Le Théâtre du Lycée français de San Francisco (TLF) ne fait pas les choses à moitié. Il accueille Charlotte de Turckheim pour deux journées de spectacle, les 1er et 2 février. Et vous propose de gagner une paire de tickets pour l’occasion. Il suffit de remplir le formulaire ci-dessous.
La comédienne viendra présenter “Une journée chez ma mère”, un one-woman show hilarant inspiré du film qu’elle a écrit avec Bruno Gaccio (Les Guignols de l’Info) dans les années 90. Le tandem remet ça vingt ans plus tard pour créer cette adaptation dans laquelle l’actrice interprète plusieurs personnages haut-en-couleurs (la baby-sitter idiote, la bonne portugaise, l’aristocrate snobinarde, l’étudiant « boche » aux cheveux roses, l’huissier bègue et une mère à la ramasse…) qui vont venir ponctuer cette journée rocambolesque.
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Gagnez des places pour voir Charlotte de Turckheim à San Francisco
Laure de Rivières en dédicace pour son recueil sur les femmes "Nage Libre"
Dans son jardin qui surplombe la vallée d’Encino, au nord-ouest de Los Angeles, Laure de Rivières écrit au gré de l’inspiration. Avec des mitaines quand les températures dégringolent, et un parasol de fortune quand le soleil devient trop fort. Elle a publié le recueil de nouvelles Nage Libre aux éditions Thot le 23 novembre, et le dédicacera le mardi 16 janvier à l’Alliance Française de Los Angeles.
Intitulé d’après une nouvelle sur une adolescente qui bascule dans la vie d’adulte via une compétition de natation, l’ouvrage reflète l’aventure de Laure de Rivières. Elle s’est jetée dans le grand bain de l’écriture. Entre deux tours du monde, un poste dans le marketing chez Disney, des collaborations pour la presse féminine et la création de l’agence de communication « La Machine à écrire » à Paris, elle s’est réinventée à de nombreuses reprises. L’écriture l’a « alpaguée » lorsqu’elle animait un atelier de rédaction à Paris ; et ce désir de composer s’est intensifié avec son expatriation, motivé par le projet professionnel de son mari. C’était il y a deux ans. « Je me suis engouffrée dans un espace de liberté, avoue la Parisienne. Ici, il y a une énergie positive, une simplicité à se réinventer. En France, si on ne vient pas du sérail, on ne peut pas devenir auteur. »
Au travers d’une vingtaine d’histoires recensées dans Nage Libre, Laure de Rivières questionne des sujets de société. “Je me suis rendue compte que toutes mes nouvelles avaient un point commun : elles parlent de femmes.” Ainsi, une nouvelle transcrit un dialogue entre un frère et sa sœur, adolescents. Il refuse qu’elle sorte habillée de manière trop sexy. Une autre histoire offre un « remake » de Blanche Neige à Woodstock, où la pomme est devenue un joint. Une autre encore relate l’histoire vraie de la première mère porteuse.
S’inspirant de ses rencontres, l’auteure de 47 ans bascule du registre loufoque à celui du polar en passant par le fantastique version Edgar Allan Poe. « C’est plutôt drôle et léger, même si ça donne parfois un coup de pied à un cliché moral et sociétal ».
Daniel Boulud donne un second souffle à son restaurant de Miami
Après sept ans d’existence, l’établissement DB Bistro Moderne, installé en plein coeur de Miami, fait peau neuve. Fermé depuis fin septembre afin de subir de nombreux travaux, le restaurant du chef français Daniel Boulud a rouvert ses portes le mardi 9 janvier sous l’appellation Boulud Sud.
« Une page se tourne mais je ne tire pas un trait définitif sur l’ancien concept, le projet est simplement mis en stand-by », confie avec un large sourire le chef doublement étoilé, installé depuis plusieurs dizaines d’années à New York. « J’ai souhaité me renouveler en apportant une formule différente, mais je garde toujours en tête l’idée d’ouvrir un vrai bistro français dans un autre quartier de Miami ».
Pour le moment, le Lyonnais d’origine, formé par des chefs prestigieux tels que Roger Vergé, Michel Guérard ou encore Georges Blanc, se concentre sur ce nouvel établissement, un second Boulud Sud, imaginé sur le même principe que le modèle qui a vu le jour il y a plusieurs années dans sa ville d’adoption. « Il s’agit d’une cuisine méditerranéenne inspirée par des saveurs italiennes, grecques ou encore marocaines, explique-t-il. L’été dernier, nous avions tenté l’expérience d’ouvrir ce restaurant pop up à Miami, et il avait trouvé son public, ce qui n’est pas étonnant. Ici, c’est l’été toute l’année et les saveurs méditerranéennes sont idéales ».
Poulpe à la plancha, tajine de poulet, loup de mer ou encore saltimbocca de veau, la carte concoctée par Daniel Boulud met clairement l’accent sur les viandes et poissons grillés et les produits frais locaux. « L’avantage d’être en Floride, c’est qu’avec un tel climat certaines cultures se développent toute l’année. Ainsi, même en hiver il est possible de s’approvisionner en tomates fraiches et en nombreux agrumes, souligne le chef. Il suffit alors de sublimer ces produits avec les épices, les herbes et les techniques de cuisson propres aux plats méditerranéens ». Le tout servi dans un décor chaleureux où fauteuils en lin blanc cassé, touches de bois naturels et carrelage au style marocain se mêlent avec harmonie, renforçant davantage l’esprit méditerranéen souhaité par cet établissement.
Ainsi, avec son nouveau bébé, Daniel Boulud, âgé de 62 ans, espère renforcer son petit empire culinaire qui compte déjà plus d’une quinzaine d’établissements à travers le monde. Et le chef ne souhaite pas s’arrêter en si bon chemin. Un nouveau restaurant gastronomique ainsi qu’une quatrième Épicerie Boulud verront le jour en 2020 au sein du One Vanderbilt, l’un des futurs gratte-ciel emblématiques de New York. « Et d’ici là, il y aura également l’ouverture d’autres restaurants, c’est certain, mais rien n’est encore signé ».
À la découverte du Los Angeles gourmand de Victoire Loup
Le répertoire de Victoire Loup, une Parisienne de 27 ans, est plein à craquer des numéros privés de chefs-cuisiniers de Los Angeles. Cette amoureuse de cuisine orientale copine avec le célèbre Ludo Lefebvre, avec qui elle a récemment tourné une publicité, ou Gordon Ramsay (elle a été jury dans sa future émission “24 Hours To Hell & Back”).
Cette ancienne du Fooding, bible des amoureux de nourriture, est derrière le blog In the Loup, dans lequel elle explore le Los Angeles gourmand. Elle a déjà testé deux cent adresses et entend bien continuer sur son rythme de croisière. Pour satisfaire la curiosité de ses lecteurs, elle peut enchaîner deux déjeuners ou dîners. « Ca peut être vraiment intense, surtout que j’arrive pas à manger que la moitié de l’assiette. »
C’est son nez aiguisé qui a permis à cette “foodista” d’asseoir sa crédibilité. Rien de plus logique pour cette fille de parfumeurs de Grasse. Après des études en marketing et communication, elle rejoint Le Fooding comme stagiaire, avant de devenir la responsable en communication du média. En août 2015, elle change de cap et part s’installer avec son ami à Los Angeles, où les débuts sont difficiles. « J’avais perdu tous mes repères. A Paris, on se balade et on trouve des petits endroits. Ici, il faut rechercher, prendre la voiture, tout se prévoit ».
Le lancement de son blog va radicalement changer ce postulat. « Il m’a mis le pied à l’étrier pour apprivoiser la ville, rencontrer le monde de la cuisine », se remémore Victoire Loup, qui a continué à travailler pour Le Fooding à distance jusqu’à fin 2016.
Sur son site, qui répertorie ses meilleures adresses (articles en anglais et français), elle se pose une question : « est-ce que ça vaut le coup que je fasse 45 minutes de voiture pour aller à un restaurant ? » « J’ai une règle : je ne fais que des critiques positives. Je respecte trop le métier des chefs, je ne veux pas les descendre.» A Los Angeles, elle découvre une diversité gastronomique qui n’est pas pour lui déplaire. « J’adore la pluralité ethnique. On peut aussi bien aller manger des mets traditionnels à Little Ethiopia que chinois à Orange County. Beaucoup de monde parle de ce qui ouvre, mais pas de ce qui existe ».
Son flair culinaire a été repéré par la plateforme de locations Airbnb, qui cherchait des ambassadeurs locaux pour proposer des « expériences » (« trips »). La jeune femme aux 20.000 followers sur Instagram ne s’arrête pas là. En plus de ses activités gourmandes, elle a été démarchée pour lancer une société de conseil pour les restaurants (du même nom que son blog). Elle planche aussi sur un projet de livre de portraits de chefs internationaux qui tentent d’améliorer le monde par la nourriture.
Les Ateliers Gohard dorent New York, de la Statue de la Liberté à Lou Reed
En entrant dans les Ateliers Gohard à Red Hook, on est tout de suite submergé par la délicieuse odeur de laque et de cire. A l’intérieur, des planches, des bonbonnes, des prototypes de meubles. Face à la baie vitrée ouverte sur la baie, une flamme de la Statue de la Liberté miniature, à seulement quelques miles nautique de la vraie, comme pour rappeler aux artisans doreurs français qu’ils lui doivent leur présence aux Etats-Unis.
Car c’est bien grâce à Lady Liberty que l’histoire des Ateliers Gohard a commencé à New York, en 1985. “Au moment de la restauration de la statue, la flamme qui était en verre a été remplacée par du métal. Les Métalliers Champenois ont réalisé la structure et nous avons été appelés pour la dorure“, explique Sébastien Vallin, responsables des Ateliers Gohard aux Etats-Unis. Un chantier pharaonique et emblématique pour les Français.
“Après cette expérience, nous avons souvent fait des aller-retours pour des contrats aux Etats-Unis, avant d’installer une filiale à New York“. Depuis trois ans, Sébastien Vallin gère une équipe d’une dizaine de professionnels: peintres, doreurs, laqueurs et staffeurs (travail du staff). Des artisans passionnés qui participent à la restauration ou la décoration d’appartements ainsi que d’hôtels, comme le Four Seasons Downtown Manhattan. L’établissement a commandé de gigantesques panneaux dorés pour habiller les murs de son lobby. Parmi les clients des Ateliers Gohard, on compte aussi des célébrités, comme Lou Reed. Quelques mois avant sa mort, il a eu un coup de foudre pour un paravent confectionné par Sébastien Vallin. “Il l’a découvert lors d’un salon du design, l’a montré du doigt et a juste dit: je le prends! se souvient le doreur. On est allé l’installer chez lui à TriBeCa, dans un magnifique appartement“.
En France, les Ateliers Gohard sont précédés par leur réputation d’excellence dans le milieu de la restauration et de la décoration. L’entreprise familiale, installée dans le XIe arrondissement de Paris, a participé aux chantiers les plus prestigieux: à l’Elysée, au Château de Versailles, dans les plus grands musées et les institutions. D’abord spécialiste de la dorure, l’entreprise a développé d’autres métiers, sous l’impulsion du petit-fils du créateur, Baptiste Gohard. Ce dernier a fait passer l’entreprise de 5 à 80 salariés en seulement onze ans, ouvrant également les filiales de New York et Londres. “J’ai tout appris avec les doreurs historiques qui m’ont montré tout ce qu’ils savaient“, raconte Sébastien Vallin qui a fait ses armes comme apprenti aux ateliers parisiens.
Depuis son arrivée à Brooklyn, l’artisan n’a pu que constater des différences entre son travail à New York et en France. Ici, pas de restauration de monuments historiques, mais plutôt une activité de décoration chez des particuliers aisés. “On ne travaille pas de la même façon, reconnaît Sébastien Vallin. A New York, on doit subir le rythme du chantier avec des délais qui sont très courts. Les objectifs de départ des ‘contractors’ sont toujours très ambitieux en temps. Pour finir, on les dépasse forcément en ayant été sous pression tout le long“. Autre différence qui continue de surprendre Sébastien Vallin: le rapport à l’artisanat de la part des clients. “A New York, j’ai parfois l’impression d’avoir à faire à des enfants gâtés. Les gens sont exigeants, capricieux et las, comme s’ils avaient tout vu ou comme si tout se valait. C’est très difficile d’impressionner un New-Yorkais!”
Les Ateliers Gohard y parviennent pourtant et le cahier de commandes est plein. A tel point que l’entreprise n’a jamais eu besoin d’investir dans la communication. La preuve : le site internet est même en chantier depuis plusieurs années.
À l’Alliance Française de LA, plein de nouveaux programmes pour petits et grands
(Agenda partenaire) L’année 2018 marque un nouveau chapitre pour l’Alliance Française de Los Angeles. Après l’arrivée à l’été d’une nouvelle équipe exécutive et au-delà des cours “classiques” qui ont fait leur preuve depuis plus de trente ans, plusieurs nouveaux programmes sont disponibles à partir du mois de janvier.
Parmi eux, l’Alliance Française de Los Angeles propose des classes d’éveil musical pour les 5 à 7 ans en partenariat avec The French Conservatory. Les cours auront lieu chaque dimanche de 10am à 11am et débuteront le dimanche 14 janvier ($25 l’heure). Des initiations au yoga (enfants seuls ou avec parents) sont également disponibles les dimanche matin, le tout en français. Enfin, un after-school autour d’activités éducatives en français, quel que soit le niveau des participants, est ouvert du lundi au jeudi, de 3pm à 6pm. L’inscription se fait à la carte: un, deux, trois ou quatre jours.
Côté adultes, deux ateliers supplémentaires voient le jour. “French on stage” (théâtre) et une série sur l’histoire de l’art viennent rejoindre les rendez-vous mensuels habituels: ciné club, book club, “sing along” et histoire. Intitulés “AF Extension”, ces moments prisés par les étudiants pour confronter leur français à d’autres domaines sont bien entendu ouverts à tous.
Le début d’année 2018 verra également un programme d’événements culturels très éclectique, avec la poursuite des conférences philosophiques de l’AILS (11 janvier), une séance de dédicaces avec Laure de Rivières (16 janvier) ou encore la Nuit des courts- métrages au Théâtre Raymond Kabbaz (26 janvier). Le tout avant une French Art Week éblouissante à partir du 5 février. A vos calendriers !
Renseignements et inscriptions sur le site internet de l’Alliance Française, par téléphone: 310 652 0306 ou par Email: [email protected]. Retrouvez également l’Alliance Française de Los Angeles sur Facebook, Instagram et MixR.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
5 activités à faire quand il fait "froid" à Miami
Après la vague de froid qui s’est abattue sur l’est des États-Unis, le mercure remonte péniblement. La Floride n’y échappe pas. Voici quelques activités à faire en attendant de pouvoir renfiler votre maillot de bain et lézarder sur les plages de Miami.
5. Fondre de plaisir au Museum of Ice Cream
Si vous souhaitez combattre le froid par le froid, rendez-vous au Museum of Ice Cream, le musée de la crème glacée qui a pris ses quartiers sur Collins Avenue à Miami Beach. Comme cet entremet auquel il est entièrement dédié, le musée est éphémère et refermera ses portes le lundi 22 janvier. D’ici là, petits et grands peuvent s’offrir une expérience culturelle et culinaire en goûtant des ballons comestibles, en concoctant de gigantesques sundaes ou encore en plongeant dans une vaste piscine remplie de vermicelles colorés. Museum of Ice Cream – 3400 Collins Ave, Miami Beach – (855) 258-0719
4. Se faire une toile au Miami Jewish Film Festival
Installé confortablement, bien au chaud et à l’abri de toute éventuelle intempérie, vous pourrez découvrir plus d’une quarantaine de films à l’occasion de la 21ème édition du Miami Jewish Film Festival qui se tient du 11 au 25 janvier dans différents cinémas de la ville. Cinq productions françaises, sous-titrées en anglais, sont notamment à l’affiche de ce festival international comme « Les Fantômes d’Ismaël » (lundi 22 janvier à 8:30pm), le dernier long métrage d’Arnaud Desplechin avec Mathieu Amalric, Marion Cotillard, Charlotte Gainsbourg et Louis Garrel. Le film biographique « Django » (mercredi 17 janvier à 8:30pm et mercredi 24 janvier à 6pm), qui s’intéresse à la vie du guitariste de jazz français Django Reinhardt, réalisé par Étienne Comar, fait également partie de la sélection. Miami Jewish Film Festival – (305) 573-7304
3. Arpenter les allées de l’Institute of Contemporary Art de Miami
Récemment ouvert, le nouveau Institute of Contemporary Art de Miami, situé en plein coeur du Design District, propose une exploration de la représentation de la femme dans la société contemporaine au travers des travaux réalisés par les artistes américains Edward et Nancy Kienholz. L’exposition « The Everywhere Studio » raconte, quant à elle, l’évolution de l’atelier d’artiste par le biais d’une centaine d’œuvres représentatives des cinquante dernières années, comme celles de Pablo Picasso, Andy Warhol ou encore Roy Lichtenstein. Profitez-en également pour faire un tour dans les 15.000 mètres carrés du jardin de sculptures de l’établissement. Institute of Contemporary Art – 61 NE 41st St, Miami – (305) 901-5272
2. Se tordre de rire au Miami Improv Festival
Quelques éclats de rire et une bonne dose d’humour. Ce sont les ingrédients du cocktail détonant concocté par le Miami Improv Festival qui, du 11 au 14 janvier, met en scène plus d’une trentaine d’artistes émergents, connus et moins connus. Une occasion idéale pour se vider la tête le temps d’une soirée et oublier la grisaille ambiante. Miami Improv Festival – 3119 Coral Way, Miami – (305) 693-8669
1. Siroter une bière au Miami Beer Festival
Enfin, que vous soyez fin connaisseur ou tout simplement amateur de belles blondes, brunes ou ambrées, la sixième édition du Miami Beer Festival, qui se déroulera le samedi 20 janvier au Marlins Park, permettra de découvrir plusieurs dizaines d’artisans brasseurs et de déguster leur production tout en se déhanchant au rythme de la musique mixée par les DJs qui se succéderont sur scène. À consommer avec modération, bien évidemment. Miami Beer Festival – Marlins Park, Marlins Way, Miami
Un afterwork à San Francisco sur l'investissement immobilier en France
Comment, en tant qu’expatrié, continuer à investir en France ? Comment l’investissement en SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) est-il devenu une référence en terme de placements immobiliers ? Ces questions seront au centre d’un afterwork organisé le mardi 23 janvier dans les locaux d’OFX.
Forts de leur expérience professionnelle, les deux associés du cabinet en gestion de patrimoine EUODIA, Nicolas Le Febvre et Nicolas Peycru, seront présents pour apporter leur expertise dans ce domaine.
Si l’investissement en SCPI est souvent méconnu, vous aurez l’occasion de comprendre son fonctionnement avec des exemples chiffrés, sa fiscalité ainsi que les avantages de ce produit.
Nicolas Le Febvre et Nicolas Peycru vous présenteront en détail les sociétés de gestion CORUM AM et PAREF, dont les SCPI agréées par la SEC permettent aux expatriés français de pouvoir investir. Si toutes les SCPI ne sont pas agréées, celles-ci disposent actuellement de rendements intéressants sur le marché (entre 5 et 6%) et proposent des options innovantes.
EUODIA est un cabinet de gestion de patrimoine proposant un large éventail de produits. Toutes vos questions par rapport à votre épargne détenue en France, vos investissements actuels ou même les prêts encore consentis dans l’Hexagone, pourront être posées au cours de cet afterwork.
Mort de Jean-Luc Le Dû: "Il était un vrai modèle" selon Daniel Boulud
Près de deux semaines après la disparition subite de Jean-Luc Le Dû, les hommages au vendeur de vins, véritable référence à New York, se poursuivent. “Jean-Luc était un vrai modèle, une référence pour toute la communauté des passionnés du vin“, a confié à French Morning le chef Daniel Boulud qui a travaillé avec le Breton pendant près de dix ans. Comme sommelier à Daniel, Jean-Luc Le Dû avait remporté plusieurs prix, dont le “Grand Award” de Wine Spectator en 2002 et “Outstanding Wine Service” de la James Beard Foundation en 2003.
« Cet autodidacte, sans aucune formation, avait réussi la prouesse de faire sa place et d’être respecté au sein de la profession. C’était quelqu’un de très talentueux qui avait un très bon palais et une excellente mémoire. Nous étions par ailleurs très amis et sa disparition a été tragique. Elle est intervenue beaucoup trop rapidement. Jean-Luc était si jeune et avait encore beaucoup à donner », a poursuivi le chef.
La mort de ce natif de Gourin (Bretagne), à 52 ans, a été annoncée sur la page Facebook de Le Dû’s Wines, son magasin de vins dans le West Village, le 27 décembre au soir. “Avec une tristesse totale, nous devons annoncer la mort de notre fondateur, Jean-Luc Le Dû. Il est parti dans son sommeil. Il était une lumière dans nos vies, pour le magasin et pour le monde du vin“. Plus de 200 personnes se sont retrouvées le jeudi 4 janvier à City Winery pour une soirée d’hommage “BYOB”.
Jean-Luc Le Dû est venu à New York dans les années 80 pour vivre sa passion pour le rock. Mais sur place, il a découvert l’univers du vin après avoir goûté une bouteille de Château Cheval Blanc de 1964 chez son oncle à Queens. Il a multiplié les expériences dans les restaurants et est devenu sommelier chez Daniel en 1995. Il a quitté le restaurant en 2004 comme sommelier-en-chef et ouvert son magasin de vins l’année suivante.
“Au-delà de sa qualité de sommelier, Jean-Luc était un vrai New-Yorkais, venu ici car il était fondu de rock et voulait faire des concerts. Il était plus New-Yorkais que Français ou Breton“, souligne le co-président de l’association bretonne BZH New York, qui se souvient d’un homme “super généreux“. Jean-Luc Le Dû avait accueilli des événements de l’association dans son magasin, comme la venue du Bagad de Lorient, et prêté main forte à l’organisation des Vieilles Charrues à New York en 2016. “On pouvait toujours compter sur lui. Tout le monde est sous le choc“.
Un petit-déjeuner à New York sur l'investissement immobilier en France
Comment, en tant qu’expatrié, continuer à investir en France ? Comment l’investissement en SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) est-il devenu une référence en terme de placements immobiliers ? Ces questions seront au centre d’un petit-déjeuner organisé le lundi 29 janvier dans les locaux de Foley Hoag.
Forts de leur expérience professionnelle, les deux associés du cabinet en gestion de patrimoine EUODIA, Nicolas Le Febvre et Nicolas Peycru, seront présents pour apporter leur expertise dans ce domaine.
Si l’investissement en SCPI est souvent méconnu, vous aurez l’occasion de comprendre son fonctionnement avec des exemples chiffrés, sa fiscalité ainsi que les avantages de ce produit.
Nicolas Le Febvre et Nicolas Peycru vous présenteront en détail les sociétés de gestion CORUM AM et PAREF, dont les SCPI agréées par la SEC permettent aux expatriés français de pouvoir investir. Si toutes les SCPI ne sont pas agréées, celles-ci disposent actuellement de rendements intéressants sur le marché (entre 5 et 6%) et proposent des options innovantes.
EUODIA est un cabinet de gestion de patrimoine proposant un large éventail de produits. Toutes vos questions par rapport à votre épargne détenue en France, vos investissements actuels ou même les prêts encore consentis dans l’Hexagone, pourront être posées au cours de ce « breakfast ».
Un petit-déjeuner à Miami sur l'investissement immobilier en France
Comment, en tant qu’expatrié, continuer à investir en France ? Comment l’investissement en SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) est-il devenu une référence en terme de placements immobiliers ? Ces questions seront au centre d’un petit-déjeuner organisé le jeudi 25 janvier dans les locaux de Jade Associates.
Forts de leur expérience professionnelle, les deux associés du cabinet en gestion de patrimoine EUODIA, Nicolas Le Febvre et Nicolas Peycru, seront présents pour apporter leur expertise dans ce domaine.
Si l’investissement en SCPI est souvent méconnu, vous aurez l’occasion de comprendre son fonctionnement avec des exemples chiffrés, sa fiscalité ainsi que les avantages de ce produit.
Nicolas Le Febvre et Nicolas Peycru vous présenteront en détail les sociétés de gestion CORUM AM et PAREF, dont les SCPI agréées par la SEC permettent aux expatriés français de pouvoir investir. Si toutes les SCPI ne sont pas agréées, celles-ci disposent actuellement de rendements intéressants sur le marché (entre 5 et 6%) et proposent des options innovantes.
EUODIA est un cabinet de gestion de patrimoine proposant un large éventail de produits. Toutes vos questions par rapport à votre épargne détenue en France, vos investissements actuels ou même les prêts encore consentis dans l’Hexagone, pourront être posées au cours de ce « breakfast ».
Alexandre Desplat, fierté française des Golden Globes
Et un de plus. Dimanche 7 janvier, le Français Alexandre Desplat a obtenu pour la deuxième fois le prix de la meilleure bande originale de film, raflant la mise aux papes de cette catégorie (Hans Zimmer et John Williams). Le compositeur a été récompensé pour la musique de “La Forme de l’eau” de Guillermo Del Toro, qui sera en salles le 21 février. Il a dédié son prix à sa femme, la violoniste Dominique Solré Lemonnier.
“La Forme de l’eau” raconte l’idylle improbable entre une femme de ménage muette travaillant dans un laboratoire secret de l’armée et une mystérieuse créature amphibie capturée en Amazonie, en pleine Guerre Froide.
Le Français de 56 ans avait déjà recueilli un Golden Globe en 2007 pour “Le Voile des illusions” de John Curran, ainsi qu’un Oscar en 2015 pour “The Grand Budapest Hotel” de Wes Anderson. Ces prix font de lui l’un des Français les plus récompensés à l’étranger, derrière les compositeurs Maurice Jarre et Michel Legrand.