En entrant dans les Ateliers Gohard à Red Hook, on est tout de suite submergé par la délicieuse odeur de laque et de cire. A l’intérieur, des planches, des bonbonnes, des prototypes de meubles. Face à la baie vitrée ouverte sur la baie, une flamme de la Statue de la Liberté miniature, à seulement quelques miles nautique de la vraie, comme pour rappeler aux artisans doreurs français qu’ils lui doivent leur présence aux Etats-Unis.
Car c’est bien grâce à Lady Liberty que l’histoire des Ateliers Gohard a commencé à New York, en 1985. “Au moment de la restauration de la statue, la flamme qui était en verre a été remplacée par du métal. Les Métalliers Champenois ont réalisé la structure et nous avons été appelés pour la dorure“, explique Sébastien Vallin, responsables des Ateliers Gohard aux Etats-Unis. Un chantier pharaonique et emblématique pour les Français.
“Après cette expérience, nous avons souvent fait des aller-retours pour des contrats aux Etats-Unis, avant d’installer une filiale à New York“. Depuis trois ans, Sébastien Vallin gère une équipe d’une dizaine de professionnels: peintres, doreurs, laqueurs et staffeurs (travail du staff). Des artisans passionnés qui participent à la restauration ou la décoration d’appartements ainsi que d’hôtels, comme le Four Seasons Downtown Manhattan. L’établissement a commandé de gigantesques panneaux dorés pour habiller les murs de son lobby. Parmi les clients des Ateliers Gohard, on compte aussi des célébrités, comme Lou Reed. Quelques mois avant sa mort, il a eu un coup de foudre pour un paravent confectionné par Sébastien Vallin. “Il l’a découvert lors d’un salon du design, l’a montré du doigt et a juste dit: je le prends! se souvient le doreur. On est allé l’installer chez lui à TriBeCa, dans un magnifique appartement“.
En France, les Ateliers Gohard sont précédés par leur réputation d’excellence dans le milieu de la restauration et de la décoration. L’entreprise familiale, installée dans le XIe arrondissement de Paris, a participé aux chantiers les plus prestigieux: à l’Elysée, au Château de Versailles, dans les plus grands musées et les institutions. D’abord spécialiste de la dorure, l’entreprise a développé d’autres métiers, sous l’impulsion du petit-fils du créateur, Baptiste Gohard. Ce dernier a fait passer l’entreprise de 5 à 80 salariés en seulement onze ans, ouvrant également les filiales de New York et Londres. “J’ai tout appris avec les doreurs historiques qui m’ont montré tout ce qu’ils savaient“, raconte Sébastien Vallin qui a fait ses armes comme apprenti aux ateliers parisiens.
Depuis son arrivée à Brooklyn, l’artisan n’a pu que constater des différences entre son travail à New York et en France. Ici, pas de restauration de monuments historiques, mais plutôt une activité de décoration chez des particuliers aisés. “On ne travaille pas de la même façon, reconnaît Sébastien Vallin. A New York, on doit subir le rythme du chantier avec des délais qui sont très courts. Les objectifs de départ des ‘contractors’ sont toujours très ambitieux en temps. Pour finir, on les dépasse forcément en ayant été sous pression tout le long“. Autre différence qui continue de surprendre Sébastien Vallin: le rapport à l’artisanat de la part des clients. “A New York, j’ai parfois l’impression d’avoir à faire à des enfants gâtés. Les gens sont exigeants, capricieux et las, comme s’ils avaient tout vu ou comme si tout se valait. C’est très difficile d’impressionner un New-Yorkais!”
Les Ateliers Gohard y parviennent pourtant et le cahier de commandes est plein. A tel point que l’entreprise n’a jamais eu besoin d’investir dans la communication. La preuve : le site internet est même en chantier depuis plusieurs années.
Les Ateliers Gohard dorent New York, de la Statue de la Liberté à Lou Reed
À l’Alliance Française de LA, plein de nouveaux programmes pour petits et grands
(Agenda partenaire) L’année 2018 marque un nouveau chapitre pour l’Alliance Française de Los Angeles. Après l’arrivée à l’été d’une nouvelle équipe exécutive et au-delà des cours “classiques” qui ont fait leur preuve depuis plus de trente ans, plusieurs nouveaux programmes sont disponibles à partir du mois de janvier.
Parmi eux, l’Alliance Française de Los Angeles propose des classes d’éveil musical pour les 5 à 7 ans en partenariat avec The French Conservatory. Les cours auront lieu chaque dimanche de 10am à 11am et débuteront le dimanche 14 janvier ($25 l’heure). Des initiations au yoga (enfants seuls ou avec parents) sont également disponibles les dimanche matin, le tout en français. Enfin, un after-school autour d’activités éducatives en français, quel que soit le niveau des participants, est ouvert du lundi au jeudi, de 3pm à 6pm. L’inscription se fait à la carte: un, deux, trois ou quatre jours.
Côté adultes, deux ateliers supplémentaires voient le jour. “French on stage” (théâtre) et une série sur l’histoire de l’art viennent rejoindre les rendez-vous mensuels habituels: ciné club, book club, “sing along” et histoire. Intitulés “AF Extension”, ces moments prisés par les étudiants pour confronter leur français à d’autres domaines sont bien entendu ouverts à tous.
Le début d’année 2018 verra également un programme d’événements culturels très éclectique, avec la poursuite des conférences philosophiques de l’AILS (11 janvier), une séance de dédicaces avec Laure de Rivières (16 janvier) ou encore la Nuit des courts- métrages au Théâtre Raymond Kabbaz (26 janvier). Le tout avant une French Art Week éblouissante à partir du 5 février. A vos calendriers !
Renseignements et inscriptions sur le site internet de l’Alliance Française, par téléphone: 310 652 0306 ou par Email: [email protected]. Retrouvez également l’Alliance Française de Los Angeles sur Facebook, Instagram et MixR.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
5 activités à faire quand il fait "froid" à Miami
Après la vague de froid qui s’est abattue sur l’est des États-Unis, le mercure remonte péniblement. La Floride n’y échappe pas. Voici quelques activités à faire en attendant de pouvoir renfiler votre maillot de bain et lézarder sur les plages de Miami.
5. Fondre de plaisir au Museum of Ice Cream
Si vous souhaitez combattre le froid par le froid, rendez-vous au Museum of Ice Cream, le musée de la crème glacée qui a pris ses quartiers sur Collins Avenue à Miami Beach. Comme cet entremet auquel il est entièrement dédié, le musée est éphémère et refermera ses portes le lundi 22 janvier. D’ici là, petits et grands peuvent s’offrir une expérience culturelle et culinaire en goûtant des ballons comestibles, en concoctant de gigantesques sundaes ou encore en plongeant dans une vaste piscine remplie de vermicelles colorés. Museum of Ice Cream – 3400 Collins Ave, Miami Beach – (855) 258-0719
4. Se faire une toile au Miami Jewish Film Festival
Installé confortablement, bien au chaud et à l’abri de toute éventuelle intempérie, vous pourrez découvrir plus d’une quarantaine de films à l’occasion de la 21ème édition du Miami Jewish Film Festival qui se tient du 11 au 25 janvier dans différents cinémas de la ville. Cinq productions françaises, sous-titrées en anglais, sont notamment à l’affiche de ce festival international comme « Les Fantômes d’Ismaël » (lundi 22 janvier à 8:30pm), le dernier long métrage d’Arnaud Desplechin avec Mathieu Amalric, Marion Cotillard, Charlotte Gainsbourg et Louis Garrel. Le film biographique « Django » (mercredi 17 janvier à 8:30pm et mercredi 24 janvier à 6pm), qui s’intéresse à la vie du guitariste de jazz français Django Reinhardt, réalisé par Étienne Comar, fait également partie de la sélection. Miami Jewish Film Festival – (305) 573-7304
3. Arpenter les allées de l’Institute of Contemporary Art de Miami
Récemment ouvert, le nouveau Institute of Contemporary Art de Miami, situé en plein coeur du Design District, propose une exploration de la représentation de la femme dans la société contemporaine au travers des travaux réalisés par les artistes américains Edward et Nancy Kienholz. L’exposition « The Everywhere Studio » raconte, quant à elle, l’évolution de l’atelier d’artiste par le biais d’une centaine d’œuvres représentatives des cinquante dernières années, comme celles de Pablo Picasso, Andy Warhol ou encore Roy Lichtenstein. Profitez-en également pour faire un tour dans les 15.000 mètres carrés du jardin de sculptures de l’établissement. Institute of Contemporary Art – 61 NE 41st St, Miami – (305) 901-5272
2. Se tordre de rire au Miami Improv Festival
Quelques éclats de rire et une bonne dose d’humour. Ce sont les ingrédients du cocktail détonant concocté par le Miami Improv Festival qui, du 11 au 14 janvier, met en scène plus d’une trentaine d’artistes émergents, connus et moins connus. Une occasion idéale pour se vider la tête le temps d’une soirée et oublier la grisaille ambiante. Miami Improv Festival – 3119 Coral Way, Miami – (305) 693-8669
1. Siroter une bière au Miami Beer Festival
Enfin, que vous soyez fin connaisseur ou tout simplement amateur de belles blondes, brunes ou ambrées, la sixième édition du Miami Beer Festival, qui se déroulera le samedi 20 janvier au Marlins Park, permettra de découvrir plusieurs dizaines d’artisans brasseurs et de déguster leur production tout en se déhanchant au rythme de la musique mixée par les DJs qui se succéderont sur scène. À consommer avec modération, bien évidemment. Miami Beer Festival – Marlins Park, Marlins Way, Miami
Un afterwork à San Francisco sur l'investissement immobilier en France
Comment, en tant qu’expatrié, continuer à investir en France ? Comment l’investissement en SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) est-il devenu une référence en terme de placements immobiliers ? Ces questions seront au centre d’un afterwork organisé le mardi 23 janvier dans les locaux d’OFX.
Forts de leur expérience professionnelle, les deux associés du cabinet en gestion de patrimoine EUODIA, Nicolas Le Febvre et Nicolas Peycru, seront présents pour apporter leur expertise dans ce domaine.
Si l’investissement en SCPI est souvent méconnu, vous aurez l’occasion de comprendre son fonctionnement avec des exemples chiffrés, sa fiscalité ainsi que les avantages de ce produit.
Nicolas Le Febvre et Nicolas Peycru vous présenteront en détail les sociétés de gestion CORUM AM et PAREF, dont les SCPI agréées par la SEC permettent aux expatriés français de pouvoir investir. Si toutes les SCPI ne sont pas agréées, celles-ci disposent actuellement de rendements intéressants sur le marché (entre 5 et 6%) et proposent des options innovantes.
EUODIA est un cabinet de gestion de patrimoine proposant un large éventail de produits. Toutes vos questions par rapport à votre épargne détenue en France, vos investissements actuels ou même les prêts encore consentis dans l’Hexagone, pourront être posées au cours de cet afterwork.
Mort de Jean-Luc Le Dû: "Il était un vrai modèle" selon Daniel Boulud
Près de deux semaines après la disparition subite de Jean-Luc Le Dû, les hommages au vendeur de vins, véritable référence à New York, se poursuivent. “Jean-Luc était un vrai modèle, une référence pour toute la communauté des passionnés du vin“, a confié à French Morning le chef Daniel Boulud qui a travaillé avec le Breton pendant près de dix ans. Comme sommelier à Daniel, Jean-Luc Le Dû avait remporté plusieurs prix, dont le “Grand Award” de Wine Spectator en 2002 et “Outstanding Wine Service” de la James Beard Foundation en 2003.
« Cet autodidacte, sans aucune formation, avait réussi la prouesse de faire sa place et d’être respecté au sein de la profession. C’était quelqu’un de très talentueux qui avait un très bon palais et une excellente mémoire. Nous étions par ailleurs très amis et sa disparition a été tragique. Elle est intervenue beaucoup trop rapidement. Jean-Luc était si jeune et avait encore beaucoup à donner », a poursuivi le chef.
La mort de ce natif de Gourin (Bretagne), à 52 ans, a été annoncée sur la page Facebook de Le Dû’s Wines, son magasin de vins dans le West Village, le 27 décembre au soir. “Avec une tristesse totale, nous devons annoncer la mort de notre fondateur, Jean-Luc Le Dû. Il est parti dans son sommeil. Il était une lumière dans nos vies, pour le magasin et pour le monde du vin“. Plus de 200 personnes se sont retrouvées le jeudi 4 janvier à City Winery pour une soirée d’hommage “BYOB”.
Jean-Luc Le Dû est venu à New York dans les années 80 pour vivre sa passion pour le rock. Mais sur place, il a découvert l’univers du vin après avoir goûté une bouteille de Château Cheval Blanc de 1964 chez son oncle à Queens. Il a multiplié les expériences dans les restaurants et est devenu sommelier chez Daniel en 1995. Il a quitté le restaurant en 2004 comme sommelier-en-chef et ouvert son magasin de vins l’année suivante.
“Au-delà de sa qualité de sommelier, Jean-Luc était un vrai New-Yorkais, venu ici car il était fondu de rock et voulait faire des concerts. Il était plus New-Yorkais que Français ou Breton“, souligne le co-président de l’association bretonne BZH New York, qui se souvient d’un homme “super généreux“. Jean-Luc Le Dû avait accueilli des événements de l’association dans son magasin, comme la venue du Bagad de Lorient, et prêté main forte à l’organisation des Vieilles Charrues à New York en 2016. “On pouvait toujours compter sur lui. Tout le monde est sous le choc“.
Un petit-déjeuner à New York sur l'investissement immobilier en France
Comment, en tant qu’expatrié, continuer à investir en France ? Comment l’investissement en SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) est-il devenu une référence en terme de placements immobiliers ? Ces questions seront au centre d’un petit-déjeuner organisé le lundi 29 janvier dans les locaux de Foley Hoag.
Forts de leur expérience professionnelle, les deux associés du cabinet en gestion de patrimoine EUODIA, Nicolas Le Febvre et Nicolas Peycru, seront présents pour apporter leur expertise dans ce domaine.
Si l’investissement en SCPI est souvent méconnu, vous aurez l’occasion de comprendre son fonctionnement avec des exemples chiffrés, sa fiscalité ainsi que les avantages de ce produit.
Nicolas Le Febvre et Nicolas Peycru vous présenteront en détail les sociétés de gestion CORUM AM et PAREF, dont les SCPI agréées par la SEC permettent aux expatriés français de pouvoir investir. Si toutes les SCPI ne sont pas agréées, celles-ci disposent actuellement de rendements intéressants sur le marché (entre 5 et 6%) et proposent des options innovantes.
EUODIA est un cabinet de gestion de patrimoine proposant un large éventail de produits. Toutes vos questions par rapport à votre épargne détenue en France, vos investissements actuels ou même les prêts encore consentis dans l’Hexagone, pourront être posées au cours de ce « breakfast ».
Un petit-déjeuner à Miami sur l'investissement immobilier en France
Comment, en tant qu’expatrié, continuer à investir en France ? Comment l’investissement en SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) est-il devenu une référence en terme de placements immobiliers ? Ces questions seront au centre d’un petit-déjeuner organisé le jeudi 25 janvier dans les locaux de Jade Associates.
Forts de leur expérience professionnelle, les deux associés du cabinet en gestion de patrimoine EUODIA, Nicolas Le Febvre et Nicolas Peycru, seront présents pour apporter leur expertise dans ce domaine.
Si l’investissement en SCPI est souvent méconnu, vous aurez l’occasion de comprendre son fonctionnement avec des exemples chiffrés, sa fiscalité ainsi que les avantages de ce produit.
Nicolas Le Febvre et Nicolas Peycru vous présenteront en détail les sociétés de gestion CORUM AM et PAREF, dont les SCPI agréées par la SEC permettent aux expatriés français de pouvoir investir. Si toutes les SCPI ne sont pas agréées, celles-ci disposent actuellement de rendements intéressants sur le marché (entre 5 et 6%) et proposent des options innovantes.
EUODIA est un cabinet de gestion de patrimoine proposant un large éventail de produits. Toutes vos questions par rapport à votre épargne détenue en France, vos investissements actuels ou même les prêts encore consentis dans l’Hexagone, pourront être posées au cours de ce « breakfast ».
Alexandre Desplat, fierté française des Golden Globes
Et un de plus. Dimanche 7 janvier, le Français Alexandre Desplat a obtenu pour la deuxième fois le prix de la meilleure bande originale de film, raflant la mise aux papes de cette catégorie (Hans Zimmer et John Williams). Le compositeur a été récompensé pour la musique de “La Forme de l’eau” de Guillermo Del Toro, qui sera en salles le 21 février. Il a dédié son prix à sa femme, la violoniste Dominique Solré Lemonnier.
“La Forme de l’eau” raconte l’idylle improbable entre une femme de ménage muette travaillant dans un laboratoire secret de l’armée et une mystérieuse créature amphibie capturée en Amazonie, en pleine Guerre Froide.
Le Français de 56 ans avait déjà recueilli un Golden Globe en 2007 pour “Le Voile des illusions” de John Curran, ainsi qu’un Oscar en 2015 pour “The Grand Budapest Hotel” de Wes Anderson. Ces prix font de lui l’un des Français les plus récompensés à l’étranger, derrière les compositeurs Maurice Jarre et Michel Legrand.
"D'où viens-tu Johnny ?" se demande TV5 Monde USA
Johnny était chanteur, certes, mais aussi acteur. TV5 Monde USA le rappellera mardi 16 janvier à 8:30 ET (5:30pm PT) en diffusant “D’où viens-tu Johnny ?”.
Dans cette comédie de 1963 signée Noël Howard, Johnny Hallyday joue le rôle d’un musicien, Johnny Rivière, manipulé par le patron de bar pour lequel il rend des services en l’échange de son sous-sol pour des répétitions avec son groupe. Quand il découvre qu’il transporte de la drogue à son insu, il décide de se rebeller et s’enfuit en Camargue. Lui et sa fiancée Gigi se retrouvent traqués et menacés de mort.
Avis aux fans du chanteur: Johnny chante quelques solos dans le film et un duo avec Sylvie Vartan, qui joue le rôle de Gigi.
L'Alliance française de Washington sort la galette le 11 janvier
C’est l’heure de la galette à l’Alliance française de Washington. L’association donne rendez-vous à ses membres et aux non-membres le 11 janvier pour apprécier un bon “King Cake”. Il y aura du cidre et de la bonne humeur.
L’événement sera en anglais et en français. L’Alliance française conseille de réserver vos tickets à l’avance sur son site, au téléphone ou en personne. S’il reste des tickets, il sera possible de prendre vos places à la porte. Et, non, vous ne serez pas remboursé si vous trouvez la fève.
Un concours de cassoulet à Brooklyn (parce que pourquoi pas ?)
Que faire pour faire oublier l’hiver ? Assister à un concours de cassoulet, pardi ! Le restaurateur américain Jimmy Carbone, fondateur du restaurant Jimmy N°43, organise pour la 10e année consécutive le « Cassoulet Cookoff » samedi 20 janvier entre 12pm et 3pm dans les locaux de l’école de cuisine The Brooklyn Kitchen à Williamsburg.
Lors de cette compétition, des chefs professionnels et amateurs, aussi bien américains que français, devront présenter leur(s) meilleure(s) version(s) du célèbre plat languedocien, à base de haricots blancs et de viande de canard, de porc ou même de mouton selon sa région d’origine.
Un jury composé d’auteurs de livres de cuisine, de chefs ou de restaurateurs spécialistes du plat sudiste et les clients participants voteront pour leurs préparations préférées, après dégustation. Les compétiteurs seront récompensés dans différentes catégories : du meilleur « Ameri-cassoulet » au meilleur cassoulet traditionnel, en passant par une mention d’honneur pour le cassoulet le plus créatif. Trois grands vainqueurs, de la première à la troisième place, seront par ailleurs désignés par le public.
Pour cette édition anniversaire, l’événement coûte 45 dollars par personne – le prix comprend le repas, soit plus d’une dizaine de portions de cassoulets différents, et les boissons, une sélection de cidres, de bières artisanales, de vins et de liqueurs. Les places sont disponibles en ligne, à réserver à l’avance.