen Solal arpente les rues de New York. Dans sa ville d’adoption, où il a atterri dans l’espoir de faire carrière comme guitariste de jazz, il écoute de la musique, enseigne le français et écrit. Tout comme le personnage principal de son deuxième roman, La Passion du Nègre, paru le 18 mai.
Il y est question d’un auteur en panne d’inspiration qui déambule dans la ville, le coeur brisé, lorsque son chemin croise celui d’un écrivain américain célèbre – l’énigmatique “M”. Ce dernier, gagné par la maladie d’Alzheimer et en proie à la perte de ses facultés intellectuelles, lui propose d’écrire son ultime roman avec lui. Le narrateur entame ainsi une relation fusionnelle avec ce personnage, musicien comme lui, qu’il décrit comme une “doublure”, au point que la démence naissante du second ne vienne troubler, semble-t-il, la santé mentale du premier.
“Mon livre peut être vu comme une mise en miroir sur la création littéraire”, explique Jean-Michel Cohen Solal. “L’écriture, ce n’est vraiment pas évident. Vraiment pas. Mais la création est pour moi une manière de m’arracher à une société sans poésie et sans rêve.”
“Je suis un humaniste”
Une société pour laquelle l’écrivain se fait du souci. “Je suis un humaniste, je suis très affecté par les guerres, les conflits, le racisme, l’antisémitisme”, indique-t-il. Et, bien que vivant sur le Nouveau continent, son inquiétude se porte davantage sur l’état des sociétés européennes. “Je suis particulièrement inquiet de la montée de la xénophobie et de la haine dans toute l’Europe. Aux Etats-Unis, pas vraiment”, dit-il.
Celui qui affirme ressentir “une grande liberté à New York” porte un regard critique sur son pays natal, qui, affirme-t-il au demeurant, lui manque. “En France, il y a davantage de discriminations, veut-il croire. Par ailleurs, je pense que la laïcité ne fonctionne pas. Cela a conduit à l’éclatement de la famille, cela a amené de gros changements dans la société.”
“Michel Houellebecq m’inspire”
Cela n’est pas sans rappeler les prises de position de l’écrivain Michel Houellebecq qui estimait en 2015 que ce principe était mort. Un parallèle facile à faire, étant donné que l’écrivain français est présent dans les deux livres de Jean-Michel Cohen Solal, qui a en outre consacré une étude littéraire au roman Soumission.
“Michel Houellebecq m’inspire, commente-t-il. C’est un phénomène de société, il fait bouger les choses. Je ne saurais dire pourquoi il est dans mes romans. Certainement car son travail renvoie à des thèmes qui me préoccupent, dont l’absurdité d’un monde désenchanté qui rejette les valeurs d’humanisme et de tolérance. Mais je ne partage pas du tout ses idées.”
Dans la dernière partie de La Passion du Nègre, le héros est invité chez Michel Houellebecq, qui lui demande de l’aide par rapport à des difficultés auxquelles il fait face dans l’écriture, évoquant ainsi à nouveau l’idée d’une création littéraire dans la douleur.
“La difficulté d’écrire, c’est comme la difficulté de communiquer”, indique Jean-Michel Cohen Solal. Une difficulté exacerbée dans un pays étranger. La notion de l’exil est d’ailleurs l’un des thèmes de prédilection de l’auteur. “Toute ma vie, je serai un solitaire, loin de ma terre natale, dans les enchevêtrements des portes du monde”, écrit-il.
Klaxoon lève 50 millions de dollars pour faire "la révolution des réunions"
« On passe 16 ans de sa vie en réunion, assure Matthieu Beucher, fondateur de la start-up Klaxoon. Mais on voit que 70% du temps, on n’écoute pas ce qui est dit, on ne prend pas de décision et ça dure en moyenne 1h30 », poursuit l’entrepreneur.
C’est à partir de ce constat qu’il a créé Klaxoon en 2014 pour dépoussiérer les réunions d’entreprise. La start-up basée à Rennes a ouvert des bureaux à New York il y a un an et vient de lever 50 millions de dollars auprès d’ID Invest, de BPI et de Sofiouest, pour accélérer son développement aux Etats-Unis.
Le but de la start-up, et non des moindres : créer une « révolution de la réunion », résume Matthieu Beucher. Powerpoint, présentations interminables, one-man show d’un collègue un peu trop zélé… « On passe beaucoup de temps en réunion mais on constate que l’échange n’est pas vraiment réel », observe le fondateur, avant d’ajouter que les méthodes de présentation n’ont pas beaucoup évolué : « On en est encore à utiliser des outils des années 1980. »
Klaxoon propose donc à ses utilisateurs de se connecter en même temps sur une plateforme et de partager en temps réel des idées, de réagir et d’interpeller les autres participants, mais aussi d’échanger des outils plus originaux comme des quiz ou des sondages.
Les participants peuvent également suivre la réunion à distance et même en différé. Un avantage sur le marché des Etats-Unis, assure Matthieu Beucher. « Un Américain sur deux travaille au moins trois jours par semaine en télétravail et neuf réunions sur dix aux Etats-Unis se font avec au moins une personne absente », précise le Breton.
Grâce à cette nouvelle levée de fonds, « on va investir sur New York, parce qu’on voit une belle adhésion du marché américain », constate Matthieu Beucher, qui souhaite multiplier par dix d’ici deux ans son équipe de cinq personnes basée dans le quartier d’Union Square à Manhattan, sur un total de 150 salariés au sein de la jeune pousse.
Les Etats-Unis représentent pour l’heure près de 15% des quelque 1.500 organisations clientes et près d’un million d’utilisateurs que Klaxoon revendique. Sans compter que les Américains passent « 30 à 50% du temps de travail en réunion, à raison de 2 à 3 réunions par jour », affirme Matthieu Beucher.
Pour loger ses nouvelles recrues, la start-up compte mettre la main sur de nouveaux locaux « d’ici les prochains mois », ajoute le chef d’entreprise. « On a déjà des interactions avec des villes du centre des Etats-Unis et de la côte Ouest mais on veut faire les choses dans l’ordre : la côte Est d’abord. New York semble être une bonne équation, mais ce n’est pas complètement arrêté ».
Du jazz à foison au DC Jazz Fest en juin
C’est devenu l’un des événements incontournables de l’été à Washington. Le DC Jazz Fest reprend ses droits du jeudi 7 au dimanche 17 juin. Au programme: 300 artistes, 125 performances de jazz dans une quarantaine de lieux. Bref, de quoi en prendre plein les oreilles. Comme le jazz adoucit les moeurs, on ne va pas se plaindre.
Pour cette nouvelle édition, les organisateurs sont restés fidèles à la recette qui a fait le succès du festival depuis sa création en 2005: rassembler les musiciens de jazz connus et moins connus, issus de toutes les dimensions de cette musique. Les amateurs reconnaitront certains noms: le lauréat du Grammy Leslie Odom Jr., la figure du jazz rock cubain Chuchó Valdez, l’harmoniciste normand Frédéric Yvonnet qui fera l’ouverture du festival, ou encore le saxophoniste Maceo Parker.
Une balade en vélo tout-nu à Los Angeles
“La nudité est optionnelle, mais légale.” L’annuelle Naked bike ride fait son retour à Los Angeles le samedi 23 juin. Le concept : pédaler dans la ville nu comme un ver.
Même si le lieu de départ est gardé secret jusqu’à la veille, on sait déjà que les cyclistes traverseront Downtown et Echo Park. Deux parcours sont proposés : un de 6 miles (à 11 am) et un à 13 miles (1:30 pm).
L’objectif de cet événement est double : encourager les transports alternatifs aux véhicules motorisés et promouvoir l’acceptation sociale de toutes les personnes quel que soit leur statut social, ethnie, religion, appartenance politique et sexe. Alors, laissez de côté vos inhibitions, déshabillez vous (vous pourrez toujours porter de la peinture), et en avant !