“Hug the hood”, c’est le nom de la grande peinture murale que la Texan-French Alliance for the Arts révélera le 20 février sur Calhoun Street , dans le sud-est de Houston.
La fresque est le résultat du travail de jeunes Houstonites participant au programme “From A Space to A Place” de la Texan-French Alliance for the Arts. Ce programme de mentoring, réalisé en partenariat avec les associations Agape Development and the Southeast Houston Transformation Alliance (SEHTA), vise à embellir un espace vacant avec une fresque colorée, basée sur l’histoire et l’identité du quartier. Pour la réaliser, les artistes en herbe ont rencontré l’artiste de rue français Sébastien Boileau, interviewé des habitants du quartier, réalisé des photos, entres autres activités. Cela fait depuis septembre 2015 que les jeunes participants travaillent sur le projet.
La cérémonie est ouverte au public. Elle aura lieu de midi à 3pm.
Inauguration d'une fresque murale avec la Texan-French Alliance à Houston
Un film sur Houellebecq à l'Alliance Française de Los Angeles
L’idée peut sembler curieuse.
En s’inspirant d’une rumeur relayée dans les medias en 2011, le réalisateur Guillaume Nicloux met en scène l’enlèvement de l’écrivain prix Goncourt 2010 dans sa fiction « L’enlèvement de Michel Houellebecq », qui sera projeté à l’Alliance Française de Los Angeles le 17 février à 7pm.
Un film à l’image de l’écrivain, qui y campe son propre rôle.
Les faits remontent à septembre 2011, alors que l’auteur est attendu aux Pays-Bas pour la promotion de son roman « La carte et le territoire ». Sans nouvelles depuis plusieurs jours, la sphère médiatique s’emballe, et des rumeurs d’enlèvement impliquant les réseaux d’Al-Qaïda surgissent sur les réseaux sociaux.
L’écrivain solitaire avait simplement choisi de s’isoler en Espagne, coupé de tout moyen de communication.
Quelques années plus tard, Guillaume Nicloux réécrit l’histoire, et fait de l’écrivain controversé une tête d’affiche originale et décalée. Cette fois, c’est par trois repris de justice inexpérimentés que l’écrivain est kidnappé, puis emmené à la campagne chez les parents de l’un d’eux.
Une détention, pour le moins surprenante, commence alors. Le film a cela de particulier qu’il flirte avec le documentaire, misant sur l’authenticité des personnages.
Le film sera suivi d’une discussion, autour de quelques boissons.
Grammy 2016 : les Français et francophones en lice
Vous vous demandez qui soutenir lors de la 58e édition des Grammy, qui se déroulera le 15 février au Staples Center de Los Angeles ? Ne cherchez plus. Avec pas moins de dix nominations, les artistes français et francophones ont une nouvelle fois la cote cette année.
Cécile McLorin Salvant est nominée dans la catégorie « meilleur album de jazz vocal ». Cette jeune Franco-Haïtienne est plébiscitée pour son album « For One To Love », sorti en septembre 2015. La chanteuse est nominée aux Grammies pour la deuxième fois. Elle l’avait déjà été en 2014 dans la même catégorie pour son album « Woman Child », mais elle n’avait pas remporté la récompense.
Francophone originaire du Bénin, Angelique Kidjo est nominée dans la catégorie « Meilleur album de musique du monde ». Cette artiste chante aussi bien en français, en anglais, en yoruba, en fon, en mina ou en swahili. Elle concourt avec son album intitulé, tout simplement, « Sings ».
Dans une catégorie plus cinématographique, on retrouve Alexandre Desplat pour la « meilleure bande originale pour un média visuel ». Le compositeur français, de renommée internationale, a déjà reçu de nombreux prix pour ses précédentes créations. On peut citer par exemple un Oscar en 2015 pour la B.O. de “The Grand Budapest Hotel” ou encore un Grammy, déjà, en 2012 pour « Le Discours d’un roi ». Cette année, le compositeur espère recevoir un prix pour la bande originale du film « The Imitation Game ».
Les techniciens sont aussi mis à l’honneur lors des Grammy Awards. On retrouve ainsi l’ingénieur son, Maxime Le Guil, dans la catégorie « meilleure conception technique d’album, non classique ». Ce jeune Français a déjà collaboré avec Joey Starr, Morrissey ou encore Camille, mais c’est pour son travail avec Melody Gardot sur son album « Currency Of Man » qu’il est aujourd’hui nominé.
Ludovic Morlot est le champion des nominations. Le chef d’orchestre concourt dans trois catégories: « meilleure conception technique d’album, classique »; « meilleure performance orchestrale » et « meilleur solo instrumental classique ». Ce Français, expatrié aux États-Unis, est le directeur musical de l’orchestre symphonique de Seattle depuis 2011. Avec sa formation, il a déjà remporté un Grammy en 2014 pour la « meilleure composition classique contemporaine ».
On retrouve enfin Philippe Jaroussky dans la catégorie « meilleur enregistrement d’opéra ». Ce contreténor, originaire de Maisons-Laffitte dans les Yvelines, a déjà de nombreux prix à son actif, principalement aux Victoires de la musique classique entre 2004 et 2010. L’opéra « Niobe, regina di Tebe » d’Agostino Steffani lui vaut sa nomination aux Grammies cette année.
Enfin, le label français Harmonia Mundi est nominé à deux reprises cette année. Tout d’abord dans la catégorie « meilleure prestation par une chorale » pour sa collaboration avec la Conspirare Choir d’Austin. Et dans la catégorie « meilleur album solo de classique vocal » pour son travail sur l’album « Beethoven : An Die Ferne Geliebte » du ténor britannique Mark Padmore. Le label français, spécialisé en musique classique, avait déjà gagné un Grammy en 2014, déjà avec le Conspirare Choir pour l’œuvre « The Sacred Spirit of Russia ».
LP4Y, la “non profit” des Français du Westchester
Le Westchester est bien loin des bidonvilles de Manille ou de New Delhi; et la vie d’une bande de patrons expats français à des années lumières de celle de jeunes exclus en Inde ou aux Philippines…
Le lien invisible entre les deux, c’est pourtant l’histoire de LP4Y -Life Project 4 Youth-, une “non profit” devenue la cause favorite des Français de Larchmont et des environs.
Au début de l’aventure, il y a un homme d’affaire français, Jean-Marc Delaporte, qui après un revers de fortune dans le business, part courir le monde avec son épouse Laure et leurs enfants. Au bout du parcours, ils décident de créer une nouvelle association qui s’occuperait de jeunes adultes souffrant de “la grande exclusion” en les réinsérant via l’entrepreneuriat. En 2009, la famille Delaporte s’installe aux Philippines et ouvre un premier centre à Tondo, un immense bidonville de Manille.
Le lien avec le Westchester est d’abord familial: un des frères de Jean-Marc Delaporte, Thierry, est CEO de l’unité “Services Financiers” de Capgemini, basée à New York, et vit à Mamaroneck. “Au moment où il réfléchissait au lancement de son projet, nous avons beaucoup parlé de cette idée d’aider ces jeunes en difficulté à devenir “entrepreneurs de leur vie”. En tant que dirigeant d’entreprise, c’est un thème et une ambition qui m’attiraient”, explique Thierry Delaporte.
Une fois Jean-Marc Delaporte installé aux Philippines, Thierry devient le “bras financier” de l’aventure. Objectif: lever de l’argent pour financer les “Life Project Centers” où sont accueillis les jeunes (de 17 à 24 ans) qui y opèrent les “micro-entreprises” qui constituent le coeur de l’action de l’association, de la fabrication de bougies à la production d’énergie solaire. L’association gère désormais seize centres, dans cinq pays, dont l’Inde où les fondateurs se sont installés récemment, et accueille quelque 600 jeunes.
“Notre job ici, c’est de mobiliser familles, amis, entreprises, raconte Thierry Delaporte. Nous avons commencé par quelques “cheese and wine” à cinq ou six, puis un cocktail, des concerts… et petit à petit c’est devenu une aventure de la communauté française du Westchester”.
Et cette banlieue prospère étant ce qu’elle est, le conseil d’administration de LP4Y USA se lit un peu comme un Who’s Who du business français à New York. On trouve, entre autres, des “cadres dirigeants” de la BNP (Bruno d’Illiers), Pfizer (Alexandre de Germay), Coty (Patrice de Talhouet), Standard & Poor (Bernard de Longevialle).
Tout ce beau monde a l’entregent nécessaire pour lever l’argent qui permet de financer les grandes ambitions de l’association. “Les gens de la communauté française se sentent responsables de l’association, observe Thierry Delaporte. Cette année notre objectif est de lever 150.000 dollars aux US, mais ce n’est que le début, le potentiel est énorme”. Prochaine étape, un gala organisé le 23 mars à New York, qui devrait accueillir 250 personnes. “Une vingtaine d’entreprises ont déjà acheté une table, l’enthousiasme avec lequel elles répondent est impressionnant”.
Et grâce à la vie d’expat, l’enthousiasme se répand: un nouveau chapitre de l’association est en train de s’ouvrir à Londres, créé par des anciens de New York. Une extension nécessaire: d’ici à deux ans, l’association ambitionne de doubler le nombre de jeunes accueillis dans ses centres.
Anne-Claire Legendre serait nommée consule à New York, selon l'Obs
Une consule pour New York? Anne-Claire Legendre remplacerait Bertrand Lortholary au poste de consul général de France à New York, si l’on en croit une information de l’Obs sortie ce mardi 9 février. Nommé en 2012, M. Lortholary arrive en 2016 au terme de son mandat.
Si sa nomination était confirmée, l’actuelle conseillère Afrique du Nord Moyen-Orient de Laurent Fabius deviendrait la deuxième consule de France sur le sol américain avec Pauline Carmona arrivée en 2014 à San Francisco. Elle bénéficierait de ce que l’Obs appelle le “recasage” des membres du cabinet de Laurent Fabius à la suite de son départ du Quai d’Orsay, qui sera annoncé le mercredi 10 février.
Considérée comme une “jeune et brillante diplomate” par l’Obs, Anne-Claire Legendre est arrivée au sein du cabinet de Laurent Fabius en 2013 après avoir été conseillère au Conseil de sécurité des Nations Unies (Syrie, Israël-Palestine, Liban, Irak) au sein de la mission française, sous l’autorité de l’actuel Ambassadeur de France aux Etats-Unis Gérard Araud.
Elle a aussi occupé un poste d’attachée de presse à l’Ambassade de France au Yémen, avant de devenir chargée de mission pour les affaires européennes auprès du Directeur des Français de l’Etranger, où elle était en charge d’améliorer les possibilités de coopération avec les Etats membres de l’Union européenne dans le domaine des affaires consulaires.
Le consulat de France à New York ne commente pas cette information.
Capucine Bourcart fait le mur à Art Wynwood
Le week-end de Presidents Day, offrez-vous une petite cure d’art contemporain en vous rendant à la foire Art Wynwood.
Le rendez-vous hivernal des amateurs d’art prend ses quartiers au CONTEXT Art Miami Pavilion du 11 au 15 février. Plusieurs dizaines de milliers de curieux sont attendus. Soixante dix galeries, avec des artistes du monde entier, participent cette année encore à l’évènement. Parmi eux, Capucine Bourcart, photographe française vivant à New York. Représentée par la galerie Vogelsang, de Grégoire Vogelsang, elle a sillonné Manhattan pour prendre des photos de murs, en particulier les petits détails (fissures, graffiti, imperfections, couleurs…) qui les rendent magiques, surprenants. Quelques uns des 4.500 clichés récoltés lors de cette pérégrination artistique seront montrés au stand AW 34.
Les galeries françaises (ou présentes en France) qui participeront à Art Wynwood cette année sont: 55 Bellechasse, Boulakia Fine Art, FREDERIC GOT, Mark Hachem, Waltman Ortega Fine Art, K+Y gallery.
Le clarinettiste-prodige Jérôme Comte vient envouter Miami Beach
Jérôme Comte ne vous dit peut-être rien, c’est pourtant un grand nom de la clarinette. Le Français se produira sur la scène du New World Center le 13 février lors d’un programme composé de Boulez, Chin and Pintscher.
Le musicien, qui fait partie d’Ensemble Intercontemporain depuis 2005 (il l’a rejoint quand il avait 25 ans), a remporté plusieurs compétitions musicales à Paris, Prague et Munich. Il joue avec des ensembles et des orchestres de chambre renommés, comme l’Orchestre de Paris, l’Orchestre National de France, le London Symphony Orchestra notamment.
Au New World Center, il partagera l’affiche avec le chef d’orchestre et directeur musical d’Ensemble Intercontemporain Matthias Pintscher et la flûtiste Masha Popova.
Découvrez la superbe Bible de Maciejowski à Austin
La Bible de Maciejowski, ou “Crusader Bible”, est de passage à Austin et l’Alliance française vous propose de la découvrir le jeudi 18 février au Blanton Museum.
Cet ouvrage enluminé est un petit bijou sorti du Moyen-Age. Il représente les scènes de la bible. Les médiévistes ne sont pas d’accord sur la date et lieu de sa confection. Des travaux récents avancent qu’elle a été faite dans le nord de la France autour de 1250. Quarante-quatre représentations picturales jalonnent ce chef d’oeuvre d’art gothique enrichi de descriptions en latin et en perse au fil des ans et de ses propriétaires.
Les participants à la visite ont rendez-vous à Blanton Café à 6:15pm pour un verre de vin. La visite guidée commencera à 7:15pm. 7 dollars pour les membres de l’Alliance, 10 pour les non membres.
Saint James ouvre un deuxième magasin à New York
Saint James (à prononcer à la française, Saint Jââmes, s’il-vous-plait), c’est la marque que les Américains achètent lorsqu’ils veulent s’habiller en Français. Quoi de plus gaulois, dans la culture américaine, qu’une marinière à rayures blanches et bleues ?
Benjamin Auzimour le reconnait en souriant. “C’est vrai qu’on enregistre des records de ventes avant Bastille Day… Et on a aussi beaucoup de Français d’ici qui achètent des marinières pour se déguiser en Français ! Mais franchement, on ne joue pas trop là dessus. Ce serait un peu fake de s’appuyer sur une caricature”, commente le directeur de Saint James aux USA, vêtu comme il se doit d’un pull bleu marine boutonné sur l’épaule, et d’un caban Saint James.
La marque normande, qui emploie 300 personnes et dispose d’une usine à quelques kilomètres du Mont Saint-Michel, continue sa croissance “à deux chiffres” aux Etats-Unis, et a ouvert la semaine dernière un deuxième magasin à New York, dans l’Upper East Side.
Un retour aux sources : c’est en effet ici que Saint James avait ouvert les portes de sa première boutique il y a douze ans, avant de déménager à West Village, sur Bleecker Street, en 2013.
La nouvelle boutique, tout en bois blanc, cuivre et ardoise, respecte les codes maritimes. Un métier à tisser, ainsi que d’ancienne publicités pour les “Tricots Saint James” et leur laine “gonflante, souple et nerveuse” complètent le décor.
Sur les étagères, des marinières à partir de 69$, et des pulls à partir de 195$. Des prix un peu plus chers qu’en France, car ils intègrent le coût du transport et les taxes.
Avec cette nouvelle boutique, l’ambition de Saint James est assez claire : équiper en marinières et espadrilles ces habitants de l’Upper East Side aisés qui passent leurs étés dans les Hamptons, sur un voilier ancré à Nantucket ou le long des ports de la Nouvelle Angleterre.
Une cible complémentaire de celle que la marque vise avec sa boutique de West Village, qui attire une clientèle plus jeune et branchée.
“Les marinières, qui sont très urbaines, plaisent beaucoup aux hipsters, qui partagent des valeurs proches des nôtres en termes d’authenticité, de slow-fashion, de qualité et durabilité”, raconte Benjamin Auzimour. Ce diplômé de l’Essec originaire du Sud-Ouest de la France a rejoint Saint James fin 2014 après avoir travaillé dans l’univers de l’équitation et celui du chocolat.
“Bref, on est pas dans le show off. On fait des rayures, et on les fait bien”, poursuit Benjamin Auzimour, qui avoue avoir “une dizaine” de pulls Saint James dans son armoire.
“J’ai trouvé mon uniforme”, glisse-t-il. Si vous le croisez dans la rue avec son caban, son écharpe rayée bleue et blanche et son pull marin, vous n’aurez aucun doute : il est bien Français.
Le prochain "Rencontre Experts" de la FACC Miami aura lieu le 23 février
Envie de lancer votre business en Floride? Les “Rencontres Experts” de la chambre de commerce franco-américaine de Miami sont faites pour vous. Ces rendez-vous réguliers mettent en relation des entrepreneurs en herbe à la recherche de conseils avec des professionnels de différents secteurs (comptables, avocats d’immigration et d’affaires, agents immobiliers…).
La prochaine rencontre aura lieu le 23 février du 9am à midi. Coût de l’entrée: 30 dollars. Le lieu n’est pas encore connu. La rencontre suivante se tiendra le mardi 19 avril.
Le Miami Boat Show au Marine Stadium Park du 11 au 15 février
C’est le grand rendez-vous des amoureux de nautisme. L’International Miami Boat Show reprend ses quartiers du 11 au 15 février. Changement de lieu cette fois-ci: l’événement se tiendra bien au Miami Marine Stadium Park & Basin, et non plus au Miami Beach Convention Center. Le déménagement avait entrainé une très médiatique controverse entre Key Biscayne, Miami et les organisateurs du show au sujet de préoccupations liées à l’environnement et au surcroit de circulation.
Cent mille personnes sont attendues lors de cette 75eme édition. Le show rassemble des exposants issus de tous les recoins du monde marin. Les visiteurs pourront découvrir les derniers produits sur le marché (bateaux, accessoires, moteurs, cadeaux…), mais aussi participer à des ateliers sur l’eau et diverses activités aquatiques (sports de paddle). Plus de 1.000 bateaux seront montrés sur terre.
Un simulateur pour aider le retour en France des expatriés
Les Français expatriés qui rentrent au bercail ont désormais accès à un simulateur en ligne pour les aider dans leurs démarches administratives. Cet outil a été révélé le 3 février par le Secrétaire d’Etat aux Français de l’étranger, Matthias Fekl.
L’utilisateur du simulateur “Retour en France” doit remplir plusieurs champs destinés à connaitre sa situation individuelle (âge, situation professionnelle, durée du séjour à l’étranger, couverture médicale…), avant de découvrir les démarches administratives qu’il aura à effectuer dans le cadre de son impatriation.
La création de ce simulateur découle du rapport de 2015 de la sénatrice Hélène Conway-Mouret sur le retour en France des expatriés. D’autres mesures de simplifications relatives aux démarches d’identification, de délivrance de documents administratifs, notamment les passeports et les procédures électorales, ont aussi été annoncées par Matthias Fekl lors de son discours de vœux aux Français établis hors de France. Le Secrétaire d’Etat veut notamment mettre en place en 2016 un système de pré-saisie des demandes de passeports et de paiement sur internet, et faciliter les procédures de transmission des procurations de vote aux mairies françaises.