Que faire pour faire oublier l’hiver ? Assister à un concours de cassoulet, pardi ! Le restaurateur américain Jimmy Carbone, fondateur du restaurant Jimmy N°43, organise pour la 10e année consécutive le « Cassoulet Cookoff » samedi 20 janvier entre 12pm et 3pm dans les locaux de l’école de cuisine The Brooklyn Kitchen à Williamsburg.
Lors de cette compétition, des chefs professionnels et amateurs, aussi bien américains que français, devront présenter leur(s) meilleure(s) version(s) du célèbre plat languedocien, à base de haricots blancs et de viande de canard, de porc ou même de mouton selon sa région d’origine.
Un jury composé d’auteurs de livres de cuisine, de chefs ou de restaurateurs spécialistes du plat sudiste et les clients participants voteront pour leurs préparations préférées, après dégustation. Les compétiteurs seront récompensés dans différentes catégories : du meilleur « Ameri-cassoulet » au meilleur cassoulet traditionnel, en passant par une mention d’honneur pour le cassoulet le plus créatif. Trois grands vainqueurs, de la première à la troisième place, seront par ailleurs désignés par le public.
Pour cette édition anniversaire, l’événement coûte 45 dollars par personne – le prix comprend le repas, soit plus d’une dizaine de portions de cassoulets différents, et les boissons, une sélection de cidres, de bières artisanales, de vins et de liqueurs. Les places sont disponibles en ligne, à réserver à l’avance.
Un concours de cassoulet à Brooklyn (parce que pourquoi pas ?)
New York Restaurant Week 2018: les réservations sont ouvertes
Vous aimez bien manger et découvrir de nouvelles adresses mais votre budget resto ne vous le permet pas ? La New York Restaurant Week est là pour vous aider. Du lundi 22 janvier au vendredi 9 février, 377 restaurants proposeront des menus à prix fixes, 29 $ le déjeuner et 42 $ le dîner (sauf les samedis).
Parmi les participants les plus prestigieux, on trouve le japonais Suzuki à Times Square qui vient de recevoir une étoile Michelin, Tavern 62 et David Burke Kitchen pour un menu américain healthy et de qualité. Profitez-en pour dîner dans le décor majestueux de Tao Downtown dans le Meatpacking ou manger de la bonne viande au steakhouse Smith & Wollensky à Midtown. Pour une expérience culinaire insolite, on vous recommande The View, restaurant rotatif du Marriott Marquis à Times Square.
Pour bénéficier de l’opération, vous pouvez vous rendre directement dans l’un des établissements partenaires, mais les réservations sont fortement conseillées, notamment dans les grands restaurants. Elles sont possibles depuis le 8 janvier sur le site de l’événement en partenariat avec OpenTable.
Lors de la New York Restaurant Week, les établissements vous proposeront de choisir parmi une sélection d’entrées, de plats et de desserts. Certains restaurants proposent également des tarifs spéciaux sur les cocktails et le vin.
"Ils ont failli en venir aux mains": la frustration des passagers d'un New York-Paris
Le “Bomb Cyclone” continue de charrier son lot d’histoires d’horreur aériennes: voyageurs bloqués, informations lacunaires, files d’attente interminables… Ce week-end, le Français XL Airways en a fait les frais.
Après une première salve de critiques de la part de passagers livrés à eux-mêmes à Washington-Dulles suite à la redirection de leur vol Paris-New York, voilà que d’autres “naufragés”, bloqués depuis jeudi pour certains à New York, expriment leur frustration face à la manière dont la compagnie low cost gère l’après-tempête.
Au total, quatre vols New York-Paris ont été reportés depuis jeudi, affectant des centaines de personnes. L’un d’entre eux a pu décoller dimanche, un deuxième est prévu lundi. Les passagers des deux autres n’ont pas encore de date de départ, selon le site de XL.
“Je suis épuisé, j’ai très mal à la tête. Je suis entrepreneur, j’ai autre chose à faire“, se plaint un père de famille qui a pu repartir dimanche – son vol initial était jeudi – avec sa femme et leurs cinq enfants entre 5 et 13 ans. La petite tribu a pu être accueillie “au pied levé” par des amis “incroyables“. “Les incidents météorologiques peuvent arriver mais ce qui me frappe, c’est la complète désorganisation des aéroports est-américains et l’abandon des passagers à leur sort sans informations des compagnies. On est allé de rebondissements en rebondissement pendant 63 heures“.
“Heureusement, nous avons pu être hébergés par des amis, mais nous ne savons pas où nous allons dormir ce soir ni demain“, regrette Lorie Raymond, une Française enceinte de 5 mois qui devait repartir dimanche avec sa famille. “On ne nous a pas offert d’options de relogement“, poursuit-elle. Elle avait acheté un billet XL Airways jeudi soir à la suite de l’annulation de son vol Delta pour Paris. Mais, à cause d’un problème lors de la réservation, elle s’est retrouvée à débourser 1.000 euros de plus que le prix initial. Elle attend désormais de connaître sa date de départ. Heureusement, elle a conservé un billet Delta pour mardi, au cas où. “D’une manière globale, cet épisode aurait pu être mieux géré (…) On n’avait aucune information, aucune prise en charge, aucun traitement de faveur quand on avait des enfants. On était livrés à nous-mêmes dans un aéroport qui offre trente minutes de wifi gratuit. Sans ça, j’aurais passé la nuit à l’aéroport”.
Pour certains passagers, la frustration est encore plus grande. Françoise Salmon fait partie de ceux qui auraient dû partir vendredi soir, mais le vol a été annulé vers 2 heures du matin samedi au grand dam des passagers. Faute de bus ou d’hôtels proposés, “on est resté sur place pour s’installer comme on pouvait. Il n’y avait pas d’eau, pas de mesures prises malgré les enfants. Aucune mesure pour assurer un minimum de bien-être”.
Les passagers sont revenus le lendemain soir pour embarquer à bord d’un nouveau vol pour se voir signifier, “au-delà de minuit“, une nouvelle annulation. “Les gens étaient à cran. Ils avaient dormi dans l’aéroport dans des conditions difficiles. Il y avait de l’agressivité. On a eu peur qu’une dame présente fasse une crise de nerfs. Des hommes ont failli en venir aux mains. La sécurité est intervenue“. Françoise Salmon considère qu’elle fait partie des chanceuses car elle a pu rester chez sa fille, qui réside à New York. “Certes, il y a les conditions climatiques, mais ce qui est dur à vivre, c’est d’avoir l’impression d’être mené en bateau jusqu’à la dernière minute. Rien n’a été fait pour mettre les gens dans des situations confortables. Ils ont distribué des bons alimentaires, mais uniquement à ceux qui les demandaient. Ce n’est pas très clean“.
Vols faisant demi-tour, avions bloqués sur le tarmac pendant des heures…: XL Airways n’est pas la seule compagnie aérienne à avoir été la cible de passagers en colère si l’on en croit les nombreuses histoires relayées par la presse. Au total, plus de 600 vols ont été reportés ou annulés dimanche à JFK selon le site Flight Aware. Pour ne rien arranger, la collision entre deux avions à l’aéroport samedi et la rupture d’une canalisation dans le terminal de XL ont ajouté au chaos.
“La tempête a provoqué de nombreux dysfonctionnements à l’aéroport : pas de catering, pas de maintenance, pas de carburant… plus la collision de deux avions. Nous avons donné des informations dès que nous pouvions par SMS et e-mail mais certains passagers ne les reçoivent pas car ils n’ont pas communiqué leurs coordonnées ou n’ont plus de batterie“, a souligné Stéphanie Cordier, porte-parole de XL Airways, dans un e-mail. Elle dit que la compagnie a mis 150 chambres à disposition de ses passagers. “Notre équipe sur place fait son possible pour les informer en temps réel mais l’aéroport a de nombreuses compagnies à gérer et chacun doit attendre son tour“.
"L'insulte" au menu du prochain Uptown Flicks à Harlem
C’est peut-être le prochain Oscar du meilleur film en langue étrangère et il sera montré à Harlem. “L’Insulte”, film du réalisateur libanais vivant à Paris Ziad Doueiri, est à l’affiche du prochain Uptown Flicks, la série de films français à Harlem, le jeudi 11 janvier au Maysles Cinema.
Le pitch: à Beyrouth, un réfugié palestinien et un chrétien libanais se retrouvent face-à-face au tribunal. Alors que la situation s’emballe et les dépassent, ils font le point sur leurs propres croyances en cherchant à se comprendre.
La projection sera précédée par “Negative Space”, un court-métrage d’animation français également dans la course aux Oscars. Une réception est prévue.
"Agir, la droite constructive" se lance en Amérique du Nord
“Je ne sais pas si c’est moi qui ai quitté Les Républicains ou si ce sont Les Républicains qui m’ont quitté“. Militant de droite de longue date, le conseiller consulaire d’Atlanta Dominique Lemoine a décidé de quitter du parti. L’élection de Laurent Wauquiez en décembre a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.
“Les Républicains français s’engagent dans les mêmes dérives que les républicains américains. Ce n’est pas ma philosophie. Je suis un libéral avec une sensibilité sociale, pas un nationaliste strident. Sens Commun, le rapprochement des idées du Front National… Il y avait une autre possibilité. J’ai sauté sur l’occasion“.
Cette “autre possibilité“, c’est le mouvement “Agir, la droite constructive”, lancé par plusieurs ancien membres LR regroupés sous l’étiquette “les Constructifs”, dont l’ancien député des Français d’Amérique du Nord Frédéric Lefebvre. Ces élus ou anciens élus ne reconnaissent pas dans la ligne droitière de Laurent Wauquiez mais ne veulent pas pour autant rejoindre La République en Marche.
Devenu officiellement parti en novembre, le groupe se structure en France et à l’étranger. Dominique Lemoine l’animera en Amérique du Nord et travaille avec l’ex-LR Jean-Louis Gibault en Belgique pour l’organiser à l’international. “Je ne suis pas En Marche, mais si Emmanuel Macron et Edouard Philippe font les réformes que le centre-droit demande, je ne vois pas pourquoi on serait en opposition systématique”. Tout en saluant les réformes économiques du gouvernement et le “sans faute” du président en politique étrangère, il prévient toutefois qu’il “ne s’agit pas de donner un chèque en blanc, notamment sur les Français de l’étranger où le gouvernement est très léger“.
Dominique Lemoine n’est pas le seul élu des Français de l’étranger à avoir sauté le pas. Le sénateur rattaché LR Robert del Picchia fait partie des membres fondateurs d’Agir. “Beaucoup de gens nous contactent, assure Dominique Lemoine. Je connais bien les adhérents LR en Amérique du Nord. Ce ne sont pas des nationalistes. Ce sont des gens qui votent à droite en France mais démocrate aux Etats-Unis.”
Agir n’en est qu’à ses balbutiements en Amérique du Nord. La priorité de Dominique Lemoine dans la circonscription et le reste du monde est “d’organiser l’architecture du parti, lever des fonds, recruter, informer les électeurs.” Proche de Frédéric Lefebvre, battu lors de la dernière législative, Dominique Lemoine assure que l’antenne nord-américaine d’Agir n’a pas vocation à servir de rampe de lancement pour une future candidature Lefebvre. “Ce n’est pas du tout à l’ordre du jour. Les prochaines élections sont dans longtemps”, dit-il, soulignant que “l’Amérique du Nord a toujours une place spéciale pour lui. Il y vient souvent pour son travail”. MM. Lefebvre et Lemoine sont associés au sein du cabinet d’avocats Lemoine-Lefebvre. “Il aura toujours un oeil bienveillant sur l’Amérique du Nord, avec laquelle il entretient une relation d’affaires et affective“.
Bomb Cyclone: quand un vol Paris-New York fait demi-tour à mi-chemin
(Mis à jour avec le commentaire de Norwegian Airlines)
“Quand le pilote a dit ‘we need to go back to Paris’, tout le monde s’est marré. C’était tellement gros que c’était absurde“. Romain-Alexis Bouché fait partie des passagers malheureux d’un vol Paris-New York de Norwegian Airlines qui a rebroussé chemin, jeudi 4 janvier, à mi-chemin au-dessus de l’Atlantique, au bout de quatre heures de vol.
En cause: l’aéroport JFK avait été fermé en raison du “Bomb Cyclone”. “C’était un vol tranquille. Arrivé au niveau du Groënland, le pilote a décroché son micro. Il y avait beaucoup de ‘euh’ dans sa voix. Il nous a annoncé que l’aéroport avait été fermé jusqu’à 7am.”
Selon le jeune Français, le pilote aurait informé les passagers que la compagnie avait anticipé le scénario et pris des réserves supplémentaires de carburant pour “tourner autour de l’aéroport“. Malheureusement, l’avion n’en avait pas assez pour tenir jusqu’à 7am et le pilote a décidé de rebrousser chemin.
“Tout le Nord-Est était recouvert de neige jeudi. Alors que de telles décisions sont prises de concert avec le pilote, les opérations et le contrôle aérien, l’équipe de vol doit parfois faire ce que les autorités aéroportuaires locales lui demandent. Par conséquent, par précaution et avec la sécurité de nos passagers comme priorité, l’avion est retourné à Paris“, a confié Norwegian Airlines dans un e-mail.
Le retour n’a pas été de tout repos pour les passagers, dont le vol était déjà parti avec trois heures de retard. Placés dans un hôtel près de Roissy Charles-de-Gaulle à leur atterrissage tôt le vendredi, ils ont à peine eu le temps de fermer l’oeil qu’ils ont reçu un message de Norwegian les informant qu’un vol de remplacement avait été trouvé pour plus tard dans la journée. Mais ce vol, opéré par la compagnie Vamos Air, a finalement été décalé à samedi 7 heures du matin au grand dam des passagers qui avaient fait le déplacement pour découvrir une file d’attente “insensée” de clients frustrés et en colère à la porte d’embarquement.
Valérie-Anne Demulier, fondatrice du réseau She for S.H.E à New York, faisait également partie de ce vol cauchemardesque. Après avoir dormi deux heures, elle dit ressentir beaucoup de “fatigue surtout et un peu d’amertume liée au manque d’informations cohérentes. J’ai très envie d’être de retour chez moi ! Je pense surtout aux gens qui avaient des obligations à New York, comme cette fille qui avait une audition qui n’a lieu qu’une fois tous les trois ans, ou encore ces parents avec leur bébé qui doit être complètement déphasé… Je croise les doigts pour partir samedi matin, comme annoncé. En tout cas, au final, ça fait une histoire originale à raconter“.
“Le plus frustrant, ce sont les informations. C’était n’importe quoi. Je n’ai jamais eu une sale expérience comme ça. Et pourtant, je prends beaucoup l’avion. Le bon côté, c’est qu’on s’est retrouvés tous pour déjeuner et partager nos histoires, relativise Romain-Alexis Bouché, qui s’est lié d’amitié avec une étudiante française, Laëtitia Vançon, qui a loupé sa date d’emménagement à New York à cause de cette affaire. “On espère juste que le vol partira bien samedi car ma rentrée est lundi !“, lance-t-elle.
Dans quoi investir en 2018 ?
(Article partenaire) Face à l’incertitude de la bourse et à la baisse des rendements des contrats d’assurance-vie et des livrets d’épargne, l’immobilier locatif fait plus que jamais figure d’investissement de choix. Voici pourquoi.
Le livret A : il touche un plus bas historique
Le « placement préféré des Français », selon la formule consacrée, est à la peine. Ses bénéficiaires ne vont pas pouvoir compter sur lui pour s’enrichir dans les années à venir. En effet, le gouvernement a pris la décision cet automne de maintenir son taux de rémunération à 0,75% pour les deux années à venir. C’est à dire à un niveau nettement inférieur à celui de l’inflation, qui sera comprise entre 1% et 2% en 2018. C’est donc une bien mauvaise nouvelle pour les 56 millions de titulaires du Livret A.
La tendance est identique pour le Livret de développement durable et le Plan Epargne Logement (PEL) : leurs taux d’intérêts ont baissé ces deux dernières années. Le taux de rémunération du PEL est passé de 2,5% de 2003 à 2015 à 1% depuis le 1er août 2016. Les taux d’intérêts devraient rester sous le niveau de l’inflation. De plus, il y a du changement à compter du 1er janvier 2018 : tout nouveau plan d’épargne logement sera taxé à hauteur de 30%.
L’assurance-vie : ses rendements sont en chute libre
L’assurance-vie, c’est le placement préféré des Français. Vous avez une impression de déjà lu ? C’est normal, assurances-vie et livret A se partagent cet honneur. C’est un produit financier considéré comme très sûr et d’ordinaire assez rentable. Toutefois, l’attractivité des contrats d’assurance-vie est en train de se réduire car ils subissent, eux aussi, la baisse générale des taux d’intérêt.
En conséquence, leurs rendements sont orientés à la baisse, voire en chute libre. En témoignent les études (publiques et privées) menées par des organismes comme l’Association nationale de défense des consommateurs et usagers (CLCV) ou encore l’Autorité de contrôle prudentielle et de résolution (ACPR). Toutes tirent les mêmes conclusions et entrevoient les mêmes évolutions : situés autour de 2,5% en 2015, les rendements pourraient s’établir durablement sous le seuil des 1,5% en 2018. Ces données générales masquent toutefois quelques nuances pointées par CLCV : les contrats d’assurances vie commercialisées par les assureurs et les mutuelles s’en tirent un peu mieux que ceux proposés par les banques.
La Bourse : même en bon père de famille…c’est risqué
Chaque fin d’année, la presse spécialisée interroge les experts des marchés financiers pour s’enquérir des actions porteuses l’année suivante. Un an plus tard, on constate que leurs prévisions se sont avérées assez justes. Enfin…pour la plupart, car il y a toujours de mauvaises surprises. C’est un fait: jouer en bourse peut rapporter ou faire perdre gros. Il est avéré que, sur les marchés d’Amérique du Nord et d’Europe, la volatilité des actions et des obligations est tombée à un plus bas historique en 2017, comme l’indique par exemple l’indice VIX de volatilité du marché financier américain.
Cette faible volatilité témoigne de la relative stabilité de l’environnement économique. Pourtant, tout le monde n’est pas optimiste. « 2018 sera l’année de tous les dangers », estiment ainsi des analystes comme Jean-Pascal Rolandez, gérant du fonds Ulysses LT Funds European General chez The LT Funds à Genève, interrogé par Boursorama. Le décrochage des bourses pourrait venir d’un repli des marchés américains.
Et l’immobilier dans tout ça ?
L’évolution du marché de l’immobilier reste très favorable aux investisseurs à l’heure actuelle et l’année 2018 ne devrait pas leur faire défaut. Stimulé par des taux d’intérêt de l’emprunt immobilier très bas, le marché est porteur. Les analystes du marché immobilier entrevoient une poursuite de la légère remontée des taux, mais ceux-ci devraient rester encore très avantageux. Comptez sur les experts de My expat pour vous accompagner dans votre projet d’investissement dans l’immobilier locatif à Paris, Lyon et Bordeaux !
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
5 adresses pour boire un bon chocolat chaud à New York
The Chocolate Room (Cobble Hill) – 5,5 dollars
C’est l’adresse incontournable pour les amoureux de chocolat sous toutes ses formes. Cette enseigne de Brooklyn propose plusieurs types de chocolats chauds pour 5,5 dollars: classique, chocolat noir, épicé (vendu en hiver) et “café torino” avec un shot d’espresso. Un chocolat froid couvert de crème fouettée est aussi en vente pour 8 dollars. 269 Court St. 718.246.2600. Site
L.A. Burdick Chocolates (SoHo) – 4,75-6 dollars
L.A Burdick, c’est plein de bons chocolats faits à la main, en particulier de petites souris qui font la renommée de cette marque qui dispose d’une boutique à SoHo. C’est aussi un café où l’on trouve de succulents chocolats chauds (blancs, au lait, noirs, épicés). La maison propose aussi un breuvage “Madagascar single source”, confectionné à partir de fèves de cacao provenant de l’île africaine. Disponibles en deux tailles pour 4,75 (petite-moyenne) et 6 dollars (grande). 156 Prince St. (212) 796-0143. Site
Café Lalo (Upper West Side) – 4,75 dollars
Le “café le plus connu de New York”, comme il s’auto-proclame très modestement, est un paradis pour les amateurs de gâteaux, en particulier de cheesecakes. La carte en compte une trentaine et les saveurs ne manqueront pas de vous surprendre (qui a goûté le cheesecake au potiron ?). Le chocolat chaud de Lalo vaut aussi le détour. On vous conseille de l’accompagner de crème fouettée pour deux dollars de plus car, à ce stade, on ne compte plus les calories. 201 West 83rd St. (212) 496-6031
. Site
City Bakery (Chelsea) – 5 dollars
Considéré par plusieurs sites comme le meilleur chocolat chaud de New York, City Bakery est une institution pâtissière, située depuis 1990 près d’Union Square. Ici, on ne rigole pas avec le chocolat chaud. Celui-ci est servi, pour les clients qui le souhaitent, avec un gros cube de guimauve qui absorbe le chocolat onctueux. On vous conseille de résister à la tentation de prendre une grande taille tant le chocolat est épais et nourrissant, d’autant que les innombrables cookies en vente ne sont pas très légers non plus. L’espace, sur deux niveaux, offre la possibilité de s’assoir facilement. 3 W 18th St. (212) 366-1414. Site
Martha’s Country Bakery (Astoria) – 4,50-5,75 dollars
Pour un bon chocolat chaud, onctueux et généreux, l’adresse à découvrir à Queens est Martha’s Country Bakery, un pilier d’Astoria. Dans cette boulangerie qui grouille de clients et de gâteaux alléchants, on peut prendre place autour de quelques tables pour profiter du chocolat chaud “red velvet”, inspiré du gâteau rouge “red velvet”, en vente pour 4,50 et 5,75 dollars selon la taille. On vous prévient: vous aurez votre dose de sucre pour le mois. Un chocolat chaud traditionnel est également en vente pour 3,25 et 4,50 dollars. 36-21 Ditmars Blvd. 718.545.9737. Site
Touristes, vous devrez bientôt payer votre entrée au Met
Les touristes devront bientôt passer à la caisse pour profiter des collections du Met. Le prestigieux musée new-yorkais a annoncé, jeudi 4 janvier, que les non-résidents de l’Etat de New York devront payer leur entrée à partir du 1er mars (25 dollars pour les adultes, 17 dollars pour les seniors, 12 dollars pour les étudiants). Les tickets seront valables pour trois jours.
La musée met donc fin à sa politique d’entrée gratuite avec “donation suggérée” instaurée en 1970. Jusqu’à présent, les visiteurs étaient invités à donner 25 dollars à l’entrée, mais étaient libres de dépenser ce qu’ils voulaient.
Cette mesure doit permettre à l’institution déficitaire de renflouer ses caisses en générant entre 6 et 11 millions de dollars de revenus supplémentaires par an. Les résidents de l’Etat de New York resteront libres de payer ce qu’ils veulent (voire de ne rien payer du tout), mais devront se munir d’une pièce d’identité pour prouver leur lieu de résidence.
No Pants Subway Ride 2018: Dallas tombe le pantalon
Commencez 2018 en tombant le pantalon. La traditionnelle journée “No Pants Subway Ride” est organisée le dimanche 7 janvier à Dallas à partir de 12pm.
L’idée de cette journée: prendre le réseau DART sans pantalon, tout simplement. L’occasion de sortir votre plus beau caleçon ou votre culotte la plus rigolote. Pour plus d’informations et pour consulter les règles du jeu, allez sur la page Facebook de l’événement à Dallas, ainsi que le site des organisateurs, le collectif Improv Everywhere.
Notre conseil: pensez à prendre un sac à dos avec collants et pantalon pour la sortie du métro.