Il pourrait bientôt être plus difficile pour certains voyageurs qui bénéficient du programme d’exemption de visa ESTA de venir aux Etats-Unis.
La Chambre des représentants américaine a adopté, mardi 8 décembre, une proposition de loi qui renforce les contrôles sur les voyageurs jugés “à risque” en provenance des 38 pays, dont la France, qui participent au programme. La proposition de loi, adoptée à 407 voix contre 19, interdirait aux voyageurs des pays partenaires s’étant rendus depuis mars 2011 en Irak, Syrie, Iran et au Soudan de bénéficier d’une exemption, les forçant à demander un visa auprès des autorités américaines avant leur voyage.
Les ressortissants des pays partenaires ayant une double nationalité avec l’un des trois pays nommés sont aussi concernés, même s’ils n’y sont jamais allés.
Avec cette loi, les Etats-Unis se réservent aussi le droit de suspendre du programme les pays qui ne partageraient pas assez d’informations sur les voyageurs. Et elle oblige, en outre, les pays partenaires à accélérer la distribution de passeports biométriques, afin de limiter les risques de fraude, pour les rendre obligatoires au 1er avril 2016 (les passeports biométriques sont toutefois distribués depuis 2009 dans tous les pays de l’UE).
La loi doit encore être examinée par le Sénat, où un texte similaire est en préparation, et “devrait devenir loi avant la fin de l’année” selon le Wall Street Journal.
Le texte de loi, soutenu par la Maison blanche, a été critiqué par la ACLU et plusieurs autres groupes de défense des libertés qui la jugent discriminatoire. Quelques législateurs aussi ont élevé la voix pour dénoncer des dispositions qui stigmatisent des individus sur la base de leur pays d’origine, plutôt que leur comportement.
L’an dernier, 20 millions de personnes sont entrées aux Etats-Unis en bénéficiant de ce programme mis en place en 1986.
Voyageurs sans visa aux USA: la Chambre vote des restrictions
13 cadeaux de Los Angeles à rapporter en France
Chaque hiver, la même question nous taraude : que vais-je offrir comme cadeau de Noël ? Pour vous aider dans cette recherche frénétique, French Morning vous liste treize cadeaux de Noël à rapporter de Los Angeles.
13. Du linge minimaliste
Le quartier d’Arts district regorge de boutiques de créateur. Avec leurs teintes sobres et leur ligne épurée, les linges de maison sont minimalistes chez Matteo LA. Vous trouverez des peignoirs, des serviettes et autres draps de qualité produits à Los Angeles.
Matteo, 912 East 3rd Street, CA 90013
12. Un joli sac
C’est le cadeau dont on ne se lasse pas. Et les sacs créés par A.Adams sont uniques. Faits à la main et en cuir, les pièces coûtent entre 78 et 385 dollars. Si vous préférez les pièces colorées, regardez du côté de chez Graham Keegan, qui confectionne des sacs teints avec des plantes (de 76 à 285 dollars). De la maroquinerie 100% made in L.A.
11. L’indémodable “made in US”
Dans cette course au cadeau, pourquoi ne pas miser sur un classique. Vous pouvez bénéficier de prix alléchants sur de nombreuses marques telles que les jeans Levi’s, les chaussures (Converse, Nike, Vans), les vêtements American Apparel “made in Downtown” ou Abercrombie… Et pour être le roi des bonnes affaires, achetez le tout dans un Outlet. Ces produits dégriffés feront le bonheur de vos proches, sans vous ruiner.
10. Des produits de beauté rares en France
Les Etats-Unis sont des avant-gardistes en terme de cosmétologie. Pour surprendre, sélectionnez des produits inédits en France : le baume à lèvre Burt’s bees, le mascara de Covergirl, le maquillage rock de chez Kate Von D, un gel anti-bactérien chez Bath Body Works, le célèbre shampoing TRSemme… Vous avez l’embarras du choix.
Pour trouver votre bonheur, rendez-vous dans un CVS ou chez Sephora.
9. Un cadeau aux arômes de soirée
Bitter Tears donne un avant goût des soirées californiennes avec ses cocktails amers, fabriqués à Los Angeles. Ils peuvent sublimer vos boissons et vos aliments, et vous transporter le temps d’un instant sur un rooftop de la cité des anges.
8. Des bijoux tout en finesse
Dorés ou argentés, les bijoux fins ont la cote à Los Angeles et inondent les marchés de créateurs. Installé depuis l’été dernier au coeur de Downtown, l’atelier de CA Souls propose des colliers, des bracelets et des boucles d’oreilles conçus et fabriqués sur place. CA Souls, 600 S Spring St.
7. Un panier gourmand dépaysant
Difficile de satisfaire tout le monde, alors misez sur les plaisirs de bouche. La nourriture américaine, excentrique aux yeux de nombreuses personnes, vaut (parfois) le détour. Au sein de votre panier gourmand, vous pourrez mettre de la viande séchée (le fameux jerky), de la pâte de mashmallow aromatisée, du beurre de cacahuète, des tartelettes Reese’s, des M&M’s originaux, les fameux “mac and cheese”, sans oublier le vin californien. Un cadeau à consommer avec modération. Produits disponibles chez Target, Trader Joe’s, Whole Foods, Ralphs…
6. Des produits pour entretenir sa barbe
Alors que Candide vantait les mérites de cultiver son jardin, l’entreprise Beard Buddy vous invite à cultiver votre barbe, devenue un accessoire de mode. Cette marque créée à Los Angeles propose divers types de lotions et produits artisanaux, visant à l’entretenir. Un cadeau qui en surprendra plus d’un !
5. Une affiche
Los Angeles est une ville d’artistes. De nombreux graphistes proposent leurs propres sérigraphies. C’est le cas de la créatrice de Lemonwood Imprints, qui conçoit des cartes et des posters originaux. Les créations sont imprimées sur du papier de qualité, à Los Angeles. Paper Pastries Atelier propose également de la papeterie originale à Downtown. Coup de coeur garanti.
4. Des tabliers originaux
C’est une chef qui a fondé l’entreprise Hedley&Bennett, spécialisée dans les tabliers cousus à la main à L.A. Réalisés avec des matériaux de qualité tels que la toile américaine ou le cru japonais, ces pièces sont uniques et résistantes. Bref, elles sont parfaites pour cuisiner avec style. Magasin situé au 3864 South Santa Fe Ave.
3. Un goodies typique
Il y a une religion à Los Angeles, le sport. Alors pourquoi ne ramèneriez-vous pas un peu de cet esprit sous le sapin ? Vous pourrez rapporter des casquettes, maillots et goodies aux couleurs des Dodgers, des Lakers ou des Clippers. Si vous êtes plus branché “université”, faites un arrêt à la boutique de l’UCLA où vous trouverez le fameux sweat-shirt avec son sigle.
2. Une BD culte
Rien que pour le plaisir de chiner la perle rare dans une librairie, ce cadeau vaut le coup. Vous trouverez une grande collection de “comics” au Last Book Store, à Downtown. Et pour les musicologues, une importante collection de vinyles s’offre à vous. The last bookstore, 453 S Spring Street
1.Un skateboard
Le summum du hype à Los Angeles ? Faire du skateboard, certains téméraires dévalant même les rues de Downtown au milieu du trafic. Si vous cherchez un cadeau “100% L.A”, orientez-vous vers les planches de DL Skateboard, aux allures de planches de surf. Les pièces sont uniques, fabriquées à partir de chêne massif. Réalisées à la main, elles sont produites dans la région de Los Angeles. Un cadeau qui sent bon les balades entre Santa Monica et Manhattan beach. Entre 195 et 225 dollars.
Décès de Denis Pietton, ex-consul de France à Miami
Denis Pietton, consul général de France à Miami entre 1992 et 1994, est décédé des suites d’une “maladie foudroyante” , a annoncé mardi l’Institut français, dont il avait pris la présidence à la mi-juillet. Il avait 61 ans.
Qualifié de “gentleman diplomate” par le journal l’Orient-Le Jour, Denis Pietton a été Ambassadeur au Liban de 2009 à 2012. Il a aussi servi comme directeur de cabinet de Laurent Fabius, conseiller à l’Ambassade de France aux Etats-Unis, consul général à Jérusalem, en Afrique du Sud et au Brésil.
A la tête de l’Institut français, organisme de promotion de la culture et de la langue française dans le monde placé sous la tutelle du ministère des Affaires étrangères, il était chargé de diriger un réseau de près de 100 antennes appelées “Instituts français” et plus de 900 Alliances français, selon l’AFP.
« C’est avec une profonde tristesse que j’ai appris le décès de Denis Pietton, lundi 7 décembre, quelques mois seulement après avoir pris ses fonctions à la présidence de l’Institut français, a déclaré le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius. Le Quai d’Orsay perd l’un de ses grands diplomates, dont j’ai pu apprécier le talent lorsqu’il est devenu mon directeur de cabinet en mai 2012. Grand connaisseur du Proche et du Moyen-Orient, sa carrière l’a mené aux États-Unis, à Jérusalem, en Afrique du Sud, au Liban et au Brésil. Homme de convictions et d’engagement, Denis Pietton était aussi un collègue aimé de tous pour son humanité et sa gentillesse. »
Le consulat de France à Miami indique que ceux qui veulent laisser un message de condoléances peuvent l’envoyer à [email protected], il sera transmis.
Une raclette comme à la montagne à Houston
Succombez à l’appel du fromage, c’est le message de la Swiss American Society qui organise une raclette samedi 12 décembre entre 10am et 1pm au Christ The King Lutheran Church de Houston.
Pour la 8ème édition de cette “raclette party”, vous pourrez profiter de fromages à raclette importés directement de France, à déguster avec les traditionnels pommes de terre et cornichons.
Cinq dollars par service.
La Swiss American Society fait la promotion de la Suisse aux Etats-Unis.
Air France va ouvrir une liaison Orly – JFK
Arriver à Orly au lieu de Charles-de-Gaulle, c’est quand même bien pratique. L’aéroport est plus petit, moins stressant, il est plus près de Paris, et les connexions avec d’autres vols vers la province se font plus facilement.
Aujourd’hui, à part OpenSkies, qui dessert Orly depuis New York, il est bien difficile d’arriver dans cet aéroport depuis la Grosse Pomme. Les choses vont changer à partir de juin 2016 : Air France vient d’annoncer le lancement d’une liaison quotidienne entre Paris-Orly et JFK. Actuellement, les vols d’Air France entre New York et Paris atterrissent à CDG, et ce depuis 1970.
“La liaison quotidienne Paris Orly – New York JFK sera opérée en Boeing 777-200, équipé de 309 sièges (35 Business, 24 Premium Economy et 250 Economy)”, indique la compagnie aérienne dans un communiqué. Elle précise que cette ouverture de ligne “s’inscrit dans le cadre de la joint-venture transatlantique avec Delta”.
Voici les horaires de ces nouveaux vols :
Un concert de Noël pour toute la famille à Miami
Rien de mieux pour se mettre dans l’ambiance des fêtes de fin d’année que le concert de Noël du Greater Miami Symphonic Band au Banyan Bowl de Miami, le dimanche 13 décembre à 3pm.
L’ensemble jouera plusieurs morceaux pour célébrer les fêtes de fin d’année, des musiques de Noël, de Hanukkah et autres. Créé en 1979, cet ensemble est composé de musiciens locaux, se produisant souvent avec des chefs d’orchestre, compositeurs et solistes invités. Ils jouent partout aux Etats-Unis.
Un moment à partager en famille.
En janvier, Pierre Richard se livre sur scène à L.A et San Francisco
C’était il y a 43 ans. Et pourtant, il est, et restera “le grand blond avec une chaussure noire”.
L’iconique Pierre Richard montera sur la scène du théâtre Raymond Kabbaz à Los Angeles, le jeudi 14 janvier 2016 à 7:30 pm. Il s’agit de la première date de la tournée américaine de son nouveau one-man show “Pierre Richard III”, mis en scène par Christophe Duthuron. Pierre Richard se produira ensuite le vendredi 15 janvier 2016 au théâtre du Lycée français de San Francisco.
A l’âge de 78 ans, Pierre Richard reste l’acteur populaire et le pitre qu’il a toujours été, à la fois distrait et sensible. Entre nostalgie, rires et larmes, Pierre Richard nous livrera son histoire.
Son spectacle se présente comme une rétrospective de sa carrière, ponctuée de moments forts, d’aveux, de récits de tournages et de cauchemars.
Ses souvenirs côtoient les images populaires qui ont jalonné sa vie d’artiste. Mobilisant des anecdotes avec quelques compagnons de route tels que Gérard Depardieu, Francis Veber et Mireille Darc, il nous offrira un bon dans le temps, un retour dans son passé.
Ateliers et expo pour les 50 ans de l'Ecole des loisirs
Tout le monde connait les livres et albums de L’Ecole des Loisirs – une maison d’édition incontournable en France dans le monde de la littérature pour enfants.
Pour les 50 ans de l’Ecole des Loisirs, divers événements sont organisés à New York par les Services Culturels de l’Ambassade de France, avec, au centre de ce festival, une exposition.
Celle-ci est présentée à la librairie française Albertine jusqu’au 20 décembre (972 Fifth Avenue, New York). On peut y voir des dessins et illustrations de l’Ecole des Loisirs, par des artistes comme Claude Ponti, Yvan Pommaux, Michel Gay ou Stéphanie Blake.
Egalement au programme, à Brooklyn :
Un atelier est organisé avec les auteurs et illustrateurs Matthieu Maudet et Pénélope Bagieu, qui vont s’engager dans une “bataille de dessins”. Gratuit, pour tous les âges.
– Lundi 14 décembre à 7pm au Community Bookstore (143, Seventh Ave., Brooklyn)
Le 16 décembre, avant-première du film "Les Ardennes" à Los Angeles
Deux frères et un cambriolage qui tourne mal. Dave se voit obligé d’abandonner derrière lui Kenneth. Voilà le décor planté de “Les Ardennes” (“The Ardennes”), film noir tourné dans les Ardennes flamandes.
Deux ans plus tard tout a changé : Dave, de retour sur le droit chemin tente d’aider Kenneth qui sort de prison. Mais l’obsession de ce dernier à vouloir reconquérir sa petite amie empêche toute forme de réparation. Un film âpre et tendu qui parle de trahison. “The Ardennes” va faire l’objet d’un remake américain après un passage remarqué au Festival international du film de Toronto.
Son réalisateur s’appelle Robin Pront et la projection en avant-première est organisée à Santa Monica, mercredi 16 décembre (accès gratuit, mais tickets à prendre à l’avance).
Elle sera suivie d’un pot avec, cela va sans dire, de la bière belge !
Elsie Whitlow Stokes (école publique à programme bilingue)
Quand Luz a fait sa rentrée à Elsie Whitlow Stokes, elle venait tout juste d’avoir trois ans et cette petite fille, dont le père est américain et la mère espagnole, n’avait jamais prononcé un mot de français. « J’étais inquiète parce que Luz allait jusque là dans une petite crèche privée et qu’elle est la plus jeune dans sa nouvelle classe où les élèves de PreK 3 et PreK 4 sont mélangés. Mais la transition a été très facile, ça m’a vraiment surprise. Luz adore aller dans cette école», raconte sa mère.
Elsie Whitlow Stokes a ouvert ses portes il y a presque 20 ans. Cette « charter school » (ou école à charte) est financée en majorité par des deniers publics mais bénéficie d’une très large autonomie dans sa gestion, le recrutement des équipes enseignantes ou les projets au long cours qu’elle souhaite mener.
Pour les élèves les plus petits, les PreK 3 et PreK 4, 90% de l’enseignement se fait en français avec deux professeurs natifs présents en même temps dans la classe. Ils viennent de France, du Canada et d’Afrique francophone et sont souvent là depuis plusieurs années. « Nous voulons que les élèves s’habituent le plus possible à entendre la langue, à la voir écrite », justifie la directrice Erika Bryant. Ensuite, du Kindergarten au 5th grade, le ratio évolue vers un 50/50 avec des élèves qui peuvent par exemple étudier en français avec un enseignant d’un côté de la classe, pendant que leurs camarades travaillent en anglais avec un second professeur de l’autre côté de la salle. « Notre objectif, à l’issue de leur scolarité, c’est qu’ils soient capables de penser, de lire, de parler, de communiquer en deux langues. Ensuite, la plupart de nos élèves rejoignent ‘District of Columbia International School’ (un établissement membre du programme International Baccalaureate, NDLR) », précise encore Erika Bryant.
Pour marquer la fin de leur scolarité, les élèves de 5th grade partent en voyage d’étude pendant une semaine en Martinique où l’équipe de Elsie Whitlow Stokes a noué un partenariat il y a plusieurs années déjà avec l’école élémentaire Simone Vaton de Fort-de-France. « C’est une opportunité de s’ouvrir et explorer le monde. Notre mission est de former des citoyens du monde, responsables de ce qui les entoure. Des élèves ont changé d’orientation après ce séjour, se sont intéressés au commerce international, ont décidé de suivre un autre programme d’échange. Si vous demandez à nos élèves de 5th grade ce qu’ils attendent de leur année scolaire, ils vont tous vous parler de ce voyage ! », s’amuse la directrice Erika Bryant.
L’école Elsie Whitlow Stokes a changé plusieurs fois de localisation et prévoit de s’agrandir encore en ajoutant un nouveau campus dans les années à venir pour accueillir plus d’enfants. Autour du site actuel, qui est un ancien couvent avec des vitraux, perché au calme au sommet d’une petite colline, on trouve notamment deux aires de jeu et un jardin-école. Les enfants y font pousser des légumes et des plantes aromatiques qui peuvent ensuite être servis à la cantine. L’établissement a aussi sa ruche et gère son compost. Autant de matière à étudier pour les enseignants et leurs élèves.
LES PLUS
Seul programme en immersion proposé dans le District of Columbia, école à taille humaine, équipe enseignante stable et facile d’accès pour les parents, jardin-école
LES MOINS
Travaux en vue pour un agrandissement de l’école, certains parents souhaiteraient des menus à la cantine encore plus équilibrés et variés même si l’établissement propose déjà un bar à crudités et prépare les repas sur place
INSCRIPTIONS
Comme pour toutes les écoles publiques du District of Columbia et la plupart des « charter schools », il faut passer par le système de loterie « My school DC » pour entrer à Elsie Whitlow Stokes. Vivre dans le quartier ne constitue pas une voie d’accès privilégiée. Attention, le nombre de places est extrêmement limité. Pour la rentrée 2016, l’école a ainsi reçu 2.000 demandes de nouveaux élèves pour 30 places disponibles… dont la moitié étaient en réalité pré-réservées pour des fratries déjà scolarisées dans l’établissement. Soit un taux d’admission de 0,75%.
L'auteur de "Why LA ? Pourquoi Paris ?" en dédicaces à Los Angeles
Paris et Los Angeles : deux villes si différentes, et pourtant si complémentaires. C’est son amour pour ces deux cités iconiques que Diane Ratican transmet dans son livre illustré Why LA, pourquoi Paris.
Elle le dédicacera le dimanche 13 décembre (1-3pm) chez Monsieur Marcel, un des QG des expatriés français.
Cette Californienne a longtemps vécu à cheval entre les deux métropoles. Des allers-retours qui l’ont confortée dans son envie de leur rendre hommage, appréciant autant l’aspect historique et culturel de Paris que l’esprit d’entreprise qui anime Los Angeles. Au gré des pages, Diane Ratican égrène les anecdotes historiques et les bonnes adresses, ponctuant les peintures.
L’univers coloré de cet ouvrage, imaginé par les illustrateurs Eric Giriat (Français) et Nick Lu (Américain), retrace les similitudes et les différences entre Paris et Los Angeles sur plusieurs thématiques. Un livre à (re)découvrir.