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Delair-Tech, les drones industriels "made in Toulouse" arrivent aux US

Quand Delair-Tech a décidé de s’installer aux Etats-Unis, le choix de Los Angeles s’est imposé. “C’est une place forte de l’aéronautique et de l’aérospatial avec Caltech et SpaceX. La Silicon Beach se développe. Sans compter la météo idyllique” , assure Benjamin Benharrosh, l’un des quatre co-fondateurs de la start-up toulousaine spécialisée dans les drones professionnels. “Pour nous, c’est la période de l’adolescence, un passage obligatoire avec plus d’inertie et de balistique” , résume-t-il.
Cette installation, qui s’est concrétisée début juillet dans le quartier de Downtown, a été possible grâce à une levée de fonds de 13 millions de dollars, réalisée auprès d’investisseurs français et d’un Singapourien. “ C’est l’une des plus importantes en Europe pour ce secteur” . Disposant d’un siège à Toulouse et d’un bureau en Australie, Delair-Tech s’est lancée aux Etats-Unis dès l’ouverture de la réglementation américaine sur la circulation des drones, le 29 août. “Ils étaient plus frileux concernant la propriété privée. De plus, l’espace aérien est plus encombré qu’en Europe. Mais pourquoi ne pas remplacer les hélicoptères qui font de l’observation par des drones ?” suggère-t-il. 
Des idées, ils n’en manquent pas. Et il fallait en avoir pour lancer cette start-up en 2001. Les trois anciens élèves de Polytechnique et un ami ont quitté leur travail suite à une idée un peu folle. “Un de mes associés travaillait dans le secteur pétrolier en Afrique et en Amérique du Sud, et il y avait tous les jours des fuites d’hydrocarbure. Ils se disait qu’un petit avion pourrait les répertorier.” L’idée de développer des drones industriels était née – “même si on n’a jamais détecté ces fuites” , ironise Benjamin Benharrosh.
Une expertise qui a fait ses preuves
De quatre, ils sont passés à 75 employés, et bientôt 100. Destiné aux professionnels, leur produit s’est imposé par son endurance (vol entre 2 et 3 heures pour parcourir entre 100 et 150 km). “Nos drones professionnels inspectent les lignes électriques, voies ferrées ou champs agricoles.” Pour cela, ils s’appuient sur un réseau de pilotes formés à Toulouse. “Ils génèrent de l’image analysés ensuite par des algorithmes automatiques et détectent les anomalies.” Après avoir sondé et analysé le sol, les experts de Delair-Tech livrent leurs conseils. “Grâce aux photos multi-spectrales de champs agricoles, nous pouvons donner des conseils en matière de fertilisants, prévoir les rendements, détecter les maladies. Cela permet de faire de l’agriculture de précision.”
“Made in Toulouse”, les 150 drones sont en service dans une trentaine de pays. “On va en produire 500 cette année, s’enthousiasme Benjamin Benharrosh. Les Etats-Unis sont un gros marché minier, agricole, électrique et pétrolier avec Bakersfield. Nous visons également le marché sud-américain.” Même s’il y a de la concurrence, Delair-Tech sait qu’il a pris une longueur d’avance : “nous avons éprouvé notre expérience de la technologie, alors que les Américains démarrent à peine” .

/ Photo Romain Laporte
Deux types de drones sont commercialisés. / Photo Romain Laporte

Ils continuent leur développement en misant sur la technologie de la caméra embarquée et l’autonomisation du drone. “Bientôt, ils pourront modifier leur itinéraire, en fonction de ce qu’ils voient, se réjouit Benjamin Benharrosh. Il y a des innovations en permanence.”
La prochaine étape sera la Chine, qui est déjà leur meilleur client. La start-up toulousaine mise sur l’essor de la construction. “Nos drones scanneront la terre. Ils remplaceront le géomètre en offrant une topographie en 3D.” Et le fondateur n’est pas contre voir plus haut. “Pour nous, les drones sont avant tout des petits satellites qui volent.”

Gagnez des places pour les Vieilles Charrues à Central Park

Plus que quelques jours avant la première édition des Vieilles Charrues New York. Alors que les préparatifs vont bon train, French Morning vous propose de gagner cinq paires de tickets pour le festival, qui aura lieu le samedi 1er octobre dès 4pm sur la scène de SummerStage à Central Park.
On le rappelle: les têtes d’affiche du rendez-vous seront The Avener et “M” . Pour participer au tirage au sort, il suffit de remplir le formulaire ci-dessous. Et croiser les doigts!
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Les multiples visages de Jacques Harbelot à New York

Chez Jacques Harbelot, le visage est une obsession. Il en a fait une série d’oeuvres, “Palimpsestes”, visible à la galerie S.Artspace jusqu’au dimanche 2 octobre.
Originaire de Troyes, cet artiste n’a jamais montré son travail à New York. Pour cette série, il a travaillé le fond de l’image avant d’y peindre des formes noires aux allures de crâne ou de visage. L’exposition avait déjà été présentée en avril à la galerie le Clos des Cimaises (St Georges du Bois). Le Français, ancien dirigeant d’une société de communication arrivé à la peinture à 40 ans se spécialise dans des oeuvres grand format. Ses “personnages” fantomatiques, censés évoquer notre mortalité et la mémoire, lui ont valu d’être invité au sein du collectif d’artistes Salon de Mai et exposé au Japon.
 

Eat The River, Frédérick Gautier revisite la LA River

Elle serpente dans la ville sur 80 km, et pourtant on n’y fait plus attention. L’artiste français Frédérick Gautier s’est imprégné de la Los Angeles River, qu’il a arpentée durant deux mois. Le résultat: une exposition Eat The River, rassemblant 100 céramiques à Please Do Not Enter à Los Angeles, du mercredi 21 septembre au mardi 25 octobre.
Première résidence d’artiste organisée par le concept store, le projet expérimental de Frédérick Gautier illustre la philosophie du lieu. “Nous aimons confronter une sensibilité européenne et française en particulier à une réalité américaine” , argue Nicolas Libert, le co-fondateur.

 frederick-gautier

Passionné par la ville de Los Angeles, Frédérick Gautier aime ses frontières floues, où l’industriel côtoie la nature. Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure du Paysage à Versailles, cet artiste parisien a commencé à travailler sur ce site historique et emblématique le 20 juillet. Il a été frappé par l’intervention industrielle sur la rivière, cimentée en 1920.
Les fissures, empreintes ou trous dans le lit de béton, autant de traces du temps qui passe, lui ont inspiré les objets en céramique. Plats, containers, cafetières, vases: elles traduisent une lecture fantasmée de ces paysages. Allant de 500 à 4.500 dollars, chaque oeuvre représente un objet du quotidien, simple et utilitaire. Une photo précisera l’endroit exact qui a inspiré sa création. Cette archéologie contemporaine jette un nouveau regard sur ce site qui a longtemps servi de décor de cinéma.

Invitation VIP pour une vente privée The Kooples à Los Angeles

Découvrez une nouvelle start-up française et refaites votre garde-robe en même temps! French Morning vous invite à une vente privée VIP exclusive The Kooples.

La start-up, c’est Eclipse, créée par deux jeunes Français de Los Angeles, Raphael Vidal et Elsa Assouline. Objectif: créer des ventes privées, ou “sample sale”, exclusives.

Pour cette première, la marque française The Kooples est à l’affiche. L’occasion de vous rhabiller en chic européen à prix cassés.

Les 25 premiers inscrits ci-dessous pourront accéder à la soirée VIP -et fouiller les porte-manteaux avant tout le monde, mercredi 5 octobre de 5 pm à 10 pm. Pour les autres, une inscription sur cette liste permettra d’accéder du jeudi 6 au lundi 10 octobre.

Adresse: 8483 Melrose Avenue, Los Angeles, CA 90069 


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Gagner la loterie de la carte verte: "Une grosse excitation, mais…"

On a gagné dès la première fois” . Si vous jouez à la loterie de la carte verte tous les ans depuis vingt ans, vous ne voudrez peut-être pas rencontrer Géraldine Boisnard.
En 2013, cette Française de Fort Myers (Floride) s’est inscrite avec son mari Stéphane à la DV-Lottery pour apprendre en mai 2014 qu’ils avaient été sélectionnés. Le début d’une nouvelle aventure américaine que la Mentonnaise relate dans un livre, Mon rêve américainqui sort juste avant l’ouverture de la loterie 2018, le 4 octobre (fermeture des inscriptions: le 7 novembre). “Je donne un maximum d’informations sur le processus, je partage notre ressenti et tout ce que nous avons fait” , explique l’expatriée, aussi auteure du blog Notre rêve américain.
Le couple avait joué sur un coup de tête. Propriétaire de sites spécialisés dans les deux roues et de sociétés de création de site Internet, ils avaient passé plusieurs séjours aux Etats-Unis, dont leur voyage de noces. Lors de recherches sur l’immigration, Géraldine Boisnard découvre la DV-Lottery et décide de s’inscrire. “Comme ça” , sans rien en attendre. “Je suis tombée enceinte de ma fille et j’ai oublié qu’on avait joué. Un soir, j’ai vérifié et vu que mon mari avait été sélectionné” .
Une sélection à la loterie n’est pas synonyme de carte verte, comme le couple s’en est rendu compte. “Le soir même, nous avons ressenti une grosse excitation, mais nous ne connaissions pas encore les tenants” . Franchir le cap de la loterie n’est que la première étape d’un processus qui a duré plus d’un an pour les Boisnard. Une fois sélectionnés, les “gagnants” doivent remplir un premier dossier et se voient accorder un “case number” . Plus celui-ci est élevé, plus le risque que le dossier ne soit pas examiné augmente. En effet, pour que votre green card soit validée, celle-ci doit être approuvée avant le 30 septembre (fin de l’année fiscale aux Etats-Unis) de la même année. “Il y a 100.000 personnes sélectionnées chaque année. Parmi elles, il y a celles qui ne vont pas rentrer dans les critères, celles qui vont se désister. Et celles qui auront un numéro de dossier trop élevé pour rentrer dans le quota des 50.000 personnes retenues dans le monde entier”, raconte-t-elle.
Lire notre Dossier carte verte
Géraldine Boisnard et son mari passent leur entretien à l’ambassade en avril 2015, soit presque un an après avoir appris la nouvelle de leur sélection. Patience et motivation sont essentielles pour faire face à toutes les démarches, selon la Française. “Il y a des frais, une visite médicale, des dossiers à remplir . Il faut aller une fois aux Etats-Unis pour valider la carte… Il faut apprendre à être patient et à fournir les pièces demandées au fur-et-à-mesure, poursuit-elle. D’un certain côté, j’avais peur de quitter le quotidien, le confort, nos amis. Mais de l’autre, on se disait qu’on ne pouvait pas passer à côté de ça. Les Etats-Unis nous ont toujours fait rêver” .
Installé en Floride depuis six mois, le couple prend ses marques avec ses deux enfants de 5 et 2 ans. Côté professionnel, l’obtention de la “green card” a nécessité une “mise en place“. “On a réussi à trouver des solutions professionnelles. Mais cela a créé des complications au niveau du décalage horaire. Mon mari doit se lever tôt pour être en contact avec la France et nous avons recruté quelqu’un en France.” Et à ceux qui s’inscriront à la loterie de cette année, elle rappelle “tout ceux qui ont gagné ont tenté leur chance” .
 

La femme-orchestre Jain va surprendre Los Angeles

Jain suit les pas de Christine and The Queens. Pour la première fois, la pétillante artiste de 24 ans donnera un concert le mardi 4 octobre au Hotel Café de Los Angeles, avant de se produire à New York les mercredi 12 et jeudi 13 octobre.
Après avoir enchaîné les festivals en France, la Toulousaine vient présenter son premier album “Zanaka” (qui signifie “enfance” en malgache) au public américain. Sorti en novembre 2015, cet opus va être réédité et enrichi de quelques titres, suite à son succès.
Seule sur scène, cette compositrice-interprète se transforme en femme-orchestre, tapotant sur son beatmaker, et enregistrant sa voix pour recréer un choeur. Reconnaissable à sa robe noire à col Claudine, elle interprétera ses plus grands tubes, tels que “Come” (30 millions de vues sur Youtube) et “Makeba”, écrit en hommage à la chanteuse et militante africaine Miriam Makeba.
Dans ses chansons, Jain raconte sa jeunesse, ponctuée de déménagements à Dubaï, en République démocratique du Congo et à Abu Dhabi. Son univers musical est inspiré de ses aventures, offrant des inspirations électro, d’afro-beat et de rumba. Nul doute que la chanteuse, déjà nominée aux Victoires de la musique, fera parler d’elle ici aussi.

Conférence-déjeuner avec l'ambassadeur Gérard Araud à Dallas

Les relations entre la France et les Etats-Unis seront au coeur d’un “luncheon” avec Gérard Araud le mardi 25 octobre a l’hôtel Rosewood Crescent.
L’ambassadeur de France aux Etats-Unis parlera des défis communs auxquels doivent faire face les deux pays, en particulier la lutte contre le terrorisme. Gérard Araud est ambassadeur depuis septembre 2014. Avant cela, il était le représentant permanent de la France à l’ONU.
Le rendez-vous est organisé par le World Affairs Council de Dallas-Fort Worth, en partenariat avec la chambre de commerce franco-américaine et l’université SMU.

Les secrets de l'incroyable famille Boltanski à Albertine

Dans la famille Boltanski, on connaissait Christian l’artiste et Luc le sociologue. Christophe, journaliste au Nouvel Obs, raconte à présent l’intimité de cette famille pas comme les autres dans un roman intitulé La Cache, lauréat du Prix Femina en 2015. Il viendra présenter l’ouvrage le lundi 3 octobre à la librairie Albertine, accompagné de Violaine Huisman, chargée de la programmation des rencontres littéraires au BAM.
La Cache porte sur une figure méconnue de la tribu Boltanksi, Etienne, le grand-père juif de Christophe Boltanski, qui a vécu pendant la Seconde guerre mondiale reclus dans une étroite pièce de leur appartement parisien. L’auteur plonge dans cette histoire dans l’Histoire et examine l’impact qu’elle a eu sur sa famille, au restaurant, en vacances et dans d’autres moments du quotidien.
Gratuit. Conférence en anglais.

Virgil Boutellis-Taft, un voyageur du violon entre la France et les US

Nouvel épisode de notre web-series Par-NY & Co sur les voyageurs transatlantiques. Aujourd’hui, nous partons à la rencontre de Virgil Boutellis-Taft, une étoile montante du violon qui multiplie les concerts de part et d’autre de l’Atlantique.
Il présentera son nouvel album, “Entre Orient et Occident” (Evidence Classics/Harmonia Mundi), le 1er décembre au Carnegie Hall (mise en vente des tickets début octobre) accompagné du pianiste Guillaume Vincent. Il en profitera pour révéler un morceau que le compositeur Paul Cantelon (“Le Scaphandre et le Papillon” , “New York I love you”…) a créé pour lui. L’Américain montera sur scène avec lui pour l’occasion.
Ce n’est pas la première fois que le violoniste, lointain descendant du président américain Taft, se produit au Carnegie. Il avait fait ses débuts au Weill Recital Hall en novembre 2015, une belle récompense pour ce virtuose qui découvre le violon à l’âge de 6 ans. Formé dans les établissements d’élite de la musique (Premier Prix au Conservatoire de Paris, Royal College of London…), il partage sa vie de violoniste entre l’Europe, les Etats-Unis et l’Asie. “Je n’ai jamais pris l’avion sans prendre mon violon” , dit-il. Et cela n’est pas près de changer.

Investir dans l’immobilier en France, c’est le bon plan du moment

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(Article partenaire) Depuis plusieurs années, le rendement des placements comme le livret A ou le PEL ne cessent de diminuer et leur rentabilité est devenue presque nulle. L’immobilier affiche une santé insolente et les rendements peuvent atteindre jusqu’à 7% à Paris et même 10% en Ile-de-France lorsqu’on maitrise les différentes étapes du projet.

Voici les 3 points les plus importants selon Mickael Zonta, Président de la société Investissement Locatif.com, qui explique pourquoi c’est le bon moment pour investir dans l’immobilier locatif.

Les taux d’intérêts d’emprunt à un plus bas historique

Depuis 5 ans, les taux n’ont cessé de baisser. Ainsi, les meilleurs taux pour un emprunt sur 20 ans sont passés de 4% en 2012 à 1.20% en septembre 2016.

Qu’est-ce que cela change ? Votre budget d’emprunt ! Aujourd’hui avec des taux aussi bas, vous pouvez emprunter plus d’argent à mensualité égale.

Voyons cela d’un peu plus près avec un exemple concret.
En 2012, si vous souhaitiez une mensualité de 700 €/mois sur 20 ans, vous ne pouviez emprunter que 110.000 € avec un coût total du crédit de 55.000 €.
Aujourd’hui, avec la même mensualité de 700 € sur 20 ans, vous pouvez emprunter 140.300€ pour un coût total du crédit de 27.600€.
Vous avez donc un budget d’investissement +25% supérieur à celui que vous auriez eu en 2012 ! Cela vous permettra de disposer d’un meilleur rendement locatif pour votre investissement.

Un marché immobilier parisien rassurant dans la durée

Alors que certains prédisaient une baisse en 2010, le marché parisien a bien résisté et les prix sont même orientés à la hausse sur un an (+1,5%, source notaires Paris IDF). La demande locative est toujours importante du fait du manque de biens disponibles. Si vous avez un projet d’investissement locatif, analysez bien la demande locale, le type de locataires (étudiants, jeunes actifs ou familles) ainsi que les informations démographiques et économiques locales. Il faut savoir ce que recherchent les gens dans ces villes.

Le marché de l’immobilier parisien reste une valeur sûre du fait de la forte demande et du manque d’offres. Il présente certains atouts rares : taxe foncière très faible par rapport à la province, réseau de transports performants et économie dynamique. Autant d’atouts pour investir à Paris.

Des rentabilités intéressantes

Premièrement, aujourd’hui, grâce à la forte demande locative, les biens sont loués rapidement. Cela assure le moins de vacances locatives possible. Deuxièmement, la baisse des taux d’emprunt vous permet d’emprunter plus qu’avant. Par conséquent, vous pourrez investir un peu plus pour avoir un meilleur choix sur votre opération et donc obtenir un meilleur retour sur investissement.

Investissement-locatif.com vous accompagne dans vos projets d’investissement. C’est aussi une solution clé en main pour ceux qui ne sont pas sur place pour gérer ou qui ne s’y connaissent pas, ou qui souhaitent bénéficier des meilleurs rendements du marché : jusqu’à 6,50% dans Paris intra-muros et 10% en Île de France, tous frais inclus.*

Ainsi, les expatriés n’ont à aucun moment besoin de se déplacer, notre équipe gère l’intégralité de l’opération. Nous savons qu’investir dans l’immobilier ce n’est pas facile et inné, c’est pour cela que nous avons créé notre agence.

Investissement-locatif.com a été lancé en 2012 et aide environ 100 projets par an ! Nous étions au départ que sur Paris, puis aujourd’hui nous sommes sur toute l’Ile de France et Toulouse. Nous nous occupons de la chasse, des travaux de rénovation de la décoration et de la mise en location grâce à notre équipe d’experts !

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Pourquoi les pharmacies aux US vendent-elles autre chose que des médicaments ?

Où trouver un paquet de cigarettes, des mac’n cheese surgelés et du vernis à ongle à n’importe quelle heure du jour et de la nuit ? A la pharmacie bien sûr ! C’est souvent surprenant pour les Français qui arrivent aux Etats-Unis, et pourtant on y trouve de tout et même… des médicaments. Pourquoi les pharmacies aux US vendent-elles autre chose que des médicaments ? C’est la question bête de la semaine.
“En Amérique les pharmacies ressemblent à des supermarchés, et c’est lié à notre histoire et notre culture” , résume Gregory Higby, chercheur à l’Institut d’histoire de la pharmacie à l’université de Wisconsin-Madison. Tout commence à l’époque coloniale. “A ce moment-là les médicaments arrivaient par bateau directement de Grande-Bretagne, et le pharmacien récupérait dans la même cargaison tous les produits liés à son activité comme les herbes médicinales, les épices, mais aussi du matériel médical”.
Autre explication historique : “Dans la plupart des petites villes, la pharmacie était le principal si ce n’est l’unique commerce et l’officine tenait naturellement le rôle d’épicerie”, poursuit l’expert.
Les “drugstores” se sont développés, mais ont conservé cet usage mixte. Aujourd’hui, la pharmacie est plus que jamais un commerce de proximité où on trouve l’essentiel. Y compris de l’alcool et de la junk food. Impensable en Europe. “Mon grand-père était pharmacien et il vendait déjà des cigares et du whiskey”, se souvient l’historien.
Aujourd’hui, l’Association nationale des pharmaciens condamne la vente de tabac et d’alcool mais les grands groupes qui possèdent la plupart des pharmacies refusent d’entendre parler de santé publique. “Le gouvernement fédéral ne se risquera pas non plus à légiférer au nom des libertés individuelles. Les Américains n’aiment pas qu’on leur dise ce qui est bon ou pas pour eux”, se lamente Gregory Higby.
Seule CVS, deuxième chaîne de drugstore aux Etats-Unis, a renoncé il y a deux ans à la vente de cigarettes. Une décision saluée à l’époque par Barack Obama. Alors à quand la fin des packs de bière et des chips ?