Alors que le maire de New York, Bill de Blasio, avait annoncé son retrait le 17 août, la plaque commémorative du maréchal Pétain située sur Broadway sera finalement conservée.
“Plutôt qu’un retrait total, notre approche va se concentrer sur l’ajout de détails de contexte et d’informations historiques sur les personnalités célébrées”, a indiqué le maire dans un rapport publié le 9 janvier.
Bill de Blasio avait pourtant déclaré le 16 août que la plaque commémorant Pétain serait “l’une des premières à être enlevées“. Cette annonce avait été faite alors que de nombreuses municipalités américaines avaient décidé, après le drame de Charlottesville, de retirer dans les délais les plus brefs tous les symboles jugés racistes et haineux.
La plaque de granite au nom du maréchal Pétain est incrustée dans un trottoir de Broadway dans le Financial District. Elle fait partie de ce qu’on appelle “The Canyon of Heroes”, une promenade consacrée aux figures qui ont marqué l’Histoire. La plaque du maréchal Pétain – où son prénom est orthographié avec deux “L” – a été inaugurée le 26 octobre 1931 pour saluer le courage du militaire français au cours de la Première guerre mondiale.
Finalement, la plaque new-yorkaise honorant le maréchal Pétain sera conservée
"Féminisme archaïque": les médias américains taclent Catherine Deneuve sur #MeToo
Revue de presse. Célèbre aux Etats-Unis notamment depuis son rôle dans Les Parapluies de Cherbourg (1964; The Umbrellas of Cherbourg), Catherine Deneuve signait, avec d’autres femmes, le 10 janvier, une tribune dans Le Monde s’indignant contre le “puritanisme” du mouvement féministe #MeToo, initié aux Etats-Unis. “Nous défendons la liberté d’importuner, indispensable à la liberté sexuelle”, explique notamment la lettre.
Une prise de position qui n’a pas tardé à faire réagir les médias américains. La journaliste du New Yorker Lauren Collins dénonce une tribune “signée principalement par des femmes blanches de classe aisée“. “Il n’y a aucune femme de ménage ou conductrice de bus dans la liste, et aucune prise de conscience que les choses pourraient être plus compliquées pour une femme qui n’a pas de place de choix dans son travail, comme c’est souvent le cas pour les femmes”. Elle ajoute que le débat revêt “une nuance générationnelle”. En s’opposant à l’instauration de nouvelles règles, Catherine Deneuve (âgée de 73 ans) est le symbole “d’un féminisme archaïque“.
Même son de cloche chez le Daily Beast, pour qui Catherine Deneuve s’exprime depuis une “position de privilégiée“. Selon l’auteure de l’article Erin Zaleski, la tribune publiée dans Le Monde est “le dernier cri d’une vieille garde qui craint que des mouvements comme #MeToo et #Balancetonporc soient des menaces à la fois pour la liberté (sexuelle et autre) et pour la longue tradition de séduction en France“.
Le New York Times ouvre quant à lui ses colonnes à la journaliste française Agnès Poirier. Selon elle, la tribune signée par Catherine Deneuve et la centaine de personnalités qui l’accompagnent se veut l’écho “d’un féminisme à la française bien décrit par Simone de Beauvoir“. Les écrits et la vie amoureuse riche et complexe de Simone de Beauvoir “continuent d’influencer l’opinion des féministes françaises d’aujourd’hui“. Dans son livre L’Amérique jour après jour publié en 1948, l’écrivaine française fustige l’excès de rationalité des relations entre les hommes et les femmes aux Etats-Unis. “En Amérique, l’amour n’est souvent mentionné que dans des termes d’hygiène. La sensualité n’est acceptée que de manière rationnelle, ce qui est une autre façon de la refuser”.
Pour Erin Zaleski, “il y a certes une différence de moeurs entre les deux pays, mais elle ne justifie pas tout”. Elle ajoute qu'”aux États-Unis comme en France, les perspectives sont en train de changer. Les bouffonneries de Weinstein sont moins susceptibles d’être tolérées aujourd’hui que par les générations passées”.
Bertille Isabeau, la lingerie qui file bon coton à Brooklyn
Bertille Isabeau Beneteau se passionne pour la mode. Et par mode, elle ne parle pas du shopping – qu’elle n’apprécie pas particulièrement – mais bien de faire de l’art avec du tissu.
Repérée par le collectif RAW Artists, qui soutient les artistes indépendants, la Française va présenter sa collection pour la première fois lors d’un évènement artistique le 17 janvier à Warsaw.
Son parcours dans le stylisme débute tout de suite après le bac, au sein de l’école Mod’Art à Paris. C’est là, pendant deux ans, qu’elle apprend les secrets de la mode et de la confection. Une formation complète, qui lui permit d’obtenir des bases solides. À la suite de son diplôme, elle enchaine les stages dans des maisons de couture, de cuir et les ateliers de robes de mariées.
Sa passion pour le stylisme la suit jusqu’à New York, où elle s’installe avec son conjoint à l’âge de 25 ans. Depuis Brooklyn, elle lance sa propre marque de lingerie en coton bio, “Bertille Isabeau”, son second prénom. « Au début, je voulais faire du prêt-à-porter pour homme, car je trouve que leurs collections sont assez redondantes et ne disposent pas de beaucoup de choix. Mais au final, j’ai été encore plus attirée par la lingerie. Il y a beaucoup à faire », commente la créatrice.
Bertille Beneteau s’est occupée de la création de ses modèles, des dessins, de la recherche des ambiances et des tissus. Pour la production, elle fait local. « Je suis contre le fait d’exporter la production dans des pays à bas coûts. Car qui dit bas coûts dit conditions de travail souvent médiocres. Je travaille actuellement avec un petit atelier à Brooklyn. Je reste proche des gens avec qui je travaille, on papote, on échange des idées et les choses se passent naturellement», ajoute la jeune femme.
Mais elle est aussi un fervent défenseur de l’environnement. Toute sa collection est produite à partir de coton bio : « C’est peut-être mon côté végétarienne-hippie-bobo mais il y a tellement de pesticides partout que j’essaye de faire les choses bien. En plus, le coton bio est hyper doux ! ». Du XS au XXL, chaque modèle est conçu pour s’adapter à toutes les morphologies. « J’ai envie de représenter toutes les femmes, peu importe leur couleur de peau ou leur aspect. C’était très important pour moi de proposer un large éventail de choix. Beaucoup de femmes sont souvent frustrées de ne pas pouvoir se procurer un vêtement dans leur taille».
"Candide", optimiste sur la scène du LA Opera
“Tout est bien, tout va bien, tout va pour le mieux qu’il soit possible.” L’optimisme et l’insouciance du Candide de Voltaire vont faire le bonheur du public du LA Opera. Mise en scène par Francesca Zambello, la comédie musicale sera jouée à six reprises du samedi 27 janvier au dimanche 18 février dans la cité des anges. Ce spectacle est le fruit d’une co-production entre le Glimmerglass Festival, l’Opéra national de Bordeaux et le théâtre du Capitole de Toulouse.
Ce spectacle mêle les styles de l’opéra, de la comédie musicale et de l’opérette. Rythmé par une musique survoltée et des dialogues satiriques, il revisite le pamphlet de Voltaire par sa mise en scène originale.
Le spectateur est entraîné dans les pérégrinations de Candide, un jeune homme débordant d’innocence juvénile, et certain de vivre dans le meilleur des mondes possibles. Mais une série d’événements dramatiques – la guerre, la maladie, la mort, un naufrage, un tremblement de terre – va remettre en question son mode de pensée.
Joué par une troupe d’artistes américains, à la fois chanteurs, comédiens et danseurs, ce spectacle est porté par deux vedettes: Kelsey Grammer (qui interprète Voltaire et le philosophe Pangloss) et Christine Ebersole (deux fois lauréate du Tony Award, dans le rôle exubérant de la Vieille Dame). La première au LA Opera célèbrera le centenaire du compositeur Leonard Bernstein, qui a créé cette oeuvre en 1956 à New York.
Un conseil: en cas de tempête, n'utilisez pas l'aéroport JFK
Avions bloqués sur le tarmac, files d’attentes interminables, passagers bloqués jusqu’à 72h dans l’aéroport. Plusieurs jours après le “bomb cyclone” qui a frappé New York le 4 janvier, la panique demeurait à JFK. Un événement venu ternir encore un peu plus la réputation de l’aéroport, considéré comme l’un des pires du pays.
Alors que les températures se radoucissent, et que le trafic aérien revient progressivement à la normale, l’aéroport new-yorkais fait face à de multiples interrogations sur sa gestion de la tempête, ou plutôt de l’après-tempête. Une enquête, menée par l’ancien Secrétaire aux Transports de Barack Obama, Ray LaHood, a été annoncée pour faire la lumière sur le fiasco.
“JFK fait partie des aéroports extrêmement durs à gérer du fait de ses nombreuses connexions internationales. C’est un aéroport de transit qui doit accueillir énormément d’avions en même temps“, explique Sheldon Howard Jacobson, expert en aéronautique. “Ses avions ne restent en général que quelques heures au sol avant de devoir re-décoller vers d’autres destinations, ce qui rend la gestion des terminaux compliquée“.
En conséquence, l’aéroport JFK a fait le choix d’une gestion “décentralisée”. Si l’aéroport est dirigée par un organisme public, Port Authority, il délègue la gestion de ses six terminaux opérationnels aux compagnies aériennes et à leurs sous-traitants. Un pari risqué pour Sheldon Howard Jacobson. “Les terminaux de JFK fonctionnent de manière indépendante comme des petits aéroports individuels, sans aucune coopération. C’est un point fort si tout se passe bien. Mais si un terminal rencontre un problème, il est plus difficile de lui venir en aide”.
La tempête du 4 janvier en est un bon exemple. Alors que le personnel de l’aéroport et les équipements étaient réduits à cause de la tempête, les vols ont continué d’affluer, entassant les avions sur la piste et leur flot de passagers en aérogare. Certains terminaux se sont retrouvés congestionnés. Pour le New York Post, “Port Authority aurait dû intervenir rapidement pour gérer son aéroport, forçant les exploitants de terminaux à travailler ensemble et offrant des options aux passagers bloqués”.
Rick Cotton, directeur général de Port Authority a admis dimanche un “manque de communication” entre la Port Authority et les compagnies aériennes, tout en ajoutant que “les compagnies n’ont pas annulé autant de vols qu’elles auraient dû, amenant un flot de passagers ingérable à JFK”.
Certes, l’aéroport a joué de malchance. En plus des intempéries, le personnel a dû faire face à une collision entre deux avions et l’explosion d’une canalisation au terminal 4, qui a entraîné la fermeture du terminal. Mais “personne n’a pris la responsabilité de ce fiasco”, affirme le New York Times, ajoutant que “Port Authority accuse des compagnies aériennes et des exploitants de terminaux qui en ont peu dit jusqu’ici“.
Pour Sheldon Howard Jacobson, la gestion de l’aéroport pendant et après la tempête a été catastrophique. “Je n’avais jamais vu quelque chose comme ça. Cela questionne le mode de fonctionnement de JFK. Il doit évoluer”.
4 conseils pour acheter à New York à distance
(Article partenaire) Si vous n’êtes pas sur New York et envisagez l’achat d’un bien d’investissement ou d’un pied-à-terre, comment faire pour gérer au mieux la transaction ? Comment utiliser votre “buyer agent”, l’agent qui conseille l’acheteur sur le bon prix à demander, sur place ?
Agent immobilier depuis 12 ans à New York et Seattle (actuellement le marché le plus dynamique aux Etats-Unis), Fabrice Muratore a accompagné des acheteurs du monde entier dans leur relocalisation aux Etats-Unis pour le compte des plus grandes entreprises de technologie et de santé. Il est spécialiste de Manhattan avec un un intérêt marqué pour FIDI, TriBeCa et Battery Park où il habite.
Définissez clairement vos objectifs
Le marché immobilier new-yorkais est divisé en plusieurs types de bien, essentiellement des co-ops et des condominiums, dont les règles d’achat et de vente varient. Votre agent saura vous orienter vers le type de produit le mieux adapté à vos besoins. Investissement locatif, animaux de compagnie, visiteurs, ou parfois utilisation ponctuelle, les limitations en co-op et certains condos peuvent être surprenantes.
Se faire aider pour comprendre le processus d’achat
Aujourd’hui, on peut quasiment tout trouver en ligne et se faire une idée du
marché en consultant des sites spécialisés. De nouvelles plateformes offrent une vue des ventes passées, on peut rechercher les biens en ligne à New York ou partout aux Etats Unis assis à une terrasse de l’autre côté de la planète, faire une offre en ligne dans certains Etats et même payer en Bitcoin… Facile.
Mais à New York, acheter n’est pas une mince affaire. La ville a un processus de vente à l’ancienne impliquant agents, avocats, représentants des banques et “closing agents”. C’est un système que l’on ne trouve plus ailleurs aux Etats-Unis. Se faire accompagner est essentiel.
Utiliser l’agent comme un conseiller
Fabricemuratore.com offre l’accès à la totalité des biens à vendre sur New York, quelle que soit l’agence. Les clients peuvent faire leur recherche, identifier les quartiers et les biens qu’ils souhaitent visiter à distance. L’agent sera présent pour répondre aux questions. “De fournisseurs de biens à vendre on est passé a un rôle de concierge-consultant-négociateur voire project manager“, dit Fabrice Muratore.
Bien préparer la visite
La préparation de votre visite est primordiale et Fabrice Muratore vous guide vers les meilleures ressources en ligne ou en dur pour prendre une décision informée. Après un premier contact par téléphone, l’agent met en place une pré-visite en direct via Facetime, analyse les règlements des co-propriétés, fournit des informations sur les quartiers, les écoles, les projets immobiliers ou d’infrastructures qui affecteront l’investissement, ainsi qu’une présente les banques locales en cas de financement.
Puis viennent la négociation, la mise en place de la signature électronique du contrat, la préparation du board package, l’assurance et l’inspection….L’agent gère le processus d’achat comme un projet, jusqu’à l’aboutissement.
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Direct: + 1 646 378 8534
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Auguste & Marcel: le nouveau-né d'un restaurateur-rugbyman à Austin
Auguste & Marcel, c’est le nom du bar à vins et à tapas qui vient d’ouvrir sur South Congress. Derrière, on trouve l’ancien rugbyman Sébastien Charbonneaux.
L’ex-sportif a la restauration dans le sang. Issu d’une famille de restaurateurs depuis plusieurs générations, il est rattrapé par la passion à 22 ans suite à une grave blessure au rugby. « C’est un métier pénible et fastidieux mais j’aime ça. »
Il commence en bas de l’échelle. D’abord serveur, cet affamé de travail – « cela m’a couté un mariage » – a de l’ambition et se retrouve à occuper de la gestion des plannings et de l’approvisionnement. En plus d’être précoce, il ne tient pas non plus en place. De Montpellier, il devient à 26 ans manager de l’Hôtel de la Paix, palace cinq étoiles à Genève, puis achète un hôtel à Morzine au pied des pistes qu’il fait fructifier pendant quatre ans. « On avait fait le tour et je commençais à m’ennuyer. A chaque projet c’était un peu la même chose. Au début, je galèrais, je doutais, je réussissais et très vite après, je m’ennuyais. »
C’est lors d’un voyage avec sa femme sur la côte ouest qu’ils décident de tenter une nouvelle aventure aux Etats-Unis. Leur choix se porte d’abord sur la Californie. « On a failli acheter à Santa Barbara mais le deal a capoté à la dernière minute. » Alors qu’ils n’ont jamais mis les pieds à Austin, ils sont séduits par la croissance de la ville, sa qualité de vie et les écoles. « On a tout de suite vu le potentiel de développement. Le deal s’est fait en deux semaines. On marche à l’instinct. »
Baptisé du nom de ses deux enfants, Auguste & Marcel propose une carte de tapas concoctée par le chef dijonnais Cédric François, à Austin depuis 17 ans. Au menu: charcuterie, fromage, moules marinières, rillettes de porc et de saumon ainsi que diverses salades. Tout est fait maison et uniquement à base de produits locaux farm to table.
Les vins sont strictement français, espagnols et américains. L’établissement a une capacité de 70 places assises et 36 en terrasse.
LeCupboard, le distributeur vegan qui vous veut du bien
C’est une “vending machine” qui ne distribue ni chips, ni barres chocolatées, ni sodas acidulés. Installé dans une vingtaine de lieux à San Francisco – espace de coworking, centre commercial…- leCupboard est un distributeur de repas vegan. Au menu : salade aubergine et falafels de quinoa ou encore mousse au chocolat saupoudrée d’amandes.
Derrière cette invention se trouve Lamiaa Bounahmidi, fondatrice et CEO de la start-up Looly’s à l’origine de ce distributeur pas comme les autres. Installée aux États-Unis depuis trois ans, l’entrepreneuse d’origine marocaine avait envie de proposer une alternative pour se nourrir vite et bien. « Manger est la décision la plus fréquente que l’on prend chaque jour. 70 % de la nourriture que nous mangeons façonne notre métabolisme ! Il faut que ça serve à autre chose que simplement nous rassasier. »
Un algorithme pour bien manger
« Aujourd’hui, notre alimentation permet de prévenir 80 % des maladies métaboliques : diabète, troubles cardio-vasculaires, dépression… Nous générons des recettes à partir d’un algorithme basé sur des recherches scientifiques en alimentation », poursuit Lamiaa Bounahmidi.
Les utilisateurs de cette vending machine vegan peuvent commander un plat adapté à leurs conditions physiques. « Une femme enceinte a un besoin nutritionnel en fer trois fois plus important qu’un individu lambda », raconte l’entrepreneuse. Si le consommateur ne veut pas rentrer ses informations personnelles sur l’écran de la machine à la vue de tous, il existe une application qui pré-enregistre ces informations.
Une fois le repas acheté en ligne, l’utilisateur dispose de 8 heures pour aller le récupérer au distributeur en scannant un QR code. À l’avenir, la start-up envisage des partenariats avec des assureurs. Car pour Lamiaa Bounahmidi, c’est une évidence: « mieux vaut qu’ils payent des repas sains à leurs clients diabétiques plutôt que de rembourser trente ans d’insuline ! »
Pour la startupeuse, “le bien manger” ne doit pas dépendre du portefeuille. « L’argent que nous dépensons dans les repas représente un budget considérable dans la vie de chacun ». LeCupboard propose des plats à partir de 7 $. « Nous ne facturons pas le packaging car les repas sont servis dans des tupperwares en verre réutilisables. Pour l’instant, nous avons un taux de retour 95 % des contenants. Et nous sommes en train de construire une machine à consigne ».
Best Croissant New York 2018 : les finalistes sont…
Vous avez aimé notre concours de la meilleure baguette de New York, vous adorerez notre “Best Croissant”. Vous avez été plus de 1.000 à nous communiquer vos meilleures adresses. Merci !
Tous les croissants sélectionnés sont fabriqués de manière artisanale. Les quinze boulangers-pâtissiers retenus participeront à la grande finale ouverte à tous le samedi 27 janvier à 5th&Mad. Le public élira son croissant favori après s’être déplacé de stand en stand pour goûter les croissants accompagné de confiture, de thé, café, beurre et autres petites douceurs du matin. Prenez vos places dès maintenant. Une formule brunch sera également proposée.
Dans le même temps, un jury avisé fera sa sélection après une dégustation à l’aveugle. Il choisira aussi le meilleur pain au chocolat. Que le meilleur gagne !
Maison Kayser
Il a remporté le concours de la meilleure baguette. Va-t-il récidiver avec le croissant ? Fondée en 1996 rue Monge à Paris par Eric Kayser, cette boulangerie authentique est présente dans 25 pays. Après avoir ouvert son premier point de vente en août 2012 à New York, l’enseigne connaît un développement fulgurant. Elle détient seize emplacements dans la Grosse Pomme et s’apprête à ouvrir à Washington. Site
Pain d’Avignon
A post shared by French Morning (@french.morning) on Jan 11, 2018 at 8:11am PST
Cette boulangerie située à Queens a été créée en 2000 par trois amis passionnés par l’artisanat français: Uliks Fehmiu, Bane Stamenkovic et Tole Zurovac. Elle fabrique des viennoiseries et d’autres produits français vendus à l’Essex Street Market, au Plaza Food Hall et au Dekalb Market Hall. Site
Recolte
Une publication partagée par French Morning (@french.morning) le 12 Janv. 2018 à 9 :28 PST
Cette boulangerie de l’Upper West Side ouverte en 2017 semble bien décidée à se faire une place au soleil. “Chef Jay” a remporté la médaille d’argent à la World Bakery Cup à Paris avec l’équipe taïwanaise ainsi que la médaille d’argent au Mondial du Pain 2013. Il aura à coeur d’ajouter “Best Croissant” à sa liste de réussites. Site
Orwashers
Une publication partagée par French Morning (@french.morning) le 13 Janv. 2018 à 11 :37 PST
Cet établissement (pour ne pas dire institution), dirigé par Keith Cohen, est une des plus anciennes boulangeries de New York. Fondée en 1916 par une famille d’immigrés hongrois, Orwashers continue de servir viennoiseries, pains et bagels. Sans désemplir. Site
Choc O Pain
Une publication partagée par French Morning (@french.morning) le 14 Janv. 2018 à 10 :49 PST
En janvier 2012, Clémence Danko quitte sa carrière dans la pharmaceutique et ouvre Choc O Pain à Hoboken. Un an plus tard, une deuxième boutique est créée à Jersey City. Une troisième est dans les cartons. Choc O Pain a remporté le Prix du public lors de notre concours de la meilleure baguette. Site
Charlotte Patisserie
Une publication partagée par French Morning (@french.morning) le 15 Janv. 2018 à 9 :44 PST
Avec une boutique à Greenpoint et une à Cobble Hill, Charlotte Patisserie offre une carte de produits français simple mais efficace, allant du classique croissant au beurre jusqu’à la quiche lorraine en passant par l’opéra ou le “carrot cake”. Michael Lechowicz, le chef d’origine polonaise, a fait son apprentissage dans le sud de la France avant d’être formé au French Culinary Institute. Il opère l’affaire avec sa soeur Magda. Site
Financier Patisserie
Une publication partagée par French Morning (@french.morning) le 16 Janv. 2018 à 8 :43 PST
Lancée en 2002 sur l’historique Stone Street, près de Wall Street, cette pâtisserie française a été nommée à la fois pour sa clientèle et pour le classique gâteau aux amandes aux allures de lingot d’or. Aujourd’hui, Financier possède plusieurs emplacements à travers Manhattan et propose un menu complet de pâtisseries et gâteaux français. Site
Aux Merveilleux de Fred
Une publication partagée par French Morning (@french.morning) le 17 Janv. 2018 à 7 :02 PST
Par choix, l’enseigne de Frédéric Vaucamps, créée à Lille en 1982, ne propose pas beaucoup de produits, mais les fait bien. Aux côtés de son produit-phare, Le Merveilleux, on trouve dans les boutiques de “Fred” des brioches cramiques, des gaufres flamandes et des croissants. Aux Merveilleux de Fred a été élu “Best Bakery in NY” par Yelp et BuzzFeed en 2017. Site
Mille-feuille
Une publication partagée par French Morning (@french.morning) le 18 Janv. 2018 à 11 :36 PST
Mille-Feuille Bakery & Cafe est une boulangerie artisanale familiale établie à New York depuis 2011. Son fondateur, Olivier Dessyn, a suivi une formation professionnelle au Ritz à Paris avant de se lancer dans l’aventure. Aujourd’hui, retrouvez Mille-feuille et ses délices sucrés dans l’Upper West Side (une boutique à Broadway et une à l’hôtel Belleclaire) ainsi qu’à Greenwich Village. Site
Ceci Cela
Une publication partagée par French Morning (@french.morning) le 19 Janv. 2018 à 12 :44 PST
Bien connu dans la communauté française, le chef Laurent Dupal tient haut les couleurs du savoir-faire français dans cette boulangerie située dans le Lower East Side. Formé aux prestigieux Compagnons du Devoir du Tour de France, il cherche à combiner simplicité et fraîcheur. Une de ses spécialités: le gâteau aux poires, qui associe crème mousseline, poires fraîches et gâteau à la vanille. Site
Le District
La boulangerie, située à l’entrée du District, est une des stations les plus prisées de ce marché à la française, situé à Battery Park City. Depuis bientôt trois ans, Jeremy Rousselet, le chef-boulanger, prépare chaque matin baguettes, pains aux céréales et viennoiseries dignes d’une vraie boulangerie française. Site
Amy’s Bread
Une publication partagée par French Morning (@french.morning) le 21 Janv. 2018 à 10 :54 PST
Encore une institution. Depuis 1992, Amy Scherber propose à ses clients pains traditionnels, sandwiches, bonbons, et gâteaux à l’ancienne. Ses produits, préparés à Long Island City et vendus dans trois cafés à Manhattan, ont reçu de nombreuses distinctions. Une belle récompense pour cette diplômée d’économie et de psychologie. Elle est notamment arrivée en deuxième position ex-aequo lors de notre concours de la meilleure baguette. Site
Colson Patisserie
Une publication partagée par French Morning (@french.morning) le 23 Janv. 2018 à 2 :54 PST
Depuis 2006, Colson Patisserie, incarnation new-yorkaise de la fameuse pâtisserie belge d’Hubert Colson à Mons, propose de délicieuses viennoiseries et desserts dans ses boutiques de Park Slope et d’Industry City à Brooklyn. Sous la direction de Yonatan Israel et Andrew Hackel, Colson fournit aussi de nombreux établissements à New York. Site
Margot Patisserie
Une publication partagée par French Morning (@french.morning) le 24 Janv. 2018 à 12 :50 PST
Cette pâtisserie a ouvert ses portes en mai 1994 dans le célèbre bâtiment Ansonia situé dans l’Upper West Side et connu pour son style Beaux-Arts. Les produits sont fortement influencés par la cuisine du sud de la France. Site
La Boulangerie
Cette boulangerie artisanale, fondée en 2011, se situe à Forest Hills à Queens. Les chefs François Danielo et Nadia DeJesus sont aux commandes de cette affaire. Le premier met les mains dans la farine à l’âge de 13 ans, quand il travaille dans la boulangerie familiale en Bretagne. Mais face aux réticences de son père, il décide d’épouser une autre voie. Il est vient aux Etats-Unis, en Californie d’abord, comme ingénieur mécanique, avant de revenir à ses premiers amours à New York. Site
Une conférence à Dallas sur la différences franco-américaines dans le business
Comprendre les différences culturelles entre Français et Américains: tel est l’objectif d’une conférence organisée par la chambre de commerce franco-américaine de Dallas-Fort Worth le mercredi 17 janvier à la Dallas International School (Upper Campus).
La conférence sera animée par Mercedes Naficy D’Angelo, directrice “global solutions” à Cultural Awareness International, une société qui aide notamment les managers à gérer des équipes multiculturelles. Elle parlera de l’importance de comprendre ces différences, en particulier entre Français et Américains, pour optimiser le travail en équipe.
EFBA emmène vos enfants au carnaval de Dunkerque (enfin presque)
Ambiance de fête à EFBA le 19 janvier. Le prochain “Vendredi, c’est permis” de l’association Education Française Bay Area aura pour thème le carnaval de Dunkerque, grand rassemblement annuel festif qui a lieu autour de Mardi Gras dans la ville du nord.
Les “Vendredi, c’est permis” sont des animations mensuelles en soirée pour enfants de 5-11 ans. Elles permettent aux plus jeunes de découvrir des facettes différentes de la francophonie dans un environnement ludique (et aux parents de profiter de leur vendredi soir). Lors du prochain événement, les enfants feront la connaissance de Figueman, figure incontournable du carnaval qui disparait en ne laissant derrière lui qu’une canne et une chaussette qui sent mauvais. Les inscriptions sont ouvertes.