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"Une vie": Maupassant s’invite sur les écrans américains

Après “La Loi du Marché”, Stéphane Brizé fait son retour au cinéma avec l’adaptation de l’un des plus grands classiques de la littérature française : Une Vie de Guy de Maupassant. Sorti l’an dernier en France, le long-métrage arrive en salles dès le 5 mai à New York puis le 12 mai à Los Angeles et Miami.
A l’instar de l’œuvre, “Une Vie” (“A Woman’s Life”) raconte l’histoire de Jeanne Le Perthuis des Vauds, une jeune aristocrate de Normandie au début XIXème siècle. A peine sortie du couvent, elle se marie avec Julien de Lamare. Mais la jeune femme découvre un époux volage, égoïste et avare. De désillusion en désillusion, l’héroïne tente de survivre dans une existence triste et douloureuse qui s’éloigne toujours plus cruellement de la vie rêvée qu’elle s’imaginait.
Après avoir sublimé Vincent Lindon dans “La Loi du Marché” dont l’interprétation lui a valu de nombreux prix, Stéphane Brizé fait appel à la jeune génération du cinéma français pour cette adaptation. Judith Chelma (“Camille Redouble”) y interprète Jeanne, accompagnée de Swann Arlaud (“Les Anarchistes”, “La Rafle”), Nina Meurisse, et Finnegan Oldfield (“Réparer les Vivants”). Un casting complété par Yolande Moreau, Jean-Pierre Darroussin et Clothilde Hesme.

"Patients", un combat contre le handicap sur grand écran à New York

Le prochain French Movie Nights aura lieu le 8 mai. Au programme: “Patients” (“Step by Step”) de Grand Corps Malade et Mehdi Idir. Il sera présenté à la Scandinavia House à 7:30pm.
C’est l’histoire de Ben qui, après un plongeon raté dans une piscine, devient tétraplégique incomplet. Il entre dans un centre de rééducation où il fait la rencontre d’autres handicapés, eux aussi victimes d’accidents.
Adapté du roman autobiographique et de la vie du slammeur-poète Grand Corps Malade, le film décrit le parcours du combattant plein d’espoir et de déception pour retrouver une mobilité, même infime. Pour tourner le long-métrage, l’artiste a même souhaité retourner au centre de réadaptation de Coubert en Seine-et-Marne, où il avait fait sa rééducation.
Le film sera projeté en français et sous-titré en anglais. Les tickets sont à $18 et $15 pour les étudiants.

La course France Run de retour en août à Central Park

Avis aux joggeurs du dimanche ! France Run (8K) fera son retour pour la troisième fois, le 20 août, à Central Park pour célébrer l’amitié franco-américaine.
Dès 8am, les coureurs se retrouveront dans le parc new-yorkais, sur l’Est Drive au niveau d’East 67th Street pour parcourir les huit kilomètres de course. La ligne d’arrivée sera située vers Bethesda Terrace. La course est ouverte à tous. Des parcours plus petits seront aussi proposés aux enfants.
Les inscriptions sont ouvertes sur le site des New York Road Runners (NYRR). Les inscrits avant le 9 mai bénéficieront d’un tarif réduit. Bien évidemment, les supporters sont les bienvenus. De nombreuses activités seront organisées après la course.

Pourquoi les prises ont-elles des boutons « test » et « reset » aux États-Unis ?

Vous l’avez sans doute remarqué, certaines prises de courant de votre habitation disposent de deux boutons : « test » et « reset ». Pourquoi ? C’est la question bête de la semaine.
Habituellement installées dans la salle de bains, la cuisine et le garage, ces prises de courant ont été adoptées au début des années 1970 aux États-Unis. Situés à moins d’un mètre d’un évier ou de tout ce qui présente un risque d’éclaboussure d’eau, ces connecteurs électriques, connus sous le nom de ground fault circuit interrupter (GFCI), sont dotés d’un mécanisme de protection. « C’est une évidence, l’électricité et l’eau n’ont jamais fait bon ménage, souligne Jorge Garcia-Arabehety, électricien à Miami. Heureusement, ce système permet chaque année d’éviter plusieurs centaines d’accidents électriques ».
Différent d’un fusible, qui empêche les feux d’origine électrique quand un appareil chauffe anormalement, la prise GFCI, elle, est conçue pour détecter les fuites de courant. « Après avoir été délivré, un courant électrique retourne à sa source de production en empruntant le chemin offrant le moins de résistance, à savoir un fil de cuivre, explique le spécialiste. Mais en cas de câblage défectueux ou d’humidité, une fuite de courant est créée et peut être dangereuse pour les personnes ».
Ainsi, quand un individu touche une prise électrique avec les mains mouillées ou si un appareil, comme un sèche-cheveux, tombe dans l’eau du lavabo, cela produit un court-circuit entraînant l’électrocution de la personne. Mais si une prise GFCI est installée, le drame est évité. « Lorsque le système détecte une variation de tension, même infime, il déclenche très rapidement son disjoncteur, cela prend moins d’un dixième de seconde, ce qui permet ainsi de couper le courant et que la personne ne soit pas électrocutée », indique l’électricien.
Par sécurité, il est donc recommandé de tester ses prises électriques GFCI. Pour cela, il faut appuyer sur le bouton « test » pour déclencher le dispositif. Ceci devrait avoir pour effet de mettre la prise de courant hors tension. Le bouton « reset », quant à lui, devrait ressortir signifiant que le système fonctionne correctement, sinon la prise électrique devra être remplacée. Afin de rétablir le courant, il faut alors enfoncer le bouton « reset ». « Ces gestes doivent être effectués mensuellement, insiste Jorge Garcia-Arabehety. La plupart des gens ont tendance à négliger ces phases de test alors qu’un simple clic peut leur sauver la vie ».

Phoenix va livrer un concert à l'italienne à San Diego et Los Angeles

Les fans commençaient à s’impatienter. Phoenix sort finalement de son silence à l’occasion d’une tournée internationale. Avant d’enthousiasmer les festivals européens, le groupe versaillais montera sur la scène de San Diego le dimanche 11 mai et de Los Angeles le vendredi 15 mai.
Quatre ans après la sortie de l’album “Bankrupt!”, les quatre membres du groupe français Phoenix sortiront leur sixième opus “Ti Amo” le 9 juin. Selon le New York Times, les chansons auront une touche “romantique”, inspirée par le disco à l’italienne. Le groupe a dévoilé un extrait dans la campagne de Calvin Klein, réalisée par Sofia Coppola, qui n’est autre que l’épouse de Thomas Mars, le chanteur de Phoenix.
https://www.youtube.com/watch?v=6R2ScktVuHs
Sur les scènes californiennes, le groupe aux influences disco, rock, pop et électro surprendra son public avec ses nouveaux tubes, tout en le rendant nostalgique avec les légendaires “If I Ever Feel Better”, “Lisztomania” ou “1901”.

Présidentielle 2017 : où suivre les résultats du second tour à San Francisco ?

Le dénouement de cette surprenante présidentielle est proche. Ce dimanche 7 mai, sur les coups de 11am, heure san franciscaine (20h en France), s’affichera sur nos écrans le visage du successeur de François Hollande à l’Élysée. Voici deux adresses pour suivre cette ultime matinée électorale.

Politique

Comme au premier tour, En Marche de San Francisco organise une “Viewing Party” au Café Bastille. Sur son événement Facebook, le plus parisien des bistrots de San Francisco, annonce « une grande foule pour regarder cette élection historique » sur Belden Place, l’enclave française du Financial District. Le Café Bastille sert des brunches tous les samedis et dimanches matin. La retransmission débutera à 10:30 am, 22 Belden Place.

Non-politique

La communauté de The Embassy SF met à disposition sa salle de cinéma pour visionner les résultats de la présidentielle française. Les portes ouvrent à 10am pour « boire du vin et commenter les résultats », peut-on lire sur la page de l’événement sur Facebook. Situé dans le quartier de Lower Haight, The Embassy SF fait partie d’un réseau de maisons coopératives où des locataires vivent à l’année et où des événements, tels que des débats philosophiques et des projections, sont organisés. C’est au 399 Webster Street.

« Les Choristes » à l'Alliance française de Los Angeles

« Vois sur ton chemin gamins oubliés égarés, donne leur la main pour les mener vers d’autres lendemains. » Cette chanson est devenue populaire dans les foyers français. Institution locale, le Cine club de l’Alliance Française proposera aux francophones de voir ou revoir le film à succès « Les choristes », le mercredi 10 mai.
Réalisée par Christophe Barratier, cette comédie dramatique se déroule en 1948. Clément Mathieu, professeur de musique sans emploi, accepte un poste de surveillant dans un internat de rééducation pour mineurs. En initiant ces enfants difficiles à la musique et au chant choral, Mathieu parviendra à transformer leur quotidien.

Les SF Deltas, l’équipe de foot pro la plus francophone de San Francisco

San Francisco, la ville des Giants, des Warriors et des 49ers, a désormais son équipe de football (soccer) professionnelle.

Le 25 mars dernier, les San Francisco Deltas, entraînés par le Montréalais Marc Dos Santos et défendus par le gardien français Romuald Peiser, ont disputé leur premier match au Kezar Stadium, face aux Indy Eleven d’Indianapolis. “Cette première rencontre s’est soldée par un nul, 1-1, mais nous étions face à l’un des finalistes de la ligue de l’an passé”, rappelle l’entraîneur. Le samedi 6 mai, les Deltas affronteront les Carolina Railhawks. 

Les Deltas évoluent dans la North American Soccer League, une ligue professionnelle qui compte huit clubs en Amérique du Nord. A l’origine de l’équipe, une poignée de vétérans de la tech, passionnés de football, et qui voulaient donner à San Francisco l’équipe qui lui manquait. Comme une start-up, les Deltas sont financés par un groupe d’investisseurs de la Silicon Valley. Le défi pour Marc Dos Santos, qui a fait ses armes depuis 2007 au Montreal Impact, au SE Palmeiras de São Paulo, au Ottawa Fury et dernièrement aux Swope Park Rangers de Kansas City, est de constituer une équipe de zéro: “C’est une opportunité incroyable: je suis responsable à 100% du recrutement des joueurs, et il faut prendre en compte les personnalités de chacun, leurs émotions. Les dynamiques mettent un peu de temps à se mettre en place, car les joueurs apprennent à jouer ensemble.”

Romuald Peiser, gardien de but des SF Deltas
Romuald Peiser, gardien de but des SF Deltas

Parmi ses recrues, Romuald Peiser, gardien de but français de 37 ans, que Marc Dos Santos a d’abord rencontré au Portugal, avant de le faire jouer dans son équipe à Ottawa pendant deux saisons. Pour les deux hommes, la connaissance du français ne fait que renforcer leurs liens: “La communication est plus directe avec Romuald, je peux mieux lui décrire certaines actions. Un entraîneur qui peut communiquer en plusieurs langues a plus de chance de recruter et former une bonne équipe.” Romuald Peiser confirme que la présence de Marc Dos Santos a été l’un des facteurs déterminants qui l’ont poussé à rejoindre les Deltas. “Dans la composition des Deltas, Marc a choisi des caractères qui s’accordent: nous sommes des bons gars, pas une équipe de starlettes.”

Marc Dos Santos a été séduit par la volonté du club de s’impliquer dans la ville: “Une des grandes préoccupations du club est d’être plus qu’une équipe: les joueurs s’impliquent dans la communauté, on donne l’opportunité à des personnes sans emploi de travailler en marge des matches, on aide les sans-abris.” Romuald Peiser aide, quant à lui, à former des gardiens.

Les Deltas jouent à domicile au Kezar Stadium, un stade historique près du Golden Gate Park: construit en 1925, il a accueilli l’équipe de football américain les 49ers de 1946 à 1970, avant que celle-ci ne déménage pour le stade de Candlestick Park. Ironie de l’histoire, Candlestick Park a été rasé en 2015, mais ses sièges ont été préservés et installés au Kezar Stadium. Le stade peut accueillir près de 10.000 personnes. Pour le premier match des Deltas, près de 5.000 passionnés de foot étaient présents. “Le public a vibré avec nous, rapporte Romuald Peiser. Nous avons le potentiel de faire une très belle saison. L’alchimie d’une équipe demande du temps: il faut qu’on acquiert des automatismes sur le terrain.” Marc Dos Santos se montre également optimiste: “Ce serait vraiment très spécial de se qualifier pour les phases éliminatoires. L’équipe a les qualités pour y arriver.”

Jean-Michel Jarre aux Etats-Unis : "La musique électro a un rôle politique à jouer"

“Notre boulot de musicien, c’est de faire du bruit. Et faire du bruit d’une certaine manière, à certains endroits, peut avoir une conséquence sur le plan social et politique. La musique, à toutes les époques, a eu un rôle à jouer”, explique Jean-Michel Jarre alors qu’il revient d’un concert sur les bords de la Mer Morte.
Sur le site de l’ancienne forteresse de Masada plus précisément, l’artiste a souhaité mettre en lumière les risques de sécheresse du lac salé dont le niveau baisse d’année en année.
A partir du mois de mai, le compositeur de musique électronique entamera sa première tournée en Amérique du Nord. Avec “Electronica Tour“, il passera par les salles les plus mythiques du pays comme le Radio City Music Hall à New York ou le récent Microsoft Theater de Los Angeles, l’une des plus grandes salles des Etats-Unis. En cinquante ans de carrière, le pape de la musique électronique n’a joué qu’une seule fois sur le sol américain. En 1986, pour le 25ème anniversaire de la NASA, il avait rassemblé plus de 1,3 million de spectateurs à Houston.
“Je voulais que cette tournée passe par les Etats-Unis parce que ce projet est né grâce à de nombreuses collaborations avec des artistes américains”, raconte Jean-Michel Jarre. En 2015 et 2016, l’artiste sort deux albums sous le nom d’”Electronica” enregistrés avec les plus grands noms de la scène américaine et internationale comme M83, Depeche Mode, Moby ou encore le compositeur de musique de films Hans Zimmer.
Pour cette tournée, le musicien a mis au point une scénographie unique et inédite. “On a conçu un dispositif scénique qui crée une 3D sans lunettes”, explique Jean-Michel Jarre, “l’idée c’est d’exprimer la musique visuellement, avec des architectures de son, des perspectives, des paysages sonores”. Une mise en scène appelée à changer tout au long de la tournée pour conserver “l’idée d’un concert unique”.
L’un des thèmes d’Electronica, c’est aussi ce rapport ambigu qu’on a avec la technologie. D’un côté, on a le monde dans sa poche avec son smartphone mais d’un autre on sait qu’on est espionné par le monde extérieur”, explique le compositeur qui est allé à Moscou pour enregistrer Edward Snowden pour son titre “Exit” qui sera joué durant ses concerts. “C’est un aspect de la tournée, qui prend une résonance particulière avec la nouvelle politique en cours aux Etats-Unis”.


Une dimension politique que l’auteur assume pleinement depuis le début de sa carrière, notamment pour soutenir la cause climatique. D’abord avec ses albums “Oxygène”, puis par son rôle d’ambassadeur de bonne volonté à l’UNESCO. “Le fait qu’il y ait des paroles ou pas dans mes titres ne change pas tellement les choses. Par contre, aller jouer sur les bords de la Mer Morte, par exemple, ça transmet un message, affirme-t-il. La musique électronique a un rôle à jouer sur le plan politique puisque les gens qui font de l’électro sont, par définition, beaucoup plus proches des technologies numériques. Et beaucoup de questions sociétales viennent aujourd’hui du développement d’internet et du rôle de ces grands acteurs de la technologie devenus des monstres qui contrôlent la planète”.
 

5 adresses coquines et "sexy" à découvrir à New York

Purple Passion, sex-shop et workshops


Menottes de suspension en cuir, fouets et étrangleurs. A Purple passion, on sait où on met les pieds. L’enseigne située à Chelsea est spécialisée dans la vente d’accessoires BDSM (Bondage, Discipline, Sado-Masochisme).
Le magasin organise également des workshops chaque semaine. A la publication de cet article, Purple passion propose par exemple un “BEGINNER ROPE TIES”, qui vous apprendra à attacher correctement une personne à la corde. L’événement “COCK AND BALL BONDAGE”, réservé aux couples, vous initiera quant à lui à “différentes manières rigolotes et sans danger de nouer et tordre les bijoux de famille de monsieur”, explique la boutique sur son site internet. Avis aux amateurs. Purple Passion (211 W 20th St), ouvert tous les jours de 12pm à 8pm, le dimanche de 1pm à 7pm. Workshops entre 20 et 40$.

The Slipper Room, cabaret burlesque

GAL FRIDAY @galfridayburlesque #burlesque #varietyshow #performanceart #slipperroom

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“Ce que nous faisons ne se réduit pas au strip-tease, The Slipper Room est un vrai théâtre de variété“, expliquait le propriétaire des lieux James Habacker au Huffington Post en 2012. Si l’endroit situé dans le Lower East Side propose effectivement des spectacles comiques et des concerts, ses shows burlesques sont réservés aux plus de 21 ans.
Il faut dire que les artistes se produisent dans des tenues très légères, jouant de leurs formes avec glamour et second degré. Organisés chaque semaine, les spectacles mélangent acrobaties aériennes, spécialistes de l’effeuillage et du cerceau. Et si vous ne venez pas pour le show, profitez au moins du décor. Rénové en 2012, The Slipper Room ressemble aux vieilles maisons d’opéra parisiennes du début du XXème siècle avec son balcon et ses couleurs chaudes. Enivrant. The Slipper Room (167 Orchard St), ouvert tous les jours, horaires changeants. Spectacles entre 10 et 25$. 

Museum of Sex, musée et boutique


Premier musée des Etats-Unis dédié au sexe et à l’érotisme, le Museum of Sex régale depuis 2002 les plus coquins d’entre nous. Passé la porte d’entrée, la musique forte et entrainante invite à déambuler entre les présentoirs de sex-toys et d’accessoires à la vente. Une fois vos achats effectués, rendez-vous au fond à gauche du musée dans une pièce reconvertie en boite de nuit pour l’exposition photo New York Disco 1977-1979, The Bill Berstein Photographs, faite de clichés osés sur le New York disco des années 1970.
Pour une expérience sensorielle plus intense, le MoSex a mis à disposition des visiteurs un château gonflable fait de fausses poitrines au troisième étage. L’occasion de sauter, rebondir dans un environnement sexy, et ainsi “favoriser le contact avec des inconnus“, explique le musée sur son site internet. Pour les plus terre-à-terre, l’exposition The Sex Lives of Animals, que French Morning vous invite à découvrir dans un autre article, vous apprendra tout de la vie sexuelle surprenante des animaux. Museum of Sex (233 5th Ave), ouvert tous les jours de 10am à 9pm et le vendredi et samedi de 11am à 11pm. Entrée adulte 17,50$ en semaine, 20,50$ le weekend.

Flash Dancers NYC, strip club

#renovation

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Un grand classique des strip clubs new-yorkais. Installé à deux pas de Times Square, le Flash Dancers NYC accueille une clientèle variée, du touriste européen au businessman du quartier. Après avoir payé une entrée à 20$, des escaliers vous emmènent jusqu’à une grande salle sombre aux teintes bleues et rouges en sous-sol. Installé dans l’une des banquettes, vous êtes tout de suite abordé par une danseuse. Celle-ci vous proposera un court lap-dance en public pour 20$, ou un show en privé pouvant monter jusqu’à 600$. Ici comme ailleurs, on touche avec les yeux seulement.
Le club a la particularité d’être ouvert toute la semaine à partir de midi (sauf le dimanche) et propose un happy hour jusqu’à 3pm. Il n’y a pas d’heure pour admirer une belle silhouette. Flash Dancers NYC (1674 Broadway), ouvert tous les jours de 12pm à 4am, le dimanche de 20pm à 4am. Entrée 20$. 

Hacienda Villa, résidence polyamoureuse

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Posted by Hacienda Community on Wednesday, December 28, 2016


Vous considérez que l’amour et le sexe se conjuguent au pluriel? Déménagez à l’Hacienda Villa. Ce complexe d’appartements sur trois étages situé à Bushwick a été conçu pour les polyamoureux, ces personnes refusant l’idée d’exclusivité amoureuse. Chaque étage étant indépendant avec cuisine et salle de bain, les locataires se retrouvent dans les parties communes comme le patio intérieur ou le jacuzzi, pour pratiquer “un hédonisme responsable“, précise le site internet.
Convaincu? Postulez en répondant au questionnaire disponible en ligne pour peut-être vous voir attribuer l’une des quinze chambres proposées à la location entre 750 et 1500$ par mois.

Des stars pour faire la programmation du 10ème "Films on the Green" à New York

Si Catherine Deneuve prépare un petit jogging à Central Park, Brigitte Bardot a prévu de prendre un bain de soleil italien au bord de l’East River, tandis que Jean Gabin tombera irrémédiablement fou amoureux des yeux de Michèle Morgan à East Village.
Pour célébrer son dixième anniversaire, le festival gratuit de cinéma en plein air “Films On the Green” a dévoilé sa programmation avec les plus grands classiques du cinéma français. Organisé par les services culturels de l’Ambassade de France, la FACE Foundation et la Ville de New York, le festival projette chaque été depuis 2007 des films français, contemporains ou plus anciens, dans la plupart des parcs de la ville.
Pour cette édition, “Films On The Green” a demandé à dix réalisateurs, acteurs, écrivains ou artistes tels que Wes Anderson ou Isabella Rossellini, de choisir un film français à projeter en plein air.
Quelques séances nocturnes ont retenu notre attention :
Choisi par l’actrice américaine Wanda Sykes, “Potiche” de François Ozon ouvrira cette dixième édition le vendredi 2 juin à 8:30pm à Central Park (au niveau de la 79th St). La comédie satirique dépeint la France patriarcale des années 1970. Catherine Deneuve interprète Suzanne Pujol, parfaite ménagère et femme au foyer. Mais sa petite vie est boulversée lorsqu’elle doit prendre la direction de l’entreprise de son mari (Fabrice Luchini) après d’importantes grèves. Une ode au féminisme et à l’émancipation de la femme française sur fond de Trente Glorieuses.
Plus mythique, “Le Mépris” (“Contempt”) de Jean-Luc Godard a rendez-vous au Transmitter Park de Greenpoint le vendredi 30 juin à 8:30pm. Sélectionné par le réalisateur Jim Jarmusch, le long-métrage emblématique de la Nouvelle Vague narre l’histoire d’un couple aussi légendaire que ses interprètes, Camille (Brigitte Bardot) et Paul (Michel Piccoli). De Rome à Capri, de la Cinecitta à la villa Malaparte, les deux amants se déchirent entre malentendus, désaffection et haine dans un décor homérique.
Le Tompkins Square verra lui défiler deux films tout aussi emblématiques du cinéma français. “La Cérémonie” de Claude Chabrol le vendredi 7 juillet à 8:30pm, et “Quai des Brumes” de Marcel Carmé le vendredi 14 juillet à 8:30pm.
En partenariat avec le Mexican Institute of New York, un onzième film sera présenté : “La Science des rêves” de Michel Gondry. Il raconte l’histoire de Stéphane (Gael Garcia Bernal) qui, après un retour en France dans l’appartement où il a grandi, redécouvre son enfance et se réfugie dans le monde des rêves. Le film en anglais et français sera sous-titré en espagnol et projeté le mercredi 12 juillet à 8:30pm au J. Hood Wright Park dans le nord de Manhattan.
Le programme complet de “Films On The Green 2017” :
2 juin – 8:30pm – Central Park (79th St & Fifth Ave) – “Potiche” de François Ozon, sélectionné par Wanda Sykes
9 juin – 8:30pm – Washington Sq. Park – “Aujourd’hui” (“Tey”) de Alain Gomis, sélectionné  par Saul Williams
16 juin – 8:30pm – Washington Sq. Park – “La Traversée de Paris” de Claude Autant-Lara, sélectionné par Amy Hargreaves
23 juin – 8:30pm – Transmitter Park (Brooklyn) – “Mauvais Sang” de Leos Carax, sélectionné par Wes Anderson
30 juin – 8:30pm – Transmitter Park (Brooklyn) – “Le Mépris” (“Contempt”) de Jean-Luc Godard, sélectionné par Jim Jarmusch
7 juillet – 8:30pm – Tompkins Sq. Park – “La Cérémonie” de Claude Chabrol, sélectionné par Matthew Weiner
12 juillet – 8:30pm – J. Hood Wright Park (West 173th St) – “La Science des rêves” (“The Science of Sleep” de Michel Gondry
14 juillet – 8:30pm – Tompkins Sq. Park – “Quai des Brumes” (“Port of Shadows”) de Marcel Carné, sélectionné par Laurie Anderson
21 juillet – 8:30pm – Riverside Park, Pier I (at 70th St) – “Lumière d’été” de Jean Grémillon, sélectionné par Matías Piñeiro
28 juillet – 8:30pm – Riverside Park, Pier I (at 70th St) “Le voyage dans la Lune” (“A Trip to the Moon”) de Georges Méliès suivi de  “Elena et les hommes” (“Elena and Her Men”) de Jean Renoir, sélectionné par Isabella Rossellini
7 septembre – 8:30pm – Columbia University (at 116th St) “L’enfant sauvage” (“The Wild Child”) de François Truffaut, sélectionné par James Ivory