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Christophe Laudamiel, un nez dans les écoles

Je peux varier les ambiances. En un quart de seconde, je peux vous faire voyager partout“. Dans le monde de Christophe Laudamiel, pas besoin de prendre d’avion. Il suffit d’inspirer un bon coup.
Lauréat des Olympiades de Chimie en 1986 et ancien professeur de la même matière au MIT et à Harvard, il dévie de son objectif initial lorsqu’il rencontre, par le biais de son travail, des aromaticiens. C’est une révélation: il devient créateur de parfums et finit par travailler pour Ralph Lauren ou encore Abercrombie & Fitch. Il a depuis lancé sa propre entreprise, Dreamair, spécialisée dans la création d’expériences olfactives.
Aujourd’hui, Christophe Laudamiel veut  aider le grand public à développer son odorat. Pour ce faire, le parfumeur vient de lancer, avec l’aide de François Damide (président de Crafting Beauty), un projet de collaboration avec la High School of Fashion Industries, un lycée de 1.800 élèves dédié aux métiers de la mode et du marketing. M. Damide est aussi trésorier de l'”advisory board” de l’établissement.
Chaque mois, trois élèves se rendent à l’atelier du parfumeur afin de choisir le parfum du mois. “Ils verront le piano de parfumerie. Ensuite on choisira ensemble un parfum. Puis ils construiront un visuel, une explication, un poème pour illustrer le parfum qui est joué dans le lobby de l’école“.
Le Français leur donnera ensuite les composantes du parfum pour permettre aux élèves de les partager avec leurs camarades. “Ce sont des parfums que j’ai déjà créés. Je ne veux pas que l’on puisse croire que c’est facile de créer un bon parfum, une belle composition“.

Scarlett Johansson et l'impolitesse des Parisiens

Scarlett Johansson vit à Paris depuis quelques mois. Elle adore la ville… moins les Parisiens.
De passage chez David Letterman, la star a raconté son installation sur la Rive Gauche (“près du Quartier Latin”), où elle vit désormais avec son fiancé, le publicitaire français Romain Dauriac. Et les Parisiens en prennent pour leur grande.
“Au début, dit-elle, ils étaient sympas. Puis quand ils ont compris que j’allais rester, ils sont devenus impolis”. Principal motif de plainte: la façon de marcher des Parisiens, “qui refusent de céder le passage quoiqu’il arrive”…
Le passage du David Letterman sur CBS:

L'affaire Hollande-Gayet dans la presse américaine: so french

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Revue de presse On ne vous cachera pas notre déception: dans un pays pourtant habitué des scandales politico-sexuels, la révélation de la relation entre François Hollande et Julie Gayet ne passionne guère la presse américaine.
Alors que les Britanniques se délectent, la bombe lancée par Closer est certes évoquée par les journaux et sites d’information, mais avec une discrétion surprenante, notamment de la part des tabloïds. Le New York Post se contente d’un compte-rendu des plus neutres de l’affaire.
La raison de cette relative indifférence? Visiblement l’idée que “les Français sont comme ça”. “D’ordinaire, ce genre de révélation ne choque pas les Français, et celui-ci n’est pas différent”, note le  New York Times,qui prédit que le scoop de Closer ne nuira pas dans l’opinion à un président “déjà bas dans les sondages”.
L’affaire est surtout l’occasion pour la presse américaine de s’intéresser à la fin d’une autre exception française, celle du respect de la vie privée des politiques. Bloomberg, dans un article intitulé “Pourquoi la vie privée des hommes politiques français devient beaucoup moins privée”, y voit “le fruit d’une compétition croissante dans la presse scandale pour un lectorat qui rétrécit”.
Mais tous notent avant tout la quasi unanimité des commentateurs, du personnel politique, et du public français à souligner l’importance du respect de la vie privée. “Le plaidoyer de M. Hollande pour le respect de la confidentialité semble avoir résonné dans le pays”, relève le New York Times, qui établit un lien avec les révélations de l’espionnage de masse de la NSA par Edward Snowden.
Normal ou pas
Alors que le New York Times cite des Français assurant que l’attitude du président français “montre qu’il est normal”, le Christian Science Monitor estime au contraire que l’image véhiculée par les allégations de Closer est bien loin de celle qu’Hollande avait cultivée pendant sa campagne de 2012. « Bien qu’il n’ait pas nécessairement été une lueur d’espoir, son comportement de tous les jours était alors ce que recherchaient désespérément les Français. Son surnom de Monsieur Normal n’était pas charismatique mais les Français voulaient tout ce qui pouvait contraster avec le « bling » de leur ancien Président, Nicolas Sarkozy, qui avait épousé la chanteuse et ancien mannequin Carla Bruni et et n’avait aucun scrupule à mener une vie fastueuse » poursuit le journal avec une pointe de regret, comme si Mr Normal n’existait déjà plus.
 
 

Les films de Godard et Truffaut projetés à l'Austin Film Society

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Envie de revoir les 400 coups ou Pierrot le fou ou de les découvrir sur grand écran ? Ca tombe bien, l’Austin Film Society projette des films de Jean-Luc Godard et François Truffaut jusque fin février !
Du 3 janvier au 23 février, The Austin Film Society diffuse les plus grandes œuvres cinématographiques des deux titans de la Nouvelle Vague française. Cette série est programmée par Lars Nilsen et Chale Nafus.
L’histoire de The Austin Film Society commence en 1985 lorsqu’un un groupe d’amis se réunit pour regarder des films qui n’ont pas été distribués au grand public. Cette réunion prend très vite de l’ampleur –les jeunes gens se faisant passer le mot- et bientôt les cinéphiles sont une centaine : l’Austin Film Sociéty était née. Honorant les grands classiques et les films indépendants, les projections se sont déroulées partout dans Austin.
Aujourd’hui, cette organisation à but non lucratif compte 1900 membres et rassemble une audience considérable lors de leurs programmes– 40 000 en 2012.
 

10 startups françaises à la conquête de New York

Dans la pénombre de la boîte de nuit glaciale où se tient leur “show case”, ils ont tous des étoiles dans les yeux. Ces jeunes entrepreneurs ne cachent pas leur fascination pour New York et leur envie d’y faire leur trou.
Le voyage d’étude à New York semble être devenu le passage obligé de tout entrepreneur français qui se respecte. Dernier en date, celui de ces 10 startups françaises, qui ont traversé cette semaine l’Atlantique pour un voyage organisé par Effective Capital, une société de conseil et VentureOutNY, une association qui fait la promotion de New York auprès d’entrepreneurs étrangers.
Au programme, une immersion intensive dans l’univers de la Silicon Alley et des rencontres avec des “venture capitalists”. Certaines de ces startups sont déjà bien établies en France et même rentables (comme Sellsy, site de gestion des ventes), d’autres plus vertes. La condition pour être du voyage est d’avoir déjà levé des fonds et disposer d’un produit déjà disponible. Et, surtout, de rêver d’Amérique. “Ce sont toutes des entreprises qui ont besoin de New York dans leur business model” explique Ilan Elbase, co-fondateur de Effective Capital.
Avec un niveau d’anglais qui va, selon les cas, de balbutiant à excellent, les 10 jeunes entrepreneurs se lancent sur la scène pour le traditionnel “pitch” de une minute présentant leur produit, forcément révolutionnaire. En coulisses, une majorité disent leur envie de venir s’installer à New York, pour des raisons qui vont des charges françaises (peu citées) à l’énergie américaine (vantée par tous) ou encore la taille du marché états-unien, seule voie, pensent certains, pour atteindre la rentabilité.
Tour d’horizon de ces 10 jeunes entrepreneurs et de leur rêve américain:
premier article: Bobler

JR arrive à Dallas

Après sa récente collaboration avec le New York City Ballet, c’est dans une autre ville américaine, à Dallas qu’on retrouve JR. L’artiste y poursuit son projet Inside Out, qui donne à chacun la possibilité de partager avec le monde son portrait et un message.
Le camion-photomaton du frenchie est d’ores déjà arrivé à Dallas. Vous êtes invités à aller vous faire tirer le portrait au Dallas Contemporary demain de 13h00 à 17h00. N’hésitez pas à partager votre photo sur les réseaux sociaux #insideoutdallas. À partir du 11 janvier et jusqu’au 09 mars 2014, vous pourrez observer vos portraits collés dans une grande exposition des oeuvres de JR.
La cérémonie d’ouverture aura lieu le samedi 11 janvier à 21h00 et l’entrée gratuite.
Artiste clandestin, JR a contribué à exporter l’art en dehors des musées en exposant librement ses créations artistiques dans les rues des villes du monde entier. Ses photographies gigantesques réalisées grâce à la technique du collage traitent des conflits politiques locaux. Il est aujourd’hui l’un des artistes contemporains les plus visibles sur la scène internationale.

EDF, champion de l'énergie éolienne au Texas

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Depuis le 1er janvier, le crédit d’impôt pour les investissements dans les parcs éoliens aux Etats-Unis n’est plus. Mais la filiale américaine d’EDF Energies Nouvelles ne semble pas décidée à ralentir le rythme des ses acquisitions dans le secteur.
Basée à San Diego, en Californie, où elle possède un parc de 150 MW depuis 2008 (Shiloh II, ayant suivi de près le premier projet éolien américain de la société : Fenton, ouvert dans le Minnesota en 2007), EDF Renewable Energy vient en effet d’annoncer l’acquisition d’un parc de 194 MW au Texas (sans toutefois en dévoiler le prix). « Initialement développé par Cielo Wind Power LP », le parc Spinning Spur est le troisième du nom et le sixième projet d’EDF RE dans l’Etat, qui est le premier des Etats-Unis dans le domaine de l’énergie éolienne en plus d’être un centre pétrolier.
Prévu pour 2015, Spinning Spur III « tirera profit des nouvelles lignes Ercot de transmission de l’énergie éolienne dans les zones de l’Etat affichant une forte demande d’électricité », précise EDF RE dans un communiqué. Et pour Tristan Grimbert, président d’EDF RE, « les acquisitions de projets en cours de développement comme celle réalisée au Texas permettent aussi de bénéficier de l’expérience récemment acquise dans l’Etat ».
Le Lone Star State représente désormais « plus de 40 % de la capacité de production actuelle et en cours de construction aux Etats-Unis », qui s’élève à plus d’un millier de mégawatts avec ce nouvel investissement (sachant que le parc éolien américain frôle les 30 gigawatts). Et EDF RE de souligner la faible part des énergies renouvelables dans le bouquet énergétique états-unien (9 %), tandis que l’entreprise s’attend à ce que la demande américaine d’électricité s’accroisse de 20 % dans les deux décennies à venir.
 
Photo : EDF RE

Le rodéo de Fort Worth fait son show

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Le rodéo est une véritable institution au Texas, et plus particulièrement le Fort Worth Stock Show and Rodeo qui a lieu tous les ans en janvier-février. Programmé cette année du 17 janvier au 8 février, il se déroulera au Coliseum de Rogers Will dans le quartier de Stockyards National Historic District.
Cet événement exceptionnel proposera des activités pour toute la famille : concours de cowboys professionnels, expositions –certaines spécialement dédiées aux enfants- ventes aux enchères de bétail, concerts live assurés par des artistes de renommée…
Bon à savoir : la présentation de votre billet pour le Stock Show vous donnera libre accès à 3 musées: The Fort Worth Museum of Science and HistoryThe Cattle Raisers Museum and the National Cowgirl Museum and Hall of Fame.
C’est la tradition depuis 1896 : les ranchers venus de toute l’Amérique se réunissent à Fort Worth accompagné de leur bétail en espérant gagner le premier prix du plus beau taureau, mouton, cochon, volailles.. En 1918 le premier concours de rodéo en salle au monde était ajouté aux festivités.
La Western Parade aura lieu le samedi 18 janvier à 11h00 dans le centre ville de Fort Worth. Vous pourrez y observer des  cowboys défilant avec leurs vaches Longhorn Steers dans les Stockyards, faisant revivre l’époque où la ville était le point de passage des troupeaux composés de milliers de têtes.

Les réfugiés francophones affluent au Texas

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Responsable de l’accueil des réfugiés à Austin pour Refugee services of Texas, Kay Mailander vient de passer un appel à bénévoles francophones pour une famille arrivée de République Démocratique du Congo entre Noël et le Jour de l’An. « C’est une grande famille qui parle kinyarwanda, kiswahili, mais aussi français et pour l’instant  ils n’ont pas de voiture. Or, il y a une fille dans la famille qui est sourde et elle a beaucoup de rendez-vous au médecin. Les bénévoles francophones pourraient aider avec les transports et, avec moi, à organiser les rendez-vous aux hôpitaux et avec les médecins. »
Même son de cloche à Caritas of Austin. Il y a quelques semaines, le responsable du programme de relocalisation de réfugiés de cette association de lutte contre la pauvreté membre de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis, Mamadou Balde, a eu la confirmation que « le nombre de réfugiés de République Démocratique du Congo va augmenter l’année prochaine et le Texas sera l’Etat qui en accueillera le plus grand nombre. »
Au-delà de l’obstacle de la langue
« Ce seront essentiellement des parents accompagnés de leurs enfants mineurs », précise ce Guinéen d’origine. Et même si ces populations ne sont pas en majorité francophones, Mamadou Balde sait que « ce qui manque le plus aux réfugiés d’Afrique qui arrivent dans ce pays, ce sont leurs proches et, de façon générale, les relations sociales que l’on peut nouer dans des sociétés ouvertes où l’on est pas pressé par le temps comme aux Etats-Unis. »
« On n’entre pas en relation avec les autres aux Etats-Unis comme dans des sociétés francophones », confirme Kay Mailander. Au-delà de l’inscription à la Sécurité sociale américaine, de l’apprentissage de la langue anglaise, de la recherche d’emploi, etc., « nos bénéficiaires ont besoin de moments d’échanges au cours desquels ils peuvent aborder des sujets de fond. »
Pour ce faire, « nous avons demandé les financements nécessaires à la remise en place de groupes de parole qui se tiendront notamment en français, mais nous accueillons aussi tous les bénévoles qui se présentent », témoigne la responsable associative, qui ne leur demande néanmoins pas la même chose qu’à des intervenants professionnels.
« Il s’agit simplement de donner un coup de main quand c’est nécessaire pour le bon déroulement de la scolarité des enfants ou pour l’insertion professionnelle et de passer du temps à faire découvrir la vie aux Etats-Unis », explique la Franco-Britannique de Houston Natalie Jones, qui a accompagné une famille rwandaise, puis un Rwandais et un Burundais, il y a huit ans, et reste frappée par « la gentillesse de ces gens ayant vécu des tragédies ».
Les réfugiés, des gens résilients
« Jean-Claude par exemple avait une douzaine d’années quand on lui a annoncé sur le chemin de l’école qu’”il allait mourir aujourd’hui”. Il a dû partir en toute hâte et sans se retourner. Il m’a expliqué que c’était une fuite au cours de laquelle “tu ne t’arrêtes pas pour ramasser pas ta chaussure si tu la perds en courant” et qu’il avait ensuite marché pendant trois mois jusqu’en Gambie », raconte cette ancienne présidente de Houston Accueil.
Natalie Jones a pu interroger les réfugiés qu’elle a accueilli sur les raisons de leur exil, car « après des années passées en camps de réfugiés, on n’a qu’une envie, c’est de partir pour commencer une nouvelle vie, même si cela suppose de redémarrer tout en bas de l’échelle ». Pas de larmes à essuyer, plutôt « le soulagement de parler français à quelqu’un vivant ici et comprenant ce qu’il se passe ». Même jeunes, « les réfugiés ne cherchent pas une famille d’adoption, mais apprécient de passer des moments normaux en famille avec des personnes qui ne sont pas elles-mêmes réfugiées ».
Quelque chose de tout simple pour les francophones expatriés accompagnant déjà leurs concitoyens nouvellement arrivés dans le cadre des accueils francophones. Mais d’inestimable pour les associations. «Pour survivre dans leur pays d’adoption, il est très important que les réfugiés bénéficient des bonnes informations au bon moment », souligne Mamadou Balde. Mais « les travailleurs sociaux qui les suivent ont trop de dossiers pour passer autant de temps qu’ils ne le souhaiteraient avec chaque famille. »
Le faire bénévolement, c’est de toute façon « dix fois plus gratifiant » pour Natalie Jones.

Le retour du festival Noir City à San Francisco

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NOIR CITY, le festival du film noir le plus populaire au monde revient à San Francisco du 24 janvier au 2 février au Castro Theatre.
Pour sa 12ème édition,  le Festival se concentrera sur les années qui suivirent immédiatement la Seconde Guerre mondiale et proposera une programmation internationale -la France, le Mexique, l’Allemagne, la Norvège seront entre autre représentés- faisant exploser  la vieille croyance selon laquelle ce courant cinématographique serait un phénomène spécifiquement américain.
Des stars américaines familières telles que Robert Mitchum, Ava Gardner, Orson Welles, Dan Duryea, et Lizabeth Scott partageront l’écran du Castro Theater avec des superstars internationales comme Jean Gabin, Olga Zubarry, Toshiro Mifune, Ninón Sevilla, Gérard Philipe et Yves Montand.
La Fondation Film Noir est une société sans but lucratif d’intérêt public qui préserve et restaure les grands classiques des films noir pour qu’ils soient à la disposition des futures générations.

La Philharmonie de chambre Lutèce s'offre le Carnegie Hall

Schoenberg, Berg, Webern… Ces noms vous sont familiers ou, au contraire, inconnus? Vous pouvez les (re)découvrir lors de la représentation du Philharmonie Lutèce au Carnegie Hall le mardi 28 janvier à 20h00.
Composé d’un quintette à cordes et d’une gamme d’instruments de cuivres et de bois, cet orchestre de chambre rassemble des jeunes musiciens français diplômés du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris.
Crée par le chef d’orchestre français  Serâ Tokay en 2011, son répertoire se concentre sur les compositeurs du début du XXème siècle. Des représentations ont déjà été données à Paris et à Londres, et l’orchestre a été récemment l’invité de la fondation Stravinsky à Genève où les musiciens ont interprété des transcriptions originales pour formation de chambre d’œuvres orchestrales de Stravinsky.

Soirée networking à la chambre de commerce de San-Francisco le 22 janvier

Vous souhaitez rencontrer des professionnels francophones ou simplement passer du temps avec la communauté franco-américaine de la région ? Rendez-vous le 22 janvier pour la rencontre organisée par la chambre de commerce franco-américaine de San Francisco.
L’événement baptisé “French American Mixer” a pour objectif d’aider les hommes d’affaires français et américains à se rencontrer, discuter et échanger des idées dans un cadre  convivial.
La FACCSF organise régulièrement des événements et Networking programs à San Francisco et dans la Silicon Valley. Ses membres ont l’opportunité de rencontrer des professionnels de haut-niveau et bénéficient de l’échange entre entreprises Françaises et Américaines.