« If you’re going to San Francisco, be sure to wear some flowers in your hair ». Le flower power a pris racine à San Francisco voilà soixante ans. Même si l’hymne de la génération hippie n’a plus la même résonance qu’en 1967, le quartier d’Haight Ashbury abrite encore aujourd’hui les lieux incontournables de la contre-culture d’antan.
C’est Henry Huntly Haight, gouverneur de Californie dans les années 1870, et Munroe Ashbury, un conseiller municipal de la fin du XIXème siècle, qui ont donné leurs noms aux deux rues principales du quartier éponyme. Dans les années 1960, le quartier est devenu le point de ralliement des jeunes hippies lassés par la guerre du Vietnam, les valeurs traditionnelles et le consumérisme américain. À l’époque, cette communauté aspirait à vivre librement, de manière authentique, dans la paix et l’amour d’où le fameux (« Peace & Love »). Leur contre-culture s’illustrait à travers l’art psychédélique et la consommation de drogues telles que l’acide.
La maison de Janis Joplin et Jimi Hendrix
Que ça soit sur Haight Street où dans les rues perpendiculaires, les maisons victoriennes du quartier sont hautes en couleur. Le ravalement de ces demeures parfois extravagantes voire psychédéliques, sont l’oeuvres des hippies de la fin des années 1960. Et la tradition pigmentée se perpétue encore aujourd’hui pour le plus grand plaisir des touristes.
Parmi ces « Painted Ladies », deux d’entres elles ont abrité des légendes du rock américain : Janis Joplin a vécu au 122 Lyon Street et Jimi Hendrix au 1524A Haight Street.
L’horloge bloquée
Au croisement d’Haight St et Ashbury St, il faut s’arrêter là où le temps a fait de même. La célèbre horloge bloquée à 4h20 amène les touristes à se poser la même question : pourquoi 4h20 ? Le nombre 420 est une sorte de code de référence à la consommation de cannabis en Amérique du Nord. La légende la plus répandue raconte qu’il s’agit de l’heure où les adolescents de la ville de San Rafael, en Californie, se retrouvaient pour partager un joint à la sortie du lycée.
Les jambes en l’air
Après l’horloge, il faut continuer à lever la tête jusqu’au 1452 Haight Street. Au-dessus du magasin de déguisement Piedmont Boutique, des jambes en bas résille, chaussées de hauts talons rouges sortent de la fenêtre. À l’intérieur de la boutique qui a ouvert ses portes dans les années 70, les couleurs sont vives et acidulées : déguisements, bijoux, chapeaux, perruques et maquillage. Que ça soit pour le carnaval ou pour Halloween, il y a tout ce qu’il faut pour se grimer !
La colline hippie du Golden Gate Park
À l’extrémité sud de Haight Street se trouve la partie du Golden Gate Park baptisée Hippie Hill. C’est ici que s’est déroulé le festival Summer of Love en 1967, événement phare du mouvement hippie où plus de 100 000 jeunes venus du monde entier se sont réunis pour vivre d’amour et d’herbe fraîche.
Hippie Hill est aujourd’hui le lieu de rassemblement du festival 420. La fête de la “weed” se déroule chaque 20 avril et réunit les fumeurs de cannabis du monde entier.
4 lieux incontournables de la culture hippie de San Francisco
Conférence de Houston Expat Pro sur devenir auto-entrepreneur
“Créer un business ou devenir auto-entrepreneur au Texas”, tel est le thème de la prochaine conférence de Houston Expat Pro (HEP), le réseau de conjoints d’expatriés. L’événement aura lieu le 20 janvier dans les locaux de Bernstein Realty.
“Quelle est la forme juridique la plus adaptée à mon business ? Ai-je besoin d’une license ou d’un permis pour opérer au Texas ? Dois-je souscrire une assurance ?” sont quelques-unes des questions qui seront abordées par l’avocat Dick Seltzer, qui assurera la présentation. Elle se déroulera en anglais.
Gratuit pour les membres de HEP, 15 dollars pour les non-membres.
French Highlights: le théâtre français s'installe à New York jusqu'au 15 janvier
Amis du théâtre, prenez note: jusqu’au 15 janvier, le rendez-vous French Highlights 2017 propose des pièces françaises audacieuses et contemporaines traduites en anglais.
Oh Boy! dirigée par Olivier Letellier sera joué jusqu’au 15 janvier sur la scène de The Duke. Adaptée d’un roman de Marie Aude-Murail, la pièce raconte l’histoire touchante d’une fratrie qui se retrouve confiée à un demi-frère inexpérimenté. “Oh Boy!” a reçu en 2010 le Molière du spectacle jeune public.
Sur les planches de The Kitchen, place à La Mélancolie des Dragons de Philippe Quesne. C’est une première new-yorkaise pour cette composition visuelle et sonore qui raconte l’histoire d’un groupe de metalleux qui tombe en panne au milieu d’une forêt enneigée. Ils se disent qu’ils y verraient bien un parc d’attraction consacré au heavy metal. Une inconnue les aide à monter le projet. Jusqu’au 14 janvier.
Saperlipopette, la crêperie sur roues d'un Breton d'Austin
Jean-Baptiste Thouénon est un Breton tombé amoureux d’Austin. Il se destinait à y vendre des lunettes haut de gamme. A la place, il vient d’ouvrir un food truck de crêpes et galettes bretonnes. On n’échappe pas à ses racines.
Trente ans, originaire de Saint Brieux (Côtes d’Armor) Jean-Baptiste Thouénon a inauguré son food truck flambant neuf, spécialement aménagé pour la fabrication de crêpes.
Baptisé Saperlipopette et ouvert le matin et le midi pour le moment, il est installé au coin de Congress et West Third Street, où il bénéficie de la clientèle des bureaux et hôtels avoisinants. Tout a été pensé dans les moindres détails depuis un an et demi. Il a notamment voulu des ouvertures plus grandes que la normale « pour pouvoir discuter avec les gens et qu’ils me voient faire leur crêpes dans un environnement propre et ordonné. »
Titulaire d’un BTS, Jean-Baptiste Thouénon souhaitait ouvrir une boutique de lunettes de créateurs à l’étranger. Porté sur le Mexique, il découvre Austin au travers d’un reportage télé sur le boom de la ville. Séduit, il y passe alors deux mois l’été 2015 pour prospecter et tester son projet. Malheureusement pour lui, il fait le constat qu’il sera difficile de se différencier de la concurrence. En revanche, il découvre la culture des food trucks et se rend compte qu’il y a une place à prendre avec des spécialités françaises.
Pas besoin de chercher très loin… « Les crêpes pour un food truck, c’est parfait. C’est rapide, complet et varié. » Le temps de suivre une formation de crêpier pendant deux mois à Nantes, il passe un an à faire des allers-retours entre Saint Brieux et Austin. Prospection, financement, visa, fournisseurs, emplacement, matériel, marketing… il met au point son projet et ses recettes.
A la carte, des crêpes sucrées (beurre-sucre, caramel-beurre salé, banane-Nutella…) et des galettes de blé noir (complètes, bacon-champignons, ou la chèvre-épinards baptisée “Popeye”). Il commence par les recettes traditionnelles pour se faire la main mais aussi pour essayer d’initier les Austinites à la véritable galette bretonne. « Une des choses que j’aime à Austin, c’est que les gens sont curieux et ouverts sur la nouveauté. Ils n’hésitent pas à essayer de nouvelles choses.»
Donc pas de recettes spéciales “Texas” pour le moment avec jalapenos ou autre ingrédient local. Pas question non plus de transiger sur la pâte. Alors que tous les autres crêpiers de la ville servent du salé sur une crêpe sucrée, pas de ça chez lui : « Je suis breton et pour moi du salé ça se sert sur une galette. Pas le choix!»
Pourtant la farine de sarrasin ne court pas les rues aux US et il a dû batailler pour en trouver en quantité suffisante. Avec son béret et sa marinière “made in Bretagne”, ainsi qu’un nom bien de chez nous, il n’hésite pas à jouer pleinement la carte française pour convertir les Austinites. Objectif avoué : ouvrir un deuxième emplacement dès que possible.
"Disaster Falls": Stéphane Gerson plonge dans le deuil de sa famille
Historien spécialiste du XIXème siècle et professeur à NYU, Stéphane Gerson est connu pour son travail sur la mémoire et la culture politique, récompensé notamment d’un Prix Jacques Barzun.
Il sort à présent un livre personnel, Disaster Falls, sur la mort, le deuil et la famille. Dans ce nouvel ouvrage, le Français raconte la noyade de son fils de 8 ans lors d’une excursion de rafting en Utah, et la manière dont sa famille a affronté l’après. Il examine en particulier comment son couple a fait face à la tragédie.
L’auteur présentera ce nouveau livre à la librairie Rizzoli le mercredi 25 janvier (présentation suivie d’une réception) et au Kleinert/James Center for Performing Arts de Woodstock le samedi 28.
George & Georgette, des baskets presque jumelles à New York
Porter des chaussures identiques, c’est tellement ennuyant. Tel est l’avis de Daphné et Christelle Debauve, deux sœurs jumelles bruxelloises.
Ensemble, elles ont lancé l’été dernier la marque de baskets pour enfants George&Georgette. Le concept: les deux chaussures portées ne se ressemblent pas. Chacune a un nom, une personnalité propre. À l’image de leurs créatrices, complémentaires mais différentes.
Rien ne prédestinait le tandem à se lancer dans la chaussure. “Je suis devenue logopède- orthophoniste et ma sœur institutrice, explique Daphné Debauve. Ensuite, j’ai fait de l’acupuncture pendant cinq ans, avant de me tourner vers la médecine traditionnelle chinoise. Par la suite, mon mari a trouvé un boulot sur New York et nous avons déménagé là-bas.”
Christelle Debauve, elle, est restée à Bruxelles, où elle travaille comme institutrice. Mais elle n’en est pas moins impliquée dans la petite entreprise. “On a toujours eu cette idée de lancer une activité ensemble, et l’idée des chaussures revenait souvent, raconte sa soeur. Quand Christelle et moi étions petites, ma mère nous achetait les mêmes habits, mais de différentes couleurs, et on se les échangeait toujours. On a une photo de classe sur laquelle on avait échangé nos chaussures, on a toujours trouvé ça drôle. Une fois, j’ai personnalisé les chaussures de mon fils, et ces chaussures ont eu un succès fou à l’école. Je me suis donc dit que ça pouvait être une idée à creuser.” Une idée qui s’est concrétisée à l’été 2015. Un an plus tard, elles vendaient leur première paire.
Le nom George & Georgette joue avec l’aspect “jumelles”, des soeurs qui vont bien ensemble mais qui ont chacune leur personnalité. “On voulait ce nom un peu vieillot pour des chaussures un peu modernes qui sortent du lot, explique Daphné Debauve. Notre grand-mère s’appelle Georgette, c’est un prénom qu’on a toujours bien aimé, qu’on a toujours trouvé assez rigolo.” Et d’ajouter: “George est wallon, Georgette est flamande, on ne pouvait pas passer à côté de cette bonne vieille dualité belge!”
Aujourd’hui, George&Georgette est exclusivement en ligne, une option financièrement plus avantageuse pour les deux jeunes entrepreneuses. Les clients, eux, sont principalement américains, les frais d’envoi de la marchandise pour l’Europe étant encore élevés. Pour la conception, les jumelles sont aidées par une styliste française expatriée à Bruxelles. “Nous, on dessine quelque chose de très sommaire. Après, une professionnelle met en dessin nos idées.”
Les produits sont destinés aux garçons et filles. “On a choisi les enfants, parce que c’est notre cible idéale, ils sont fun, ils osent, mais vu leur âge, ce sont bien sûr les parents qui choisissent en premier”.
Mais elles n’excluent pas l’idée d’une production destinée aux adultes. Surtout aux femmes, car les hommes “ne sont pas prêts”. Autre projet qui tient à cœur à ces deux Belges: engager du personnel. Mais pas n’importe lequel…“On a vraiment envie d’engager des sans-abri, confie la jeune chef d’entreprise. Dès le départ, on voulait trouver un projet qui avait du sens pour nous, qui allait au-delà du fait de vendre des chaussures sympa. Et la cause a été très facile à trouver, parce qu’on est toutes les deux très liées à la cause des sans-abris depuis toujours.”
Le projet ne s’est pas encore concrétisé, mais les choses pourraient aller très vite. En attendant, elles ne restent pas les bras croisés. Elles ont eu l’idée de lancer une boîte à chaussures que les clients peuvent remplir de nourriture et d’objets (cartes de métro, mouchoirs…) afin d’en faire don à un sans-abri.
À La Chouquette de Los Angeles, on fait des éclairs (et on les fait bien)
Ne vous fiez pas à son nom: à La Chouquette, sur Melrose Avenue, la star, ce sont les éclairs.
“Nous avons choisi le nom car j’adore les chouquettes. C’est un nom gourmand et facile à prononcer“, explique Elodie Darmon, la propriétaire de 36 ans.
Elodie et Dan Darmon, un couple de trentenaires, ont quitté Paris et leurs boulots respectifs pour ouvrir leur pâtisserie fin octobre. «Les Etats-Unis étaient notre rêve. Nous avons étudié à New York», se remémore Elodie Darmon. Mais le coup de foudre opère avec Los Angeles, où le couple est passé lors de son voyage de noces. «Nous avions envie de faire découvrir nos pâtisseries sur la côte ouest, moins européenne.»
Plus qu’une expatriation, c’est une reconversion. Ce couple de Parisiens n’en pouvait plus des affres de la vie de commercial. Elodie Darmon s’était déjà essayée à la sophrologie en 2009, ne pouvant plus supporter la pression. Quant à son mari, manager dans les assurances vie, il était frustré de «ne rien faire de ses mains».
«Il a pris quelques cours de pâtisserie, mais c’est un autodidacte», raconte sa femme qui ne lésine pas sur les qualités de sa moitié.
De l’idée initiale en 2011 à leur installation, ils ont pétri leur projet, et ont dû le laisser reposer. «Le local accueillait un magasin d’extension de cheveux. Nous avons tout créé de A à Z, dont le laboratoire. Ce fut très compliqué, nous avons mis du temps à obtenir les permis, et les travaux ont duré un an et trois mois.»
Pour rentrer dans leurs clous, ils ont mis la main à la pâte, Elodie Darmon se chargeant de la vente, des courses et également de la décoration intérieure, de type appartement haussmannien. «Heureusement, nous n’avons pas la folie des grandeurs.»
Malgré un budget modeste de 450.000$, ils ont décidé de ne pas trancher sur la qualité. «Nous avons trouvé les meilleurs produits: un chocolat français, la pistache d’Italie, le beurre de Normandie… On veut que nos éclairs soient visuels, gustatifs, olfactifs», égrène la patronne, précisant qu’ils sont gluten-free. «Nous avons trouvé la farine parfaite préparée à San Francisco. Le goût est intact.»
Chez La Chouquette, tout est artisanal et les recettes originales sont signées Dan Darmon, qui est désormais accompagné par une jeune pâtissière française en cuisine, préparant une centaine d’éclairs par jour. «Le secret de la pâte à choux est l’humidité. C’est un peu comme une femme, c’est très délicat», s’amuse Elodie Darmon.
«Il n’y a pas que les macarons en France»
L’idée de travailler la pâte à choux leur est venue lorsqu’ils ont dégusté les éclairs du chef Christophe Adam, chez Fauchon. D’autant que c’est la «madeleine de Proust» d’Elodie Darmon. «C’était le goûter que l’on m’offrait après les cours de danse», se souvient-elle.
Mais ce n’est pas celle des Américains, qui connaissent peu ce gâteau. «Il n’y a pas que les macarons en France», rappelle la propriétaire de La Chouquette. Ils proposent au total 50 parfums, qui varient selon les saisons. On retrouve des saveurs tricolores comme l’Ispahan (rose, litchi), mais les pâtissiers ont aussi misé sur des goûts plus américains, comme la citrouille, le beurre de cacahuète ou la pomme cannelle.
«Les clients nous demandaient également des viennoiseries françaises. On s’est donc adapté en proposant croissants, pains au chocolat et chouquettes». Afin d’élargir leur offre, ils prévoient de préparer des sandwiches sous peu, d’organiser des événements et de proposer des cours de pâtisserie. «Mais nous ne voulons pas trop nous éparpiller.»
Jean-Yves Thibaudet va piano à Miami
Jean-Yves Thibaudet, Californien d’adoption depuis 30 ans, change d’air. La star du piano commencera 2017 par un concert au Adrienne Arsht Center le 14 janvier.
Le musicien jouera trois morceaux de Debussy, Gershwin et Berlioz (la Symphonie Fantastique, point d’orgue de la soirée) sous la baguette du chef d’orchestre Roberto Abbado.
Avec 50 albums enregistrés, le Français est considéré comme l’un des pianistes les plus accomplis de sa génération. Outre son répertoire, couronné de deux Grammy, sa musique apparaît dans plusieurs films, comme “Atonement” et “Pride and Prejudice“.
Intern Abroad USA : recruter malin avec le visa J-1
(Article partenaire) Dans un marché de l’emploi tendu, faire appel à des stagiaires peut être la solution. Parfois même la seule solution lorsqu’on veut recruter aux Etats-Unis des profils compétents venus d’Europe. La clef s’appelle J-1 : un visa qui peut rendre bien des services à condition d’en maîtriser les rouages.
Depuis maintenant 15 ans, Intern Abroad USA vous aide à recruter ces perles rares de façon efficace, rapide, et à moindre cout.
Comment ?
En vous proposant une sélection de nos meilleurs profils / jeunes diplômés répondant à vos critères.
Qui sont nos candidats ?
Des jeunes diplômés européens en Marketing Digital, Business développement, Informatique, Finance, etc… ayant le budget pour partir, une expérience professionnelle significative et « last but not least » validés par nos soins comme éligibles au visa J-1, donc prêts à travailler aux Etats-Unis.
Comment obtenir le visa J1 ?
Le visa J-1, réservé aux jeunes étrangers âgés de 18 à 35 ans, est souple et relativement rapide à obtenir, environ 4 semaines. Mais la procédure est lourde en démarches administratives et requiert une connaissance précise du J-1 Exchange Visitor Visa Program. Intern Abroad USA se charge, avec ses partenaires, organismes sponsors agréés par le Département d’Etat américain, de toutes les formalités pour le candidat et pour l’entreprise. Ce sont par exemple leurs équipes qui rédigent le “plan de formation” du candidat, appelé DS-7002, qui doit obligatoirement être joint au dossier.
Les autres avantages méconnus du visa J1
- Peu de charges pour l’entreprise
- Possibilité d’utiliser ce visa sous forme de CDD sans convention de stage
- Avec maîtrise de ce visa, maximiser la durée jusque 24 mois
- Nos équipes sur place à San Francisco et Miami sont prêtes à vous aider
- Vous pouvez d’ores et déjà vous inscrire sur notre site et nous soumettre les compétences que vous recherchez !
N’hésitez plus et contactez-nous avec vos offres de stage et vos besoins en stagiaires/jeunes professionnels et nous nous occupons de toute la démarche de A a Z !
Ce que les entreprises disent de nous:
C’est pourquoi nous avons choisi Intern Abroad USA pour notre recherche de jeunes talents” – Sophie, Directrice en communication
- LVMH
- Barnes International
- Club Med
- L’Occitane
- Brioche Pasquier
- LVMH
- Nissan
- Roche Bobois
- Video Desk
- Grandi.Net
- Sierra Circuits
Pour plus d’informations:
Le site d’Intern Abroad
La page Facebook
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Tchat facebook sur la retraite et l'expatriation avec la CFE
Les expatriés se posent souvent des questions sur leur retraite. Pour y répondre, le Ministère des Affaires étrangères organise le 12 janvier un tchat sur Facebook sur le thème de la retraite et de l’expatriation avec la Caisse des Français de l’Etranger (CFE).
“Les périodes travaillées à l’étranger sont-elles prises en compte pour le calcul des annuités ou du montant de la pension? Comment continuer à cotiser lorsqu’on travaille à l’étranger? Quelles dispositions prendre avant de s’expatrier en tant que retraité-e?” font partie des questions qui seront abordées.
Vos questions doivent être posées sur la page dédiée sur Facebook.
Musart, la boutique de l’art abordable à Miami
Acquérir un nain de jardin d’Ottmar Hörl ou une réplique miniature de la Vénus de Milo à un tarif abordable pour décorer son intérieur, c’est ce que propose la boutique Musart imaginée par le Français Vincent Grégoire.
Après Aventura Mall, c’est au Brickell City Centre que ce concept store, offrant répliques de qualité et objets dérivés d’œuvres célèbres, ouvre sa deuxième enseigne.
C’est un pari un peu fou que s’est lancé Vincent Grégoire en s’installant à Miami il y a plus de trois ans : mettre l’art à la portée de tous, de façon accessible et pédagogique. « J’ai eu cette idée en parcourant les allées d’Art Basel, explique-t-il. Je me suis retrouvé en face d’œuvres d’artistes que je ne connaissais pas et à des prix prohibitifs. J’ai eu l’impression de ne pas être à ma place ». Le Français de 33 ans, qui supervisait jusqu’alors des introductions en Bourse dans une grande entreprise d’audit parisienne, imagine ainsi un concept de boutique où des pièces d’art seraient à des prix défiant toute concurrence. Une boutique que l’on trouve habituellement au sein des musées.
Après avoir expérimenté son concept pendant près de deux ans au format kiosque à Aventura Mall, Vincent Grégoire se lance dans une nouvelle aventure avec cette seconde boutique. En tout, 80 mètres carrés dans lesquels est présentée une sélection d’objets et de produits dérivés de différentes œuvres d’art comme des reproductions officielles de Dali, Mondrian ou encore Warhol. « Je souhaite que chacun puisse profiter de ces œuvres qui n’étaient jusqu’à présent disponibles que dans les boutiques de musées, insiste Vincent Grégoire, j’offre ainsi la possibilité de les acquérir en dehors de ces temples de la culture ».
Entre boutique et galerie d’art
Sculpture, photographie, mug: chez Musart, chaque réalisation est inspirée du travail de plus de vingt artistes de renommée internationale. « J’ai débuté en exposant les œuvres des artistes européens que je connaissais comme Picasso, Dali ou encore Magritte, mais je reste aussi à l’écoute de mes clients et je m’apprête à ajouter de nouvelles pièces d’art comme certaines de l’artiste peintre mexicaine Frida Kahlo », explique Vincent Grégoire. Il rassemble ainsi les différentes œuvres des musées pour en faire des collections uniques grâce à des partenariats noués avec plusieurs institutions comme le Louvre à Paris ou le MoMA à New York.
Une collection d’objets qui, pour la plupart, est sous licence officielle. « Une partie des fonds est alors reversée à la fondation des artistes, mes clients contribuent ainsi à perpétuer leur héritage et à faire vivre leurs œuvres », se félicite-t-il.
Le concept store Musart a par ailleurs une vocation éducative. « Les collections ne sont pas disposées au hasard, indique Vincent Grégoire, je les installe en fonction des affinités entre les artistes. Les œuvres de Jean-Michel Basquiat et celles d’Andy Warhol sont par exemple à côté car les deux hommes vivaient une amitié solide et ont réalisé ensemble de nombreuses toiles ». Chaque pièce d’art est également vendue avec une fiche contenant la biographie de l’artiste ainsi que l’histoire de son œuvre. « J’aime partager de nombreuses anecdotes sur les artistes que j’expose pour que mes clients découvrent l’art d’une manière ludique et pédagogique », ajoute Vincent Grégoire qui pense déjà ouvrir d’autres enseignes Musart à Chicago ou encore à Washington, D.C.
Jean-Yves Thibaudet joue Ravel à San Francisco
Jean-Yves Thibaudet, Californien d’adoption depuis 30 ans, est presque un habitué du Davies Symphony Hall.
Du 26 au 28 janvier, le pianiste lyonnais y interprètera le concert en sol majeur de Ravel, accompagné par l’Orchestre symphonique de San Francisco et sous la direction d’un compatriote, le chef d’orchestre Lionel Bringuier, ancien chef résident de l’Orchestre philharmonique de Los Angeles.
Pianiste virtuose, Jean-Yves Thibaudet a joué à travers le monde et apprécie particulièrement le concerto en sol majeur qui laisse transparaître l’influence du jazz sur Ravel. Le compositeur l’avait en effet écrit après une série de concerts aux Etats-Unis en 1928.