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Le Petit Marseillais dit "bonjour" aux Etats-Unis

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(Article partenaire) Le Petit Marseillais, une des marques françaises les plus emblématiques, est maintenant disponible en ligne et dans les magasins de grande distribution aux Etats-Unis.

Nous sommes particulièrement enthousiastes de faire découvrir à tous les Américains la marque de gels douches numéro 1 en France et notre univers ensoleillé du Sud de la France, à travers nos parfums qui sentent bon la nature.

le petit marseillais

Marque adorée en France depuis de nombreuses années, Le Petit Marseillais et ses gels douches contiennent des ingrédients locaux comme la Fleur d’Oranger et sont conçus avec des recettes simples et efficaces, pour une peau douce, éclatante de santé et naturellement belle. Nos gels douches Extra Doux contiennent des ingrédients gorgés de soleil, pour offrir de la joie de vivre dans chaque bouteille.

Depuis le XIXème siècle, la région ensoleillée de Marseille, avec son port réputé, est connue pour son savon artisanal. Terres riches et climat chaud permettent de trouver dans cette région une multitude d’ingrédients gorgés de soleil comme l’olive à la richesse reconnue, des fleurs précieuses, des agrumes et des herbes aromatiques fraîches. Des champs de lavandes en passant par la pêche juteuse récoltée dans les vergers, Le Petit Marseillais™ dispose de ces ingrédients merveilleux à portée de main. Grâce à la générosité de cette nature, nos produits incarnent l’authenticité de la Provence.

Le Petit Marseillais

Vous connaissez notre nom, mais savez-vous comment tout a commencé ?

Le Petit Marseillais™ est né en 1981, quand un journaliste, au détour des marchés d’Avignon, a trouvé l’inspiration pour développer une gamme de savons solides parfumés au chèvrefeuille. Il créa alors la marque “Le Petit Marseillais”, vendue initialement dans quelques pharmacies locales.

La marque, très évocatrice pour les habitants du Sud de la France, a très rapidement rencontré un beau succès et s’est développée sur les gels douches, pour, au fil du temps, séduire tous les Français qui veulent vivre cette expérience authentique et sensorielle. En une décennie, Le Petit Marseillais® a atteint une notoriété de 95% en France. Petit à petit, la marque est devenue #1 en gels douches et s’est développée sur d’autres catégories comme les capillaires, les soins du corps, les déodorants…

La joie de vivre incarnée par Le Petit Marseillais™ suscite un attrait et un attachement qui se sont rapidement propagés en Europe. Nos produits sont maintenant vendus dans plus de 25 pays, apportant un peu plus de soleil dans nos journées. 

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Première guerre mondiale: ces Américains partis en guerre bien avant leur pays

Il étaient artistes, cinéastes, intellectuels, banquiers à Wall Street. Dès 1914, des dizaines d’Américains ont décidé de s’engager comme volontaires dans la Première Guerre mondiale aux côtés de l’armée française alors que les Etats-Unis, à l’époque pacifistes, n’étaient pas encore entrés dans la bataille.
Au total, on estime le nombre de ces forces à plus de 200. Alors que les Etat-Unis commémorent, le 6 avril, le centenaire de leur entrée officielle dans la Grande Guerre, le souvenir de ces volontaires est toujours vif.
En 1914, beaucoup d’Américains voulaient faire quelque chose pour aider à combattre l’Allemagne”, explique l’historien Kevin C. Fitzpatrick, auteur du livre World War I New York (Globe Pequot). “D’autant plus que les liens entre les Etats-Unis et la France étaient très forts : c’était seulement 30 ans après que la France avait fait cadeau de la Statue de la Liberté au peuple américain.
Les relations entre les deux pays avaient été marquées par l’intervention française durant la révolution américaine, à la fin du XVIIIe siècle. “Durant la Première Guerre mondiale, beaucoup d’Américains se disaient : ‘nous allons aider la France comme elle nous a aidés’ “, ajoute Kevin C. Fitzpatrick.
Des artistes en quête de romantisme
Ainsi, en août 1914, un jeune reporter du New York Herald, Georges Casmèze, relaya dans un article un “appel à tous les étrangers amis de la France“, débouchant sur l’engagement d’un grand nombre d’Américains en seulement quelques jours.
Ces volontaires venaient pour se battre aux côtés des Français, mais pas seulement. “Certains conduisaient des camions, des ambulances“, indique Kevin C. Fitzpatrick. A l’image du célèbre écrivain John Dos Passos qui s’engagea dans le corps des ambulanciers. “D’autres organisaient des levées de fonds ou montaient des hôpitaux (…) Il y avait parmi ces hommes-là un désir d’aventure, une envie de participer à une guerre, de faire partie de quelque chose de grand. C’était lié à une notion du romantisme“, précise l’historien.
En 1914, cette soif de romantisme attira sur le Vieux Continent Cyros LeRoy Baldridge, un Américain alors âgé de 25 ans, qui avait terminé ses études à New York. En France, il conduisit lui aussi des véhicules, travailla comme brancardier, aida à fournir des munitions aux soldats, et se rendit sur les champs de bataille. Ce qu’il vit, Cyros LeRoy Baldridge le dessina. En 1917, lorsque les Etats-Unis entrèrent dans la guerre, il devint illustrateur. Ses dessins furent publiés dans un grand nombre d’hebdomadaires aux Etats-Unis.
De son côté, Sidney Rankin Drew, un acteur et réalisateur américain (cousin éloigné de l’actrice Drew Barrymore), se rendit en France en 1917. D’abord conducteur d’ambulances, il prit des cours de pilotage et devint volontaire dans l’escadrille Lafayette, une unité d’aviation composée exclusivement de pilotes américains, avant d’être tué en 1918 alors âgé de 26 ans. Un monument a été érigé à sa mémoire dans Central Park.

Courtesy of Kevin Fitzpatrick. Un memorial érigé en l'honneur de Sidney Rankin Drew, l'un des volontaires américains ayant participé à l'Escadrille La Fayette.
Courtesy of Kevin Fitzpatrick.
Un memorial érigé en l’honneur de Sidney Rankin Drew, l’un des volontaires américains ayant participé à l’Escadrille La Fayette.

Des “hommes courageux” qui “croyaient très fort en ce qu’ils faisaient
L’escadrille Lafayette, financée par des Américains francophiles, incarne à merveille la détermination d’une poignée d’Américains pour défendre la France. Son histoire a d’ailleurs été adaptée plusieurs fois sur grand écran. Sous commandement français, elle arborait fièrement ses origines via un emblème, le profil d’un Indien d’Amérique, peint sur les appareils. Le but : faire connaître l’engagement des volontaires américains dans l’espoir que les Etats-Unis abandonnent leur neutralité.
Ces volontaires étaient vus comme des héros dans leur pays, estime d’ailleurs Kevin C. Fitzpatrick. Leurs actions ont joué un rôle petit mais significatif dans l’entrée en guerre des Etats-Unis.
https://www.instagram.com/p/BLjndOOjQRU/?taken-by=daisy_prince&hl=fr
Norman Prince fut l’un des fondateurs de l’escadrille Lafayette. En 1916, cet avocat diplômé de Harvard, fils de parents francophiles, fit pression sur les autorités françaises pour obtenir la création de cette unité d’aviateurs.
https://www.instagram.com/p/BLjowbWDgZX/?taken-by=daisy_prince&hl=fr
Au début de la guerre, il était dévasté par ce qu’il se passait en France. Il ne pouvait pas supporter la politique isolationniste des Etats-Unis“, explique Daisy Prince, 41 ans, contactée grâce à la WW1 Centennial Commission. Cette New-Yorkaise est l’arrière-petite-nièce de Norman Prince. Elle est aussi l’arrière-petite-fille de Frederick Prince, le frère de Norman, qui s’engagea lui aussi comme aviateur volontaire.
https://www.instagram.com/p/BLjpoQcDG9T/?taken-by=daisy_prince&hl=fr
Ils étaient très courageux. Ils croyaient très fort en ce qu’ils faisaient. Ils défendaient leurs amis, même si ce n’était pas leur pays”, indique Daisy Prince.
Norman Prince participa à 122 combats aériens. Il décéda en octobre 1916 dans les Vosges de retour d’une mission après le crash de son appareil au moment de l’atterrissage. Son corps repose désormais dans un tombeau dans la Cathédrale nationale de Washington.

Jean-Luc Oizan-Chapon, Les Républicains: "Le match n'est jamais perdu avant la fin"

« Je suis de droite, mais je reste souvent éloigné des opinions politiques de mes amis du comité de soutien à François Fillon à Miami », sourit Jean-Luc Oizan-Chapon qui était soutien de Nicolas Sarkozy à la primaire de la droite et du centre. « Lors de son élimination, je suis resté sur ma faim », confie le militant de 75 ans contraint aujourd’hui de changer de poulain pour la présidentielle.
Installé depuis la fin des années 1970 aux États-Unis, ce retraité du Club Med, salarié durant plus d’une quarantaine d’années, a plongé en politique il y a seulement quinze ans, à la fin du premier mandat de Jacques Chirac. « Après son septennat, rien ne m’a sauté aux yeux, aucun bilan tangible, explique-t-il. N’étant pas politicien, j’avais besoin de voir des actes pris par rapport à des valeurs qui me sont chères, et je ne m’y suis pas retrouvé, j’ai donc décidé qu’il fallait faire bouger les choses ».
Le septuagénaire choisit alors son candidat et engage plusieurs années de militantisme au service de Nicolas Sarkozy dont il ne tarit pas d’éloges. « C’est un homme charismatique qui a laissé une trace en France, celle d’un vrai leader sachant gouverner un pays, indique-t-il. Aujourd’hui, il faut un président aussi fort pour oser dire et faire avancer les choses ». Malgré la défaite de son favori lors de la primaire à droite, Jean-Luc Oizan-Chapon n’a pas pour autant renoncé à la politique. « Au second tour, j’ai mis dans l’urne un bulletin François Fillon, car je suis Républicain et je joue la discipline du groupe. Il faut avouer que c’est le seul homme politique capable de redresser la France car jusqu’à présent il y a eu beaucoup de paroles mais peu d’actes ».
Concernant les affaires Fillon, le militant préfère relativiser. « C’est sûr, c’est embêtant, mais je ne regarde pas l’homme, je préfère penser à l’avenir de la France. Je suis profondément Français, attaché à ce territoire, sa culture et je continuerai à soutenir mon parti dans les coups durs ». Et plus la campagne avance, plus Jean-Luc Oizan-Chapon avoue avoir confiance en François Fillon. « Je me retrouve dans certaines de ses idées, notamment concernant l’Europe, car en sortir, comme l’envisagent certains candidats, est une absurdité totale, s’insurge-t-il. Même si l’Europe doit être ajustée, il faut arriver à reconnaître que les problèmes se situent à l’intérieur de notre pays, et chercher des solutions en interne avant d’aller critiquer les autres ».
Quant à savoir si François Fillon passera le premier tour de l’élection présidentielle, Jean-Luc Oizan-Chapon préfère rester confiant. « En tant qu’ancien rugbyman, je ne pars jamais vaincu, ma devise est que le match n’est jamais perdu tant que le coup de sifflet final n’a pas retenti ». Et si un tel scénario ne venait pas à se produire, le militant reste formel. « Je ne voterai pour aucun autre candidat, ce sera sûrement un vote blanc, même si cela donnera malheureusement l’avantage à celui arrivé en tête. Malgré tout, je reste plein d’espoir en attendant le résultat sorti des urnes ».

Table-ronde sur la présidentielle française à Washington

Le Jour-J approche. L’association Français du Monde de Washington organise une table-ronde sur l’élection présidentielle française, le mardi 11 avril de 7pm à 8:30pm.
Quatre intervenants discuteront des onze candidats en course pour l’Elysée. Claude Porsella, correspondant pour RFI, sera l’animateur de l’échange. Il sera accompagné de Jacques Cardoze, correspondant pour France 2, Josselyn Mothe, étudiant à Sciences Po, et Stéphane-Emmanuel Raynaud de Fitte, journaliste et écrivain.
Pour assister à la table ronde, les billets sont en vente ici ($10 pour les membres de Français du Monde, $15 pour les non-membres). L’échange sera suivi d’un buffet.

5 "drag brunch" à découvrir à New York

On vous l’expliquait en 2015, les Américains adorent le brunch. Mais pour un brunch différent, testez le “drag brunch”, un spectacle de drag-queen servi en même temps que vos pancakes et bloody marys. Voici cinq adresses incontournables pour y assister.
Electro Brunch à Intermezzo à Chelsea (Manhattan)


Organisé les samedis et dimanches de midi à 5pm, l’Electro brunch d’Intermezzo a des allures d’after-party tant l’atmosphère est bruyante et festive. Un DJ domine la piste de danse ou plutôt la salle à manger, jouant les tubes du moment pendant que l’alcool coule à flots. Une formule spéciale boissons illimitées est proposée à 25$ avec champagne, mimosa, bloody mary, raspberry ou peach bellini au choix. La qualité de la nourriture est moyenne, mais l’intérêt de l’Electro brunch est ailleurs. Une drag-queen délirante et loufoque envahit l’espace, mélangeant danse, chant, improvisation en échanges constants avec le public. L’humour est trash, très en dessous de la ceinture. Une expérience à vivre au moins une fois. Intermezzo (202 8th Ave), samedi et dimanche de 12pm à 5pm.
Broadway Brunch au Lips Drag Queen Show Palace à Midtown (Manhattan)


Pionnier du genre, Lips organise des drag show depuis plus de vingt ans dans son grand cabaret new-yorkais de 250 places. Pour 21,95$ le repas avec un cocktail, plusieurs drag-queens assurent le spectacle en même temps que le service en salle. L’ambiance est festive mais bon enfant. L’institution organise également des drag shows pour le dîner tous les soirs de la semaine. Broadway brunch? Une manière originale pour certains de fêter leur anniversaire. Lips Drag Queen Show Palace (227 E 56th St), dimanche de 12pm à 2:30pm.
Let’s Have a Kiki, à House of Yes à Bushwick (Brooklyn)


House of Yes est une adresse connue des fêtards new-yorkais. Le club est réputé pour ses soirées déjantées et éclectiques qui attirent une partie de la communauté LGBT de la ville. Organisé le premier samedi de chaque mois, le brunch ouvre ses portes à midi avant de laisser place à un show de deux heures entre 12:30pm et 2:30pm. Le club promet sur son site internet, “acrobaties aériennes, danseuses et danseurs sexy, musique incroyable, nourriture délicieuse et des drag-queens COMPLETEMENT SCANDALEUSES!”. On leur fait confiance sur ce dernier point. Côté assiette, House of Yes propose deux formules, l’une à 30$ pour un plat et une boisson, l’autre à 45$ incluant des cocktails de mimosa à volonté. House of Yes (2 Wyckoff Ave), premier samedi de chaque mois de 12:30pm à 2:30pm.
Voss Event’s Drag Brunch au Highline Ballroom à Chelsea (Manhattan)


La particularité du Voss Event’s Drag Brunch? Ses stars de télé-réalité. Le Highline Ballroom invite chaque dimanche des drag-queens ayant participé à l’émission RuPaul’s Drag Race, une compétition de drag-queens très réputée aux Etats-Unis. Pour les lève-tôt, un premier show est organisé à midi (les portes ouvrent à 11am) avant un second spectacle à 2:30pm (les portes ouvrent à 1:30pm). Trois formules sont proposées pour ce drag brunch. Une classique à 39,95$ comprenant un plat et des boissons à volonté pendant deux heures, une deuxième ajoutant des sièges VIP et une photo souvenir pour 69,95$, et une entrée sans siège comprenant uniquement le spectacle à 15$. Des réductions sont cependant disponibles sur le site de Groupon jusqu’au 18 juin. Highline Ballroom (431 W 16th St), tous les dimanches à midi puis à 2:30pm. 
Drag Brunch à La Pulperia à Hell’s Kitchen (Manhattan)


Hell’s Kitchen est devenu l’un des repaires de la communauté LGBT new-yorkaise ces dix dernières années. Alors rien d’étonnant si l’un des meilleurs drag brunches de la ville se trouve dans le quartier, au restaurant La Pulperia. L’enseigne, qui propose des spécialités latines, organise chaque dimanche deux spectacles de drag-queens, à midi et 2pm. Comme à l’Intermezzo, une drag-queen assure le show en déambulant autour des tables en dansant. En plus des plats indiqués sur la carte, une formule boissons à volonté pendant deux heures est présentée à 30$. Un deuxième restaurant La Pulperia est situé dans l’Upper West Side mais ne propose pas de drag brunch. La Pulperia (371 W 46th St), chaque dimanche à midi puis à 2pm.

Un colloque sur le Front National et le populisme à NYU

Depuis les années 1980, les mouvements populistes n’ont cessé de prendre du poids en Europe ou aux Etats-Unis. L’un de leurs chefs de file, le Front National, fondé en 1972, en est le meilleur exemple.
Le vendredi 7 et le samedi 8 avril, l’Institute of French Studies de New York University organise un colloque intitulé “The French National Front and Beyond : a Global Populist Moment ?“. Quatre conférences auront lieu au Hemmerdinger Hall Silver Center et aborderont ce phénomène historique avec un regard franco-américain. Plusieurs journalistes et universitaires français seront présents et échangeront avec leurs homologues américains.
Le vendredi de 1pm à 3pm, la discussion “Sexual Politics” évoquera un paradoxe latent dont de nombreux mouvements ou partis populistes font preuve: ils s’opposent très souvent aux législations visant les communautés LGBT, comme le mariage pour tous ou l’accès à la PMA, tout en s’affirmant comme un rempart au sexisme et l’homophobie qu’ils associent à l’Islam.
De 3:30pm à 5:30pm, la conférence “Populism from Below : Ethnographers at Work” s’intéressera aux sympathisants du populisme. Qui sont-ils ? D’où viennent-ils ? Comment sont-ils devenus sympathisants ? Ou encore, quelle vision du monde ont-ils ?
De 6:30pm à 8:30pm, “A Populist Moment ?” questionnera l’utilisation du terme “populiste” pour décrire le Front National et les mouvements qui lui sont semblables.
Enfin, pendant la conférence “Populism and the Media : Journalists at Work” le samedi de 11am à 1pm, journalistes français et américains s’interrogeront sur les relations entre les médias et les partis populistes à partir de leurs expériences personnelles.

Immigration: Donald Trump annule la loterie de la carte verte

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La loterie de la carte verte n’est plus, en tout cas pas pour cette année. Donald Trump y a mis un terme d’un coup de stylo, vendredi, par décret.
Ce texte, intitulé “Dispositions pour favoriser l’emploi des Américains“, suspend la loterie pour une période d’un an et laisse entrouverte la possibilité de mettre un terme définitivement à ce processus qui permet à plusieurs milliers d’étrangers d’accéder à la carte verte chaque année.
Couldn’t repeal Obamacare but failing green card lottery is DESTROYED“, le président a-t-il twitté peu après la signature de ce décret.
Cette décision correspond à la volonté du nouveau président américain d’accorder la priorité aux Américains à l’embauche. Trump a aussi promis de revenir sur le H-1B, utilisé selon lui par les grandes entreprises pour recruter une main d’oeuvre étrangère de bon marché.
Si Donald Trump n’a pas parlé ouvertement pendant la campagne de remettre en cause la loterie, c’est que le milliardaire ne savait pas jusqu’à récemment qu’elle existait. “Ça sert à quoi une loterie pour gagner une carte qui est verte? La loterie, c’est pour gagner de l’argent. Terrible. Arnaque. Loosers“, a-t-il lancé lors d’une interview à la BBC en février quand la journaliste lui a demandé ce qu’il ferait de la DV- Lottery.
C’est Reince Priebus, chef de cabinet de la Maison-Blanche, qui lui a révélé la vérité il y a quelque semaines. Selon plusieurs sources, Donald Trump est devenu fou. “C’est un coup d’Obama. Comment a-t-il pu laisser entrer tout ces gens? Je sais, c’est une revanche car les démocrates et les médias comme Buzzfeed et le New York Times défaillant sont de mauvais perdants. J’ai remporté une victoire historique. Vous avez vu tous ces gens à mon investiture ? Triste, très triste“, a-t-il confié à un groupe de journalistes.
Pour l’heure, on ne sait pas ce qu’il adviendra des postulants de cette année. Sean Spicer, porte-parole de la Maison Blanche, a suggéré que la carte verte pourrait être remplacée par une carte bleue, utilisable dans les hôtels Trump ou dans ses clubs de golf. “Nous respectons la séparation entre l’organisation Trump et ses activités de président, s’est défendu Spicer lors du point presse de vendredi.
Pour les Français spécifiquement, nous allons créer une carte orange“, a-t-il cependant précisé. “Les Français sont familiers avec la carte orange donc cela ne devrait pas poser trop de problèmes“, croit-il savoir, notant que la carte orange permet de prendre le train jusqu’à Euro Disney, et pas la carte verte. Autre avantage: elle sera vendue chez les buralistes et non plus au consulat des Etats-Unis. “Ce point risque d’être plus difficile à vendre, a-t-il reconnu, car on sait à quel point les Français adorent perdre leur temps au consulat”.
Pas sûr que les Français soient convaincus par cette manoeuvre. “Franchement, c’est du foutage de gueule, s’est plaint Christophe Leroux, qui en est à sa quatrième loterie. Je n’en peux plus. À Chaque fois que je joue, je n’ai que le numéro complémentaire. Pourtant, cette année, je le sentais bien ce loto. J’allais gagner, c’est sûr”, dit-il, sans pour autant révéler les faits objectifs sur lesquels s’appuie ce jugement. “Au fait, ce n’est pas le 1er avril aujourd’hui ?” 

Raphaël Enthoven: "Je milite pour le devoir de penser contre-soi même"

En France comme aux Etats-Unis, les faits et la vérité sont mis à rude épreuve. De passage à New York University et au Sofitel, le philosophe français Raphaël Enthoven est revenu sur Trump, Fillon, Kellyanne Conway et comment chacun d’entre nous peut chercher la vérité à l’heure des “faits alternatifs”.

French Morning: « Chaque homme a droit au mensonge, ne serait-ce qu’au mensonge qui réconforte » disiez-vous le 6 mars lors de votre conférence à New York. Donald Trump a menti a plusieurs reprises depuis son élection. Si l’individu a le droit au mensonge, est-ce que le président américain est condamnable? 
Raphaël Enthoven: Celui qui prétend dire “la vérité, toute la vérité” se condamne déjà à mentir par omission. De plus, on peut effectivement avoir recours au mensonge qui réconforte, par exemple dans le cas d’un médecin qui ne fournirait pas tous les détails de la pathologie de son patient pour ne pas le décourager.
Ça n’autorise pas pour autant un politique dans l’exercice de son métier à mentir ouvertement. Il y a deux façons de mentir selon Machiavel. La première est de mentir en revenant sur ses propos tout en feignant de ne pas le faire. Cette méthode est validée par Machiavel, considérant que cette position est parfois nécessaire et acceptable dans la mesure où l’on témoigne les égards minimaux aux personnes auxquelles on ment. Donald Trump présente quant à lui le mensonge comme une vérité supérieure à la vérité elle-même. Si on lui reproche de mentir, d’être dans le déni de réalité, il interprétera le fait même qu’on lui fasse un reproche comme la preuve qu’on est soi-même menteur. L’expression “alternative facts” (faits alternatifs) prend ici tout son sens.

Ce terme “alternative facts” n’est-il pas une idée issue de la philosophie que Trump a reprise à son compte, selon laquelle il n’y a pas de vérité ni de faits immuables, mais que des interprétations?

Ce propos de Nietzsche est souvent galvaudé. Le philosophe ne prétend pas que la vérité n’existe pas. Il dit que toute réalité est le résultat d’une interprétation, et qu’il est tout à fait possible d’ouvrir le champ des interprétations et d’évaluer celles qui sont recevables ou non. C’est un appel à la discussion et au débat. Quand la conseillère de Trump Kellyanne Conway parle de faits alternatifs en évoquant le nombre record de personnes ayant assisté à l’investiture du nouveau président américain, elle prétend exactement le contraire. Ce qu’elle dit, ce sont que les chiffres, les photos donc les faits qu’on lui présente ne sont pas la vérité. Elle présente alors des faits alternatifs qui seraient restés invisibles parce que les gens n’avaient pas envie de les montrer. On sort ici du débat pour entrer dans la censure. Cela montre toute l’impudence du menteur, qui ne se soucie pas d’être cru mais cherche seulement à montrer qu’une réalité qui n’est pas la sienne est une invention.
Comment cette notion s’est démocratisée et peut faire autant d’adeptes?

Les faits alternatifs ont du succès depuis toujours. Le monde n’est pas là pour nous faire plaisir et la réalité vient parfois heurter nos préférences. Alors quand quelqu’un vient nous réconforter en nous disant, “avec moi, le méchant réel est congédié au profit d’un gentil rêve dont je suis le porte parole”, le délire d’y croire peut l’emporter sur le constat de ce qui est, c’est à dire la réalité elle-même.
Avec Trump, on n’est pas dans la simple démagogie de celui qui persuade les autres que ses solutions sont les meilleures. C’est un déni collectif de réalité dont le porte parole a été élu, et dont il ne se rendra pas responsable le jour où on en verra les conséquences. Je suis convaincu que son dispositif d’absolution est déjà en place. “Je n’ai pas échoué, c’est la faute au méchant système, au méchant réel”.
L’élection et le début de mandat de Donald Trump ont mis la vérité à rude épreuve. Quelles peuvent-être les conséquences sur l’élection présidentielle française?
On assiste non pas à une libération de la parole mais à son enfermement. Les mots n’ont plus de compte à rendre. Lorsqu’on entend un soutien de François Fillon lancer au Trocadéro “mes amis, vous êtes 200 000” alors que la place ne peut en contenir que 45 000, on constate que la réalité a beaucoup moins d’importance que le sens et la forme qu’on a choisi de lui donner.
Le philosophe Clément Rosset a beaucoup étudié la façon dont on pratique le déni. Il en donne une image intéressante. Lorsque je suis en voiture et que le feu passe au rouge, en général je m’arrête, reconnaissant le réel et ses conséquences. La posture de François Fillon ou de Kellyanne Conway est différente: je reconnais que le feu est rouge mais je conclus que c’est à moi de passer. La reconnaissance du réel n’a ici aucune prise sur le comportement. Je me sers de la réalité pour en tirer une conclusion qui n’a absolument rien à voir avec ce que j’ai reconnu comme étant réel. C’est une position injustifiable, raison pour laquelle ceux qui la tiennent n’aiment pas les débats. Les électeurs de Marine Le Pen en sont également un très bon exemple. Ils affirment vouloir voter pour elle car tous les autres sont corrompus. Mais lorsqu’un journaliste leur explique que Marine Le Pen est-elle même mise en cause dans quatre affaires, ils répondent “oui, mais qui ne l’est pas?”. Ce qui relève d’une cause au début est devenu à la fin de la phrase un alibi.
La situation des intellectuels dans cette ère de post-vérité vous inquiète-elle? Quels rôles avez-vous à jouer?
Je suis militant d’une seule cause: le devoir de penser contre-soi même. Penser par soi-même est illusoire, car quand on pense par soi-même on pense en fait tout seul ou comme tout le monde. Penser contre soi-même, c’est se faire à soi-même la totalité des objections qu’on peut se faire, c’est considérer que la recherche de la vérité est plus désirable que ma conviction. Il est possible d’être en désaccord sans être ennemi, voilà ce que je veux faire comprendre, en provoquant par exemple des instants de dialogue sur Twitter, où j’essaye de transformer les indignations ou les injures en constat pacifique de désaccord.
Vous reprochez à l’indignation sa forme consensuelle, passive. Comment l’opinion publique devrait-elle manifester son mécontentement?
L’indignation est en effet une position extrêmement consensuelle car elle n’a pour effet que de donner bonne conscience. L’homme indigné ne s’engage pas, il peut ainsi dormir sur ses deux oreilles. La bonne conscience garantie le sommeil. L’homme révolté à la différence de l’indigné est celui qui, loin de prétendre détenir la vérité, tente dans la mesure de ses moyens de lutter contre ce qui lui semble injuste. La révolte culmine dans l’action alors que l’indignation est immobile. Et le meilleur moyen de maintenir vivace cette flamme de la révolte, c’est d’essayer en permanence de penser contre soi-même.

Guide Broadway: "Amélie, a new musical"

Vous avez adoré “La Fabuleux destin d’Amélie Poulain”. Aimerez-vous “Amélie, a new musical” ? La comédie musicale est arrivée sur Broadway début mars. French Morning l’a vue pour vous.

Le pitch : Amélie est une jeune femme à l’imagination débordante mais qui peine à connecter avec les autres. Qu’importe ! C’est en coulisses qu’elle opèrera. Elle se donne une mission secrète : faire le bien autour d’elle et devenir une justicière masquée du bonheur. Sa stratégie fonctionne jusqu’au jour où elle rencontre Nino…

La genèse : Il aura fallu plus de 10 ans à Jean Pierre Jeunet pour céder les droits de son film nominé cinq fois aux Oscars. Dans une interview accordée à RTL en 2013, celui-ci expliquait avoir changé d’avis afin de récolter de l’argent pour son association Mécénat Chirurgie Cardiaque, une décision qui lui posait un problème de conscience : « ça me dégoûte profondément cette comédie musicale. Je hais Broadway. Je considère que c’est l’incarnation même de la ringardise. »

Que Jeunet se rassure, Amélie, la toute nouvelle comédie musicale de Broadway est tout sauf ringarde.

On a aimé : On le sait, les spectacles de Broadway génèrent énormément d’argent et ont les moyens d’engager les meilleures équipes créatives. Mais on peut parfois leur reprocher de nous en mettre « plein la vue », sans pour autant nous rassasier ou nous émouvoir. Ce n’est pas le cas de ce spectacle.  Ici tout est fait avec beaucoup de poésie. Le jeu des comédiens, l’ensemble du décor (David Zinn), la lumière, les costumes, les projections ainsi que les accessoires, tout, absolument tout sert un seul et même but : recréer la magie du monde d’Amélie et nous inviter à reconnecter, nous aussi, avec notre âme d’enfant. Les moments d’émotions alternent avec des scènes pleines d’humour et l’ensemble est brillamment orchestré. 

Chapeau bas donc, pour cette mise en scène de Pam MacKinnon, et pour l’ensemble de l’équipe artistique qui témoigne d’une créativité faisant honneur au personnage d’Amélie.

Difficile également de ne pas tomber sous le charme de Philipa Soo qui incarne Amélie adulte (nominée aux Tony Awards en 2016 pour sa performance dans le hit musical Hamilton). Vocalement très à l’aise, à la fois douce, espiègle et déterminée, on apprécie son jeu d’actrice sans fioritures.

Le gros bémol du spectacle : Comment ne pas associer le personnage d’Amélie à la sublime musique de Yann Tiersen ? Or, à aucun moment du spectacle vous ne l’entendrez, et cela nous a posé problème… C’est Daniel Messé (co-fondateur du groupe Hem) qui a composé la musique d’Amélie. Dans une interview pour Paste Magazine, le compositeur déclarait son admiration pour Tiersen, tout en affichant sa volonté de conserver son identité musicale : « Sa musique est sublime. C’est l’une des meilleures musiques de film qui existe. Mais ce n’est pas ce que je fais. Je ne pense même pas que j’utiliserai de l’accordéon dans ma partition. »

Même si la musique du spectacle est belle, bien écrite et bien interprétée, ce n’est pas le point fort du spectacle. On ne sort pas du théâtre en fredonnant les airs, et l’on ne se dit pas non plus pendant la représentation « cette chanson restera dans les annales ». Bref, Amélie sans la musique de Yann Tiersen, c’est tout de même un peu dommage…

Si vous arrivez à passer outre, allez voir le spectacle. Encore une fois la mise en scène est très ingénieuse. Amélie est également une bonne option pour tous ceux qui ont de la famille ou des amis en ville : le spectacle reprend énormément de scènes originales, ce qui permettra à vos proches qui maîtrisent peu l’anglais, mais qui ont vu le film, de suivre l’intrigue sans difficulté.  Pour les puristes et les inconditionnels du “Fabuleux destin d’Amélie Poulain”, on vous conseille tout simplement de revoir le film.

Niveau d’anglais nécessaire pour apprécier le spectacle : 2/5 (1/5 = débutant, 5/5 = bilingue).

Note French Morning : 3/5

Notre astuce : Des “Rush Tickets” sont disponibles pour $39.5 selon la disponibilité. Se présenter au théâtre, environ 30 minutes avant l’ouverture du box-office. Deux places maximum par personne.

Une loterie en ligne est également disponible (places à $45), tentez votre chance ici.

Sondage exclusif: Fillon et Macron en tête en Amérique du Nord

François Fillon devance légèrement Emmanuel Macron et Marine Le Pen arrive en troisième position. Voici le “podium” chez les Français d’Amérique du Nord qui ressort du sondage exclusif BVA pour le site d’information des Français de l’étranger Le Petit Journal, réalisé en partenariat avec French Morning pour les Etats-Unis et le Canada.

Le candidat Les Républicains est crédité de 36,5% des intentions de vote au premier tour, contre 34,5% pour le candidat d’En marche!. Marine Le Pen recueille, elle, 12% des intentions de vote, devant Benoît Hamon (10%) et Jean-Luc Mélenchon (4%).
infographieelectionOKPhilippe Poutou, Nicolas Dupont-Aignant et Nathalie Arthaud referment la marche. François Asselineau, Jacques Cheminade et Jean Lassalle n’avaient pas encore recueilli leurs 500 parrainages au moment du lancement du terrain le 3 mars.
Au niveau mondial
Ces résultats sont légèrement différents des intentions de vote enregistrées au niveau des Français de l’étranger dans leur ensemble. Au sein de cette population, c’est Emmanuel Macron qui arrive en tête. L’ancien ministre de l’économie est crédité de 36% des intentions de vote, alors que François Fillon recueillerait 31% des suffrages, soit sept points de moins que Nicolas Sarkozy au premier tour de la présidentielle. “L’attrait pour le candidat d’En marche! n’est pas surprenant car il séduit beaucoup les personnes CSP+, très nombreuses au sein des Français expatriés”, note l’institut BVA. Mais il observe toutefois que le “socle électoral” de l’ancien premier ministre paraît plus solide: 72% des électeurs de François Fillon se disent sûrs de leur choix contre 53% pour l’ex locataire de Bercy.
Jean-Luc Mélenchon (8% des intentions de vote), Benoît Hamon (13%) et Marine Le Pen (9%) sont largement distancés, si l’on en croit ce sondage. Si ces chiffres se confirment, la présidente du Front National améliorerait son score de trois points par rapport à son résultat au premier tour de la présidentielle de 2012.
note: étude par internet réalisée par l’institut BVA du 3 au 11 mars 2017 auprès d’un échantillon de 2210 personnes inscrites sur les listes électorales, issues d’un échantillon représentatif de 2333 Français âgés de 18 ans et plus, vivant à l’étranger.

Le chef Ludo Lefebvre régalera le Food & Wine Festival d’Austin

Préparez vos papilles. Du 28 au 30 avril, le Food & Wine Festival fait son retour à Austin. Pendant trois jours, plus de 80 chefs et sommeliers feront découvrir aux festivaliers leurs créations ou leurs trouvailles.
Parmi eux, le chef-star français Ludo Lefebvre, chouchou des médias américains, sera de la partie. Formé auprès de Marc Meneau et Pierre Gagnaire, le Français est arrivé à la fin des années 1990 à Los Angeles comme sous-chef à L’Orangerie et a connu une ascension fulgurante. En un an, il en devient le chef et en fait une adresse incontournable.
Rapidement il lance ses propres restaurants. C’est d’abord avec le concept de restaurants pop-up LudoBird qu’il se fait connaître avant d’ouvrir Trois Mec, Petit Trois et plus récemment Trois Familia. Il doit aussi sa célébrité à de nombreuses apparitions télévisées, notamment dans le show “Top Chef Masters”.
Considéré par de nombreux magazines comme l’un des meilleurs chefs aux Etats-Unis, Ludo Lefebvre est aussi l’auteur de trois livres de cuisines de référence.
Lors du festival, son atelier de dégustation prendra place le samedi 29 avril de 2:30pm à 3:15pm sous la Hickory Tent.

À Houston, The Village School lance officiellement son programme bilingue

(Article partenaire) C’est officiel. The Village School a désormais une section français-anglais. Le vendredi 10 mars, tous les élèves, leurs parents, le consul général de France Sujiro Seam, le consul honoraire de Belgique et de nombreux invités se sont retrouvés pour son inauguration.
La journée a commencé par la fête de la Francophonie. L’école était transformée en village français, et chaque élève a participé à des ateliers afin de découvrir comment se déroule la vie en France.
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Le café des artistes attendait tous les gourmands. Le fleuriste passait les commandes . Chacun a pu écrire des cartes postales et le facteur a fait sa tournée. La boulangerie a eu beaucoup de succès (on se demande pourquoi!). Puis Sujiro Seam a rappelé la joie qu’il avait de voir l’éducation française prendre tellement d’ampleur à Houston, en particulier au sein de la Village School qui accueillera de nouveau les festivités du 14 juillet cette année.
Screen Shot 2017-03-29 at 3.18.34 PMTous les enfants, vêtus de bleu, blanc et rouge ont chanté un hymne à la Francophonie. Ils ont fait visiter leur école à leurs parents qui ont pu à leur tour participer aux ateliers. Merci à l’équipe des parents et aux professeurs qui se sont tellement investis pour que cette journée soit une réussite.
Pour toute demande de renseignements, visite ou inscription, n’hésitez pas à contacter Amandine Paul-Dauphin au 281 496 7900 ext 4103 ou par e-mail : [email protected]
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