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Rénovation, Start’Up Lycée… 2018 commence fort au Lycée Français de San Francisco

(Article partenaire). Le théâtre du Lycée Français de San Francisco (TLF) commence 2018 en beauté: il fait peau neuve.
« En rachetant le bâtiment occupé par le conservatoire de musique il y a quelques années, nous avons eu la chance d’hériter également d’une très belle salle de spectacle. Durant la journée, c’est un espace de travail pour les élèves et leurs enseignants, et le soir, c’est un lieu de rencontre et de représentation, explique Agnès Hogan, directrice des admissions et de la communication. Nous avons décidé cette année de faire des rénovations et des améliorations techniques de grande ampleur ! ». Le système son et lumière est en train d’être entièrement modernisé. Le théâtre sera notamment doté d’une nouvelle console de contrôle technique, d’un projecteur de cinéma et d’un système de cyclorama, une toile tendue sur laquelle des images pourront être projetées durant les représentations.
Le rideau du théâtre mis à neuf se lèvera sur le spectacle de Charlotte de Turckheim, les 1er et 2 février. Les spectateurs prendront place dans de nouveaux fauteuils pour assister à la comédie musicale mise en scène par Virginie Lemoine le 9 février et voir Alexis Moncorgé, petit-fils de Jean Gabin et lauréat du Molière de l’interprétation masculine en 2016, sur la scène TLF le 2 mars. L’intégralité de cette programmation est visible sur le site du TLF, qui fait partie du tout nouveau site web du Lycée Français.
TLF
Parce que le théâtre est actuellement en rénovation, la 3eme édition du Start’Up Lycée n’aura pas lieu sur le campus d’Ortega. Le challenge se tiendra vendredi 19 et samedi 20 janvier à la Hult International Business School de San Francisco. Coachée par des professionnels de la Baie, une soixantaine d’étudiants de seconde, première et terminale auront 48h pour monter une entreprise. Les entrepreneurs en herbe devront notamment mettre au point un business plan et pitcher leur idée face à un jury. Une équipe sera sélectionnée pour ensuite participer à la finale qui aura lieu les 23 et 24 mars à Chicago.
« L’an passé, ce sont des élèves du Lycée Français de San Francisco qui ont gagné la finale nationale. Ils ont eu l’opportunité d’aller présenter leur projet au siège des Nations Unies à New York », précise Agnès Hogan.
Autre temps fort de ce début d’année : la présence du Lycée Français de San Francisco parmi les 40 exposants de la toute première “Bilingual Fair” organisée à San Francisco, le samedi 3 févrierpar French Morning à l’hôtel Le Méridien. En tant qu’acteur incontournable de l’éducation bilingue de la Baie, et sponsor principal de l’événement, l’établissement organisera deux conférences dont l’une sur les bénéfices cognitifs du bilinguisme avec la présence d’une chercheuse du laboratoire Lifespan Cognition and Development de Toronto (York University), dirigé par le professeur Ellen Bialystok.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Arnaud Montagard, photographe de l'insolite à New York

« A New York, il se passe toujours quelque chose! C’est une ville dynamique, graphique, inspirante! ». Quand il parle de sa ville d’adoption, Arnaud Montagard a les yeux qui brillent et le débit qui s’accélère. A seulement 26 ans, le jeune homme est un photographe reconnu, en France mais aussi aux Etats-Unis, où il s’est installé il y a un an, après plusieurs aller-retours.
Dans quelques semaines, Veuve Clicquot sortira la campagne de publicité sur laquelle il a travaillé : un shooting à Reims au siège et au milieu des vignes. Avant ça, Air France, la chaîne hôtelière américaine Loews ou encore la marque parisienne Sandro lui avaient fait confiance. « Je suis très actif sur les réseaux sociaux comme Instagram et c’est souvent après y avoir vu mes photos que les clients me contactent », explique Arnaud Montagard.
fbNY5oct2017-1Sa passion a commencé très tôt. “À 4 ans, j’ai fait mon premier album avec un appareil Fisher-Price que mes parents m’avaient offert!“. Il bascule dans la photo pendant son adolescence à Clermont-Ferrand, équipé d’un Reflex. « A 15 ans, je me suis mis à faire des graffitis et je les ai pris en photo. J’adorais l’univers de la rue ».
Le bac en poche, Arnaud Montagard quitte l’Auvergne pour Marseille où il étudie le commerce à la Kedge Business School. Il découvre New York lors d’un stage. De retour à Marseille, l’étudiant s’adonne à la photo en parallèle à ses cours et est déjà engagé sur des shootings. Son diplôme en poche, c’est tout naturellement qu’il abandonne le commerce pour se lancer dans la photo, d’abord à Paris puis à New York, une évidence pour ce fan d’art de rue.
Aujourd’hui, posté à un coin de rue, Arnaud Montagard passe parfois des heures à attendre la bonne photo, dans ses quartiers de prédilection: Bed-Stuy ou Harlem. « Je repère un lieu qui m’intéresse et j’attends la bonne lumière, celle qui me permettra d’avoir un contraste avec une belle zone d’ombre. Ensuite, il faut que j’attende mon sujet, une personne atypique ». Le résultat est saisissant. Sur son book, on découvre un homme au regard dans le vague devant un food truck, une contrôleuse blasée dans un train de banlieue, des rappeurs en fourrure dans une rue de Harlem. « Les gens ici sont plus extravertis, ils se lâchent plus, il y a plus de looks improbables ».

@arnaudmontagard
@arnaudmontagard

Ses photos ressemblent parfois à des peintures d’Edouard Hopper. Comme celle prise dans un ferry à Seattle. Un homme de dos, chapeau sur la tête, assis sur une banquette en skaï vert, éclairé par un jeu d’ombres et de lumières. Ses photos ont été publiées par National Geographic Travel, Vogue ou encore Lonely Planet.
Arnaud Montagard a beau être jeune, ses talents de photographe ont déjà été reconnus par ses pairs. Pendant deux années consécutives, en 2011 et 2012, il a été exposé sur le stand Canon pendant le Salon de la photo à Paris. Deux ans plus tard, il remportait le concours “Portraits Flash Expo” à Vichy. Son rêve aujourd’hui : exposer son travail dans une galerie new-yorkaise.

Saipua, un repaire à belles plantes à Red Hook

Pathport est un collectif d’instagrammeurs proposant des carnets de voyage dans le monde entier. Dans “Instagramme-moi New York”, ils partagent chaque semaine leurs bons plans sur notre compte instagram @french.morning

Saipua (177 Dwight St, Brooklyn)
Repéré par @heydavina du collectif @pathport
Eric Famisan et Sarah Ryhanen, les co-fondateurs de Saipua, n’ont pas grandi à la campagne. L’histoire d’amour de Sarah Ryhanen pour les fleurs commence quand elle a 25 ans et qu’elle est curatrice dans une galerie d’art. Eric Famisan lui offre un bouquet de dahlias noirs qui fane dès le lendemain matin. D’abord déçue, elle réalise que ce n’est pas grave car elles avaient déjà rempli leur rôle. En 2006, le couple ouvre une boutique dans laquelle ils vendent des fleurs et des savons à base d’huile d’olive fabriqués par Susan, la mère de Sarah. Le nom du magasin est d’ailleurs un dérivé de “saippua”qui signifie “savon” en finlandais.
Localisée dans le quartier de Red Hook à Brooklyn, Saipua devient rapidement légendaire pour l’originalité de ses créations florales: la floriste travaille avec des fleurs de saison pour créer des bouquets exubérants. La crise de 2008 a encouragé le couple à faire pousser ses propres fleurs pour obtenir des espèces uniques. Le duo achète alors Worlds End, une ferme Upstate New York et se met au travail.
Sur Instagram, la marque fédère une communauté de 117.000 abonnés qui vouent un culte à l’esthétique de Saipua. Allez voir par vous même, c’est sublime.
Le must-have: les savons à l’huile d’olive, fabriqués de manière totalement artisanale dans leur ferme, 100% naturels et parfumés aux huiles essentielles.

Charlotte de Turckheim: "Je n'ai pas le rêve américain"

A quelques jours de son départ pour les Etats-Unis, Charlotte de Turckheim trépigne d’impatience : “C’est une expérience géniale de jouer à l’étranger, de découvrir comment un autre public réagit à nos répliques.” 
La Française se produira à New York le 29 janvier (où sa mère et sa fille viendront l’applaudir), San Francisco les 1er et 2 février et les 3 et 4 à Los Angeles avec “Une journée chez ma mère”, le spectacle qui l’a révélé au grand public.
Créé en 1990, ce one-woman-show, adapté au cinéma par Domi­nique Chemi­nal, a été actualisé avec Bruno Gaccio, l’ex-monsieur “Guignols de l’info”. Le pitch : Charlotte va passer quelques jours chez sa mère pour se reposer. Et, comme il y a 20 ans, la journée va tourner à la catastrophe : la toiture menace de s’effondrer, le frigidaire provoque une fuite d’eau, une vieille amie s’incruste et les huissiers frappent à la porte.
Charlotte de Turckheim y interprète onze personnages exubérants, surprenants et touchants, “comme une pièce de théâtre à elle toute seule”. “Dans la nouvelle version, on les a confrontés à la société actuelle, à l’élection d’Emmanuel Macron. Pour autant, certains n’ont pas changé, comme la baby-sitter idiote”, commente la comédienne-humoriste-réalisatrice, qui prévoit d’ajouter un clin d’oeil à la situation américaine pour l’occasion. “En Europe, on vit tous l’élection de Trump comme un drame absolu.”
Elle n’en est pas à son coup d’essai outre-Atlantique. Elle avait déjà joué “On m’a pas prévenue !” à Los Angeles et San Francisco il y a six ans. “Des amis, installés à L.A., insistaient pour que je vienne leur rendre visite. Pour me convaincre, ils ont contacté Pierre Leloup, le directeur du Théâtre Raymond Kabbaz (la salle du Lycée français de LA, ndlr), qui a proposé de me faire jouer”, rappelle celle qui n’aime pas “le tourisme pour le tourisme” et préfère visiter un pays en montant sur scène. Ainsi, elle restera plusieurs jours dans chaque ville, avant de se reculer dans un ranch en Arizona, où elle prévoit de monter à cheval avec son mari.
Après ses premières planches américaines, elle a encouragé certains de ses amis humoristes à franchir l’Atlantique, dont Patrick Timsit. “Mais il faut des spectacles “légers”, pas une troupe de 15 personnes. Laurent Gerra est intéressé mais je lui ai dit de venir seul.”
Si elle est “très amusée” à l’idée de jouer aux Etats-Unis, elle l’assure: “je n’ai pas le rêve américain”“L’humour est culturel, je ne sais pas ce qui fait rire les Américains. Small is beautiful, je n’ai aucune envie de conquérir le monde”, poursuit-elle.
À son retour en France, elle va donc pouvoir s’adonner tranquillement à l’écriture du scénario de “Mince alors 2!”. Et le public français la retrouvera à l’affiche du film “Abdelkader et la comtesse”, d’Isabelle Doval, dans les salles françaises le 25 avril.

Arkup : deux Français font flotter des maisons à Miami

Petit coin de paradis bétonné, Miami défie l’océan au quotidien. Face à la montée du niveau des eaux provoquée par le changement climatique, les experts doivent s’adapter et redoubler d’ingéniosité. C’est notamment le cas de Nicolas Derouin et Arnaud Luguet, deux entrepreneurs français installés à Miami, qui ont créé Arkup, une société spécialisée dans la conception de maisons flottantes.
« Nous pouvons soit lutter en permanence contre la montée du niveau des eaux en investissant beaucoup de moyens afin de surélever les rues et installer des stations de pompage, ce qui semble être un combat sans fin, soit accepter de vivre en cohabitation avec l’océan », explique Nicolas Derouin, co-fondateur d’Arkup. « La Floride est l’un des États les plus peuplés des États-Unis, c’est donc un moyen de pallier au manque d’espace tout en répondant à la croissance urbaine ».
À mi-chemin entre un yacht et une maison, ce nouveau type d’habitation a surtout été pensé pour pouvoir résister aux phénomènes climatiques extrêmes, fréquents dans la région. « La structure peut faire face à un ouragan de catégorie 4 dont les vents peuvent atteindre jusqu’à 250 km/h”, précise l’ingénieur français, diplômé de Centrale Lille. L’ensemble dispose par ailleurs de quatre pieux hydrauliques permettant de l’élever jusqu’à trois mètres au-dessus des eaux afin qu’il soit totalement protégé des inondations.

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© Arkup

Les concepteurs ont aussi mis l’accent sur le respect de l’environnement puisque ces maisons flottantes sont entièrement autonomes en eau via un système de récupération et de purification de l’eau de pluie, ainsi qu’en énergie grâce à des panneaux solaires. « Et avec les heures d’ensoleillement très élevées en Floride, cela permet de vivre en totale autonomie pendant près d’un an », estime le quadragénaire passionné par l’univers marin.
Dotée par ailleurs d’un système de propulsion électrique, l’habitation flottante de 400 mètres carrés peut se déplacer à des vitesses allant jusqu’à 7 noeuds, soit près de 13 km/h. « Vous pouvez ainsi naviguer jusqu’à 20 milles nautiques d’un port afin de mouiller au milieu d’une baie, d’un lac ou d’un canal, en choisissant la meilleure vue pour apprécier le coucher de soleil ».
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© Arkup

Comprenant quatre chambres, une cuisine, un salon et une vaste terrasse, ce nouveau type d’habitation, commercialisé en juin 2018 à un prix allant de deux à trois millions de dollars, peut ainsi servir de résidence principale ou secondaire, mais pas seulement. « Le concept est polyvalent et peut aussi être destiné à un lieu événementiel, un restaurant, ou encore un spa », souligne Nicolas Derouin qui présentera son projet lors du Miami International Boat Show du 15 au 19 février en espérant séduire les clients potentiels ainsi que les investisseurs.
« Actuellement, tout repose sur nos fonds propres et sur les investissements d’une petite dizaine d’amis et d’anciens collègues, ajoute-t-il. Pour amener notre concept à un niveau supérieur, nous souhaitons trouver des investisseurs industriels pouvant apporter leur savoir-faire, mais aussi stratégiques afin de développer des projets commerciaux ».

La maison d'Omar Sy à Los Angeles est à vendre

Si vous cherchez un petit pied-à-terre de rien du tout à Los Angeles, l’affaire pourrait vous intéresser. Omar Sy met en vente sa maison de Hidden Hills, une riche enclave de Los Angeles où se concentrent les célébrités à la recherche d’intimité. Prix de vente : un peu moins de 4,95 millions de dollars, selon Variety, qui révèle l’information. Elle avait été achetée pour 3,5 millions.
La propriété d’une superficie de 0,5 hectare, bordée d’arbres, compte une piscine, un spa, une terrasse, un espace barbecue et un court extérieur pour faire du sport, explique Variety. Construite en 1990, la maison, sur un étage, dispose de cinq chambres et six salles de bain – Omar Sy a cinq enfants, de plusieurs cheminées, d’un cinéma avec fauteuils inclinables et d’une grande salle à manger décorée d’un lustre.
Variety rappelle que l’acteur, qui est apparu dans plusieurs films aux Etats-Unis et a prêté sa voix à l’un des personnages du futur film d’animation “Arctic Justice: Thunder Squad”, réside essentiellement à Montfort-L’Amaury dans les Yvelines, où il fait “pousser des fruits et des légumes”.

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photos: compass / variety

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"Le Prénom": Bruel, Benguigui et Berling s'invitent à San Francisco

La soirée cinéma de l’Alliance française de San Francisco, le mardi 23 janvier, sera consacrée au film à succès: “Le Prénom”.
Sorti en 2012, le film franco-belge d’Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte a attiré plus de 3 millions de spectateurs en salles dès sa sortie et est considéré comme l’un des films les plus rentables de ces dernières années.
“Le Prénom”, c’est l’histoire d’un dîner de famille qui dégénère quand un des convives annonce avoir choisi Adolphe comme prénom pour son futur bébé. S’en suit une discussion animée et une série de commentaires sur la vie des uns et des autres. Le casting rassemble Patrick Bruel, Charles Berling, Valérie Benguigui et Guillaume de Tonquédec. Ces derniers ont remporté les César de la meilleure actrice et du meilleur acteur dans un second rôle. Comme mentionné sur l’affiche du film: “Un enfant c’est le début du bonheur, un prénom, c’est le début des emmerdes

Le jazz de Cyrille Aimée vient caresser New York et Los Angeles

Le Wall Street Journal a salué “son timbre éblouissant” ; le New York Times l’a qualifiée de “one-woman rhythm machine“. La chanteuse de jazz Cyrille Aimée se produira à New York le samedi 13 janvier et à Los Angeles le dimanche 26.
Elle présentera son nouvel opus, “Letʼs Get Lost” (label Mack Avenue) aux tonalités romantiques et mélancoliques. Elle y mêle reprises et compositions, portées par ses guitaristes Adrien Moignard et Michael Valeanu. Vous (re)découvrirez “Three Little Words” (Harry Ruby, 1930), l’un des tout premiers morceaux qu’elle a entendu Ella Fitzgerald chanter.
Cyrille Aimée a étudié au conservatoire de jazz de SUNY Purchase, au nord de New York. En 2013, elle s’est fait remarquer dans le spectacle monté par Wynton Marsalis et Stephen Sondheim, “A Bed and A Chair”.

Une conférence sur la fiscalité des Français du Texas à Austin

Les règles de fiscalité internationale sont un joyeux bazar pour vous ? Pas de panique. Le cabinet Jade Fiducial Houston organise une conférence sur la question le samedi 27 janvier dans les locaux d’Austin International School.
Spécialiste des traités fiscaux franco-américains, l’expert-comptable diplômé Olivier Sureau parlera de la déclaration des revenus du travail et du patrimoine pour les individus expatriés ainsi que les règles qui régissent leurs retraites américaine et française.
 
Gratuit.

Une journée de cinéma à l'Alliance Française de Pasadena

(Agenda partenaire) Les cinéphiles de Pasadena vont être gâtés. Le 26 janvier, l’Alliance Française de Pasadena accueillera la journée de clôture des Hollywood Arts and Movie Awards.
Toute la journée, dès 11am, auront lieu des projections de films de tous genres (films courts, clips musicaux et expérimentaux, films d’étudiants, courts-métrages d’animation…), ainsi que des rencontres avec les équipes des films. Une exposition de photographies et de peintures accompagnera l’événement, ainsi que plusieurs stands pour découvrir la magie du cinéma.
En fin de journée, le festival et l’équipe de l’Alliance Française remettront une série de prix aux cinéastes et artistes présents suite aux votes d’un jury de professionnels.
Toutes les projections sont gratuites sur simple réservation ici.

Les bureaux du consulat de France à New York ouverts en soirée le jeudi

Vous aurez bientôt quelques heures de plus pour vous occuper de vos formalités. Afin d’améliorer le service rendu aux usagers, le consulat général de France à New York sera ouvert à titre expérimental les jeudis de 5:30pm à 7:30pm à compter du 18 janvier.
Dans un premier temps, ces créneaux horaires permettront uniquement le retrait des passeports. Un rendez-vous préalable devra être pris sur le site du consulat.
Au-delà de cette nouvelle tranche horaire, le consulat reste ouvert du lundi au vendredi de 9am à 12:30pm.

"Tartuffe" de Molière sur les planches à Washington

C’est un grand classique du théâtre français qui pose ses valises à Washington. La comédie de Molière “Tartuffe” sera présentée au Trinidad Theater à partir du 25 janvier.
Dans “Tartuffe”, le personnage principal du même nom se fait passer pour un homme d’Eglise pour être accueilli chez Orgon, un bourgeois fortuné à l’âme charitable. Mais Tartuffe n’est en fait qu’un séducteur né et un imposteur, profitant de l’hospitalité de son hôte. La famille d’Orgon tente de lui ouvrir les yeux sur le vrai Tartuffe.
La pièce, jouée en anglais, est mise en scène par l’Américaine Bridget Grace Sheaff. Sept représentations sont prévues jusqu’au dimanche 4 février à 2pm.