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Awty ouvre un campus d'apprentissage précoce de premier ordre

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(Article partenaire) Il y a 61 ans, Kathleen Awty ouvrait une école maternelle qui allait devenir la première école internationale de Houston. Cette année, Awty a bouclé la boucle, avec l’ouverture de son campus d’apprentissage précoce, un nouveau site spécialement conçu pour les étudiants allant de la petite section /Pré-K3 jusqu’au CP/1st grade.  Il mesure 5.25 acres, avec un espace cinq fois plus grand que l’école primaire précédente, d’environ 75.000 pieds carrés.

Nous sommes ravis d’accueillir nos plus jeunes élèves dans ce remarquable nouveau campus d’apprentissage précoce, a déclaré Lisa Darling, directrice de l’école. Reloger nos plus petits dans un nouveau campus a été une décision mûrement méditée, mais le campus d’apprentissage précoce d’Awty offre des installations modernes, des aires de jeu exceptionnelles, et des zones d’apprentissage adaptées aux besoins des jeunes enfants ».

Awty reste la seule école de Houston accréditée par le ministère de l’éducation nationale. Aujourd’hui, sa fondatrice serait fière de la façon dont l’école a maintenu son accréditation à travers le temps ainsi que son engagement envers l’éducation en français. Le programme bilingue français/anglais en petite section (PS), en moyenne section (MS) et en grande section (GS) est la base du modèle bilingue de l’école depuis plus de 25 ans, avec des professeurs de français et d’anglais travaillant ensemble pour une mise en œuvre efficace du programme. Ce nouveau campus ne fait qu’améliorer ce modèle. 

Le campus d’apprentissage précoce comprend 26 salles de classe interactives, deux salles polyvalentes, des ateliers d’art et de musique, une cuisine pédagogique, une bibliothèque, une médiathèque et des réfectoires pour les élèves et les professeurs. Le gymnase de deux étages comprend un mur d’escalade, des terrains polyvalents et une scène de théâtre. Le campus compte également des zones d’apprentissage en plein air, des salles de classe flexibles, un jardin potager et un espace de jeu de 20.000 pieds carrés avec une piste cyclable pour les tricycles, un terrain de foot et un terrain de basketball.

« Les salles de classe sont immenses, explique Anne Clonan, enseignante au CP. Maintenant, c’est plus facile de travailler en petits groupes car il y plus d’espace disponible et nous pouvons faire plus d’ateliers ».

Des espaces d’apprentissage en plein air sont également à la disposition des enseignants et des étudiants. Avoir la possibilité d’utiliser les espaces extérieurs pour lire des histoires et varier les endroits plus fréquemment fait la joie de la maîtresse de grande section maternelle, Elise Devesa.

« C’est la plus belle école que j’ai vue de ma vie et j’en ai vu beaucoup! »  a déclaré Marie-Dominique Lee, maîtresse en petite section depuis de nombreuses années. L’espace est exceptionnel, en particulier la cour de récréation qui permet aux enfants d’avoir des expériences physiques et motrices extraordinaires.

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Awaty International School Houston - Early Learning Center - Houston, TX 091417
Awaty International School Houston – Early Learning Center – Houston, TX 091417

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Le campus continue une longue tradition à l’école: les enseignants et les étudiants cuisinent ensemble. Effectivement, Mme Awty cuisinait avec ses élèves de maternelle quand elle a commencé l’école en 1956. Aujourd’hui, le campus d’apprentissage précoce comprend une cuisine pédagogique spécialement conçue pour les plus petits. Elise Devesa attend avec impatience de cuisiner avec ses élèves dans la cuisine, qui est complètement adaptée à leur taille. Selon elle, c’est une caractéristique que peu d’écoles ont.

Le nouveau campus permet une collaboration plus étroite entre les élèves. Par exemple, les enfants qui sont dans les classes de français et d’anglais sont plus proches, partageant le même couloir, sans division. Il en est de même pour les enseignants, qui échangent plus souvent dans ce grand corridor commun pour le CP.

Aurélie Cagni, maîtresse en moyenne section voit également une collaboration entre les enseignants. « On se concerte pour faire ensemble un même projet. C’est la première fois que nous faisons autant de choses en commun avec les autres classes. C’est un gros avantage. Cela a plus de sens pour les enfants et donne plus de cohérence au cycle ». 

Pour la maîtresse de moyenne section, Beatrice De Gouyon-Person, il existe de nombreux exemples de communication entre les élèves de 4 et 5 ans dans ce couloir, et les maîtresses de moyenne section prennent grand plaisir à voir leurs anciens élèves grandir en grande section.

Les enseignants, le personnel, les étudiants et les familles sont tous ravis du nouveau campus. Les salles de classe spacieuses, les fonctionnalités supplémentaires, y compris la cuisine pédagogique, et les espaces d’apprentissage flexibles enrichissent la vie scolaire des élèves et des enseignants. L’école est fière de continuer l’héritage de Mme Awty.

Pour en savoir plus, visitez le site d’Awty


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Les Gourmands, l'aventure pâtissière de la famille Chaillout à San Francisco

Oh! A new bakery!” Les passants qui arpentent les rues de SoMa ne manquent pas de s’étonner. Les Gourmands est un nouveau-venu dans ce quartier plutôt industriel, qui connaît un renouveau avec l’installation de Slack, Eventbrite et autre Pinterest. La boulangerie, dotée d’une petite terrasse et d’un intérieur avec des tableaux de l’artiste français Nairone, vient d’ouvrir, mais la boulangerie a déjà ses habitués qui saluent Sylvain Chaillout, son patron, comme un vieux copain.

Les Gourmands sont avant tout une affaire de famille: Sylvain Chaillout a monté le projet, son père Serge dirige la fabrication, et sa mère Catherine s’occupe de la vente. “Je travaillais à Paris dans le milieu de la mode. Une longue maladie a remis en cause mes priorités: pour moi, le plus important, c’est de passer du temps avec mes parents et de travailler avec eux.” Serge et Catherine Chaillout ont travaillé pendant plus de 35 ans dans la boulangerie: ils ont repris l’affaire des grands-parents à Paris, avant de déménager à Orléans puis à Pont-Audemer, en Normandie. “Nous avons réfléchi à un endroit qui nous attirait tous les trois: Vienne? Barcelone? Toronto? Nous avons finalement choisi San Francisco. Mes parents ont vendu leur entreprise et leur maison, et l’aventure a commencé.” Trois ans ont été nécessaires à l’installation des Gourmands dans la ville.

Explorant les formations en boulangerie proposées à San Francisco, Sylvain Chaillout arrive à la conclusion que les Gourmands ont une mission à accomplir, en plus de la fabrication et de la vente de produits: “apporter le savoir-faire qu’on ne trouve pas vraiment ici”. Ils ont mis sur pied un programme de 18 mois qui permet d’enseigner la fabrication, la vente, la gestion aux apprentis. Un pari osé, mais qui a piqué l’intérêt de nombreux candidats.

Serge Chaillout est le boulanger en chef. Pour pouvoir former ses apprentis, il a suivi pendant un an des cours intensifs d’anglais, une langue qu’il ne maîtrisait pas en arrivant à San Francisco: “On communique parfois par signes, reconnaît-il en souriant. En France, j’ai formé plus de 200 apprentis. J’avais l’impression d’avoir fait le tour de la question, d’autant que l’apprentissage n’est pas vraiment valorisé. Ici, les gens sont motivés, ils ont envie d’apprendre, et moi de transmettre.

Croissants simples ou aux amandes, pains aux chocolat, chaussons aux pommes, brioches roulées à la crème pâtissière et pépites de chocolat: Les Gourmands vendent tout ce qu’on aime. “Nous éduquons nos clients sur les différentes familles, – pâte à croissants, feuilletée et briochée-, pour valoriser le travail de l’artisan, explique Catherine Chaillout. Ils ne sont pas là que pour consommer, mais pour comprendre la mécanique de fabrication de chaque viennoiserie.” Avec gourmandise…

French Morning lève 300.000 dollars en crowdequity

Nous vous avons demandé -poliment- et vous nous avez répondu. Merci! Grâce à vous, la campagne de levée de fonds de French Morning est un succès. Nous avons levé 300.000 dollars, qui vont nous permettre de commencer notre expansion internationale.
Nous avons désormais 191 actionnaires-lecteurs, qui possèdent 15% du capital de l’entreprise. Cette campagne d’equity crowdfunding a été menée via la plateforme MicroVentures, une des pionnières dans ce domaine, devenue légale aux Etats-Unis depuis 2016 seulement. (235.000 dollars ont été levés sur la plateforme, et 65.000$ en direct.)
L’investissement moyen s’élève à 1.500$, mais la fourchette est très large: de 100$ (40 investisseurs) à 50.000$ (un investisseur). Comme nos lecteurs, nos investisseurs sont très majoritairement domiciliés aux Etats-Unis (150, soit 78%). Parmi eux, 60 sont dans l’Etat de New York, 28 en Californie, les autres répartis à travers tout le pays dans plus d’une vingtaine d’Etats.

Cette première étape franchie, French Morning va désormais pouvoir se lancer dans le développement de nouvelles éditions hors des frontières américaines: Montréal, déjà lancé au printemps (sous le nom de Maudits Français); Londres très bientôt, puis d’autres villes en Europe, Asie, Amérique du Sud très vite. Objectif: servir les quelque 2 millions de Français de l’étranger comme nous le faisons depuis des années pour les 300.000 Français des Etats-Unis. Ces projets voient le jour dans un contexte de forte croissance de French Morning sur son marché initial américain, avec un chiffre d’affaire annuel d’un million de dollars, en hausse de plus de 60% au premier semestre 2017.

French Morning a développé trois sources de revenus, une diversification qui minimise l’exposition aux aléas du marché publicitaire :

  • Publicité : Du Carnet d’Adresse aux campagnes sur-mesure, French Morning offre une gamme de services diversifiés à ses annonceurs. French Morning Studio offre des services de création pour aider les annonceurs à raconter leur histoire et mener à bien leur stratégie de communication
  • Evénements :  French Morning organise une large gamme d’évènements. La monétisation se fait principalement via le sponsorship et la vente de tickets.
  • E-commerce : Ouvert depuis 2016, “Le Marché” de French Morning vend des produits français : nourriture, puis plus récemment mode et design et très prochainement livres.

Avenue des Arts: l'"ace" artistique d'un ancien tennisman à LA

Difficile de se lancer dans l’art à Paris quand on n’est pas du sérail. Un constat amer qui a poussé Dimitri Lorin à s’expatrier pour vivre son rêve. “J’ai choisi de faire d’abord mes preuves à l’étranger. Cela m’a fait gagner dix ans de carrière“, assure le directeur-fondateur d’Avenue des Arts.
Après avoir lancé une galerie à Hong Kong en 2013, il a inauguré un centre d’art urbain à Los Angeles, en juin, aidé par son épouse Jennifer Duval. Du vendredi 13 au dimanche 29 octobre, il accueille une exposition solo de l’illustrateur et caricaturiste barcelonais Joan Cornellà, auteur de dessins absurdes bourrés de cynisme et d’humour noir.
Précurseur dans la mégalopole asiatique, Dimitri Lorin a choisi de s’exporter de l’autre côté du Pacifique dans un espace industriel de 550 m2 sur deux niveaux, en plein centre de Downtown. “Nous voulons faire connaître nos artistes dans des villes majeures; mais aussi les faire voyager dans des foires d’art internationales.
Des oeuvres gargantuesques exposées

Avenue des Arts est aux antipodes de la galerie commerciale traditionnelle, souhaitant installer des artistes émergents et établis dans les musées et fondations. “Nous voulons que l’art urbain soit reconnu comme un art à part entière.
Grâce aux dimensions gargantuesques des lieux, il peut accrocher les œuvres de Monky Bird, réalisées à partir de pochoirs, et mesurant 3 mètres sur 3, mais aussi celles du spécialiste français du pointillisme, Kan, et les photos des gangs mexicains de Nicolas Giquel. Les expositions se suivront toutes les six à huit semaines, avec un étage dédié aux pluies de couleurs de Marc Allante en novembre; suivi par l’univers pop art de Matt Gondek en décembre.

Dimitri Lorin a mis un an et demi à trouver le local de la galerie.
Dimitri Lorin a mis un an et demi à trouver le local de la galerie.

Outre mes goûts artistiques, j’essaie de regarder leur passif et leur volonté d’évolution. Je ne veux pas faire de “one shot”, mais m’occuper des artistes de A à Z, ce que font peu de galeries“, défend l’ancien joueur de tennis français, qui agit avec ses artistes comme un coach avec ses joueurs. Un poste qu’il a d’ailleurs occupé pendant quelques années, après avoir mis un terme à sa carrière sportive à cause d’une blessure. Passionné de design, ce collectionneur s’est alors orienté vers la création de peintures avant de réaliser qu’il préférait la représentation d’artistes.
Son jeu ne se limite pas à ça. Sa balle de match : éduquer les futurs collectionneurs. “Il y a beaucoup de gens qui investissent dans les propriétés, les actions, mais pas assez dans l’art. Et pourtant, c’est un meilleur investissement“, clame Dimitri Lorin, qui représente six artistes. Il s’adresse à tous les budgets, en passant des sérigraphies en édition limitée (à partir de 100 dollars) aux oeuvres à 40.000 dollars.
L’accès à des oeuvres de maîtres

Hors des terrains de la vente, il veut faire d’Avenue des Arts un “espace de vie“. Repas de collectionneurs, café des arts dans un espace bibliothèque, initiation à la peinture pour enfants: plusieurs événements seront proposés. “Nous exposerons aussi des oeuvres de maîtres, comme du Basquiat ou du Takashi Murakami.
Dimitri Lorin veut faire de cette galerie "un espace de vie".
Dimitri Lorin multiplie les aller-retour entre Hong Kong et Los Angeles.

 

De nouvelles mesures de sécurité sur les vols vers les Etats-Unis

Un entretien au comptoir d’enregistrement à l’aéroport, un questionnaire supplémentaire, une fouille plus poussée… Voilà quelques-unes des mesures que les compagnies aériennes ont prévu de mettre en oeuvre à partir du jeudi 26 octobre sur leurs vols à destination des Etats-Unis.
Quelque 325.000 passagers arrivant sur le territoire américain à bord de 2.000 vols commerciaux sont concernés. En tout, 180 compagnies aériennes et 280 aéroports dans 105 pays sont touchés.
Ce renforcement de la sécurité a été exigé en juin par l’administration américaine en contrepartie de l’abandon de l’interdiction d’appareils électroniques à bord d’avions en provenance de dix pays du Proche-Orient et d’Afrique du Nord. Les compagnies aériennes ont eu 120 jours pour mettre sur pied de nouveaux contrôles.
Les mesures mises en oeuvre varient d’une compagnie à l’autre. Air France, par exemple, prévoit de distribuer un questionnaire à tous ses passagers à destination des Etats-Unis. La mesure sera déployée dès jeudi à Orly puis dès le 2 novembre à Roissy-Charles de Gaulle. “Au-delà du questionnaire, on nous demande aussi des mesures de sûreté supplémentaires autour de l’avion, cabine et soute, avant le départ“, a indiqué la compagnie. Plusieurs compagnies conseillent à leur passagers d’arriver plus tôt pour se soumettre à ces nouvelles mesures.

Au District, l'automne a le bon goût du pays

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(Article Partenaire) Pour fêter l’arrivée de l’automne, les chefs du District ont concocté des menus de saison aux bons goûts des terroirs français.
Cela commence au restaurant Beaubourg, la brasserie française du District. Le menu d’automne affiche la bouillabaisse, la blanquette de veau ou -forcément- les escargots de Bourgogne. Et si vous avez envie d’un peu plus audacieux que ces grands classiques français, nous vous recommandons les raviolis de Canard.

Pour le marché, cet endroit unique où l’on peut manger au comptoir, devant les stations du boulanger, du boucher ou du charcutier, “nous voulions retourner à des plats simple et parfaitement exécutés”, explique Lucie Rizzi, directrice marketing du District.  Vous trouverez ainsi la raclette fondue sur les frites de la station “Bar à Frites”, ou encore une fondue ou l’éternel boudin aux pommes confites au menu du “Bar à vin”. Du côté de la rôtisserie, vous trouverez cassoulet et navarin d’agneau en plat du jour.

Mais la grande nouveauté de la saison est le lancement de la poissonnerie. Vous pouvez désormais manger sur place ou à emporter le fameux lobster roll, des pâtes au gratin avec du homard, ou encore des huîtres, crevettes et homard prêt à déguster!

Pour un dîner plus gastronomique, c’est évidemment chez le chef Nicolas Abello qu’on se précipite, au restaurant l’Appart, étoilé Michelin. Ce mois-ci, il sert aux invités de sa très intimiste salle, devant sa cuisine ouverte, un menu particulièrement inventif. On ne citera qu’un plat: Foie gras, butternut et marron… Vous n’avez pas encore réservé? 

Retrouvez tous les menus sur le site du District.


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Jean-Luc Teinturier: “Pour acheter à New York, il faut être réactif”

(Article Partenaire) Il y a à New York environ 30,000 agents immobiliers. Qui doivent se partager quelque 50,000 transactions par an. Bref, il y a deux catégories de “brokers”: ceux qui savent et ceux qui galèrent…

Jean-Luc Teinturier est sans contest dans la première catégorie, notamment parce qu’avant d’être agent, il a lui-même investi dans l’immobilier depuis des années. Et il continue de le faire, puisqu’il développe en ce moment un projet dans l’Upper East Side, dont les appartements vont arriver sur le marché dans les prochaines semaines.

“Cette connaissance du marché new-yorkais est cruciale, explique-t-il, notamment pour une clientèle française. Mon rôle est de les accompagner en les aidant à comprendre le marché”. Arrivé à New York en 1982, Jean-Luc Teinturier y a toujours travaillé, d’abord comme directeur de filiale dans l’agro-alimentaire, puis dans le flaconnage de parfums et enfin en créant avec son épouse Laurence un salon de la lingerie revendu en 2012. “Un parcours classique français, les fameux trois “f”: food, fragrance, fashion”, s’amuse-t-il.

Au sein de Barnes-Warburg, agence qui associe un grand nom français de l’immobilier de luxe, Barnes, à une agence new-yorkaise historique, Warburg, il bénéficie du soutien d’un solide réseau professionnel qui permet d’agir vite. “A New York plus qu’ailleurs, la réactivité est essentielle, explique-t-il. Grand nombre des affaires que j’ai pu réaliser l’ont été parce que nous étions les premiers à faire l’offre”.

La clef de la réussite, pour Jean-Luc Teinturier, est le lien tissé avec son client: “c’est important de comprendre les goûts du clients, les besoins aussi, qu’il s’agisse d’acheter pour habiter ou pour investir, précise-t-il. Je passe toujours plusieurs heures avec mes clients pour bien cerner leur projet et pouvoir les accompagner au mieux”.

Marie Vayron et César Ponsonnet, jeune couple “primo-accédants”, se réjouissent ainsi que Jean-Luc Teinturier ait “très vite compris notre profil très naturellement, et nous a fait des offres qui ont toujours répondu à nos attentes. Nous nous sommes sentis ecoutés tout au long de cette aventure”. Les jeunes trentenaires ont trouvé grâce à Jean-Luc un appartement neuf à Harlem, qui correspondait à leur budget et à leurs attentes.

Pour les clients expatriés, qu’ils résident déjà à New York ou non, l’accès au crédit est bien-sûr la principale difficulté. “Mon rôle est aussi de les accompagner grâce à mon carnet d’adresse, en leur recommandant les rares banques qui prêtent aux expats, ou les autres professionnels indispensables, avocats, fiscalistes et même “general contractors” pour les travaux”.

Achat sans douleur

Lorsque Elisabeth Lando et son mari on cherché un appartement à Manhattan, “nous avions le sentiment d’être ses seuls clients, même si nous savions que ce n’était pas le cas, raconte-t-elle. Il répond à tous les appels et emails dans la journée et -surtout- il est très à l’écoute!” Jean-Luc Teinturier a présenté à Elisabeth plusieurs appartements “qui répondaient parfaitement à nos critères”. Leur choix s’est finalement porté sur un condo à Chelsea et l’achat s’est fait sans douleur, notamment grâce aux professionnels présentés par Jean-Luc Teinturier.

La connaissance du marché est essentielle, particulièrement en période d’instabilité, comme c’est le cas en ce moment. “Le marché reste tendu en dessous de 3 millions de dollars à Manhattan, mais il y a désormais des marges de négociations qui n’existaient pas il y a un an”, explique Jean-Luc Teinturier.“L’arrivée sur le marché de nombreux condos un peu partout dans Manhattan et à Brooklyn a amélioré l’inventaire disponible et fait que les vendeurs sont moins en position de force qu’auparavant”. Ce qui ne veut pas dire que les acheteurs sont devenus rois: encore plus de la moitié des offres sont faites au comptant (“cash”), c’est à dire sans condition suspensive d’obtention de prêt. Le marché new-yorkais reste compétitif, d’où la nécessité d’être accompagné par un agent expérimenté!

Pour contacter Jean-Luc Teinturier:

Email: [email protected]
Tel: +1 203 550 5945
 


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Combien ça coûte de se déguiser à San Francisco pour Halloween ?

Halloween is coming ! Et aux États-Unis, c’est une véritable institution… Autant vous dire que le déguisement est fortement exigé. Vous n’avez pas envie de revêtir votre costume de Dame blanche ou votre masque anonymous pour la 150e fois ?
Classe business : plus de 70 $
Si vous voulez sortir votre épingle du jeu, ou plutôt des cheveux, optez pour une perruque sur-mesure. Fondée en 1957 dans le quartier de North Beach, la boutique Gypsy Rosalie’s Wigs and Vintage est le paradis des postiches. Pour une longue tignasse, il faut compter environ 100 $.
La classe ultime : emprunter un déguisement au A.C.T. Costume Rental. Le service de location de l’American Conservatory Theater de San Francisco met à disposition une gigantesque collection de costumes pour la modique somme de 175 $ la semaine. Mieux vaut en prendre grand soin car chaque loueur doit rendre la tenue en l’état et rembourser le moindre dommage.
Classe éco : 30 $ et 70 $
Pour les moins manuels et les adeptes du prêt à l’emploi, foncez au magasin Fantastico dans le quartier de Soma : 69 $ le déguisement de Stormtrooper, 60 $ celui de Chapelier Fou ou encore 45 $ pour se grimer en Gru de “Moi, moche et méchant”.
Low cost : entre 15 et 30 $
C’est justement dans le quartier hippie que se trouve le magasin de déguisement le plus mythique de la Fog City. Le Piedmont Boutique et ses fameuses jambes en bas résille, chaussées de hauts talons rouges qui sortent de la fenêtre. Déguisements, bijoux, chapeaux, perruques et maquillage… tout est là pour se grimer. Il faut compter environ 30 $ pour un chapeau burlesque ou encore 25 $ pour des lunettes aviateur vintage.
Si vous vous sentez l’âme créative, vous pouvez fabriquer votre costume vous-même. Chez Britex Fabrics, à deux pas d’Union Square, les tissus et les rubans sont rois. Le mètre de tissus en coton est vendu environ 10$.
Pour une poignée de dollars : moins de 15 $
Pour être raccord avec le titre de cette rubrique, vous pouvez vous déguiser en Joe, le tireur d’élite incarné par Clint Eastwood dans le célèbre western spaghetti de Sergio Leone. Un chapeau de cowboy, un poncho mexicain, un pistolet en plastique et le tour est joué ! Exactement le genre d’accessoires que l’on trouve dans les nombreuses friperies dont San Francisco regorgent.
En matière de vêtements de seconde main, Goodwill est l’endroit parfait. La Baie de San Francisco compte une vingtaine de magasins. Il existe aussi d’autres friperies dans le quartier de Mission : Community ThriftMission Thrift ou encore Buffalo Exchange qui a également une boutique sur Haight Street. Dans cette rue commerciale du quartier hippie, vous trouverez plein d’autres boutiques vintage où il faudra mettre la main au portefeuille.

Comment passer son permis de conduire à New York ?

Vous avez dépassé (depuis longtemps) les 90 jours d’ESTA qui permettent de conduire légalement aux Etats-Unis avec un permis français ? Vous vous interrogez sur les modalités pour passer le permis américain? Sachez que chaque Etat possède sa propre législation. Aussi, si vous résidez dans le New Jersey ou le Connecticut, vous n’aurez pas besoin de repasser le permis. En revanche, à New York, vous n’aurez pas le choix.
Première étape: le code
C’est le passage obligé pour obtenir le permis de conduire de l’Etat de New York. Pour pouvoir passer le code, il faut prendre un rendez-vous auprès du DMV (Department of Motor Vehicles), soit en personne, soit en ligne pour éviter les files d’attente interminables. Une fois votre date d’examen en poche, il ne vous reste plus qu’à vous présenter au bureau du DMV qu’on vous a attribué pour présenter des papiers d’identité, un numéro de sécurité sociale et la photo qui sera un jour (on l’espère pour vous) sur votre permis américain.
Précision importante pour les femmes mariées: il faut pouvoir prouver son identité en six points. “Mon visa et mon numéro de sécurité sociale mentionnaient mon nom de jeune fille alors que mon passeport et ma carte bancaire mentionnaient mon nom marital”, raconte Marion Gintzburger, qui a perdu du temps à l’inscription. Le jour du test il faudra aussi passer un examen de vision (lecture de lettres sur un tableau).
Votre permis français est déjà loin? Vous avez besoin d’une petite révision avant l’examen? Pas de panique, le DMV met à disposition le manuel du conducteur et propose des tests en ligne pour s’entraîner. “A peu près toutes les questions sont disponibles sur le site, se souvient Thierry Delprat. Le niveau d’investissement est donc très limité“. Sa femme, Sabrina Delprat a passé son code en juillet dernier et a constaté que sur les 20 questions, 17 étaient en ligne.
Si vous avez fait moins de trois erreurs et que le test de vision est concluant, on vous remet un “learner’s permit”, qui permet de conduire avec son permis étranger le temps de passer l’examen de conduite.
Pour passer le code, comptez entre 70 et 80 dollars, en fonction de l’âge du conducteur et du type de véhicule.
Etape numéro deux: la (très longue) vidéo
Incontournable avant de passer la conduite, il faut d’abord passer 5h devant une vidéo de sensibilisation avec d’autres candidats. “Ça ne présente aucun intérêt, c’est juste une après-midi de perdue où on nous apprend que c’est mal de conduire en ayant bu par exemple“, résume Thierry Delprat. Il se souvient notamment d’un passage dans lequel on voit Christopher Reeves marcher (il est devenu paralysé en 1995), preuve que la vidéo est (très) ancienne!
Sophie Barrel a passé, elle, son permis new-yorkais en 2014 et garde un souvenir très particulier de la vidéo: “On m’avait dit que tout le monde venait avec un ordinateur ou un livre, ce que j’ai fait. Mais dans mon auto-école de Downtown Brooklyn, mon instructeur voulait qu’on soit attentif, il intervenait et nous posait des questions“. Et ce qui a le plus marqué Sophie Barrel, c’est l’heure passée par l’instructeur sur les consignes en cas d’arrestation par la police. “Il nous a rappelé les choses à observer, les comportements à avoir: être poli, ne jamais mettre ses papiers d’identité dans la boîte à gants pour ne pas effrayer l’agent de police, obéir aux ordres et ne pas parler sans avocat si on se retrouve à l’arrière d’une voiture de police”, se souvient-elle
Dernière étape: la conduite
En étant adulte et titulaire d’un permis de conduire étranger, vous n’avez pas besoin de repasser des heures de conduite. Mais tout le monde s’accorde à dire qu’un peu de pratique avant l’examen reste une très bonne idée. “J’ai pris une heure et j’ai aussi loué la voiture de l’auto-école pour passer la conduite“, explique Thierry Delprat. En effet, les aspirants conducteurs doivent venir avec une voiture à l’examen. Sophie Barrel a choisi la même formule: “Des amis pouvaient me prêter leur véhicule mais il n’était pas en très bon état et on m’avait prévenu que je risquais des remarques dessus“.
Le tarif dépend des auto-écoles mais Thierry Delprat se souvient lui avoir dépensé 158 dollars l’heure de conduite et la location de la voiture. Une dépense qui s’impose presque car comme en France, les manœuvres répondent à des règles strictes comme la position du corps et de la tête. “L’instructeur de mon auto-école à Chinatown ne parlait pas anglais, se souvient le Français. Il me faisait comprendre là où je devais être attentif en ouvrant grand les yeux à certains moments“.
L’examen en lui même est très court: ne stressez pas avec les échangeurs compliqués de New York ou avec l’autoroute ! Si vous êtes à Brooklyn, vous avez toutes les chances de passer votre conduite à Red Hook où la circulation est plutôt tranquille. “On doit s’arrêter à un stop, faire un demi-tour et un créneau sur une place où on pourrait garer un semi-remorque. Ça dure 5 minutes“, explique Thierry Delprat.
Sophie Barrel a elle été recalée la première fois, sans vraiment comprendre pourquoi. Cette mère de famille a donc du reprendre date et payer à nouveau une heure de conduite et la location de la voiture, sans oublier les frais d’inscription pour l’examen.
Si la conduite se passe bien, l’examinateur vous remet un permis temporaire le temps de recevoir le sésame officiel. A noter que si vous voulez un jour retourner en France et donc conserver votre permis européen, il faut le préciser pour éviter qu’il soit détruit, comme le veut la règle.

Ces Françaises rêvent d'Hollywood, malgré les Weinstein

Mickaëlle X. Bizet est une Française qui monte à Hollywood. Expatriée à Los Angeles, l’actrice a été remarquée dans la série “American Crimes”, dans laquelle elle joue le rôle d’une jeune fille au pair, Gabrielle Durand. Quand le scandale Weinstein a frappé, elle n’est pas complètement tombée des nues. “Je n’étais pas surprise. Choquée, dégoûtée, oui. Mais pas surprise”, déclare la jeune femme.
Mickaëlle X. Bizet fait partie de ces actrices françaises émergentes, bien décidées à réaliser leur rêve hollywoodien. Depuis deux semaines, elles et le reste des Etats-Unis vivent au rythme des révélations quasi-quotidiennes contre le producteur Harvey Weinstein, accusé de harcèlement sexuel et de viol.
Plusieurs Françaises ont pris la parole pour dénoncer son comportement (Emma de Caunes, Judith Godrèche, Léa Seydoux, Marion Cotillard…). D’autres, comédiennes moins connues, n’ont pas croisé le chemin d’Harvey Weinstein. Malgré tout, ces révélations ont réveillé en elles des souvenirs de situations similaires.
“Toutes les actrices ont vécu une histoire comme celle-là. Quand on dépend des envies des réalisateurs ou producteurs, on a forcément un côté vulnérable”, raconte Roxane Mesquida, révélée au grand public dans la série “Gossip Girl”. La Française aux yeux clairs a commencé sa carrière à 13 ans. “J’ai eu la chance d’avoir été mise en garde par ma mère qui m’a élevée seule. Cela a sûrement joué dans ma carrière”, admet celle qui fut l’une des muses de la réalisatrice Catherine Breillat, qui lui a ouvert les portes du cinéma américain.
Le tête-à-tête de Laura Weissbecker avec “Shower guy”

Actrice émergente, Laura Weissbecker a accusé Harvey Weinstein dès 2016 dans son livre Comment je suis devenue une chinoise. Racontant son ascension en Chine à la suite du film “Chinese Zodiac” de Jackie Chan, l’Alsacienne de 33 ans confie un épisode difficile de sa carrière : sa rencontre avec un “producteur mondialement connu, un Américain au ventre énorme et à la liste de films presque aussi impressionnante que son abdomen.”
Sans le nommer, elle décrit Harvey Weinstein, dont on reconnaît le “modus operandi”. Il l’avait convoquée à son hôtel lors du Festival de Cannes. Le producteur américain avait alors débarqué “vêtu d’un simple maillot de bain mouillé”. “Il hoche la tête d’un air connaisseur, tel un œnologue réputé qui examinerait un vin rouge, jugeant la couleur avant de vouloir le goûter”, écrit-elle dans son livre, méfiante de cet homme dont elle connaît “la réputation sulfureuse”.
“Il me cite franco toutes les actrices avec qui il a couché et dont il a fait des stars.” Il décide de prendre une douche, et lui propose de poursuivre la conversation.“Tu n’es même pas obligée d’entrer dans la salle de bain, tu peux rester dans le couloir”, lui dit Harvey Weinstein. Mais Laura Weissbecker préfère s’éclipser, sans ruiner ses chances : “Je lui confie que j’aimerais beaucoup prendre une douche avec lui, mais un autre jour, car je suis très pressée.” Elle sera harcelée de coups de téléphone de la part de son assistante avant qu’il “se lasse et m’oublie”.
Laura Weissbecker
Cet épisode lui a inspiré le hashtag #showerguy. “Malheureusement, il y a un certain nombre de #showerguys dans l’industrie cinématographique, je me suis retrouvée dans des situations très difficiles quand je débutais comme comédienne alors que je ne m’y attendais pas du tout; #harvey est sans doute le plus connu mais malheureusement pas le pire”, a-t-elle écrit sur Facebook (elle n’a pas répondu à nos demandes de commentaire).
Roxane Mesquida n’a pas été confrontée au harcèlement sexuel aux Etats-Unis.“Je fais des films indépendants, confidentiels. Ce n’est pas du tout ce que fait Harvey Weinstein.” À 18 ans, elle s’est toutefois retrouvée dans une situation délicate. “Mon agent m’avait organisé un rendez-vous chez un réalisateur. Il voulait faire des photos de moi, nue, pour participer au financement du film. J’ai refusé et il m’a insulté. Je suis partie en courant”, se remémore la Marseillaise de 31 ans. “Mon agent n’était pas choqué.” Depuis, elle a toujours évité de rencontrer les professionnels dans leurs chambres. “Après (la vingtaine passée) ça se calme, on se fait une réputation”.
Ancienne enseignante au collège et lycée, Mickaëlle X Bizet ajoute qu’elle n’est plus aussi “fragile” qu’au début de sa carrière. Cela ne l’empêche pas de prendre des précautions. “Maintenant, ajoute Mickaëlle X. Bizet, je me dis que je ramènerai quelqu’un avec moi en cas de rendez-vous dans un hôtel.”

Une discussion sur comment réussir comme artiste à Miami

Comment se vendre en tant qu’artiste, construire sa “marque” et promouvoir ses oeuvres ? Voici quelques-uns des thèmes qu’abordera l’artiste Sophie Blachet lors d’une conférence à Venture Café Miami le jeudi 26 octobre.
Galeriste, Sophie Blachet est co-fondatrice du réseau French Arts Associates, qui a pour ambition de fédérer et soutenir les professionnels français de l’art aux Etats-Unis. Cette conférence donnera le coup d’envoi d’une série de discussions d’une durée de 45 minutes autour de l’aide au développement professionnel. En plus de cette série, l’association organise déjà, chaque troisième mardi du mois, des petits-déjeuners autour d’artistes et de divers personnalités issues du monde des arts. Le prochain aura lieu le 21 novembre.
L’événement est gratuit.

Combien ça coûte de se déguiser pour Halloween à Miami ?

Halloween, c’est le 31 octobre. Maintenant que la soirée la plus terrifiante de l’année est planifiée, il ne vous reste plus qu’à trouver un costume digne de ce nom.
En classe business : plus de 100 dollars
Si vous souhaitez faire trembler vos amis le soir d’Halloween, procurez-vous le déguisement de Frankenstein, l’une des créatures les plus célèbres, ou celui de Cruela d’Enfer à 150 dollars chacun chez ABC Costume Shop à Wynwood.
La boutique, qui confectionne plusieurs milliers de costumes pour la télévision et le cinéma, vous propose également de vous glisser dans la peau de super-héros en optant pour un déguisement de Batman ou Catwoman à 190 dollars, ou encore celui de Superman ou Wonder Woman à 150 dollars.
Vous pourrez également incarner Marie Antoinette, qui n’est peut-être pas le costume le plus effrayant pour Halloween mais dont le prix, 275 dollars, fait froid dans le dos. Toutefois, si vous avez un budget serré, mieux vaut passer votre chemin.
En classe éco : entre 50 et 100 dollars
Pour réaliser quelques économies, tout en évitant de laisser votre costume amasser la poussière, rien de tel que de le louer. Si vous souhaitez arpenter les rues déguisé en vampire, en princesse maléfique ou en pirate, vous trouverez tout à Crazy About Costumes à Fort Lauderdale, qui offre un vaste choix de déguisements en location pour petits et grands.
Spirit, qui dispose de nombreux points de vente à Miami, propose plusieurs costumes permettant d’être le plus terrifiant le soir d’Halloween. Vous trouverez ainsi la panoplie du clown tueur à 75 dollars ou celle du zombie squelette à 70 dollars.
En low cost : moins de 50 dollars
Les enseignes de grande distribution disposent dans les rayons de nombreux costumes à bas prix comme celui de l’homme sans tête à 32 dollars à Target ou celui de la sorcière à 19 dollars à Walmart, sans oublier son balai à 10 dollars.
La Casa de los Trucos à Little Havana propose un choix varié de déguisements effrayants à des prix variables. Comptez 20 dollars pour celui de la faucheuse et 40 dollars pour un costume de citrouille gonflable.
Afin de parfaire votre déguisement, vous trouverez de nombreux accessoires comme des perruques, du faux sang et des kits de maquillage chez Wonder Costumes à Miami.
Les pop-up stores Halloween Megastore, ouverts spécialement pour l’occasion, proposent, quant à eux, une cape de vampire à 15 dollars, des cornes de démon à 12 dollars et divers masques à 25 dollars avec, en bonne place cette année, celui du président américain Donald Trump.
En mode débrouille : moins de 10 dollars
Si vous ne souhaitez pas dépenser de l’argent pour un déguisement qui sera porté pendant quelques heures puis mis aux oubliettes, munissez-vous d’un drap blanc dans lequel vous aurez découpé deux trous pour les yeux afin de réaliser le traditionnel costume de fantôme.
Vous pouvez également opter pour celui de la momie en vous enroulant de la tête aux pieds avec des bandes de gaze. En étant méticuleux, vous pouvez également tenter l’expérience avec du papier toilette, mais il faudra espérer qu’il ne pleuve pas ce jour-là.
Enfin, si vous manquez de créativité, Party City peut vous sauver la mise en vous proposant un large choix de masques et de chapeaux à 2 dollars ou encore des crocs de vampire à 4 dollars. Frissons garantis.