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Et si ces maisons de Westchester étaient pour vous ?

(Article partenaire) Si vous lisez French Morning, vous savez que nous vous encourageons à sortir de New York. Voilà qui devrait vous aider. L’agence immobilière Houlihan Lawrence vous propose trois maisons de Westchester actuellement sur le marché. Pour plus d’informations sur les listings, contactez France Tucker (914-318-4973 – site ici)

184 BARNARD ROAD, NEW ROCHELLE

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Prix: $1,345,000
Cette somptueuse bâtisse de 5 chambres, 3,5 salles de bain est située à Larchmont Woods, à quelques pas de la station de train Metro-north. Dotée d’une vaste terrasse et d’un grand jardin, elle est idéale pour accueillir vos amis (et amis d’amis) et la famille. Plus d’informations ici.

26 AMANDA LANE, NEW ROCHELLE

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Prix: $699,000
Un trois chambres, située dans un cul-de-sac tranquille. Cette maison, ouverte, contient notamment une salle de jeu, de grandes chambres et, cerise sur le gateau, une cheminée. Plus d’informations ici

35 NORTH CHATSWORTH AVENUE, LARCHMONT

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Prix: $829,000

L’appartement de deux chambres, située dans une propriété très demandée, se trouve à deux blocks de la station de train Larchmont sur le Metronorth. Le complexe dispose de plusieurs places de parking réservées, d’une salle de sports et d’une piscine. Plus d’informations ici
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

FrenchIfornia: un couple de Français met la main à la pâte à Pasadena

Le Grand Canyon, c’était leur rêve d’enfant. L’ouverture de la boulangerie-pâtisserie FrenchIfornia, le 2 août à Pasadena, c’était la concrétisation d’un rêve d’adulte.
Après plusieurs séjours touristiques dans l’Ouest américain avec son compagnon, Thomas Dumont-Girard a décidé de jouer à la loterie de la carte verte en 2013. En conservant précieusement le secret. Ironie du sort, c’est le nom de son partenaire, Guillaume Delcourt, qui a été tiré.
“On n’a pas réfléchi 5 minutes”, avoue Guillaume Delcourt, qui était angoissé par son faible niveau en anglais. “On est de nature à bouger. Et cela faisait 7 ans que l’on vivait à Montpellier (Thomas Dumont-Girard travaillait à Paris et faisait les aller-retour). On avait envie de prendre un risque. Alors, on a tout vendu: maison et mobilier”, raconte Thomas Dumont-Girard, alors responsable et gestionnaire de projets à l’ACOSS à Paris (agence centrale des URSSAF).
Mais une fois le sésame remporté, cela n’a pas été de tout repos. “Pour que l’on puisse en bénéficier tous les deux, il a fallu que l’on se marie rapidement”, rappelle Guillaume Delcourt, qui travaillait dans l’équipe technique d’entretien d’une importante société immobilière. “Heureusement, c’est l’année où le mariage gay a été légalisé en France”. En plus de cela, ils ont dû remplir un dossier de 300 pages, passer une visite médicale, chercher une équivalence pour que les formations professionnelles de Guillaume Delcourt soient reconnues aux Etats-Unis, prendre rendez-vous à l’ambassade… Ce qui les a amené au mois de janvier 2016.
Une fois le VISA et la “Green card” tamponnés, ils établissent un projet d’expatriation qui se concentre sur la formation de pâtissier de Guillaume Delcourt, même si son dernier emploi dans ce secteur datait d’il y a 15 ans. “Et la cuisine, ça nous connaît”, assure Thomas Dumont-Girard, qui estime qu’“il faut travailler beaucoup trop pour gagner peu d’argent”. Ensemble depuis 18 ans, ils quittent alors leur vie montpellieraine confortable pour l’aventure californienne en janvier 2017. “Il y a une vraie liberté, tout est possible en Californie.”
San Francisco, Palm Spring, Marina Del Rey, Denver (l’exception), San Diego, Manhattan Beach : autant de destinations qu’ils envisagent. Après de nombreuses tergiversations, les jeunes quadragénaires élisent boutique à Pasadena par un concours de circonstances, et grâce à la ténacité d’un commercial. “Sans compter que ce quartier de Los Angeles est proche des montagnes, de la nature, ce qui nous convenait mieux.”
Mais le parcours du combattant se poursuit : même si l’emplacement nécessite peu de travaux, le couple doit se contenter d’un budget serré. “Il fallait certifier tout le matériel. Et pour faire face à une visite surprise de l’hygiène, Guillaume a dû passer un diplôme de manageur d’hygiène”, détaille Thomas Dumont-Girard. “On a obtenu 100% de propreté.”

En cuisine, Guillaume concocte une surprise par semaine. De son côté, Thomas fait de la pédagogie auprès des clients américains.
En cuisine, Guillaume concocte une surprise par semaine. De son côté, Thomas fait de la pédagogie auprès des clients américains.

Les détails réglés, ils mettent la main aux fourneaux. Seuls en boutique, ils se partagent les tâches, et se soutiennent mutuellement quand le réveil sonne à 4 heures du matin, et après les 13 heures quotidiennes de travail. Guillaume Delcourt revendique une cuisine artisanale, à base de produits français ou locaux, comme la farine organique d’Utah et le beurre du Vermont.
Viennoiseries, pains, macarons, sandwiches à base de fromage et de jambon, quiches, éclairs salés : FrenchIfornia propose une carte succincte, mais approuvée par une clientèle déjà fidèle. “Notre produit phare est le pain suisse (à base de crème pâtissière et de pépites de chocolat), les clients en sont fous.” Mais leur plus grande fierté reste les macarons, qui sont régulièrement comparés positivement à ceux de Bottega Louie, une référence à Los Angeles. “Voir ça nous donne des frissons”.

Aux Moulins La Fayette, macarons et Paris-Brest s'installent à Miami Beach

Créée en 1994 au Canada par un boulanger-pâtissier-chocolatier français, la franchise Les Moulins La Fayette, qui dispose d’une vingtaine d’enseignes, s’attaque au marché américain. Une aventure familiale puisque c’est le Français Vincent Poudras, neveu du fondateur, qui prend les rennes de cette première enseigne à Miami Beach.
« Quand j’étais adolescent, je me disais que je serai mon propre patron ou que je vivrai aux États-Unis. Finalement, je fais d’une pierre deux coups », plaisante Vincent Poudras, ancien conseiller bancaire de 27 ans qui a souhaité relever un nouveau défi. « Au-delà de la difficulté d’ouvrir et de gérer une enseigne, c’est aussi beaucoup de pression car je dois promouvoir la marque de mon oncle et je ne souhaite pas le décevoir ». Quant à la destination, elle s’est imposée comme une évidence pour Vincent Poudras. « Je suis venu passer quelques semaines de vacances à Miami Beach avec des amis et j’ai tout de suite été séduit par la ville ».
La franchise Les Moulins La Fayette respecte les méthodes de production artisanale et mise sur la qualité. « Nos pains sont élaborés sans gras, sans sucre et à partir d’ingrédients de qualité supérieure comme la farine non traitée et non blanchie, ou encore le sel de mer et la levure fraîche », indique le jeune entrepreneur français. Parmi les produits phares : la baguette « La Fayette », dont la recette est protégée par un brevet. « C’est un pain au levain qui bénéficie d’une longue fermentation de près de 48 heures, ce qui est, en général, difficile à mettre en application pour une question de rendement, raconte Vincent Poudras. Cette baguette a ainsi un goût plus rustique avec des arômes prononcés de noisette, de levain et de sel de mer ».
Au carrefour du salon de thé à la française et de la boulangerie-pâtisserie traditionnelle, l’établissement, qui dispose d’une identité visuelle sobre et épurée, propose également toute une gamme de viennoiseries et de sandwiches réalisés sur place. Les plus gourmands apprécieront les pâtisseries comme l’incontournable Paris-Brest ou les macarons. « Ces pâtisseries sont produites à la maison-mère au Canada selon un procédé semi-artisanal et non pas semi-industriel car tout est fait à la main ».

Gagnez le nouveau guide "New York l'essentiel"

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Trouver un ouvrage sur New York au rayon des guides touristiques ne pose, en principe, aucune difficulté. Tomber sur celui qui s’écarte des itinéraires habituels est une moins mince affaire.
Lorsque Stéphanie Fontenoy et Eva Sakellarides se sont lancées dans la troisième édition de leur New York l’essentiel (Ed. Nomades) – un guide de poche de 160 pages paru le 7 septembre aux éditions Nomades – les deux amies, journaliste et photographe, ont pris un parti: répertorier des lieux qui sortent des sentiers battus.
Si l’on y trouve tout de même l’Empire State Building, le World One Trade Center ou le MoMA, le guide renferme une majorité d’adresses plus surprenantes: un restaurant caché entre deux immeubles de Lower East Side, un club de tennis abrité sous les arcades de Grand Central ou encore Brooklyn Steel, la nouvelle salle de spectacle de Williamsburg.
Pour dénicher ces bonnes adresses, les auteures ont associé leur propres découvertes à celles de dix New-Yorkais, dont les portraits et bons plans sont à retrouver au sein du guide. À l’appui des descriptions de chaque lieu: 80 photos et un plan détachable de la ville.
L’éditeur propose aux lecteurs de French Morning de gagner cinq guides. Il suffit de remplir le formulaire ci-dessous. Les gagnants seront désignés par tirage au sort:
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Le bonheur, ça s'apprend chez la coach Myriam Demni

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(Article partenaire) Myriam Demni ouvre son cabinet à Coral Gables. Avec une ambition: proposer aux nombreux francophones installés à Miami ses séances de coaching ultra-personnalisées.

C’est en Europe que ce préparateur mental et coach de vie certifié a acquis son expérience. Elle y a suivi un parcours classique de psychologue et psychanalyste. Mais, au-delà de sa formation, elle a puisé en elle ses qualités d’écoute, de conseil et toute sa méthodologie.

« Un jour, un athlète d’un grand club de football est venu me consulter. Il avait entendu parler de moi comme étant un préparateur mental exceptionnel dont l’approche était atypique. C’est à ce moment-là que j’ai pleinement réalisé que mes méthodes pouvaient aider les autres à vivre mieux », se souvient-elle.

Aujourd’hui, de nombreux sportifs et dirigeants d’entreprises n’hésitent pas à faire appel à ses services pour ses techniques de préparation mentale et de concentration uniques en leur genre.

L’objectif de ses séances de coaching est le dépassement de soi pour une vie meilleure. Elle sait susciter un véritable changement,  réveiller l’homme ou la femme qui est en vous. Myriam Demni n’hésite pas à « bousculer » dans le bon sens du terme, à mettre en avant ce qui est bon en chacun de nous pour accéder au bien-être, à la réussite, etc… Très souvent, seules quelques séances suffisent.

Les accompagnements peuvent toucher au coaching de vie (déménagement, expatriation, départ des enfants, arrêt brutal d’une activité professionnelle, isolement, peur, divorce) mais également le coaching d’affaires (changement de poste, carrière au point mort, création d’entreprise, reprendre confiance en soi et bien d’autres sujets concernant l’amélioration de votre vie professionnelle). « Le bien-être et l’épanouissement ne sont pas le privilège des autres, il faut juste avoir les bonnes clés pour y accéder ! »

« Grâce à ce coaching j’ai appris à penser à moi et accepter que «tout» ne puisse pas être sous contrôle. J’ai fait le point sur ma charge de travail et mis en place de nouveaux engagements avec moi-même, plus réalistes», explique Jean, qui a suivi quelque séances de coaching.

Au terme de ces séances, la coach veut que ses clients appréhendent la vie avec enthousiasme et dynamisme. C’est la condition pour dépasser leurs limites.

Myriam Demni organise des séances de coaching à son cabinet : 1325 Alhambra Circle 33134 Coral Gables MIAMI FL Téléphone +1 305 924 0816 et également par mail, téléphone ou Skype. Site

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

L'exposition "Holocaust By Bullets" du Père Desbois arrive à Fort Lauderdale

La “Shoah par balles”, tel est le nom donné à l’extermination méconnue de deux millions de juifs dans les campagnes d’Europe de l’Est entre 1941 et 1945. Une exposition sur ce génocide oublié arrive à l’Alvin Sherman Library de Fort Lauderdale, où elle sera visible du 8 octobre au 17 décembre.
Derrière cette initiative, on trouve un religieux français. Le Père Desbois s’est plongé dans cette page obscure de l’Histoire en se rendant en 2002 dans le village ukrainien où son grand-père avait été emprisonné pendant la Seconde Guerre mondiale. Des massacres de juifs y avaient été commis par les Einsatzgruppen et aucun lieu de mémoire ne leur était consacré. A travers un travail méticuleux d’enquête et de recueil de témoignages, l’association du Père Desbois, Yahad-In Unum, a mis en évidence 1.700 fosses communes éparpillées en Europe de l’Est et obtenu le témoignage de 4.400 personnes, des rescapés et des témoins. L’exposition montre ses trouvailles.
 

Tournée américaine d'automne pour la Femme

Le groupe La Femme n’a plus à faire ses preuves aux Etats-Unis. Il a déjà conquis le public. Porte flambeau de l’électro-rock, les Biarrots allumés reviennent pour une tournée américaine automnale, passant notamment par Austin (du vendredi 6 au dimanche 8 octobre), Los Angeles le jeudi 12 octobre, San Francisco le samedi 14 octobre et New York le vendredi 27 octobre.
Avec ses mélodies entêtantes et ses paroles fantaisistes, le groupe ne laisse pas indifférent, les paroles de son morceau envoûtant «Sphinx» entraîneront nécessairement le public sur la piste de danse.
Avec un style décalé, Clémence et les garçons (Marlon, Sacha, Nunez, Sam et Noé) mélangent les genres (pop sixtie, rock acidulé, surf music, disco, psyché). En février dernier, ils étaient arrivés en deuxième position de “L’Album rock de l’année” avec leur album “Mystère” aux Victoires de la musique.

À San Francisco, sept chefs français récoltent des fonds pour les sinistrés d'Harvey

Autour de la grande table communale du restaurant basque Piperade, dimanche 24 septembre, les chefs se sont affairés pour préparer un velouté de tomates froid aux fruits de mer.
Ont répondu à l’appel: Laurent Manrique (Café de la Presse), Fabrice Marcon (Berkeley City Club), Roland Passot (La Folie), Gérald Hirigoyen (Piperade), Xavier Salomon (Ritz-Carlton Half Moon Bay), Claude Le Tohic (Alexander group) et Joël Guillon (Left Bank). Des professionnels déterminés à régaler les papilles de 70 convives d’un dîner destiné à récolter des fonds pour les sinistrés de l’ouragan Harvey. “J’ai eu l’idée de rassembler les maîtres cuisiniers français de San Francisco pour organiser ce dîner“, explique Laurent Manrique. “Face à une telle catastrophe, tout le monde est solidaire, et on répond sans hésiter à l’appel“, poursuit Gérald Hirigoyen, chef chez Piperade depuis 1996.

Roland Passot en cuisine
Roland Passot en cuisine

Joël Guillon et Fabrice Marcon en cuisine
Joël Guillon et Fabrice Marcon en cuisine

En cuisine, la camaraderie est de mise: même si les chefs ont chacun leur spécialité, ils travaillent ensemble à la mise en place des plats. Au menu, terrine de foie gras aux épices d’automne, carpaccio de Saint-Jacques, cod façon bouillabaisse, canette aux figues et petits légumes, et pour finir une forêt noire revisitée, le tout accompagné de vins français, californien et espagnol.
Roland Manrique, Claude Le Tohic et Fabrice Marcon
Laurent Manrique, Claude Le Tohic et Fabrice Marcon

Les soixante-dix convives ont déboursé 175 dollars par personne pour ce repas de charité. Les fonds seront reversés à la Food Bank de Houston. “Nous avons des amis à Miami qui ont souffert des derniers ouragans“, explique Kay Rousseau, qui est venue dîner avec son mari. “Nous adorons la cuisine de Piperade, et nous sommes des francophiles convaincus: il ne nous en fallait pas plus pour nous convaincre d’agir pour la bonne cause, tout en dégustant des mets délicieux.
Les convives du repas organisé par 7 chefs français
Les convives du repas organisé par 7 chefs français

Outre les sinistrés texans d’Harvey, les victimes d’Irma, de Maria et du tremblement de terre qui a touché le Mexique sont dans l’esprit de tous: “Malheureusement, on pourrait organiser des repas de charité comme celui-là tous les jours en ce moment“, constate tristement Xavier Salomon, chef au Ritz-Carlton d’Half Moon Bay depuis quinze ans. “Nous nous étions déjà engagés à donner les recettes à la Food Bank de Houston, on ne pouvait plus changer cet objectif en cours de route“, explique Laurent Manrique, le principal instigateur de l’événement.
Mise en place de la forêt noire
Mise en place de la forêt noire

En plus de leurs talents culinaires, les chefs ont tout mis en oeuvre pour minimiser les coûts liés au dîner: Gérald Hirigoyen a proposé d’utiliser son restaurant Piperade, d’habitude fermé le dimanche soir; les fournisseurs des différents restaurants des chefs français ont donné la nourriture et les vins: “J’ai appelé Tsar Nicolaï, mon fournisseur de caviar, qui a tout de suite proposé d’offrir un demi kilo pour le repas“, rapporte Roland Passot, chef à La Folie.
Le personnel de plusieurs restaurants a aussi répondu présent pour aider gracieusement en cuisine et en salle. “Au final, une fois les faux frais déduits, on espère pouvoir donner environ 10.000 dollars à la Food Bank de Houston, grâce à ce repas, auxquels s’ajouteront les dons de clients qui ne pouvaient pas venir et qui ont tout de même tenu à participer à cet élan solidaire“, se réjouit Gérald Hirigoyen.

La Compagnie s'équipe de nouveaux avions

La Compagnie, spécialisé dans la classe affaire low cost, investit dans deux nouveaux avions: des Airbus 321 neo qui rejoindront la flotte en avril et septembre 2019. Il s’agit d’avions connectés (wifi à bord) et équipés intégralement de sièges business convertibles en lits. Au total, il y a aura entre 76 et 80 sièges, contre 74 aujourd’hui.
Depuis le rapprochement avec XL Airways, il y a moins de un an, nous travaillons sur l’optimisation de la performance de La Compagnie. L’acquisition de ces A321neo, plus modernes et efficaces que les 757 actuels, était essentielle pour accélérer le développement de La Compagnie et nous permettre de nous inscrire durablement sur le marché“, a déclaré Laurent Magnin, le Président de La Compagnie dans un communiqué de presse.
Ce choix d’investissement est le résultat de bons résultats pour La Compagnie, qui fête son troisième anniversaire. Depuis son lancement en 2014, elle a doublé ses vols entre Paris et New York et propose deux liaisons par jours entre Newark et Paris-Charles de Gaulle.

Pourquoi l'hymne est-il joué avant les matches aux Etats-Unis ?

Ce n’était pas un jour de football américain comme les autres. Le week-end dernier, plusieurs joueurs se sont agenouillés pendant l’hymne américain en marque de protestation contre les déclarations de Donald Trump, lors d’un meeting dans l’Alabama, appellant à “virer” les joueurs qui se livraient à un tel geste. Il a aussi sous-entendu que le footballeur noir Colin Kaepernick, qui a initié le mouvement l’an dernier pour protester contre le racisme et la violence policière, était un “fils de p**e“.
Cette actualité a mis en lumière une tradition très américaine, qui surprend plus d’un Français aux Etats-Unis: l’hymne est chanté avant le début de chaque match, en football comme en baseball, soccer, basket ou hockey sur glace. Pourquoi ? C’est la question bête de la semaine.
Selon Marc Ferris, auteur du livre Star-Spangled Banner: The Unlikely Story of America’s National Anthem, il faut remonter à 1862 pour trouver trace d’une “Star-Spangled Banner” jouée lors d’un évènement sportif.  “Mais c’est difficile pour moi de croire qu’elle n’a pas été jouée avant“.
Composé lors de la guerre de 1812 par Francis Scott Key, un avocat fait prisonnier par les Britanniques en 1814, l’air n’est devenu l’hymne officiel qu’en 1931. Mais il jouissait déjà d’une forte popularité par rapport à d’autres chants patriotiques en vogue au XIXème siècle, comme “Yankee Doodle” ou “Hail, Columbia”. “Star-Spangled Banner est une superbe chanson, très positive. La population s’en est emparée. Nous étions extrêmement patriotiques à ce moment-là. La guerre s’est terminée en 1814, nous étions prêts à nous lancer à la conquête de l’ouest et à grandir“.
En septembre 1918, la “Star Spangled Banner” est reprise par plus de 10.000 personnes assistant au World Series entre les Red Sox de Boston et les Chicago Cubs, à Chicago. L’Allemagne était sur le point de capituler et le patriotisme était à son comble aux Etats-Unis. Un attentat contre un bâtiment officiel de Chicago, qui a fait quatre morts et 75 blessés, ajoutait à l’émotion.
Le chant n’a pas été joué avant le match, mais lors du 7th Inning, qui marque traditionnellement le moment où les spectateurs dégourdissent leurs jambes et où un morceau de musique est joué.
Un des joueurs des Red Sox, un ancien officier de la marine, s’est tourné vers le drapeau et l’a salué, tandis que les autres ont fait face “à la musique“. “Au début, l’air a été repris par un petit nombre, puis d’autres les ont rejoints, et quand les notes finales sont arrivées, un volume élevé de mélodie traversait le terrain“, selon le New York Times de l’époque. Les Boston Red Sox ont fait la même chez chose chez eux, à Boston, par la suite.
Ce n’est que pendant la Seconde guerre mondiale que la tradition s’est répandue à tous les sports. “Les systèmes sono ont commencé à se développer. Tous les sports sont rentrés dans la danse”, observe Marc Ferris.
Avec la controverse actuelle autour des agenouillements de joueurs pendant l’hymne, cette tradition sera-t-elle remise en cause ? Cela a été tenté dans le passé. En vain, poursuit l’auteur. “Le manager des Baltimore Orioles voulait l’arrêter dans les années 50. Et dans les années 60, les Chicago Cubs ont voté pour la remplacer. Mais tous les fans ont voté pour la garder. C’est une tradition historique, qui a traversé les guerres. Et c’est le meilleur morceau“.

Jane Birkin chante Gainsbourg au Carnegie Hall

Une scène mythique, une icône internationale et des chansons immortelles… Le jeudi 1er février, Jane Birkin se produira au Carnegie Hall pour présenter son album “Birkin/Gainsbourg: Le symphonique”. L’artiste sera accompagnée du Wordless Music Orchestra.
L’idée d’une reprise symphonique des chansons de Serge Gainsbourg est née à Montréal en 2016 et l’album a tout de suite connu un succès retentissant. “La Javanaise”, “Baby Alone in Babylon”, “Requiem pour un con”… En tout, on y trouve 22 titres composés par Serge Gainsbourg à différents moments de sa vie.
En couple de 1968 à 1980, Jane Birkin et Serge Gainsbourg ne se sont en fait jamais quittés et après la mort du compositeur en 1991, sa muse a continué inlassablement à chanter les textes de l’artiste.
Après Montréal, Hong Kong, Tokyo, Paris et Londres, Jane Birkin vient donc chanter Gainsbourg à New York. La première fois depuis 2011.

Joon Moon: trois dates américaines et un album

Vous avez la chair de poule en entendant la voix de Krystle Warren? Vous n’êtes pas seul. Et la meilleure des thérapies, c’est sans doute d’aller l’écouter en concert. Joon Moon, le groupe qu’elle forme avec Julien Decoret et Raphael Chassin et Julien Decoret a prévu cinq dates pour sa tournée américaine, le 28 septembre à Littlefield à Brooklyn, le 29 au Mercury Lounge à Manhattan, le 30 à DC9 à Washington, le 6 ocotbre au Bootleg Theater à Los Angeles et le 7 octobre à Bottom of the Hill à San Francisco.
Joon Moon c’est l’histoire de la rencontre entre une chanteuse américaine originaire du Kansas à la voix envoûtante (Krystle Warren) et d’un compositeur et producteur français, (Julien Decoret). Mélange de pop, de folk, Joon Moon a créé la sensation avec ses titres “Chess” et “Apple Day”. Ce concert sera l’occasion de faire connaître l’ensemble de l’album “Moonshine Corner” qui sortira le 29 septembre.