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Thomas Pesquet: "Les jeunes auront la responsabilité de sauver notre Terre"

Il a beau avoir passé six mois dans l’espace, Thomas Pesquet a aujourd’hui bien les pieds sur terre. Pédagogue et désireux de partager son expérience, le spationaute français s’est prêté au bain de foule et aux séances de selfies, jeudi 14 décembre, lors de TechFest, rendez-vous d’entrepreneurs français organisé par le consulat de France à New York et La French Tech New York.
Il participait à une discussion au consulat avec “l’entrepreneuse de l’espace” Laetitia Garriott de Cayeux et Jeff Kluger, auteur d’un livre sur Apollo 13.
Depuis son retour sur Terre le 2 juin, après un séjour de six mois dans la Station spatiale internationale (ISS), le Français s’est investi dans la défense de l’environnement. “Le fait de voir la Terre en entier, d’avoir cet incroyable recul, m’a permis de me rendre compte combien elle est fragile, a-t-il expliqué. Tous mes collègues avant moi étaient revenus plus soucieux de l’environnement, mais il faut le voir de là-haut pour comprendre à quel point nous sommes en danger“.
Au cours de son séjour, Thomas Pesquet a pris un nombre incalculable de photos de la planète, et sur certains clichés la fonte des glaces est apparente. La pollution des rivières, la déforestation aussi. Le Français cherche aujourd’hui à interpeller les chefs d’Etat et de gouvernement. Il a d’ailleurs participé à la conférence internationale sur le climat Cop 23 à Bonn en novembre. Interrogé sur la politique de Donald Trump et les reculs dans la lutte contre le réchauffement climatique, Thomas Pesquet reste optimiste: “C’est d’abord l’opinion publique qui compte. Si l’opinion publique prend conscience de ce qui se passe, les dirigeants politiques vont suivre. Aujourd’hui, je m’adresse surtout aux jeunes, c’est eux qui auront la responsabilité de sauver notre Terre“.
Thomas Pesquet salue toutefois la “Space Policy Directive” signée par Donald Trump le 11 décembre et qui prévoit de nouvelles missions sur la Lune. “Il s’agit d’une des plus grandes aventures spatiales“, a commenté le Français, qui ne cache pas son envie d’un jour participer à une telle mission.

St Tropez, un nom glamour pour une cuisine sans chichis à New York

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C’est mercredi après-midi au restaurant St Tropez, où l’on se prépare pour le dîner. Au four et au moulin depuis l’ouverture du restaurant-bar à vins début décembre, le patron Yohann Pecheux en profite pour avaler un sandwich au saucisson, tandis que le chef Gérald Barthélémy s’affaire dans la petite cuisine ouverte. “Je n’ai même pas le temps de manger“, sourit Yohann Pecheux.
Originaire du Lavandou, à côté de Saint-Tropez, il s’est associé avec le chef vichyssois et deux autres Français de New York pour apporter ce petit morceau de Provence sur West 4th Street. Doté d’une grande baie vitrée, l’espace lumineux est situé en face de charmantes townhouses et est décoré de bois du plancher au plafond en passant par les tables et les chaises. Ce choix de décor est censé évoquer l’atmosphère chaleureuse d’une ferme provençale. “Le nom de St Tropez est trompeur. Dans la tête des gens, ça évoque le strass et les paillettes. Mais d’où je viens, j’ai grandi avec les valeurs de partage, les grandes tablées et les bons produits. On ne sert pas de magnums de champagne ici“, souligne Yohann Pecheux.
Cela fait plusieurs années qu’il avait le projet d’ouvrir un restaurant à New York. Yohann Pecheux, ancien marin pompier à Marseille et manager d’une brasserie à Aix-en-Provence, a été encouragé par des amis à se lancer dans la Grosse Pomme. Arrivé en 2012, il travaille au bar à vins Aria dans le West Village avant de se plonger dans l’aventure St Tropez. “J’avais de l’expérience, mais les banques ne prêtaient quasiment plus en France. À New York, l’accès au crédit était plus facile et la ville m’attirait“.

credit: Michael Tulipan
credit: Michael Tulipan

Un de ses associés actuels, Fabien Pichard, le met en contact avec Gérald Barthélémy. Ce dernier a déroché une étoile Michelin dans les cuisines des Elysées, restaurant de l’Hôtel Vernet à Paris (rebaptisé Le V). Il débarque il y a deux mois de Montréal, où il dirigeait la cuisine de Taverne Gaspar. Le projet tombe à pic. Venir au pays de l’Oncle Sam était un rêve que le chef et son épouse nourrissaient depuis longtemps. “Aux Etats-Unis, on a quand même une reconnaissance quand on travaille. En France, ça reste la Vieille Europe. C’est impossible pour moi d’ouvrir en France“, assure-t-il.
St Tropez peut accueillir 44 clients en salle et 16 au bar. Le restaurant compte une table communale pour douze personnes placée près de la cuisine. La carte comprend des plats qui sentent bon le Sud (daube provençale, farcis niçois, loup de mer en tapenade, tropézienne…). Aucun plat ne coûte plus de 17 dollars. 45 vins au verre figurent au menu. “Rien ici ne vient de Restaurant Depot (centrale d’achat pour les restaurants à New York, ndr)“, souligne Yohann Pecheux. “On a préféré réduire nos marges et offrir un produit de qualité. Le camembert vient de Normandie, le cheddar d’Angleterre, la fourme d’Ambert provient d’Ambert… J’ai retrouvé ici ce côté un peu Rungis de proximité avec les vrais fournisseurs, ajoute Gérald Barthélémy. En 20 ans, en allant manger à droite à gauche, on s’est tellement senti insulté qu’on ne voulait pas refaire la même chose à nos clients“.

Le Salon de l'éducation bilingue arrive à San Francisco

L’éducation bilingue a le vent en poupe partout aux Etats-Unis. Après New York, où elle a lieu chaque année depuis 4 ans, French Morning organise la première “Bilingual Fair” de San Francisco, le samedi 3 février 2018.
Le principe est simple: réunir en un même lieu tous les acteurs de l’éducation bilingue de la Baie (en toutes langues), pour permettre aux familles intéressées de faire leur choix. Vous pourrez aller à la rencontre de 50 exposants, représentant 8 langues: écoles, éditeurs, spécialistes du bilinguisme.
L’évènement est à découvrir en famille: animations autour des langues et de l’apprentissage tout au long de la journée, programme de conférences et de tables rondes avec le témoignage de spécialistes, linguistes, éducateurs…
Le nombre de tickets est limité. Entrée à $5 seulement en “early bird”, inscrivez-vous dès maintenant:

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Gold Sponsor:

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et avec le soutien des Services Culturels de l’Ambassade de France.

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Ecole bilingue de Berkeley: donner du sens à l’apprentissage d’une langue

(Article partenaire) Qu’est-ce que la langue sans une culture? La culture est ce qui donne tout son sens à l’apprentissage d’une langue, mais comment faire vivre cette culture lorsqu’elle est située à plusieurs milliers de kilomètres?
C’est là que le programme d’artistes en résidence de l’Ecole Bilingue de Berkeley prend tout son sens. “La langue n’est qu’un véhicule pour accéder à d’autres cultures“, souligne Sylvie Lemeur, coordinatrice du programme français dans cet établissement. Ainsi, chaque année, l’école invite différents artistes, auteurs, illustrateurs ou encore musiciens à passer du temps auprès des élèves. Leur rôle? Permettre aux enfants d’accéder à d’autres univers et à développer leur culture générale.
Nous avons une tradition d’accueil d’artistes ici à EB“, souligne Mehdi Lazar, chef d’établissement. “Ces artistes viennent compléter et illustrer le programme scolaire que nous dispensons“. Dans une école où l’enseignement se fait en deux langues, et où quelque 50 nationalités sont représentées parmi les familles, des artistes de tous horizons ont été accueillis dans les classes au fil des ans.
Ainsi, l’auteur-illustrateur Emile Bravo, les auteures Claire Clément, Catherine Missonnier ou encore Susie Morgenstern ainsi que l’illustrateur Olivier Tallec ont travaillé avec les élèves de différents niveaux, leur présentant leur approche, et menant à bien différents projets avec eux. Ce fut aussi le cas de chanteurs ou compositeurs tels que Jean Nô ou Amulette.
Le dernier en date, Christian Voltz, a passé une semaine avec les élèves de l’Ecole Bilingue et les a initié à son approche de création d’illustrations éphémères grâce à des objets de récupération. Cet auteur d’albums jeunesse a publié une quarantaine d’ouvrages et a été récompensé par deux prix “Sorcières” catégorie albums, en 1998 pour Toujours rien?, et en 2007 pour La Caresse du Papillon. En 2003, il obtient le prix Bernard Versele pour C’est pas ma faute!


Ce qui m’importe c’est que les enfants se rendent compte qu’avec trois fois rien on peut faire énormément de choses“, explique l’artiste originaire de Strasbourg. “On vit dans une société où on a énormément d’objets et de choses toutes faites. C’est le royaume des écrans et là je les fais revenir à des choses basiques. Trois petites vis, une petite rondelle et hop on arrive à faire un bonhomme!
Et c’est là que la mission de l’Ecole Bilingue de Berkeley prend tout son sens: élargir le champ des possibles en frottant les citoyens de demain à d’autres cultures, d’autres univers. Pour en savoir plus sur l’enseignement d’immersion prodigué à EB, venez assister aux prochaines portes ouvertes, le samedi 6 janvier 2018 de 10am à midi. 


 
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

La French Touch Conference revient à San Francisco en janvier

La French Touch Conference remet ça. La grand-messe de la French tech revient à San Francisco le 16 janvier. Les tickets sont en vente. Le lieu et les intervenants ne sont pas encore connus.
Pour cette deuxième édition sur la côte ouest, les organisateurs ne changent pas une recette qui gagne: cette journée de discussions et de rencontres rassemblera différents innovateurs, entreprises et investisseurs français et américains. Thème retenu cette année: “impact”. Les participants s’interrogeront sur les conséquences de technologies sur le futur et sur comment la tech peut être une “force de bien” pour demain. L’événement se présente comme une “dé-conférence” (un-conference) dont le modèle est de favoriser l’interaction plutôt que d’aligner les intervenants pour des présentations interminables.

La croisade d'Eddy Le Garrec pour le vin moins cher aux US

(Article partenaire) Chaque visite au “wine store” vous tire la même grimace… French Morning vous a déjà expliqué ici pourquoi le vin était si cher aux Etats-Unis. Pour faire court, c’est la faute du système légal des “trois étages” (three tiers), héritage de la période post-prohibition, qui oblige à séparer producteur (ou importateur), distributeur et détaillant. Résultat, les commissions s’additionnent et les prix montent.
Eddy Le Garrec, Français vivant aux Etats-Unis depuis 20 ans, a décidé de faire plus que de s’en plaindre, en ouvrant début décembre, au coeur de Manhattan, un magasin, “Empire State of Wine“, dédié aux importations directes (direct import). Le système, qui se développe aux Etat-Unis depuis quelques années, contourne les multiples commissions, tout en respectant la loi des three tiers. J’utilise une “clearing company”, une société de logistique, qui joue légalement le rôle d’importateur et de distributeur, mais prend seulement un prix fixe par caisse, au lieu des deux marges importateur et distributeur qui peuvent s’élever jusqu’à 70%”. 
Du coup, puisqu’il n’a plus à dépendre des distributeurs américains, Eddy Le Garrec devient un vrai caviste, à la française, qui repère les vins chez les producteurs (en France, mais aussi ailleurs en Europe ou en Amérique du Sud), négocie directement avec eux, et peut ainsi obtenir des prix défiant toute concurrence sur des vins de grande qualité.
“Cela me permet d’afficher par exemple des vins en-dessous de 15$ (Best Under 15) dont je suis très fier”, raconte-t-il devant les étagères type entrepôt de sa boutique, où il présente ses bouteilles de manière simple et compréhensible par un public américain souvent intimidé par les étiquettes françaises ésotériques.
Bouteille en main, il montre fièrement l’étiquette du Clos du Roy, un Bordeaux 2015 (vendu 17.99$). “Je l’ai envoyé aux “noteurs” américains (Parker et Suckling) et ils ont tout de suite donné une très haute note pour un vin de cette catégorie (92-93 points chez J. Suckling)“. Un autre Bordeaux, blanc celui-là, Château Mont Perat (2015) a lui aussi obtenu une excellent note chez Robert Parker, pour ses “notes tropicales subtiles, goyaves et ananas, une acidité bien jugée, avec un soupçon d’épices en note finale”.
Le système mis en place lui permet même parfois d’afficher le même prix qu’à la propriété, comme sur le Brouilly (Romain Jambon Brouilly Les Vieux Cèpes) qui vient d’arriver dans la boutique. “Je l’ai goûté cet été en France et je l’ai trouvé formidable. Il a obtenu un 92 chez Robert Parker qui l’a qualifié de “superb””. Vendu pour 15 euros à la propriété en France, il est affiché à 17.99$ chez Eddy, imbattable!

Empire State of Wine bénéficie de l’expérience précédente d’Eddy Le Garrec, “W Wine Boutique”, à Miami, qu’il a vendu il y a 5 ans. “Tout ce que je fais dans ce magasin new-yorkais est le fruit des leçons tirées de mes dix ans à Miami, et des 3 principes que j’y appliquais: simplicité, qualité et compétitivité!”. En Floride, Eddy Le Garrec était devenu le numéro 1 des ventes de champagne et vins haut de gamme de tout l’Etat, ce qui lui avait permis de vendre son magasin à un grand groupe. Après l’expiration de sa clause de non-concurrence, il a décidé de renouveler l’aventure avec cette ouverture à New York.

Outre le magasin du 111 W 20th St, New York, NY 10011, Empire State of Wine vend aussi en ligne dans la plupart des Etats-Unis (à l’exception de 7 Etats). Profitez du discount de 10% pour les lecteurs de French Morning (code Frenchmorning), pour toute première commande (sauf “sales” et “newsletter offers”).

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

L'Alliance française d'Austin pense déjà à la galette

La bûche de Noël n’est pas encore consommée qu’il faut déjà se préparer à l’après. Comprenez la galette des rois.
L’Alliance française d’Austin organise son traditionnel apéro-galette le samedi 6 janvier à Sala & Betty. L’Alliance française offrira quelques petits plats à partager de 4 à 5pm (gratin de chou-fleur, croquettes de crabe…) et servira la galette à 5pm. L’événement est gratuit pour les membres, 5 dollars pour les non-membres.
 

Où trouver la bûche de Noël à San Francisco ?

Il est temps de se préoccuper du dessert incontournable de Noël: la bûche! Voici notre sélection d’adresses pour la trouver à San Francisco.
B. Patisserie
La palme de la bûche la plus esthétique revient à B. Patisserie. Côté saveurs, la pâtisserie située dans Pacific Heights ne déçoit pas non plus, entre la bûche Vanille, la Chocolat ou la Fraise. 75 dollars pour 10 personnes, ou 7.5 dollars la part. A commander au plus tard le 15 décembre, et à venir retirer à la pâtisserie le 23 ou le 24 décembre. B. Patisserie, 2821 California St, San Francisco, CA 94115. (415) 440-1700. Site.
Le Marais
Deux parfums de bûche, plus appétissants l’un que l’autre: pain d’épices et chocolat-marron. On peut commander soit au Marais dans la Marina, soit dans celui du Castro, au moins trois jours à l’avance. Compter environ 45 dollars. Le Marais Bakery, 2066 Chestnut St, San Francisco, CA 94123 ou 498 Sanchez Street, San Francisco, CA. (415) 359-9801. Site
Miette

Bûche trois chocolats chez Miette
Bûche trois chocolats chez Miette

Dans cette pâtisserie-confiserie de Hayes Valley, la bûche se décline en deux tailles: petit modèle, pour deux à quatre personnes (25 dollars), ou la grande version, pour 10-12 personnes (50 dollars). Les amoureux de chocolat seront comblés: génoise chocolat, mousse chocolat au lait, le tout recouvert de ganache chocolat noir, et décoré de pommes de pin…en chocolat! Les commandes sont à faire avant le 18 décembre.  Miette, 449 Octavia Street, San Francisco, CA 94102. (415) 626.6221. Site.
Tartine Bakery
On ne présente plus Tartine et les queues interminables qu’il faut endurer pour déguster ses délicieuses viennoiseries et pâtisseries. Pour sa bûche de Noël, Tartine reste fidèle à sa réputation d’excellence: génoise au café garnie de crème pâtissière espresso, mousse au chocolat, le tout recouvert de chocolat et de pistaches, et décorées de champignons en chocolat blanc. 65 dollars pour 10 parts. Tartine Bakery, 600 Guerrero St, San Francisco, CA 94110. (415) 487-2600. Site.
Thorough Bread and Pastry
Les bûches de chez Thorough Bread and Pastry
Les bûches de chez Thorough Bread and Pastry

La boulangerie-pâtisserie du Castro propose cette année deux bûches: chocolat-noisettes, ou vanille-fruits rouges-chocolat blanc. Les commandes peuvent se faire directement sur place, ou par téléphone, jusqu’au 17 décembre. Compter 40 dollars pour environ 10 parts. Thorough Bread and Pastry,248 Church St, San Francisco, CA 94114. (415) 558-0690. Site
Arizmendi Bakery
Dans cette boulangerie coopérative du Sunset, la bûche sera plutôt traditionnelle: génoise garnie de crème pâtissière au rhum, recouverte de chocolat, airelles et champignons en meringue. Une recette gagnante depuis plusieurs années. Environ 40 dollars pour une dizaine de parts. A commander jusqu’au 23 décembre et à retirer avant 4:30pm le 24. Arizmendi Bakery, 1331 9th Ave, San Francisco, CA 94122. (415) 566-3117. Site

Où trouver la bûche de Noël au Texas ?

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Vous avez aimé la dinde à Thanksgiving ? Pas de raisons alors de passer à côté de la bûche de Noël. Pour ceux qui aiment respecter les traditions, voici une sélection d’adresses où dénicher une (bonne) bûche de Noël au Texas.
Houston
On ne présente plus la Pâtisserie Paris Je t’aime, réputée pour ses desserts et pâtisseries d’orfèvres. Chaque année, la chef pâtissière Nga Rogers crée de véritables œuvres d’arts pour les fêtes.
Cette année, elle décline la bûche en quatre variantes : la bûche « Rosé » ( chocolat noir, sabayon de champagne rosé et poires pochées au champagne rosé), la bûche « Or » (praliné, noisette, mousse au chocolat noir et caramel coulant), la bûche « Merveilles » (chocolat noir, marmelade d’oranges au Cointreau et meringues) et la bûche « Dentelles » (pistache, chocolat blanc, cœur crémeux d’oranges au Cointreau et coulis de framboises). $70 la bûche pour dix à douze personnes. À commander une semaine à l’avance. (Il faut trois jours pour finaliser une bûche). Disponibles jusqu’à la fin janvier. 11660 Westheimer Rd, Ste 107A. Tél. : (281) 531-1222.
A la French Gourmet Bakery, la  bûche est alcoolisée et vient en quatre types : mousse au chocolat et rhum, mousse au chocolat blanc et Grand Marnier, moka et rhum, noisette et Frangelico. Toutes sont accompagnées des classiques champignons en meringue. A commander jusqu’au 23 décembre. $55.99 la bûche pour douze à quinze personnes. $65.99 celle pour quinze à dix-huit personnes. 2250 Westheimer Road. Tél. : (713) 524-3744.
Chez Julies French Pastries, boulangerie-café de la Normande Julie Clemenceau, vous avez le choix entre deux bûches : chocolat-vanille (génoise vanille, mousseline au chocolat, cœur de crème brulée à la vanille et glaçage chocolat noir) et mangue-framboise (génoise vanille, mousse mangue, confiture de framboises). Pour six ou douze personnes à $26 et $48. Disponible sur commande 3 jours à l’avance. 14522 Memorial. Tél. : (281) 741-9161
Dallas-Fort Worth
Traiteur réputé pour ses desserts, la Main Street Bakery  propose sa  bûche de Noël en trois versions : chocolat blanc et framboise, chocolat, noisette et caramel et la dénommée “The Bomb” dérivée du dessert du même nom, faîte d’une génoise à l’amande mariée à de la crème brûlée et de la mousse au chocolat, le tout recouvert d’un glaçage miroir au chocolat noir. $32 la bûche pour six personnes ; $38 celle pour dix. Trois adresses à : Grapevine (316 South Main Street, tél. : (817) 424-4333), Plano (7200 Bishop Road, Suite D-11, tél. : (972) 309-0404) et Richardson (3600 ShireBoulevard, Suite 100, tél. : (972) 578-0294).
Connue pour n’utiliser que du chocolat belge, la Millstone Bakery propose une  bûche de Noël principalement à base de vanille et de chocolat. Sur commande uniquement, une semaine à l’avance. $59 la bûche pour dix à douze personnes. 3020 Legacy Drive, Suite 150, à Plano. Tél. : (972) 618-2253.
Chez Rush, la bûche est composée d’une génoise traditionnelle aux amandes et accompagnée d’une ganache chocolat ou de crème chocolat. La chef peut également confectionner une bûche sur mesure selon vos goûts. A partir de $50 pour huit à dix personnes. Uniquement sur commande. 1201 Eldorado Ave, Dallas. Tel. : (214) 749-4040
Austin
Explosion de saveurs et textures garantie chez Baguette et Chocolat qui propose cette année sa bûche “Succès” inspirée du gâteau français champion du monde de pâtisserie 2017. Elle est composée d’une mousse chocolat noir 70%, d’une ganache chocolat au lait et caramel, d’une compote de bananes et d’un biscuit moelleux à la banane, le tout enrobé d’un glaçage chocolat. Bûches disponibles pour quatre à dix personnes à $6.50 par personne, soit de $26 à $65 selon la taille. À commander dès à présent mais disponibles que les 23 et 24 décembre. 12101 Farm to Market 2244, à Bee Cave. Tél. : (512) 263-8388.
Au menu de La Pâtisserie cette année : noisettes et chocolat ainsi qu’un glaçage chocolat noir façon opéra. $50 la bûche pour dix à douze personnes disponible sur commande. Compter 48 heures de délai. Deux adresses : 602 W Annie St, tel : (512) 912-0033 et 7301 Burnet Road Ste 102, tel : (512) 770-6442.
Julie Myrtille est la plus jeune chef pâtissière à être intronisée à l’Académie Culinaire de France. Nouvelle venue à Austin, elle n’a pas (encore) sa propre boutique et vend sa production sur les marchés. Pour Noël, elle propose une bûche trois chocolats : mousse de chocolat noir, blanc et au lait, biscuit aux amandes et glaçage miroir au chocolat noir. Disponible pour quatre ou huit personnes à $32 et $60. Sur commande à [email protected] . En vente au Texas farmers’ Market at Lakeline 11200 Lakeline Mall Drive, Cedar Park, TX 78613 et au SFC farmers’ Market Downtown, Republic Square Park, 422 Guadalupe St Austin, TX 78701
San Antonio
D’inspiration parisienne, La Boulangerie fait partie des meilleures adresses de la ville pour les pâtisseries et viennoiseries françaises à San Antonio. La boutique dirigée par Sylvie Nykiel propose évidemment des bûches de Noël. Cinq parfums sont à la carte cette année : deux versions traditionnelles chocolat ou café et trois déclinaisons aux fruits (framboise, fruits de la passion mandarines et caramel poires). Disponibles pour quatre à huit personnes de $22 à $44 selon la taille. À commander 24 heures à l’avance jusqu’au 21 décembre. 207 Broadway St. Tél. : (210) 639-3165
Enfin, présente à travers tout le Texas, la chaîne de supermarchés Central Market propose, dans son menu “fêtes” une bûche de Noël pour six personnes à $24.99. Trois parfums au choix : moka, praline et chocolat.

Mini-Chic s'installe dans le Castro

A deux pas de la célèbre maison bleue de Maxime Leforestier, à côté d’un café et d’un fleuriste, Mini-Chic a officiellement ouvert sa boutique en novembre. C’est un nouveau développement dans l’histoire de cette jeune pousse qui vend des vêtements de marques françaises pour enfants.
Après le retour en France de sa partenaire, la co-fondatrice Coralie Tran a été rejointe dans l’aventure par Marie Lamy, une Française installée depuis un an à San Francisco, et qui s’occupe de la communication de la marque: “J’ai eu un coup de foudre pour Mini-Chic. Après avoir travaillé dans une école de commerce et au cours Florent, je n’avais pas forcément envie d’être salariée ou de travailler dans une grosse entreprise, confie Marie Lamy. J’étais plus intéressée dans la naissance d’une start-up, et comme je suis un peu bobo dans ma manière d’élever mon fils, en particulier en ce qui concerne les vêtements de seconde main, Mini-Chic m’a semblé idéal.
Pour cette première boutique, Mini-Chic s’est associé à Turkish Modern, une marque d’accessoires et de meubles fabriqués en Turquie. A l’origine de Turkish Modern, Seyda Carter et son mari Alexander, un Américain francophone: “J’ai rencontré Coralie en 2007, à Paris. J’ai créé Turkish Modern en 2011, et nous avons commencé à collaborer avec Mini Chic en leur fournissant des chaussures en cuir pour adultes et enfants. Nous avons fait plusieurs pop-up ensemble, et nous avons constaté que nous partagions la même clientèle.
Mini-Chic et Turkish Modern se partagent deux vitrines, une pour chaque marque. “Le quartier nous a vraiment séduit, car cet emplacement est à la croisée de Mission, Noe et Castro. La rue est passante, et c’est facile de se garer, se réjouit Coralie Tran. Les commerçants du quartier nous ont chaudement accueilli, et les retours sur notre boutique sont très positifs.”

Infographie : la présence économique française aux Etats-Unis

Présentes sur l’ensemble des États américains, les entreprises françaises créent près de 600.000 emplois au pays de l’Oncle Sam.
Échanges commerciaux, investissement, emploi : retrouvez un état des lieux de la présence économique française aux États-Unis dans cette infographie vidéo. Les chiffres ont été fournis par le service économique de l’ambassade de France aux Etats-Unis.

Carla Bruni en concert à New York en 2018

Carla Bruni passera par New York pour promouvoir son nouvel album dans le cadre d’une tournée en Amérique du Nord.
La chanteuse se produira le vendredi 16 février 2018 à Town Hall. Son album, “French Touch“, rassemble des classiques du rock anglo-saxon dans une version propre à l’ancien mannequin.
On découvre ainsi un étonnant “Highway to Hell” d’AC/DC façon bossa-nova, ou encore “Perfect Day” de Lou ReedC’est le 5e album de Carla Bruni depuis ses débuts dans la chanson en 1997.