Soupe à l’oignon, steak tartare, truite au “beurre rouge” et île flottante pour finir: voici quelques-uns des plats au menu du dîner qu’organise l’Alliance française de San Antonio le jeudi 30 mars.
L’invité spécial de ce repas ouvert aux membres et aux non-membres de l’Alliance française sera Damien Watel, consul honoraire de France à San Antonio. Le chef sera un peu chez lui car il est le propriétaire du restaurant Chez Vatel, où se déroulera l’événement. Pour rappel, les consuls honoraires sont des personnalités, françaises ou non, qui assurent bénévolement une mission de relais de l’action du Consulat dans la circonscription.
Dîner avec le consul honoraire de France à San Antonio
À Let There Be Neon, le néon ne meurt jamais
« Do what you love. Love what you do ».
« Stay Hungry, Stay Foolish »
« Always be yourself unless you can be a unicorn. Then, always be a unicorn »
« Veni Vidi vici ». Euh, non, pas ça !
Et vous, c’est quoi votre phrase ?
Si, comme beaucoup de New-Yorkais, vous avez un motto, une devise, une citation que vous aimez et qui vous file la pêche, vous pouvez la peindre sur vos murs, ou en faire un sticker et la coller dans vos toilettes, bien sûr.
Mais vous pouvez aussi en faire une œuvre d’art en néon pour le mur de votre salon. Et il y a à New York un lieu pour faire ça. C’est l’adresse que s’arrachent tous les restos branchés et les concept stores dernier cri. Et c’est ici que des artistes de renom (Keith Haring, Olafur Eliasson entre autres) font faire certaines de leurs créations.
“Let there be neon” a pignon sur rue. Situé dans un immense entrepôt tout en briques, dans Tribeca, il vous donne envie d’être créatif. Et ça, c’est la seule chose que l’Intelligence artificielle ne vous prendra pas. Alors, soyez fous et lancez-vous.
Le studio de création vous aidera à réaliser sur mesure le néon que vous voudrez. Choisissez la couleur (parmi une vingtaine de tons), trouvez la police qui vous plaît ou venez avec votre propre design, et laissez-les faire. Vous êtes chez des pros.
Plus “roots”, et un peu plus cool, moins connu, mais tout aussi pro, le “Lite Brite Neon Studio” à deux pas du canal de Gowanus dans Brooklyn. Une fine équipe dédiée qui se fera un plaisir de réaliser votre rêve.
Pensez à mettre un variateur pour une ambiance tamisée discrète ou au contraire, choisissez un style pop fluo.
C’est un peu cher, mais c’est de l’Art, ne l’oubliez pas.
La Patrouille de France aux Etats-Unis: "C'est un honneur, une chance inouïe"
Trente-et-un ans que la Patrouille de France n’avait plus volé dans le ciel américain. Le centième anniversaire de l’entrée en guerre des États-Unis dans le premier conflit mondial sera l’occasion d’y mettre un terme. Une fierté pour le commandant Nicolas Lieumont, pilote charognard au sein de la célèbre formation acrobatique. “C’est un honneur, une chance inouïe de faire partie des pilotes sélectionnés pour représenter l’Armée de l’air et la France. Encore plus aux Etats-Unis, un grands pays allié“.
Pas moins de onze avions contenant 72 membres d’équipage ont décollé vendredi 17 mars de la base de Salon-de-Provence dans le sud de la France, direction les Etats-Unis où les pilotes français effectueront 30 vols de transit à travers le pays pendant un mois et demi. “C’est un sacré challenge logistique car nous allons passer par de nombreux sites dans plusieurs Etats“, explique Nicolas Lieumont qui a bâti le contenu de la tournée avec ses collègues et l’appui de sa direction. “Nous avons vraiment commencé à travailler dessus en novembre, quand l’état major français l’a validé. Nous avons beaucoup dialogué avec les ambassades, qui nous ont orienté localement vers des points de contact”.
Plusieurs semaines d’entrainement ont également été nécessaires aux pilotes de la Patrouille de France, notamment pour s’adapter aux réglementations aériennes des Etats-Unis. “La zone d’évolution dans le ciel américain est restreinte par rapport à la France, et les avions n’ont pas le droit de pointer vers la foule“. Un dernier entrainement est prévu cette semaine à Melbourne au Canada, avant une arrivée à New York samedi 25 mars. La Patrouille de France survolera la Statue de la Liberté entre 11am et 1pm (selon la météo), avant de se diriger vers Washington.
Parmi les autres points culminants de la tournée, la cérémonie officielle de commémoration de l’entrée en guerre des Etats-Unis organisée à Kansas City dans le Missouri le 5 et 6 avril. La Patrouille de France rencontrera les patrouilles américaines des Blue Angels les 10 et 12 avril à Pensacola en Floride, et des Thunderbirds les 17 et 18 avril à Nellis dans le Nevada. Elle repassera également par New York les 22 et 23 avril pour un meeting à la base militaire Stewart Air National Guard Base, où un grand show aérien est prévu. “On prévoit quelques surprises. Ce sera pour moi le moment le plus fort, l’apothéose de la tournée“, s’enthousiasme Nicolas Lieumont.
Pour Monique Seefried, membre franco-américaine de la Commission du centenaire de la Première Guerre mondiale chargée de planifier les événements commémoratifs aux Etats-Unis, la venue de la Patrouille de France est hautement symbolique. “C’est une manière de marquer la gratitude française pour les aviateurs américains, dont ceux de l’escadrille Lafayette (un groupe de l’aviation française composée largement d’Américains volontaires, ndr), estime-t-elle. Cela va énormément nous aider à faire connaître la Première guerre, notamment auprès d’un public plus jeune”.
Programme aller complet :
25 mars: Survol de la Statue de la Liberté à New York
27 mars: Survol de Washington et réception à l’ambassade de France
1er-2 avril: Meeting à Melbourne (Floride)
3-4 avril: Meeting à Lakeland (Floride)
5-6 avril: Commémoration du centenaire à Kansas City (Missouri)
7 au 9 avril: Meeting du centenaire et rencontres avec des blessés de guerre français à la base aérienne Maxwell, à Montgomery (Alabama)
12 avril : Survol des usines Trescal à Dallas (Texas)
13 avril: vol photo au dessus du Grand Canyon (Arizona)
Programme retour complet:
19 avril: Etape à la base aérienne de Scott (Illinois)
22-23 avril: Meeting à la base militaire Stewart Air National Guard Base à New York
28-29 avril: Participation au NATO Tattoo Festival, festival rendant hommage au commandement de l’OTAN de Norfolk (Virginie)
30 avril: Défilé et meeting à Ottawa au Canada
1er mai: Défilé et meeting à Montréal au Canada
2 mai: défilé à Québec au Canada
Jean-Michel Jarre va électriser San Francisco en mai
Il est peut-être l’un des plus grands compositeurs de musique électronique de son temps. Jean-Michel Jarre, connu dans le monde entier, entamera sa première tournée nord-américaine au printemps, et sera de passage à San Francisco le vendredi 26 mai.
Célèbre pour ces concerts titanesques dans des lieux aussi légendaires que la Cité Interdite à Pékin ou les pyramides de Gizeh, le Français investira, pour un concert en plein air, le Greek Theater à Berkeley. Une première pour le compositeur français. En 50 ans de carrière, Jean-Michel Jarre n’a donné qu’un seul concert aux Etats-Unis. En 1986, pour le 25ème anniversaire de la NASA, l’artiste avait rassemblé plus de 1,3 million de spectateurs à Houston.
Nommé aux dernières cérémonies des Grammy Awards et des Victoires de la Musique, Jean-Michel Jarre a sorti “Oxygène 3” en décembre 2016. L’album studio rend hommage au tout premier opus du compositeur (intitulé “Oxygène”) révélé il y a tout juste 40 ans.
Après presque 10 ans d’absence, l’artiste avait fait son retour avec deux albums, sous le nom de “Electronica”, sortis en 2015 puis 2016. Elaborés quasi-exclusivement à partir de collaborations, ils rassemblent les plus grands noms de la scène électro-pop internationale. Depeche Mode, M83, Sebastien Tellier, Hans Zimmer, Air ou encore Cindy Lauper y ont participé. Même Edward Snowden est au casting de la chanson “Exit” dans laquelle des extraits d’un entretien avec le compositeur sont incorporés.
A 68 ans, le pape de l’électro semble toujours infatigable. Dès l’été prochain, le compositeur sera de retour en Europe pour deux concerts au mois de juillet à Cracovie et Gdansk.
Discussion avec le sculpteur Pierre Huyghe à Dallas
Pierre Huyghe, lauréat 2017 du prestigieux Prix de sculpture Nasher, participera à une conférence organisée par le Nasher Sculpture Center à Dallas le 31 mars. Cela sera le point d’orgue d’un cycle de conférences et d’événements consacrés au fameux Prix attribué depuis deux ans aux sculpteurs qui repoussent les limites de leur art.
Le Français, à qui l’on doit des installations surprenantes qui utilisent des organismes vivants, des films ou encore des objets insolites, sera interrogé par Lynne Cooke, curatrice à la National Gallery of Art et membre du jury d’artistes et de curateurs influents chargés de décerner le Nasher, un Prix d’une valeur de 100.000 dollars.
La conférence est gratuite en cas d’inscription en ligne.
Hutch: la réalité augmentée pour refaire votre déco
Re-décorer son intérieur à partir de son téléphone, c’est ce que permet Hutch. Sortie le 1er février, l’application de design utilise la réalité augmentée pour refaire votre déco.
Comment cela marche-t-il ? L’utilisateur prend une photo d’une pièce, applique un filtre (“French couture”, “Eclectic chic”…) et l’envoie à Hutch, qui se charge de vous renvoyer l’image de votre chambre ou salon transformés. Dans une nouvelle version, qui sortira prochainement, “les utilisateurs pourront également personnaliser la pièce en sélectionnant ou déplaçant les meubles“, explique Benjamin Broca, co-fondateur de l’app et directeur technique. Une deuxième levée de fonds devrait pousser le lancement de cette nouvelle version.
Le Français au cerveau bouillonnant de créativité, qui participera le 30 mars à une discussion organisée par le réseau FrenchFounders, n’en est pas à son app d’essai. L’ancien étudiant de Centrale et de Columbia University en a créé plusieurs depuis 2013 à New York. Parmi ses bébés: Now, “la story locale de Snapchat” qui montrait les événements aux alentours en photos, la messagerie Context ou encore Facefeed qui -malgré lui- est devenue une application de “dating”.
“Après plus de deux ans dans la finance à New York, je voulais m’en échapper et devenir ingénieur. J’ai donc créé mon boulot avec les app“, avance celui qui a tout appris dans des tutoriels sur Internet. Il suit alors le mantra d’Elon Musk, le fondateur de Space X : “Plus tu vas vite, mieux tu comprends le marché. Tu peux alors offrir le meilleur service possible.”
Une nouvelle aventure dans un secteur peu exploité
Las de la vie dans la Grosse pomme et tombé amoureux du surf, ainsi que de Venice Beach, ce trentenaire débarque à Los Angeles à l’été 2015 pour une éphémère mission de consultant. Il se retrouve dans le pays ensoleillé de ses modèles, Tinder et Snapchat. C’est d’ailleurs Sean Rad, l’ex-CEO de Tinder, qui le met en contact avec Beatrice Fischel-Bock, la fondatrice de Zoom Interiors, un site de conseils en design en ligne, qui s’est faite remarquer sur l’émission Shark Tank. “Il y a un réel engouement pour la décoration, mais trop d’idées sur Pinterest.” Entouré de quatre nouveaux associés, il délaisse le domaine des apps sociales pour se lancer dans l’aventure du design d’intérieur.
Une première app baptisée Homee naît en 2015. “Elle permettait de parler à un designer sur tchat gratuitement. L’utilisateur envoyait des photos de chez lui, et le professionnel lui soumettait un rendu photo personnalisé, tout en lui proposant d’acheter les meubles sélectionnés“, détaille Benjamin Broca, qui a amené son expérience entrepreneuriale et un sens du style à la française. L’affaire prend: 25% des discussions se concluent par un achat. Au printemps dernier, 200.000 dollars de meubles sont vendus par mois.
Il n’en faut pas plus pour attirer l’attention des investisseurs. Au total, Homee lève près de 8 millions de dollars, dont 5 millions auprès du Founders Fund de Peter Thiel, permettant au site d’embaucher une quinzaine de personnes (en plus des designers en freelance). Mais l’app se voit dans l’obligation d’équilibrer ses comptes pour satisfaire les investisseurs. Deux obstacles se présentent alors : la difficulté de passer à une app payante, et le manque de régularité des visiteurs, les utilisateurs ne changeant pas d’intérieur comme de chemise. “Nous avons alors revu à la baisse notre modèle “Silicon Valley”.”
Homee supplantée par Hutch
Fin 2016, l’équipe décide alors de se recentrer sur ce qui séduit le plus leurs utilisateurs : le rendu photo. Privés des conversations avec les designers, les dépenses chutent. Homee devient alors Hutch.
En plus des partenariats avec des fournisseurs de meuble, la compagnie projette d’offrir sa propre collection. Et ses ambitions ne s’arrêtent pas là. “Après les Etats-Unis, nous voulons que l’app soit disponible au niveau mondial sous peu (sans la vente de meubles). Nous pourrions alors proposer des filtres supplémentaires payants“, espère Benjamin Broca.
Même s’il a dû stopper le surf à cause de blessures, le développement d’Hutch le comble. Mais cet esprit insatiable garde une autre idée en tête : la robotique. “Il n’y a pas encore d’objets qui effectuent toutes les tâches quotidiennes“, lâche-t-il. Los Angeles pourrait lui donner des ailes.
La conception de l'art disséquée au Mak Center de Los Angeles
Questionner l’art : telle est la volonté de l’exposition “You may add or subtract from the work: On the work of Christopher D’Arcangelo and Michael Asher”, présentée les vendredis, samedis et dimanches du jeudi 23 mars au dimanche 23 avril au Mackey Garage Top (Mak Center) à Los Angeles.
Au travers des documents des artistes américains Michael Asher (1943-2012) et Christopher D’Arcangelo (1955-1979), les commissaires de l’exposition, Simon Leung et Sébastien Pluot, mettent en valeur leurs analyses critiques des conditions structurelles de l’art. Dans leurs temps, ils ont abordé la manière dont les conditions matérielles et sociales de production, d’exposition et de réception de l’art se croisaient avec les pouvoirs étatiques, institutionnels et commerciaux, influençant la subjectivité de l’artiste.
Financé par l’Université de Californie, l’UC d’Irvine, les Services Culturels du Consulat de France à Los Angeles et le Centre National des Arts Plastiques, ce “dialogue” conceptuel est issu d’un séminaire dirigé à l’automne 2015 par Simon Leung et Sébastien Pluot. L’installation a été conçue avec l’aide des étudiants de ce séminaire.
Pour pousser la réflexion, un colloque sur les travaux de Michael Asher et Christopher D’Arcangelo aura lieu au LACMA le samedi 25 mars, de 1 à 6 pm.
Mythes et vérités sur la langue française au Québec
(Agenda partenaire) Afin de célébrer et de promouvoir le mois de la Francophonie, l’Alliance Française de Los Angeles et la Délégation du Québec à Los Angeles vous invitent à une conférence intitulée “Mythes et vérités sur la langue française au Québec”, le lundi 27 mars à 6:30pm dans les locaux de l’Alliance Française. Réservez dès à présent vos places sur le site de l’Alliance Française de Los Angeles.
Danièle Archambault, experte linguiste québécoise, parlera de la langue française au Québec et présentera sa bande-dessinée humoristique ‘Québec-California‘. Originaire du Québec où elle était professeure titulaire au département de linguistique de l’Université de Montréal, elle habite aujourd’hui à Palo Alto en Californie.
Son travail sur la linguistique et son intérêt pour les bandes-dessinées l’ont menée à découvrir de nouveaux vecteurs pour partager ses réflexions sur le langage, la culture et la vie.
Cette présentation se déroulera en français et sera suivie d’une série de questions/réponses bilingues (français/anglais). Une réception sera organisée après la présentation.
Participation gratuite pour les membres de l’Alliance Française; $10 pour les non-membres.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Claude Lelouch, tête d'affiche de Focus on French Cinema 2017
Pour son édition 2017, 13ème du nom, le festival de films français Focus on French Cinema s’offre une une tête d’affiche de choix: Claude Lelouch.
Le réalisateur sera présent à plusieurs événements du festival qui, chaque année, prend place à New York, Greenwich et Stamford dans le Connecticut. Voici quatre temps forts de la programmation. L’intégralité du programme est ici.
4. “Film & Party” à New York
Au lendemain de la soirée d’ouverture du 27 mars à Stamford (projection de “Un plus une” en présence de Claude Lelouch), le FIAF accueillera une soirée Film & Party dès 7pm. Claude Lelouch viendra y présenter la version restaurée de “Un homme et une femme”, à l’occasion des cinquante de ce film avec Jean-Louis Trintignant et Anouk Aimée qui a raflé l’Oscar du meilleur film étranger et du meilleur scénario original. La projection sera précédée d’un extrait du documentaire “Tourner pour vivre” (“Shoot to live”) réalisé par Philippe Azoulay, lui aussi présent. Ce dernier qui a suivi pendant trois ans Claude Lelouch sur ses tournages, raconte et décrypte l’un des cinéastes les plus légendaires du cinéma français.
3. “Le ciel attendra”
Autre projection très attendue : “Le ciel attendra” (“Heaven will wait”), en présence de sa réalisatrice Marie-Castille Mention-Schaar. Salué par la critique, le long-métrage raconte l’embrigadement de Daech via internet, puis la radicalisation de Sonia et Mélanie, 17 et 16 ans, prêtes à tout accepter pour garantir à leurs familles une “place au paradis”. Le film sera présenté le mercredi 29 mars à 6pm au Lycée Français de New York, et le samedi 1er avril à 12:30pm au Bow Tie Cinemas de Greenwich.
2. Xavier Dolan
Récompensé, entre autres, du César du meilleur réalisateur et du Grand Prix du jury au Festival de Cannes, “Juste la fin du monde” (“It’s only the end of the world”) de Xavier Dolan sera présenté le vendredi 31 mars à 7:45pm à Greenwich. Avec un casting quatre étoiles, le film du réalisateur canadien dépeint un huis-clos haletant et angoissant lorsque Louis (Gaspard Ulliel, César 2017 du meilleur acteur) rend visite à sa mère (Nathalie Baye), sa sœur (Léa Seydoux), son frère (Vincent Cassel) et l’épouse de ce dernier (Marion Cotillard). Il revient après des années d’absence pour leur annoncer sa mort prochaine. Mais le simple fait de son retour ravive souvenirs et tensions. Un simple déjeuner en famille sur le fil, qui peut exploser à chaque instant.
1. Un hommage au Québec
Focus on French Cinema s’est associé au festival de films francophones de Montréal, Cinemania. La programmation a donc opté pour plusieurs longs-métrages québécois : “Le pacte des anges” (“A pact among angels”) de Richard Angers, “Les mauvaises herbes” (“Bad seeds”) de Louis Bélanger et Alexis Martin, “Nelly” d’Anne Emond et “1:54” de Yan England, qui viendra lui-même présenter son film le dimanche 2 avril à 7:30pm à Greenwich. Un thriller psychologique centré sur Tim, interprété par Antoine Olivier Pilon, un lycéen brillant, mais tête de turc de ses camarades. Décidant de se venger, le jeune homme se met à jouer avec le feu.
La Patrouille de France arrive en Floride
Si vous lisez French Morning, vous savez que la Patrouille de France squatte le ciel américain de mars à mai pour commémorer le centième anniversaire de l’entrée des Etats-Unis dans la Première guerre mondiale.
Neuf pilotes issus de la patrouille légendaire se livreront à des démonstrations en Floride. Ils participeront, les 1er et 2 avril, au salon aéronautique “Air and Space Show” de Melbourne. Le salon est ouvert au public. Ils enchaîneront les 3 et 4 avril au Sun’n Fun International Flying Expo à Lakeland, un rendez-vous annuel où se retrouvent des amateurs d’avions du monde entier.
Enfin, ils termineront cette mini-tournée floridienne les 10 et 12 avril en volant “près de la base des Blue Angels”, leurs homologues américains, à la station aéronavale de Pensacola. Le programme sera annoncé prochainement, selon le consulat de France à Miami.