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AmerikSanté, un site pour comprendre le système de santé aux USA

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(Article partenaire) Isabelle Guglielmi est créatrice du site AmerikSanté et l’alliée des femmes expatriées aux Etats-Unis qui veulent soigner leur famille en toute conscience.

Mariée, maman de quatre enfants, elle vit depuis cinq ans dans la banlieue de Kansas City, après avoir vécu près de trois ans dans la Baie de San Francisco. Elle est docteur en pharmacie et a fait ses études à Lyon. A la fin de sa 6ème année, elle part faire son stage à Bale (Suisse) dans un grand groupe pharmaceutique. L’appel de l’étranger ne la quittera plus. Elle enchaîne rapidement par un séjour au Maroc pendant 18 mois, puis trois ans et demi à Taiwan avec un passage à Grenoble pendant trois ans.

En 2008, Isabelle Guglielmi  et son mari, accompagnés de leurs enfants, arrivent dans la Baie de San Francisco. S’installant dans sa vie américaine, elle comprend rapidement que le système de santé n’a rien à voir avec la France. Comme tout le monde, elle se rend compte combien il est compliqué de se repérer : le coût des services et des médicaments, la franchise de l’assurance santé, les équivalences médicamenteuses sont autant de faits auxquels elle n’était pas préparée.

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La naissance d’AmerikSanté

Passé le choc de l’arrivée, elle décide de créer dans un premier temps, un blog santé aux Etats-Unis, pour décrypter et expliquer le système de santé aux Etats-Unis : AmerikSanté est né. Parallèlement, attirée par les médecines douces et naturelles, Isabelle Guglielmi passe un certificat en aromathérapie aux Etats-Unis. Cette formation vient compléter ses compétences pharmaceutiques et lui permet de proposer des alternatives aux médicaments classiques présents sur le marché américain.

AmerikSanté est donc un site Santé en français, résolument tourné vers le marché américain pour venir en aide aux francophones installés aux Etats-Unis.

Ce que AmerikSanté propose:

– L’espace Automédication

pharmacie

Isabelle Guglielmi a compilé un espace membre Automédication inédit, regroupant près de 80 fiches pour vous aider dans votre quotidien : chaque fiche reprend un symptôme et vous propose des traductions et les solutions pratiques, ainsi qu’un conseil pharmaceutique.

  • Des fiches conseils par pathologie (rhume, toux, diarrhées, constipation, migraine, jambes lourdes, allergies, conjonctivites etc.. ).
  • Des fiches médicaments en vente libre, organisées par classes thérapeutiques.
  • Un chapitre entier sur les différences entre les calendriers vaccinaux français et américain.
  • Un espace enfant.

L’abonnement ne coûte que 95€ pour une durée illimitée. Son adhésion offre en plus, la possibilité d’un dialogue illimité par email.

– Les forfaits Nouvel Arrivant

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A côté de cela, elle offre des services personnalisés sous forme de forfaits, spécialement conçus pour les nouveaux arrivants, avec des rencontres Skype et des documents exclusifs en français. Elle apporte des informations concrètes sur l’organisation du système de santé, fait un point avant de partir (bilan sur les vaccinations, recherche des équivalences médicamenteuses en cas de traitement) et met en avant les principaux termes pour comprendre son assurance santé.

L’accès à l’espace Automédication est inclus gratuitement dans ce forfait.

Cela permet ainsi à ses clients d’engager un vrai dialogue et d’avoir des réponses rapides à leurs questions. Grâce à ces forfaits, ses clients se sentent préparés avant de partir et prennent plus facilement pied dans leur nouvelle vie.

Pour les lecteurs de French Morning, le forfait Nouvel Arrivant – Arrivée en douceur est à 295€ au lieu de 395€

AmerikSanté, c’est aussi diverses solutions pour vivre au mieux son expatriation :

et

  • une Formule SOS pour répondre à vos questions et vous apporter un conseil santé ponctuel avec des solutions rapides à une situation qui vous échappe.

Pour en savoir plus:

Contacter Isabelle Guglielmi

Contact : [email protected]

Créatrice du site AmerikSanté et rédactrice du site From Side 2 Side

Facebook d’AmerikSanté

Twitter : @AmerikSante

5 festivals pour savourer l'automne à San Francisco

Cuir, musique et acrobaties aériennes…L’été indien à San Francisco est la meilleure période pour profiter de toutes les manifestations que la ville a à offrir. Voici les festivals à ne pas manquer.
1- Folsom Street Fair
“J’veux du cuir” chantait Alain Souchon, qui ne serait pas déçu en allant à la Folsom Street Fair, qui réunit chaque année dans Soma les adeptes des pratiques sado-maso, du bondage et autres fétichistes du cuir. Malgré la spécificité de la manifestation, la FSF attire un public éclectique et toujours curieux, et chaque année plus nombreux: 400.000 personnes se pressent pour découvrir cet univers particulier, dans une ambiance qui reste bon enfant. Les dons récoltés pendant la Folsom Street Fair sont distribués aux oeuvres de charité locales. Folsom Street Fair, dimanche 25 septembre, 11am-6pm. Sur Folsom st., entre 8th et 13th st. Site.
2- Hardly Strictly Bluegrass

Emmylou Harris, une habituée du Hardly Strictly Bluegrass festival
Emmylou Harris, une habituée du Hardly Strictly Bluegrass festival

Créé en 2001 par Warren Hellman, un investisseur milliardaire épris de musique bluegrass, ce festival gratuit se déroule pendant trois jours dans le Golden Gate Park, et attire chaque année un nombre grandissant de spectateurs (environ 750.000). D’abord “strictly bluegrass”, le festival s’est ouvert à d’autres genres musicaux. On y a déjà vu Robert Plant, Joan Baez ou Dolly Parton. Cette année, aux côtés de Chris Isaak, Emmylou Harris, Buddy Miller qui honorent régulièrement le festival de leur présence, on retrouvera sur scène Cake, Glen Hansard, Cyndi Lauper, KT Tunstall, Rosanne Cash, Steve Earle, Yo La Tengo, Valerie June et bien d’autres encore, répartis sur sept scènes. Hardly Strictly Bluegrass, 30 septembre-2 octobre, Golden Gate Park. Site
3- Fleet Week
Les Blue Angels au dessus d'Alcatraz
Les Blue Angels au dessus d’Alcatraz

De la semaine dédiée au personnel militaire de la Navy, ce sont les démonstrations aériennes qui fascinent le plus. Même si des voix discordantes se plaignent chaque année du bruit et de l’argent gaspillé, le front de mer se peuple pour admirer les prouesses d’un 747 volant à basse altitude, de petits biplans, de F-22, et surtout des Blue Angels, la patrouille acrobatique de l’armée américaine. Cette année, l’équipe française de la Breitling Jet team se joindra au spectacle. De nombreux bateaux militaires seront amarrés dans le port de San Francisco pour accueillir les curieux. Fleet Week, 3-10 octobre, Marina Green. Site.
4 – Treasure Island Music Festival
Treasure Island Music Festival
Treasure Island Music Festival

Dix ans déjà que ce festival investit pour deux jours Treasure Island, l’île artificielle construite en 1939 pour accueillir la Golden Gate International Exposition. Le premier jour est consacré aux musiques électro, rap et hip-hop, tandis que la deuxième journée est plus rock. Les têtes d’affiche cette année: Sigur Rós, Ice Cube, et James Blake. A ne pas rater: la performance de Christine and the Queens! Treasure island Music Festival, 15-16 octobre, Treasure Island. Site
5- The Bridge School benefit concert
Bridge School Benefit concert (John Green/Bay Area News Group)
Bridge School Benefit concert (John Green/Bay Area News Group)

Un grand concert de charité, créé par Neil Young pour financer la Bridge School, une école spécialisée pour les enfants avec des handicaps moteurs et mentaux; l’un des fils de Neil Young y était élève. Depuis trente ans, des groupes et musiciens mythiques (Beach Boys, Crosby, Stills and Nash, Paul McCartney, Jerry Lee Lewis, Willie Nelson, Bruce Springsteen …) et les têtes d’affiche du moment (Red Hot Chili Peppers, Foo Fighters, Death Cab for Cutie) se succèdent sur scène pour y interpréter des versions acoustiques de leurs tubes. Cette année, le Bridge School accueillera Dave Mathews, Norah Jones, Cage the Elephant, Metallica, Roger Waters et My Morning Jacket. The Bridge School benefit concert, 22-23 octobre, Shoreline Amphitheater, Mountain View. Site

Le doux metal français de Gojira s'invite au Texas

Avis aux fans de death metal: Gojira passe par le Texas à la fin du mois dans le cadre d’une grande tournée américaine. Les Français de Bayonne seront le 29 septembre à Austin (Emo), le 30 à Houston (House of Blues) et le 1er octobre à Dallas (Gas Monkey).
Gojira c’est LA référence dans l’univers du metal. Le magazine américain Metal Hammer les a même consacré groupe metal le plus important au monde. Le quatuor originaire des Landes, composé des frères Joe et Mario Duplantier, Christian Andreu et Jean-Michel Labadie, participe aux plus grands festivals à travers le monde et est plébiscité par Metallica ou Slayer. Ils viennent de sortir leur 6e album “Magma”.

Joël Bouraïma, le Français qui fait suer les Kardashian et Omar Sy

Il a le sourire doux et la silhouette taillée dans le roc. Lui, c’est Joël Bouraïma, nouvelle coqueluche des célébrités de L.A.

Depuis l’Ecole Saint-Cyr de son enfance, cet athlète de 35 ans s’est toujours dépassé et a touché avec passion au foot, au basket et aux arts martiaux. Détenteur d’un brevet et d’une licence spé dans les métiers du sport et de la forme, il est devenu, il y a dix ans, l’un des premiers artisans du « personal coaching » en France, notamment dans la salle parisienne L’Usine Opéra. « Mon truc, c’est le ‘sur mesure’, on dit que je fais de la haute couture, explique-t-il… Quand j’entraîne quelqu’un, je tiens compte de ses besoins, envies et objectifs, ainsi que ses points faibles. Ma méthode est axée sur le rapport humain et le psychologique. »

En 2009, Joël Bouraïma rencontre Omar Sy, qu’il prépare pour le tournage d’ “Intouchables”. « Il voulait être capable de soulever François Cluzet sans s’esquinter le dos, donc on a bossé là-dessus. Je l’ai aussi aidé à perdre huit kilos, surtout au niveau du ventre. » Omar Sy le recommande ensuite à Gad Elmaleh, qu’il entraîne d’abord pour “Un bonheur n’arrive jamais seul” . « Il avait des scènes de lit avec Sophie Marceau et voulait avoir un peu de galbe. » “Joe” s’est aussi occupé de lui pour « Les Seigneurs » .

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“Coach Joe” et Omar Sy sur le tournage de “Chocolat” / Studio Lenoire

« Faire du sport, ça sert aussi à avoir un beau maintien, une belle posture, avec les épaules bien en arrière. Aux Etats-Unis, ça fait longtemps que les acteurs ont compris ça… » De plus en plus coté, le Français est mis en contact, fin 2012, avec un certain Kanye West, dont il est fan. « Il était à Paris quatre mois pour l’enregistrement de son album ‘Yeezus’ et désirait être en forme pour les concerts qui suivraient. Il avait pas mal d’embonpoint, à l’époque, donc on a revu son alimentation. »

Et ça ne s’est pas arrêté là… « En juin, il m’a rappelé et demandé que je vienne à L.A. pour Kim (Kardashian, NdR), qui venait d’accoucher (de sa fille North, NdR) et voulait retrouver son corps d’avant grossesse. Ca a été intense, elle a bossé très dur pendant trois mois. Dans la foulée, j’ai aussi fait suer sa mère Kris, sa sœur Khloé et son frère Rob. Pendant longtemps, Kanye m’a payé des aller-retour Paris-Los Angeles et m’a fait voyager avec lui.”

Désormais Californien – il s’est installé avec sa compagne et ses deux enfants en juillet 2015 -, il s’est rebaptisé « Coach Joe » et sa connection avec Kanye West et les Kardashian lui a ouvert quelques portes. Mais il souligne que ces derniers ne sont pas des amis – il fait d’ailleurs attention à ne pas trop les mentionner -, contrairement à Omar Sy, qui est son voisin dans la « Valley », au nord de Los Angeles. Les deux hommes se sont notamment retrouvés pour le tournage de « Chocolat », sorti en début d’année. Le coach tient à préciser que la majorité de ses clients – une quinzaine sur L.A. – ne sont pas des personnes connues. Mais dans la liste, il y a aussi Laeticia Hallyday. Et bientôt vous, qui sait ?

On a fermé notre entreprise en Floride, voici nos erreurs

Passionnés par les États-Unis, David Beyrand et sa femme Marine ont souhaité vivre leur rêve américain en s’installant au pays de l’Oncle Sam. Ces Français, qui approchent la trentaine, ont tout quitté pour monter plusieurs boutiques de bijoux fantaisie en Floride, un projet d’investissement qui a fini par virer au cauchemar.
« Nous avions le désir de réussir, le goût de l’aventure et une grande fascination pour les États-Unis, pays de la démesure où tout semble possible », raconte David Beyrand avec une pointe de nostalgie. L’investissement n’était pas leur priorité, ils souhaitaient simplement vivre de l’autre côté de l’Atlantique. En 2011, le jeune couple franchit le pas sur un coup de tête. « Nous sommes venus sans visa avec un simple ESTA pour acheter une maison en Floride, sourit David Beyrand, le marché de l’immobilier était assez bas, il ne fallait pas hésiter à acquérir un bien ». Un pied-à-terre américain qu’ils espéraient transformer au plus vite en résidence principale. Pour s’installer de façon durable sur le territoire, le couple cible le visa E2, attribué aux investisseurs.
Une montagne de paperasse
Épaulés par un avocat d’immigration, ils établissent un business plan sur cinq ans indiquant leurs prévisions financières, leur modèle économique ou encore leur stratégie commerciale. « Cela coûte plusieurs dizaines de milliers de dollars et surtout beaucoup de temps, souligne David Beyrand, il faut reconnaitre que c’est aussi un sacré paradoxe car il est plus simple d’acheter une maison aux États-Unis sans être américain que d’obtenir un visa permettant de créer une entreprise ». Après de longs mois, les démarches administratives portent leurs fruits, les jeunes investisseurs obtiennent leurs visas et peuvent ainsi développer leur projet.
Par où commencer ? Comment s’y prendre ? Autant de questions auxquelles ils ont dû trouver les réponses. « Seuls et sans repères, nous ne savions pas vers qui nous tourner, confie David Beyrand, pour nous rassurer, nous nous sommes dirigés vers ceux qui nous étaient familiers, les Français déjà établis aux États-Unis mais malheureusement nous avons été mal entourés, car certains d’entre eux ne pensaient qu’à notre portefeuille”. Le couple indique avoir été mal conseillé concernant l’implantation de ses points de vente. “Nous avons été floués sur le prix du bail et sur les travaux à effectuer notamment, s’insurge David Beyrand, ils avaient tous de petits arrangements entre eux et quand nous avons découvert que nous avions été abusés il était déjà trop tard, nous aurions dû être plus vigilants ».
Un environnement de travail différent
Les jeunes investisseurs ont dû par ailleurs s’adapter aux conditions de travail des États-Unis, en particulier le contrat non-obligatoire entre un employeur et un salarié. La relation est dite at-will, signifiant que le patron peut licencier son employé sans motif, ni préavis et que le salarié peut démissionner de la même manière. Une flexibilité dont ils ont fait les frais. « Un matin, l’un de nos clients nous appelle car il s’étonne de trouver porte close en arrivant devant la boutique, raconte David Beyrand, notre employé avait quitté son poste du jour au lendemain sans nous prévenir ».
C’est la douche froide pour le couple qui avoue s’être parfois trompé dans ses recrutements. « Aux États-Unis, les codes ne sont pas les mêmes qu’en France, souligne David Beyrand, je pensais que mes salariés allaient être performants mais je me suis aperçu qu’ils cumulaient souvent plusieurs emplois pour payer les factures et qu’ils n’avaient aucun attachement à l’entreprise ».
Une hémorragie économique
Six mois après avoir ouvert une première enseigne, le couple en ouvre une seconde puis renouvelle l’opération jusqu’à posséder cinq boutiques entre Boca Raton et Fort Lauderdale en l’espace de trois ans. « Nous étions pris dans une spirale car au début nous obtenions des résultats positifs, ce qui était encourageant, note David Beyrand, mais cela n’était que la partie émergée de l’iceberg car nous avons vite essuyé de grosses pertes économiques ». En cause, ils évoquent en autres une mauvaise étude de marché. « On aurait dû être plus frileux et prendre le temps de la réflexion car le marché change rapidement et beaucoup plus vite que dans certains pays, indique David Beyrand, nous n’avions pas réalisé aussi que la Floride est un État saisonnier et que hors saison l’économie locale tourne au ralenti ».
Allant de déconvenues en déconvenues, leur moral commence à en pâtir. Au fil des mois, le chiffre d’affaires glisse dans le rouge les obligeant à se rendre à l’évidence. « Nous ne pouvions plus limiter les pertes, il fallait vendre toutes nos enseignes pour éviter le pire, regrette David Beyrand, une décision qui n’a pas été facile à prendre ».
Aujourd’hui le jeune couple souhaite tourner la page et espère rebondir en rentrant en France d’ici la fin de l’année. « Cette aventure restera une expérience extraordinaire, nous avons appris énormément et nous sommes à présent capables de mener différemment nos affaires, se félicite David Beyrand, nous retiendrons surtout que notre rêve américain avait un prix, et que parfois le jeu n’en vaut pas forcément la chandelle ».

Thierry Breton vient soutenir Juppé à New York

(mise à jour avec changement d’horaire) Dans la bataille acharnée pour remporter la primaire des Républicains, Alain Juppé reçoit le soutien de Thierry Breton. Invité du Comité de soutien new-yorkais de l’ancien premier ministre, il fera le déplacement à New York le lundi 26 septembre pour rencontrer de potentiels électeurs français.
Ancien ministre de l’Economie et des Finances et ancien président-directeur général de France Telecom, Thierry Breton dirige aujourd’hui Atos, l’un des leaders mondiaux des services numériques. Ce proche d’Alain Juppé viendra discuter du programme de son candidat et de l’organisation du vote (le scrutin aura lieu en ligne pour les Français de l’étranger). La rencontre aura lieu à la boutique Longchamp de Spring Street. L’entrée est gratuite mais il faut RSVP avant le 21 septembre.
 

Houston lit entre les lignes de Picasso

On connaissait Pablo Picasso pour avoir été le fer de lance du cubisme. Pas vraiment du “linéalisme” . Jusqu’au 8 janvier 2017, la Menil Collection consacre une exposition à cet aspect méconnu du travail de l’artiste.
“Picasso The Line” , qui a ouvert ses portes le 16 septembre, met en valeur l’usage des lignes par le maître et le rôle qu’elles jouent pour donner du relief à ses oeuvres. Au total, 90 travaux de Picasso sont exposés. Lignes au stylo, crayon, charbon de bois: il a utilisé plusieurs techniques pour tracer ces traits.
Certaines oeuvres, issues de collections privées et publiques en Europe et aux Etats-Unis, n’ont jamais été montrées sur le sol américain.

La sensation Anoraak fait escale à Miami

Prêts à accueillir la fine fleur de la musique électro? Anoraak, DJ français à la carrière internationale, débarque au Bardot le vendredi 23 septembre.
Anoraak s’est rendu célèbre en 2008 grâce à son titre “Nightdrive With You” devenu un classique du genre. Deux albums plus tard, il a bien l’intention de secouer un peu le monde des boîtes de nuit. Il fait partie de la French touch, les artistes électro en vue, dans la lignée des Daft Punk, Justice ou encore Kavinsky.
Avant d’entamer sa carrière solo, Anoraak (Frédéric Rivière) était membre du groupe électro-pop “Pony Pony Run Run”. Miami est la dernière date de sa tournée américaine pour celui qui vient de sortir un nouveau EP, “REWORKS” .
 

Des réunions pour les nouveaux arrivants à San Francisco

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Ce n’est pas une, ni deux mais quatre réunions qu’organise San Francisco Bay Accueil. Banque, système de santé, éducation, “hauts et bas” de l’expatriation: l’association réunira plusieurs experts pour répondre aux questions des nouveaux arrivants à Sausalito, Berkeley, Sunnyvale et San Francisco).
Le lundi 26 septembre (6-8pm à la French American School de Sunnyvale, 1522 Lewiston Dr, Sunnyvale): présentation du système bancaire, du système de santé et des assurances par plusieurs professionnels.
Le lundi 3 octobre (6:30-8:30pm au Lycée français de Sausalito, 610 Coloma St, Sausalito) : présentation du système bancaire américain et des programmes after-school de l’association EFBA (French Education in the Bay Area).
Le jeudi 6 octobre (6-8pm à l’Ecole Bilingue de Berkeley, 1009 Heinz Avenue, Berkeley) : présentation du système bancaire et médical, ainsi que des activités de l’Alliance française de Berkeley. 
Le mardi 11 octobre (6-8pm à la French American International School de SF, 1155 Page St, San Francisco): présentation du système bancaire, des services du consulat et intervention de Magdalena Chaland, coach spécialiste de l’expatriation et auteure du livre Réussir sa vie d’expat.
Sur inscriptions uniquement pour les membres et les non-membres d’EFBA. Pour ces derniers, la participation aux frais est de 5 dollars.

Conférence sur les hélicoptères d'Airbus avec la FACC Dallas

Attachez votre ceinture. La chambre de commerce franco-américaine de Dallas-Forth Worth (FACC) organise le 27 septembre une conférence sur les hélicoptères Airbus dans les locaux de la société à Grand Prairie. Le rendez-vous s’inscrit dans le cadre des Eiffel Hour Innovation Series.
Sébastien Delmaire, vice-président d’Airbus Helicopters responsable de la stratégie de développement, fait partie des intervenants. Avant d’arriver chez Airbus, il était engagé dans l’armée française et a participé à plusieurs campagnes en Afghanistan. Autres participants: Denis Hamel, ingénieur principal d’essais en vol chez Airbus Hélicoptères et Jay Carter, PDG de Carter Copter.
35 dollars pour les membres, 45 dollars pour les non-membres.

Sleepless, soirée cosmique au Music Center de Los Angeles

Même si Los Angeles est une ville qui se couche tôt, c’est aussi la cité des soirées improbables. C’est le cas de Sleepless, qui permet aux visiteurs de réinvestir des lieux réservés à la culture classique, comme le Music Center ou le Disney Concert Hall, après les heures de fermeture.
La prochaine soirée Sleepless aura lieu le vendredi 23 septembre au Music Center de Los Angeles, de 11:30 pm à 3 am. La nuit tombée, le lieu délaissera les opéras, pour offrir un voyage dans le temps et la science-fiction.
Au détour des galeries et des couloirs, cette “faille spatio-temporelle” vous conduira à travers différents univers, imaginés par des artistes locaux. L’odyssée nocturne vous permettra d’observer les étoiles grâce aux télescopes installés. Vos oreilles seront bercées par l’éclectisme musical ambiant. Le visiteur passera d’un quatuor classique aux compositions minimalistes de JD Emmanuel.
De nombreuses installations, plus farfelues les unes que les autres, accompagneront ce voyage dans le temps. Vous retrouverez la nostalgie des jeux vidéo d’antan (Pacman, Space Invaders) qui ont bercé votre enfance, puis vous transiterez par le tunnel de lumière futuriste imaginé par Michael Ohsann, avant de jouer avec la vidéo-capture du designer Keith Skretch. De quoi vous laisser des étoiles dans les yeux.

Surf City Surf Dog, les chiens sur les planches à Huntington Beach

Truffes à l’air, babines au vent, queues qui remuent, les surfeurs qui dévaleront les vagues d’Huntington Beach ce dimanche 25 septembre auront une particularité : ce seront des chiens. Ces fidèles compagnons seront les stars (à quatre pattes) de la compétition Surf City Surf Dog, qui fête sa huitième année.
Lors de cet événement qui démarre à 8:00 am, vous pourrez suivre les performances de plusieurs dizaines de toutous, vêtus de gilets de sauvetage. Ils affronteront la houle seul, en tandem ou avec leur maître sous le regard des nombreux spectateurs. Ne croyez pas que les Terre-neuve et les chihuahuas s’affronteront, il y a plusieurs catégories selon les tailles.
Devenue incontournable, cette compétition attire des chiens surfeurs venus d’Australie et du Brésil. Entre les épreuves, le public pourra profiter d’une exposition, fondre devant les chiens à adopter ou se rassasier du côté des food trucks. De quoi passer une journée au poil.