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"Star Wars" et "Clueless" à Movies in the Park à Dallas

Si vous avez loupé le septième et dernier opus de la saga Star Wars à sa sortie en décembre (honte à vous), vous aurez l’occasion de vous rattraper. Le festival de films en plein air de Park Lane “Movies in the Park”  montrera « Le réveil de la force » , réalisé par J.J Abrams trente ans après l’épisode VI « Le Retour du Jedi ». Préparez-vous pour 2h15 d’immersion dans une galaxie lointaine…
Le film culte « Clueless » (1995) viendra ensuite. Le film évoque l’histoire d’une lycéenne issue du milieu huppé de Beverly Hills qui écarte ses rivales grâce à son sens inné de la mode. Mais quand une autre étudiante devient plus populaire qu’elle, les choses se gâtent.
Choisissez-vous un petit coin d’herbe et venez pique-niquer devant le grand écran. Les films sont projetés à la tombée de la nuit, à 8:30pm. Méfiance, les séances dépendent de la météo.

Festival aux couleurs de la France au Kimbell Art Museum de Fort Worth

Le musée d’art de Fort Worth, le Kimbell Art Museum, met la France à l’honneur. Il organise samedi 18 juin un festival gratuit et ouvert à tous, le Kimbell Fest: France!.
C’est la troisième Kimbell Fest qu’organise le musée. Au programme: musiciens et danseurs, activités pour les enfants, ou encore projections de films liés à la France. Le festival débutera par un “Tour de France” entre 1pm et 2pm. Les participants seront invités à revêtir leur plus belle tenue française et à décorer leur vélo pour une balade autour du musée.
Le festival est organisé dans le cadre de l’exposition sur les frères Le Nain, artistes-peintres français du début du XVIIème siècle.
Les participants peuvent également pré-commander un panier pique-nique français en contactant Central Market. Les festivités dureront jusqu’à 10pm.
 
 
 
 

Une fête de la musique au Clift Hotel de San Francisco

San Francisco a aussi sa fête de la musique : le mardi 21 juin, c’est au Clift Hotel que cela se passera.
Au programme de cette soirée : DJ Social Impact, Zola Music, The Funkenstein, le groupe The Frogs (avec plusieurs Français sur scène) et Oury.
Les festivités commenceront à 6pm.
La soirée est gratuite, mais il est conseillé de prendre un billet en ligne en s’enregistrant.
L’évènement compte de nombreux partenaires comme le traiteur français L’Apéro, le Consulat Général de France à San Francisco ou encore les vins français Gerard Bertrand.

Adulé à Paris, le chef Daniel Rose ouvre un restaurant à New York

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Daniel Rose n’est pas un chef comme les autres. Cet Américain de l’Illinois a quitté les Etats-Unis à 22 ans pour étudier la philosophie à Paris. Pris de passion pour la cuisine française, il est ensuite devenu chef, après avoir suivi les cours de l’Institut Paul Bocuse. En quelques années, son restaurant Spring s’est hissé dans le club des endroits les plus en vue à Paris.

Près de 20 ans après avoir quitté son pays, Daniel Rose, 38 ans, revient respirer l’air américain. Il a ouvert le 15 juin Le Coucou sur Lafayette Street, à SoHo. “C’était le moment pour de nouveaux défis. J’ai toujours été meilleur lorsque je me suis lancé des nouveaux objectifs. Je voulais aussi faire partager à ma famille une nouvelle expérience. J’ai souvent imaginé larguer les amarres avec ma famille sur un bateau pour un long voyage. Pour le moment, c’est ce qui s’en rapproche le plus : un territoire inconnu, de nouveaux horizons, avec sans doute des petites tempêtes occasionnelles, mais une vue à couper le souffle !”, confie-t-il.

Car s’il est Américain, Daniel Rose débarque presque comme un étranger dans son pays. “Je n’ai jamais habité aux Etats-Unis en tant qu’adulte. Je n’avais pas réalisé à quel point j’étais devenu français jusqu’à ce que je commence à travailler à New York !”, raconte le chef amoureux de son pays d’adoption, qui a même essayé dans sa jeunesse d’intégrer la Légion Etrangère. 

Daniel Rose va tenter de refaire à New York la formule de son succès parisien : une carte française simple et de saison, et qui mise tout sur la qualité des ingrédients – chez Spring, il sert des cuisses de grenouilles, des filets de veau, du canard, de la dorade ou des mille-feuilles. A Coucou, le chef pousse son amour de la France jusqu’à écrire le nom des plats en français sur le menu. On y trouve du bar noir cuit sur ses écailles, de la langue de veau au caviar américain et un intrigant “Tout le lapin” traduit “All of the rabbit”.

A New York, Daniel Rose a passé une grande partie des dernières semaines à trouver les bons ingrédients pour élaborer ses plats. “A Paris, il est beaucoup plus facile de trouver de bons ingrédients. La supply chain est plus courte, les problèmes de qualité sont plus faciles à résoudre. Certes, il y a des produits merveilleux aux Etats-Unis, mais la France a beaucoup de chance à cet égard… J’ai aussi un réseau de fournisseurs construit depuis 10 ans en France, et que je vais devoir rebâtir aux Etats-Unis. J’adore ça !”

Pas de doute que New York sera pour lui une nouvelle source d’inspiration. De la ville, il veut capter l’énergie, la vitesse….  “Beaucoup de choses sont accessibles dans l’immédiat. New York offre plein d’avantages et de services très pratiques. Certes, ce ne sont pas des choses essentielles pour vivre, mais avoir des produits livrés dans l’heure après les avoir commandés sur son téléphone, c’est très amusant.”

Daniel Rose compte cependant revenir très régulièrement à Paris (où, en plus de Spring, il a ouvert l’année dernière un bistrot, La Bourse et la Vie). “J’ai des équipes excellentes à la fois à Paris et à New York, je suis assez chanceux de ce point de vue là. Et je suis assez enthousiasmé par l’idée de partager ces deux villes avec ma famille.”  Vivre entre deux continents a du bon. “Le rythme de vie et de travail à Paris est un antidote parfait à l’expérience new-yorkaise.”

Bonjour et Bienvenue, un centre culturel français dans les cartons à Houston

Bonjour et Bienvenue, c’est le nom accueillant d’un nouveau centre culturel français qui va ouvrir ses portes à la fin de l’été à Houston. Le public ciblé : les Américains, les francophiles et francophones de Katy et de l’ouest de Houston.
Le fil conducteur reste toujours de trouver une structure pour enseigner le français à ses enfants dans un pays étranger, où qu’on soit, quand ils sont scolarisés en milieu local” , glisse Axelle Bouleau, la Française derrière le projet.
Partie dès l’âge de 8 ans aux îles Fidji, puis à Hawaï et enfin en Australie, Axelle Bouleau n’a pas connu le privilège de l’école française au bout du monde. Diplômée d’un master de Langues Orientales en Angleterre après avoir étudié à l’INALCO, elle a appris la grammaire française avec les cours du CNED.  “C’était l’école après l’école, sans les camarades qui auraient été dans le même cas que moi.
Avec des enfants scolarisés à la maison (ils sont tous trois en haut niveau de compétition sportive), Axelle Bouleau et son époux ont été confrontés aux limites de l’enseignement à distance. “Cela a bien changé, je le vois par rapport à ce que j’ai connu. Maintenant, certains cours se font par téléconférence, les enfants participent à une classe virtuelle avec d’autres dans leur situation. C’est plus vivant. Mais cela reste une affaire très isolée et très scolaire.
Une carte verte plus tard, et le projet de Bonjour et Bienvenue sort des cartons. “Ce projet mûrissait depuis plus d’un an, mais il fallait être sûrs de rester de façon plus longue pour pouvoir se lancer de façon pérenne.” En journée, des ateliers pratiques seront proposés, avec des fiches de vocabulaire et de faire des “jeux de rôles”, comme appeler la SNCF ou un hôtel pour faire une réservation ou décortiquer le menu d’un restaurant français. En périscolaire, le centre entend stimuler la mémorisation de la langue quotidienne avec des jeux et des mises en situation. Les ateliers sont dispensés par tranches d’âge (7-13 ans, 14-18 ans et adultes). En outre, des expositions et des soirées thématiques autour d’un apéritif auront lieu régulièrement.  “L’idée-phare est de proposer une immersion totale dans la culture française et dans la vie quotidienne, loin des clichés. 
Katy Independent School District et la FACC de Houston ont manifesté leur intérêt pour cette initiative. “Cela nous conforte dans notre choix. La France continue de faire rêver, et nos enfants ont besoin de pratiquer pour ne pas perdre leur langue et de s’enraciner dans leur identité française. ” L’équipe d’animation est en cours de formation. Le centre recherche actuellement des enseignants francophones.
 
 

A San Francisco, trois vétérans de la tech française lancent leur accélérateur

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Des murs fraîchement replâtrés, un escabeau, des fils électriques qui attendent d’être reliés au réseau: le deuxième étage des locaux de Parisoma, encore en pleine rénovation, accueillera en septembre la première promotion de The Refiners.

On y rencontre les trois co-fondateurs de ce nouvel accélérateur de San Francisco : Carlos Diaz, Pierre Gaubil, Géraldine Le Meur, serial-entrepreneurs français aux succès franco-américains, arrivés dans la Baie il y a respectivement 6, 15 et 10 ans.

La mission de The Refiners : aider les jeunes start-ups non-américaines de la tech qui veulent « naître globales » à pousser dans la Silicon Valley, avec un programme d’accompagnement de trois mois. Parce que « si tu fais de la moutarde, il faut que tu sois à Dijon », selon une métaphore chère à Carlos Diaz.

Les start-ups ont jusqu’à fin juillet pour postuler – entre 12 et 15 seront sélectionnées. Elles devront accepter de céder 3 à 7 % de leur capital à The Refiners, en échange de 50.000 dollars d’investissement – The Refiners s’est constitué un fonds de 6 millions de dollars, dont 40% proviennent de la BPI.

L’idée de cet accélérateur « est venue naturellement de mon parcours », explique Carlos Diaz, qui a d’abord été prof de lycée avant de lancer son agence digitale en France. « Ma deuxième boîte [blueKiwi] aurait dû être aux Etats-Unis, mais je m’en suis rendu compte trop tard. Ma troisième start-up, Kwarter, je l’ai donc créée directement ici. Mais je me suis pris le cultural gap en pleine figure », se souvient-il.

Carlos Diaz, qui est aussi connu comme figure de proue du mouvement des pigeons, veut maintenant aider les autres à éviter ces écueils. « Redonner à l’écosystème » et « faire profiter de notre expérience d’entrepreneurs », complètent Pierre Gaubil – qui joue avec Carlos Diaz dans le groupe The Frogs– et Géraldine Le Meur, qui le connaît depuis quinze ans.

La promesse centrale de The Refiners est donc d’aider les jeunes pousses à franchir le fossé culturel. Un fossé qui peut être sournois. « J’ai toujours travaillé à l’international : pour neuf pays différents, chez Asmodée, puis en ouvrant la filiale américaine de Cast », résume Pierre Gaubil, qui en est, avec The Refiners, à sa quatrième création d’entreprise. Cela ne l’a pas empêché de faire des faux-pas : « Pour Sensopia, qui marchait bien en France, je suis venu lever des fonds ici et mon pitch était vraiment à côté de la plaque.  Je connaissais les Etats-Unis, mais visiblement, je ne m’étais pas réacclimaté ! » reconnaît-il.

« Ce gap culturel existe pour les start-ups qui viennent s’installer ici, mais aussi pour les Américains qui jugent les start-ups françaises et leurs fondateurs. Par exemple, le mot ‘polytechnique’ aux Etats-Unis est l’équivalent d’un IUT », note Carlos Diaz. « Là où nous sommes capables de voir le potentiel de tel ou tel candidat, les Américains pourraient bien passer à côté », complète Pierre Gaubil.

Au bout de trois mois, les start-ups, acclimatées aux codes de la Vallée, et au projet affiné grâce au réseau de 200 partenaires et personnalités de la tech, devront savoir pitcher. « La vraie bataille, ce n’est pas celle de la levée de fonds ou de la valorisation, avertit Géraldine Le Meur. Le but, c’est de créer une start-up qui va marcher parce qu’elle aura une réalité business, un produit, des clients, un marché. »

C’est ce retour aux fondamentaux qui intéresse cette entrepreneuse aguerrie, qui raconte avoir monté sa première entreprise (B2L, une agence web) avec les 8.000 euros donnés par sa grand-mère à son mariage. Deux entreprises plus tard, Géraldine Le Meur co-fondait la fameuse conférence LeWeb. « Pendant 10 ans, je rapprochais la Vallée et l’Europe via cette platforme pour aider les entrepreneurs. Mais j’avais une frustration, c’est que la rencontre en elle-même ne durait que trois jours par an. »

Les trois compagnons espèrent pouvoir accompagner à plus long terme les jeunes pousses qui passeront par The Refiners. En attendant, ils rencontrent chacun des postulants – 106 à ce jour.

5 festivals de films en plein air à faire cet été à New York

A New York, l’été rime avec festivals de films en plein air. Science fiction, comédie, horreur: le bonheur est dans un parc. Ou sur un toit.
5. Films on the Green
C’est LE festival du film français en plein air à New York. Créé en 2008, Films on the Green est placé cette année sous le signe d’un été à Paris. Au programme notamment: “L’air de Paris” vendredi 17 juin à 8:30pm au Washington Square Park de Manhattan, le cultissime “Subway” de Luc Besson le 24 juin à Greenpoint, “Les 400 coups” le 1er juillet et “Girlhood” le jeudi 8 septembre à Columbia University (116th St et Broadway) en clotûre de la série. Les films sont projetés chaque vendredi dans la langue de Molière avec des sous-titres dans la langue de Shakespeare.
4. Rooftop Films
Du cinéma en plein air sur les toits des buildings de New York. C’est le principe du festival du cinéma indépendant Rooftop films, qui fête ses 20 ans cette année. Le choix sera très large pour cette édition spéciale avec pas moins de 200 films projetés à travers New York jusqu’au lundi 22 août. Certaines projections sont gratuites et d’autres payantes. La liste complète des films et les lieux sont disponibles sur le site de l’événement. Ce qu’on aime tout particulièrement avec ce festival, c’est qu’il nous fait découvrir des endroits qu’on ne connaît pas toujours: Industry City à Brooklyn, le Bronx Terminal Market ou encore le Firefighter’s Field sur Roosevelt Island sont sur la liste.
3. HBO Bryant Park Summer Film Festival
Si vous souhaitez revoir vos classiques en version cinéma sous les étoiles, rendez-vous au Bryant Park les lundis soirs jusqu’au lundi 22 août. Le HBO Bryant Park Summer Film Festival projettera notamment les célèbres “Top Gun”, “The Big Chill” et “Star Trek II: The Wrath of Khan” et l’hilarant Ferris Bueller’s Day Off. Tous les films sont gratuits et accessibles sans ticket. Bémol: il y a beaucoup, beaucoup de curieux. Venir aussi tôt que possible pour réserver votre morceau de pelouse.
2. Movies with a View
Si vous êtes plutôt « vue sur la skyline », Movies with a View est fait pour vous. Depuis son lancement en 2000, le festival a permis à plus de 340.000 cinéphiles de profiter d’une séance de cinéma en plein air avec, en bonus, la vue sur Manhattan depuis le Brooklyn Bridge Park. Les films seront projetés tous les jeudi du 7 juillet au 25 août. Au programme, “Singin’ in the rain”, “Purple rain” ou  encore “Selma”. Là encore, l’accès est libre et gratuit. Ce qui veut dire que vous ne serez pas le seul à venir avec votre nappe et votre pique-nique.
1. SummerScreen
Lancé en 2006, le sédentaire SummerScreen Festival vous donne rendez-vous au McCarren Park de Brooklyn (North 12th Street – entre Bedford Ave et Berry Ave) les mercredis et jeudis en juillet et août. Chaque soirée débute par un concert à 6pm avant la projection du film au coucher du soleil. “Scream” lancera les hostilités le mercredi 6 juillet et sera suivi notamment des “Royal Tenenbaums” et “The Fast and Furious” .

Night at the Museums: des musées de Manhattan gratuits le 21 juin

Le Musée du Memorial du 11-Septembre, le Skyscraper Museum, le Museum of American Finance ou encore le Federal Hall National Memorial: 15 musées et sites historiques de Lower Manhattan ouvriront leur porte gratuitement à l’occasion du solstice d’été, mardi 21 juin de 4pm à 8pm.
L’occasion de découvrir ou redécouvrir ces trésors de la culture et de l’histoire new-yorkaise. Si l’événement est gratuit, les places doivent être retirées directement sur les sites internet des musées participants, dont la liste complète est en ligne.
L’opération Night at the Museums s’inscrit dans le cadre du River to River Festival, un festival d’art libre qui a lieu du 16 au 26 juin.
 
 
 
 

Réchauffement climatique: "déni texan, reconnaissance française"

Revue de presse. Sur la question du réchauffement climatique, le Texas devrait faire comme la France.
C’est l’avis de l’Américain Elliott Negin, membre de l’Union of Concerned Scientists, une association de scientifiques. Il signe une tribune dans le Huffington Post dans laquelle il compare les réactions française et texane face aux inondations qui ont récemment frappé les deux territoires. Et il en profite pour descendre en flèche les élus texans climato-sceptiques. “Le Texas et la France ont de nombreux points communs. Ils font à peu près la même taille. Ce sont tous les deux des républiques. Ils ont des styles culinaires très appréciés. Et, juste la semaine dernière, ils ont été frappés par des pluies torrentielles et des inondations stimulées par le réchauffement climatique généré par l’Homme. La différence ? Beaucoup de choses. Mais la chose la plus intéressante est l’opinion diamétralement opposée de leurs dirigeants sur le changement climatique. Pour les Français, c’est “mais oui, bien sûr” (sic). Mais pour les Texans, c’est “cela n’est pas en train d’arriver” , affirme-t-il.
Alors que François Hollande a déclaré, selon l’auteur, que « nous devons être conscients que nous devons agir ensemble à l’échelle mondiale lorsqu’il y a des phénomènes climatiques d’une telle ampleur” , le gouverneur du Texas Greg Abbott “n’a fait aucune mention du rôle que le changement climatique est susceptible d’avoir joué” dans les inondations au Texas.
Comment expliquer ces différences de points de vue ? Eliott Negin y voit une raison évidente : l’influence financière des grandes compagnies énergétiques américaines. « En France, les entreprises ne sont pas autorisées à donner de l’argent ou fournir des services aux candidats politiques ou aux partis. Au Texas, c’est autre chose », regrette-t-il.
M. Abbott est devenu gouverneur en 2014. « Les 4.2 millions de dollars qu’il a reçus en participations provenant de l’industrie du gaz et du pétrole pour sa campagne représentent plus du double du montant qu’il a perçu des autres secteurs ». Problème pour les dirigeants texans: l’auteur affirme qu’ils sont en décalage avec l’opinion publique texane, qui reconnaît à 70% que le réchauffement climatique est une réalité. Les Français sont une majorité à penser que le changement climatique est “un problème très sérieux” . Encore un point commun entre Français et Texans.
 

CharlElie Couture à Central Park: "Ça sera mémorable"

Plus de 30 ans de carrière, 1.500 concerts, une quinzaine de bandes originales de films à son actif. Et un nouvel album sorti en avril: “Lafayette”.
Inépuisable, CharlElie Couture ne peut pas concevoir sa vie sans créer: « C’est ce que je fais en tant qu’artiste qui me détermine ». Ce disque, c’est avant tout un hommage à sa mère, disparue l’an dernier. Venue enseigner le français aux Etats-Unis après la guerre, elle a légué à son fils « l’influence de la double culture », comme il aime le rappeler.

Pour ce nouvel opus, il a quitté New York pour la Louisiane, et a collaboré avec des musiciens de là-bas : « Cet album est un mélange de poésie, blues, rock, raconte-t-il, je me suis inspiré de Lou Reed, Bob Dylan, Randy Newman entre autres ». 
« Debout dans la boue », « On va déconner », « Un jour les anges » (titre phare de l’album) compteront parmi les chansons qu’il interprètera le 21 juin, sur la scène de SummerStage à Central Park. Il partagera l’affiche avec d’autres artistes français en ce jour de Fête de la musique (Yael Naim, General Elektriks et La Femme).

S’il vit à New York depuis longtemps, Central Park est une première pour lui. « Ça sera un souvenir mémorable, comme toutes les premières fois. » 
Il sera au piano et à la guitare, entouré de cinq musiciens dont trois New-Yorkais et deux autres venus spécialement de Louisiane : Chris Stafford au banjo, violon et accordéon et Roy C. Durant à la batterie. « A la différence d’autres artistes qui jouent avec des machines, nous, c’est tout avec les mains ! ».
« Quand je monte sur scène, je donne tout, je deviens fou, ajoute le chanteur. A l’issue de ce concert, je vais faire en sorte que les gens repartent avec le sourire. »

Derniers jours pour voir "13 rue de l'amour" de Feydeau à Houston

Si vous n’avez pas vu “13 rue de l’amour” à Houston, c’est le moment. La pièce, qui a pris ses quartiers au Theatre Southwest de Houston depuis le 27 mai, sera encore jouée vendredi 17 et samedi 18 juin à 8pm.
Mise en scène par Ananka Kohnitz, “13 rue de l’amour” est une pièce tragi-comique écrite en 1892 par le célèbre auteur français Georges Feydeau. Sous fond d’histoire d’amour et d’adultère, elle prend place dans le Paris du début du XIXème siècle, au 13 rue de l’amour, un immeuble dont la concierge est une comtesse allemande croqueuse d’hommes, et où une femme fidèle cherche à se venger d’un mari coureur de jupon. Fou rire garanti.
 
 
 

L'Alliance française d'Austin cherche des volontaires pour Bastille Day

L’Alliance française d’Austin cherche des volontaires pour la 21ème édition de son Bastille Day, qui aura lieu le 9 juillet.
Ils auront pour mission d’assurer les différentes activités proposées pendant cet évènement : peinture faciale, jeux de ballon, démonstrations de jongle et du hula-hoop pour les enfants. Un tournoi de pétanque, de la danse et du volley ball sont également prévus lors de cette grande fête , qui fait aussi office de collecte de fonds pour l’Alliance. Los Pescados, groupe de jazz manouche inspiré des années 1930, ouvrira le bal musical de la soirée. La chanteuse de jazz Julie Slim et le groupe Rendez-vous prendront le relai avec des airs d’Edith Piaf, Trenet et Brel notamment.