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Myriam Chalek, entre mouvement #MeToo et défilés pour handicapés

Des récits crus et détaillés d’agressions sexuelles et de viols. Un défilé pas comme les autres, le #MeToo Fashion Show, s’est tenu à New York dans le cadre de la semaine de la mode, le 9 février. Lors de cet événement, les mannequins se sont adressées directement au public pour raconter ce qu’elles ont subi. A leur côté, leurs agresseurs étaient symboliquement représentés par des hommes menottés et vêtus d’un masque de cochon, clin d’oeil au hashtag #balancetonporc.
Derrière cette mise en scène se trouve Myriam Chalek, fondatrice du site de mode “American Wardrobe”. Cette jeune entrepreneure franco-algérienne veut bousculer les opinions. “Je pense avoir la possibilité de créer un changement”, estime Myriam Chalek, la trentaine souriante, dans son atelier de Manhattan. “En tant que créatrice de mode, je dispose d’une plateforme et je ne voyais pas d’autres options que d’utiliser cette tribune pour permettre aux femmes marginalisées et oubliées de se faire entendre.
Mode alternative
Ce n’est pas la première fois que Myriam Chalek utilise cette tribune. Depuis plusieurs années, celle qui s’est installée à New York à l’âge de 23 ans pour se lancer en tant qu’entrepreneur développe des défilés de mode alternatifs.
En 2014, alors qu’elle travaille auprès de designers, elle se lasse de voir toujours le même type de mannequins, grandes et longilignes. Elle décide de partir dans la direction opposée et développe l’“International Dwarf Fashion Show”, un événement mettant à l’honneur des personnes de ne dépassant pas 1,30 mètre.
En trois ans, son show de femmes de petite taille a voyagé entre Paris, Dubaï, Tokyo et New York. “On reçoit des candidatures du monde entier maintenant”, se félicite-t-elle. Myriam Chalek a également créé un défilé pour personnes aveugles, dont la prochaine édition aura lieu à Dubaï au mois de mai.
Pour cette jeune femme originaire de Seine Saint-Denis, en banlieue parisienne, il s’agit de prôner la tolérance face aux différences physiques. “D’habitude, on ne voit pas des gens d’1,20 mètre sur les podiums et encore moins des aveugles”, dit Myriam Chalek, fière de rétablir un peu d’égalité dans ce milieu où règne selon elle trop de discrimination. “Je veux montrer à la société que ces personnes, malgré leur handicap, ont la capacité de faire tout autant que quelqu’un qui voit ou mesure 1,75 mètre”, poursuit-elle, d’un ton déterminé.
En mars, “Little women fashion”, un showroom dédié aux femmes naines, verra le jour au coeur de son atelier new-yorkais. “Pour l’instant, on entend proposer de la haute couture destinée à une clientèle féminine, mais on aimerait étendre le marché aux hommes dès que possible.

Il y a des pâtisseries bizarres à New York, mais pas comme à Supermoon

Pathport est un collectif d’instagrammeurs proposant des carnets de voyage dans le monde entier. Dans “Instagramme-moi New York”, ils partagent chaque semaine leurs bons plans sur notre compte instagram @french.morning

#13 SUPERMOON BAKEHOUSE (120 Rivington St)

Repéré par Andrea Nuñez du collectif Pathport.

Le “cronut”, croissant-beignet inventé par le pâtissier français Dominique Ansel à New York, a un cousin sur la côte ouest: le “cruffin”, comprendre un croissant cuit comme un muffin, véritable phénomène à San Francisco. Bonne nouvelle pour nous, son créateur, Ry Stephen, a récemment déménagé sa cuisine à New York, dans le Lower East Side de Manhattan. C’est avec Aron Tzimas, l’inventeur de sa première pâtisserie à San Francisco, qu’il ouvre Supermoon Bakehouse en espérant créer le même buzz que sur la côte ouest.

Créations extraordinaires (comme le “winter ferrero rocher bi-color croissant”) et déco en mode “attrape-millenials”: Supermoon mise sur Instagram et sa culture foodie. Le plaisir n’est pas que visuel, c’est aussi très bon. Ry Stephen a étudié la pâtisserie à Melbourne, sa ville natale, puis à Paris, et a été élu “Étoile montante” par le San Francisco Chronicle en 2015.  Mais cela sera-t-il suffisant pour détrôner le populaire cronut ? On va à Supermoon pour le tester, mais aussi pour goûter les incroyables croissants fourrés au matcha, au banana split ou au jambon-fromage si on n’est pas sucré. Et bien sûr, on les prendra en photo.

Le must-have: le cruffin bien sur.

Cédric Gervais fait danser Dallas

Cédric Gervais, le roi de la musique électronique, vient faire danser le Lizard Lounge à Dallas samedi 17 février.

Avec plus de deux millions d’écoutes sur Spotify, le DJ installé à Miami depuis ses 18 ans est connu pour ses remix d’artistes internationaux comme « Adore You » de Miley Cyrus ou « Light me up » de David Guetta avec Nicki Minaj et Lil Wayn.

En 2013, il remporte le Grammy Award du meilleur remix avec « Summertime Sadness », reprise de la chanson de Lana Del Rey. En plus de ses nombreux titres, le Français a créée en 2016 son propre label, Delecta Records.

New York s'apprête à découvrir Christophe Maé

Depuis 10 ans, il fait tourner les têtes en France – avec 4 millions d’albums vendus. Christophe Maé -Christophe Martichon de son vrai nom-, s’est décidé à faire craquer les Américains sur “On s’attache”. Il sera au Gramercy Theater le 3 mai (billets en vente à partir du 16 février) dans le cadre de sa nouvelle tournée.
Révélé par la comédie musicale “Le Roi Soleil”, où il interprétait le frère du roi, le chanteur auteur-compositeur a sorti six albums depuis. Le dernier est “L’attrape-rêves” (mai 2016). Christophe Maé a été récompensé aux NRJ Awards à de nombreuses reprises (dernier en date : meilleur clip pour “Il est où le bonheur” en 2016).
Après plus de 140 dates en France, il offrira au public américain un show qui a fait ses preuves, enchaînant performances scéniques et vocales sur ses plus grands succès comme “Belle demoiselle” ou “Il est où le bonheur”.

Christophe Maé sur scène à San Francisco

Depuis 10 ans, il fait tourner les têtes en France – avec 4 millions d’albums vendus. Christophe Maé -Christophe Martichon de son vrai nom-, s’est décidé à faire craquer les Américains sur “On s’attache”. Il sera au Swedish American Hall de San Francisco le 27 avril (billets en vente à partir du 16 février) dans le cadre de sa nouvelle tournée.
Révélé par la comédie musicale “Le Roi Soleil”, où il interprétait le frère du roi, le chanteur auteur-compositeur a sorti six albums depuis. Le dernier est “L’attrape-rêves” (mai 2016). Christophe Maé a été récompensé aux NRJ Awards à de nombreuses reprises (dernier en date : meilleur clip pour “Il est où le bonheur” en 2016).
Après plus de 140 dates en France, il offrira au public américain un show qui a fait ses preuves, enchaînant performances scéniques et vocales sur ses plus grands succès comme “Belle demoiselle” ou “Il est où le bonheur”.

Christophe Maé chante à Houston

Depuis 10 ans, il fait tourner les têtes en France – avec 4 millions d’albums vendus. Christophe Maé -Christophe Martichon de son vrai nom-, s’est décidé à faire craquer les Américains sur “On s’attache”. Il sera à House of Blues-The Bronze Peacock (Houston) le 29 avril (billets en vente à partir du 16 février) dans le cadre de sa nouvelle tournée.
Révélé par la comédie musicale “Le Roi Soleil”, où il interprétait le frère du roi, le chanteur auteur-compositeur a sorti six albums depuis. Le dernier est “L’attrape-rêves” (mai 2016). Christophe Maé a été récompensé aux NRJ Awards à de nombreuses reprises (dernier en date : meilleur clip pour “Il est où le bonheur” en 2016).
Après plus de 140 dates en France, il offrira au public américain un show qui a fait ses preuves, enchaînant performances scéniques et vocales sur ses plus grands succès comme “Belle demoiselle” ou “Il est où le bonheur”.

De l'équipe de France de basket au business franco-américain à LA

Il y a plusieurs choses qui surprennent les interlocuteurs de Clarisse Berranger, la nouvelle directrice de la chambre de commerce franco-américaine de Los Angeles. Elle est une jeune femme de 24 ans, qui mesure 1,90 mètre. Aussi, elle a joué en équipe de France de basket…
Originaire des Vosges, Clarisse Berranger a le challenge dans la peau. “Je suis partie de chez moi à 13 ans pour un centre de formation à Annecy, puis j’ai été à Valenciennes”, résume-t-elle, précisant avoir fait ensuite trois saisons à Bourges, et autant à Limoges, ainsi qu’en équipe de France jeune (de 16 à 18 ans).
Mais ses passes décisives vont l’amener plus loin. “J’étais consciente qu’il fallait étudier, que la ligue féminine de basket n’avait pas les moyens financiers”, se souvient-elle. Après une licence en communication, direction la Caroline du Nord en 2015 pour un Master en politique internationale à Wake Forest University. “Aux Etats-Unis, c’est plus facile”, clame celle qui partageait son temps entre les études et les terrains de basket. “A la différence de la France, les Américains comprennent les sacrifices des sportifs, les valorisent. Et ils aménagent votre emploi du temps.”
Et pourtant, une fois diplômée en mai 2017, la joueuse qui évoluait en position d’intérieur décide de ne pas faire carrière dans le basket. “Je n’avais pas envie de finir comme les autres basketteuses, alors que je vivais pour ça, avoue-t-elle. “Elles sont baladées d’un club à l’autre. Elles n’ont ni enfant, ni petit ami, ni carrière quand elles prennent leur retraite.”
Elle se met alors en mode attaque, et postule à tout va. Une tactique concluante puisqu’elle est recrutée à la FACC après quelques mois de recherche. Dans son poste actuel, qu’elle occupe en remplacement de Samuel Loy, elle aura à travailler avec une équipe plus grande que sur les parquets de basket. L’organisation de promotion des entreprises françaises à Los Angeles compte 150 membres, de la grande banque au petit salon de thé.
Aujourd’hui, Clarisse Berranger se sent comme un “agent de basket, mais pour les entrepreneurs”. “Il y a beaucoup de similarités entre le monde du sport et celui des affaires”, fait-elle remarquer. “On est face à des challenges, de la compétition, et mon équipe est composée d’entrepreneurs français. J’aborde les événements que l’on organise comme des matches.”
Mais le basket ne l’a pas abandonnée : malgré son temps plein, Clarisse Berranger trouve le temps d’aller à sa salle de sport, tous les soirs, disputer des matches avec des joueurs rencontrés par hasard. “Je suis leur mascotte.”

Christophe Maé en tournée aux Etats-Unis

Depuis 10 ans, il fait tourner les têtes en France – avec 4 millions d’albums vendus. Christophe Maé -Christophe Martichon de son vrai nom-, s’est décidé à faire craquer les Américains sur “On s’attache”. Il sera au Club Bahia à Los Angeles le 25 avril (billets en vente à partir du 16 février).
Révélé par la comédie musicale “Le Roi Soleil”, où il interprétait le frère du roi, le chanteur auteur-compositeur a sorti six albums depuis. Le dernier est “L’attrape-rêves” (mai 2016). Christophe Maé a été récompensé aux NRJ Awards à de nombreuses reprises (dernier en date : meilleur clip pour “Il est où le bonheur” en 2016).
Après plus de 140 dates en France, il offrira au public américain un show qui a fait ses preuves, enchaînant performances scéniques et vocales sur ses plus grands succès comme “Belle demoiselle” ou “Il est où le bonheur”.

Une expo sur New York et Paris au début du XXème siècle à Fort Lauderdale

Plutôt que d’attendre la construction d’une machine à remonter dans le temps, direction le NSU Art Museum de Fort Lauderdale. Jusqu’au 18 octobre, le musée présente des peintures représentant la vie quotidienne dans les deux villes, alors en pleine transformation, dans le cadre de son exposition “Midnight in Paris & New York: Scenes from the 1890s – 1930s”.
L’exposition est centrée sur le travail de William James Glackens, peintre américain de la fin du XIXe siècle qui rejeta les conventions artistiques de l’époque pour représenter des scènes originales de la classe moyenne américaine. Pendant la période couverte par l’exposition, la Tour Eiffel et le Sacré-Coeur ont été terminés, de même que le Flatiron et le Woolworth Building à New York.

Les tableaux de l’Américain sont accompagnées de peintures françaises de la même époque et du même style artistique réalisées par des artistes tels que Alphonse Mucha ou Henri de Toulouse-Lautrec.

En plus de ces différentes œuvres, l’exposition présente de nombreux objets symboliques de la France et des Etats-Unis de l’époque 1890-1910 (meubles, verre, objets en métal et en argent). 

Soho Places: le co-working qui vend du calme à New York

Ce qui surprend le plus quand on passe la porte de Soho Places, c’est le calme. Ici, pas de table de ping pong ou de stand de console de jeux pour se détendre entre deux rendez-vous. Virginie Glaenzer, à l’origine du projet, a souhaité un espace différent des co-working “à l’ambiance de fraternité étudiante bruyante“.
Soho Places (Small Office Home Office) a ouvert en décembre dernier, en plein coeur du quartier éponyme. “C’est en fait presque un hasard, sourit Virginie Glaenzer, puisqu’on avait quasiment signé pour un local dans le Chrysler Building”. Au rez-de-chaussée d’une ancienne galerie d’art à l’abandon, la Française a installé 40 postes de travail, répartis dans des alcôves insonorisées et équipées de banquettes confortables. “Le principe de Soho Places est de proposer des places à l’heure que l’on peut réserver“, explique cette Française installée depuis 22 ans aux Etats-Unis. Il existe une formule à 6 dollars pour une heure, un day pass de 4 heures pour 24 dollars et une formule flexible de 20 ou 40 heures par mois.
Pour le moment, les clients sont des free-lancers qui travaillent surtout chez eux mais qui ont besoin de se concentrer quelques heures ou d’un endroit calme pour rencontrer des clients:  “Ce sont des personnes qui n’ont pas envie de se retrouver dans un café ou dans un lobby d’hôtel“. Virginie Glaenzer a également identifié des étudiants, des “business on the go” et des “wanna be entrepreneurs” qui viennent en dehors de leurs heures de bureau pour réfléchir à un concept.
La fondatrice de Soho Places a placé un tableau à l’entrée de son espace où chacun est libre de proposer ses compétences en échange de celles d’un autre membre. “Je connecte les gens quand il y a un match“, explique-t-elle.
L’entrepreneuse, ancienne directrice marketing, avait observé avec enthousiasme la création des premiers espaces de co-working à San Francisco et New York, mais elle s’est rendue compte que le modèle le plus répandu ne coïncidait pas forcément avec la demande de tous les clients potentiels. “J’aime l’idée d’un espace silencieux où l’on vend du temps, où on peut être concentré”, soutient Virginie Glaenzer. Pour autant, pas question de transformer le lieu en bibliothèque: les coups de fil sont bien entendu autorisés, ainsi que le travail en groupe. “Les alcôves sont phonétiquement équipées pour absorber les sons et garantir la confidentialité”. Après deux mois d’activité, Virginie Glaenzer pense déjà à ouvrir de nouveaux espaces à Manhattan.

Le thriller érotico-psychologique de François Ozon "L'amant double" projeté à Austin

Après avoir écumé les salles françaises l’année dernière, le film “L’Amant Double” (“Double Lover” en anglais) sort aux Etats-Unis. Il sera diffusé à Austin le mercredi 21 février à 7:30 pm, au cinéma Alama Drafthouse South Lamar.
Thriller érotico-psychologique, “Double Lover” est une histoire troublante sur le thème du dédoublement et de la gémellité, inspirée d’un roman de Joyce Carol Oates. L’actrice française Marine Vacth y interprète Chloé, une jeune femme fragile et névrosée qui tombe amoureuse de Paul, son psychothérapeute -joué par l’acteur belge Jérémie Renier. Croyant filer le parfait amour avec lui, la jeune femme se rend compte que son amant cache en réalité un lourd secret.
Réalisé par François Ozon, “Double Lover” est co-présenté à Austin par le Ciné-Club de l’Alliance Française, et The All Genders, Lifestyle, and Identities Film Festival, un festival du film LGBT qui aura lieu du 6 au 9 septembre prochain à Austin.
Les places pour “Double Lover” sont disponibles en réservation au prix 12,33$.

Décès de Michel Berty, fondateur de Capgemini America

Michel Berty, un des artisans de la “success story” du géant des services technologiques Capgemini et figure de la communauté française de New York, est décédé à l’âge de 78 ans. L’annonce de sa disparition a été faite mardi 13 février par la Surgeons of Hope Foundation (SOH), dont il a été membre du conseil d’administration.
Pour l’association, Michel Berty était “la combinaison rare d’un scientifique, un capitaine d’industrie, un investisseur et un philanthrope“. Diplômé de physique et titulaire d’un MBA de la Sorbonne, il a occupé des postes de direction au sein de Capgemini en France et aux Etats-Unis pendant 26 ans. Il a notamment été le fondateur et PDG de la filiale américaine de la multinationale anciennement appelée Cap Gemini-Sogeti.
Selon le site de Capgemini, c’est la première fois qu’une entreprise de technologie française traversait l’Atlantique. Pour lancer la filiale en 1981, il s’était installé avec sa famille dans le Milwaukee, où il a démarré le “Bastille Day” local, qui attire aujourd’hui 250.000 personnes tous les ans sur plusieurs jours. Il avait raconté cette expérience américaine dans un ouvrage intitulé Bastille Day à Milwaukee.
Après son départ à la retraite, Michel Berty est resté impliqué dans plusieurs entreprises du secteur comme consultant ou investisseur. En plus de ces activités, il était investi dans plusieurs associations et causes caritatives. Outre Surgeons of Hope, qui vient en aide à des enfants atteints de problèmes cardiaques en Amérique latine, il avait monté le chapitre de l’Arche USA (soutien aux personnes ayant un handicap mental) sur Long Island, où il résidait avec son épouse Marie-Eve. Il a également été Vice-président de la Chambre de commerce franco-américaine de New York, conseiller du commerce extérieur et membre du conseil d’administration du Center for French Civilization and Culture de l’université NYU.
Ses réalisations lui ont valu d’être nommé Chevalier de la Légion d’Honneur et Officier de l’Ordre National du Mérite.
C’était un homme plein de vie. Il inspirait la joie. Il avait eu une passion pour la chanson et connaissait les airs des années 70 par coeur. Selon les circonstances, il poussait la chansonnette“, se souvient son ami Michel Longchampt, vice-président à Surgeons of Hope. Les deux hommes se sont rencontrés dans les années 80. “Il a eu une vie professionnelle très active, remplie de succès“. Une vie que sera célébrée lors du prochain gala de SOH en mai.