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Haïti : déjà 27 millions de dollars levés par SMS

Pour la Mobile Giving Foundation (MGF), le tremblement de terre en Haïti a des airs de baptême du feu. Depuis huit jours, cette jeune organisation caritative spécialisée dans la collecte de dons par téléphone mobile a permis de lever 27 millions de dollars au profit d’une vingtaine d’associations humanitaires présentes sur l’île dévastée, dont la Croix Rouge Américaine, la Fondation Clinton ou encore l’association du chanteur d’origine haïtienne Wyclef Jean. Et ce n’est pas fini. Les dons continuent d’affluer, tandis que les demandes d’associations désireuses de s’adosser au système mis en place par la MGF se multiplient.
Fabrice Sergent, administrateur de la MGF et patron de Cell Fish Media, la société de marketing mobile qui opère gracieusement en tant que plate-forme technique pour le compte de la MGF, n’en revient pas : « 27 millions de dollars, c’est considérable, bien au-delà de nos attentes. Et cela prouve que le SMS est un instrument simple, efficace et complètement démocratique pour inciter un public jeune à faire des micro-donations qui n’auraient sans doute pas eu lieu sans cette technologie. » Pour verser 5 ou 10 dollars au profit de l’une des associations affiliées à la MGF, rien de plus facile. Il suffit de choisir son montant, de taper un mot-clé dans un SMS – par exemple « Hope10 » pour l’UNICEF ou « Habitat » pour « Habitat for Humanity », et de l’envoyer vers un numéro codé –20222 dans le cas de l’UNICEF, 25383 dans le cas de « Habitat for Humanity ».
La somme donnée viendra directement s’ajouter au montant de votre facture de téléphone mobile. La totalité des 13 opérateurs de téléphonie mobile présents aux Etats-Unis s’est engagée à ne pas prélever de commission, et à reverser 100% du don à l’association bénéficiaire. Un long travail de persuasion que les équipes de la MGF ont entamé il y a deux ans, et qui porte largement ses fruits aujourd’hui. « C’est parce que nous travaillons sur le système depuis longtemps que nous avons pu être aussi réactifs sur Haïti », souligne Fabrice Sergent.
L’organisation ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. « Nous voulons continuer notre engagement en Haïti au-delà de l’état d’urgence dans lequel se trouve l’île », déclare-t-il. Mais aussi faire bénéficier d’autres associations et d’autres causes du système mis en place par la MGF, quitte à ce qu’elles soient moins médiatisées qu’Haïti. « Il existe plus d’un million de ‘non for profits’ aux Etats-Unis, et 3 milliards de teléphones mobiles dans le monde, indique Fabrice Sergent. N’importe quel modèle, même le plus bas de gamme, permet d’envoyer des SMS. C’est formidable quand la technologie sert à changer profondement la société, et le fait de façon universelle. »
Voici la liste des organisations affiliées à la MGF et leur codes respectifs pour effectuer un don :
Text the word “Yele” to 501501 to donate $5 Text the word “Yele10” or “YeleTen” to 501501 to donate $10 On behalf of the Yéle Foundation, the leading contributor to rebuilding Haiti founded by Wyclef Jean
Text the word “Haiti” to 20222 to donate $10 On behalf of the Clinton Foundation Haiti Relief Fund Text the word “Haiti” to 52000 to donate $10 On behalf of the Salvation Army
Text the word “Hope10” or “UNICEF” to 20222 to donate $10 On behalf of UNICEF Text the word “Haiti” to 40579 to donate $10 On behalf of the National Religious Broadcasters (NRB)
Text the word “Save” or “Safe” to 20222 to donate $10 On behalf of Save the Children Federation, Inc. Text the word “Give” or “World” to 20222 to donate $10 On behalf of World Vision Inc.
Text the word “Haiti” to 85944 to donate $10 On behalf of the International Medical Corps Text the word “Haiti” to 25383 to donate $5 On behalf of the International Rescue Committee
Text the word “Oxfam” to 25383 to donate $10 On behalf of Oxfam America, Inc.www.oxfamamerica.org Text the word “PP” to 25383 to donate $10 On behalf of Cooperative for Assistance Relief Everywhere, Inc
Text the word “Americares” to 25383 to donate $10 On behalf of Americares, Inc. Text the word “Habitat” to 25383 to donate $10 On behalf of Habitat for Humanity Text the word “Give” to 25383 to donate $10 On behalf of the MTV telethon
Text the word “AJWS” to 25383 to donate $10 On behalf of the American Jewish World Service Text the word “Haiti” to 90999 to donate $10 On behalf of the American Red Cross in the U.S. Text the word “Haiti” to 45678 (In Canada Only) On behalf of the Salvation Army in Canada
Text the word “Haiti” to 30333 (In Canada Only) to donate $5 On behalf of the Plan Canada Text the word “Hope” or “Monde” to 45678 (In Canada Only) to donate $5 On behalf of World Vision Canada
Text the word “CAHAITI” to 20222 (In Canada only) to donate $5 On behalf of CLINTON GIUSTRA SUSTAINABLE GROWTH INITIATIVE

Basse Californie : entre mer et désert

La mer ou le désert ? En Basse Californie, il faut sans arrêt choisir car l’une comme l’autre ne cesse de vous faire des clins d’œil en vous invitant à chaque instant à venir découvrir ses charmes et l’une comme l’autre ne sont jamais loin. Ce long doigt de 1300 kilomètres, au sud de San Diego, n’est parfois pas plus large que 45 kilomètres. D’un côté le Golfe de Californie et de l’autre, l’Océan Pacifique. Certains sont tentés de parcourir l’intégralité de la péninsule en voiture. À leur arrivée à Cabo San Lucas, à l’extrême sud, ils vous déclarent avec beaucoup de franchise en sirotant une Corona que si c’était à refaire, ils ne le referaient pas. Le conseil m’a été confirmé par mon guide local. La route du nord au sud de la Baja ? Trop longue, jalonnée de policiers pas toujours clairs avec les touristes et finalement assez monotone. Mieux vaut, par conséquent, choisir une région et s’y tenir. En l’occurrence, pour ma part, le sud, autour de La Paz, petite ville mexicaine sans surprise mais avec une jolie baie et un front de mer qui rappellent un peu le Malecon de La Havane et pas seulement parce qu’il est de coutume de s’y balader en fin de journée.
À partir de La Paz, il est facile de partir sur les routes à la découverte de cette étonnante proximité entre le désert mexicain et la mer ou l’océan. Point commun : l’immensité ! Côté terre des kilomètres carrés sans habitation, avec d’énormes cactus pour seule végétation et des côtes découpées sur lesquelles on découvre des plages à la virginité à peine violée. Côté mer, des lagons insensés, des îles et îlots pour la plupart classés au Patrimoine Mondial de l’Humanité et des baleines. Impossible de manquer les cétacés. Plus de 2000 baleines se donnent rendez-vous tous les ans dans la région, plutôt côté Pacifique, entre décembre et mars pour mettre bas leur baleineau. Magique ! Amateurs de nature, la Baja est à vous. Pour combien de temps encore ? Quelques belles années encore mais méfiance car dans mes notes de voyage il y a tout de même quelques points noirs. À La Paz, on a gâché le coucher de soleil en construisant en plein dans l’axe du soleil couchant, des immeubles d’habitation. Dans l’extrême sud, il faut vite oublier « el corridor », la zone d’une trentaine de kilomètres qui s’étend de Cabo San Lucas à San José del Cabo. L’urbanisation s’y est faite dans la plus grande anarchie. Hôtels, centres commerciaux et entrepôts y jouent des coudes. Malheureusement, c’est souvent la dernière vision que l’on a de la Basse Californie lorsque l’on rejoint l’aéroport de San José pour le départ. Quel dommage.
À faire :
À partir de La Paz, prendre la route et remonter la Baja jusqu’à Guerrero Negro pour les plus courageux (limite nord/sud) ou jusqu’à Loreto, si vous voulez faire moins de route. Le trajet vous donnera l ‘occasion de visiter plusieurs missions, dont la plus ancienne, à Loreto, terminée en 1697 par les Jésuites. Deux jours, peut-être trois, voire quatre, tout dépend de votre rythme. C’est selon.
À voir absolument :
Autour de La Paz, l’exceptionnelle Bahia Balandra. Un décor de rêve. Montagnes, mangrove, plages de sable blanc et d’incroyables nuances de bleu et de vert dans l’eau.
Plus au nord, près de Mulegé, la somptueuse Bahia Concepcion. Là aussi le paysage est à tomber. Sur la plage Los Naranjos, on peut louer des cabanes et se sentir seul au monde, les pieds dans l’eau et la tête dans la montagne.
À voir également la très belle palmeraie de Mulegé
Toujours sur la route qui remonte la Baja vers le nord, le point de vue sur le volcan Las Res Virgenes (les Trois Vierges) qui culmine à près de 2000 mètres vaut vraiment le détour, ainsi que le petit village de San Ignacio.
À faire absolument :
De décembre à mars, embarquer à bord d’une panga, l’embarcation traditionnelle, pour observer et même toucher l’une des nombreuses baleines grises qui séjournent dans la Laguna Ojo de Liebre, sur la côte ouest de la Baja. Émotions considérables pour ceux que les baleines attendrissent impressionnent ou passionnent, très beau spectacle de la nature pour les autres.
Comment y aller ?
En avion
Le plus simple est de faire un stop à Los Angeles puis de continuer soit vers La Paz, soit au sud  vers Cabo San Lucas. Plusieurs compagnies aériennes desservent le sud, un peu moins La Paz, moins touristique. On peut également faire un stop à Mexico. La Paz est ensuite à 2h20 d’avion de la capitale mexicaine.
Par la route
Depuis San Diego ou Los Angeles, nous l’avons dit, le trajet est long, monotone et très souvent perturbé par des contrôles policiers pas clairs.
Où séjourner ?
À La Paz, très peu d’hôtels. Nous avons trouvé un joli B & B, en peine ville, à quelques minutes à pied du Malecon. El Angel Azul est tenu par sa propriétaire Esther, une Suissesse allemande qui dirige son équipe avec fermeté.
Pour un break total, une retraite zen, en pleine nature, loin de la ville et du premier village, je suis allé voir le « Laguna Ecological Center ». Une dizaine de paillotes au milieu des dunes et des cactus, un confort un peu rustique mais c’est voulu, car on vient ici pour se ressourcer autour de l’essentiel. Yoga, méditation, massages, activités artistiques sont au programme de chaque jour. (www.ecobaja.com)
Où manger ?
À La Bohème, un restaurant tenu par des Français, Jean-christophe et Marjorie. Bonne cuisine et cadre très agréable. On déjeune et dîne dans un patio fleuri car le restaurant a été aménagé dans une maison ancienne, en plein centre ville.
Le couple s’occupe également de Mexcapade, le voyagiste qui peut vous organiser votre séjour et vos activités.
Où boire un verre ?
Sur l’une des terrasses du Malecon pour assister au coucher du soleil sur la baie en savourant une Corona ou une Sol, deux bières typiquement mexicaines.
Un dernier conseil ?
Surtout n’hésitez pas à louer les services d’un propriétaire de bateau pour aller en mer. Pendant la saison des baleines, c’est évidemment magiques, mais certaines sont présentes toute l’année. Surtout, depuis la mer, vous obtiendrez des points de vue extraordinaires et découvrirez des baies uniquement accessible en bateau.
À consulter :
www.basse-californie.org et www.mexcapade.com
A lire :
Guide Ulysse  Los Cabos et La Paz
Lonely planet Mexique

Jonathan Zrihen: décontracter la beauté américaine

Qui a dit qu’il fallait souffrir pour être belle? Sûrement pas Jonathan Zrihen, le PDG de Clarins pour l’Amérique du Nord : « Pour les Américaines, la beauté est un régime, presque au sens militaire, ce n’est pas un moment de relaxation. Ce que j’essaie d’apporter c’est cette notion de moment pour soi, de plaisir. » Clarins détient 5% de part de marché aux Etats-Unis, une part en constante croissance. Les Etats-Unis sont le deuxième plus grand marché pour la marque, après la France.
Fraîchement diplômé, Jonathan Zrihen frappe à la porte du groupe Clarins après avoir entendu son fondateur Jacques Courtin Clarins lors d’une conférence. Il entre pour un stage en 1993. L’ascension est rapide et les déplacements s’enchaînent : Espagne, Australie, Afrique du Sud… En 1999, Christian Courtin, le fils lui confie les rennes du bureau régional de l’Asie basé à Singapour. Il sillonne alors l’Asie (la définition de la région pour le groupe comprend l’Inde, le Japon, l’Australie, la Nouvelle-Zélande). Il est comme un poisson dans l’eau à l’international et aime la dimension culturelle. « Je parle avec les vendeuses, j’observe les rituels de beauté, le rapport à la beauté. ». Un entraînement qui l’a immunisé contre le décalage horaire : à peine débarqué de l’avion de retour de Paris, il va jouer au tennis dans la soirée. Depuis qu’il est aux Etats-Unis, il continue à voyager beaucoup, non seulement au siège à Paris donc mais aussi dans les malls et grands magasins où sont vendus ses produits. « J’ai la chance de poser beaucoup de questions et la plupart des réponses me sont données sur le terrain. »
La particularité du marché américain? “Des concurrents très forts”, répond Jonathan Zrihen, sans hésiter. Il est un peu le Némo dans un océan peuplé de gros poissons, les Estée Lauder, Elizabeth Arden, L’Oreal… Pour continuer dans la métaphore aquatique, l’un de ses livres de business favoris s’intitule The Blue Ocean strategy. Le postulat est simple : on crée de la valeur en se différenciant de la concurrence. Il faut éviter la concurrence acharnée qui mène au bain de sang : quand on trouve une idée différente, on navigue dans un océan bleu. « Il est rare de trouver cette idée a priori, on se rend compte que l’on a eu une telle idée a posteriori » concède-t-il.
Clarins a récemment ouvert 14 “skin spas” dans ses points de vente les plus stratégiques dont Bloomingdale’s. Cela consiste en une ou deux cabines au milieu d’un magasin, où l’on peut se faire faire un soin du visage en toute intimité; en ligne avec la beauté par le plaisir. Comment peut-on appliquer cette philosophie de moment pour soi quand on est CEO ? « J’ai des soupapes de décompression” : la famille, le sport et le cinéma. Féru du septième art, il est d’ailleurs abonné à la formule Netflix cinq DVD (en général il en garde 3 pour lui, en prend 2 pour les enfants). L’un des derniers films qu’il ait vu ? Inglorious Basterds de Quentin Tarantino. « Les 15 premières minutes sont dignes d’Il était une fois dans l’ouest de Sergio Leone. Un suspens de fou. »

Tenez vos résolutions 2010 avec Edwige Gilbert

Edwige Gilbert est un peu comme un rayon de soleil qui rentre dans une pièce, grande élancée, souriante avec de grands yeux bleus qui illuminent son visage, elle dégage une sérénité et une joie de vivre immédiate. On a envie de lui parler, de se confier, ça tombe bien. Edwige Gilbert est à l’écoute.
De quelle manière aidez-vous les gens à apprivoiser leur stress ?
A travers mes expériences et 20 ans d’étude et de pratique  du yoga, de l’hypnose et de la méditation, j’ai élaborée des recettes de vie, qui sont présentées dans un livre intitulé The Fresh Start Promise dans lequel je propose un programme de 28 jours pour transformer le stress en énergie positive et se débarrasser de nos mauvaises habitudes et créer un équilibre émotionnel indispensable à notre bonheur.
Donnez-vous  des consultations ?
Oui je fais de nombreuses conférences à New York et en Floride. Je travaille également avec des sociétés qui font appel à moi pour coacher leurs équipes, j’ai travaillé par exemple avec Citibank, Smith Barney et bien d’autres. Le stress est réellement un état qui peut être contrebalancé si on travaille. Le but est de retrouver l’équilibre, l’harmonie et surtout la joie de vivre qui est un concept typiquement français. Je propose également des consultations privées, qui peuvent être téléphoniques et je bâti un programme personnalisé pour chaque client, je leur remet un CD avec un programme à suivre pour éliminer les mauvaises habitudes, manger différemment, apprendre à respirer. Jusqu’ à fin février, j’offre les 15 premières minutes de consulation.
Où peut-on vous écouter et vous rencontrer à Miami?
Je collabore avec le magazine «Vive». Dans le dernier numéro je révèle les secrets pour tenir ces résolutions en 2010. Je serai en conférence à Miami le 29 Janvier à l’hôtel Colonnade à Coral Gables. Je vais expliquer comment éliminer les mauvaises habitudes, travailler ses émotions et contrôler son stress. Je propose différentes techniques simples et ludiques qui vont permettre de retrouver un équilibre de vie. Conférence au Colonnade Hotel : Informations et inscription  www.vivemagazine.com Je prépare également un autre séminaire le 11 Mars à Miami.
Edwige Gilbert : www.edwigegilbert.com

Neptune Cigar ouvre sa première boutique

Très bel endroit dans lequel vous trouverez une belle sélection de plus de 800 cigares entre 1 et $20 pièces et 300 accessoires de cigares. Vous pouvez même tester, puisqu’il y a un fumoir lounge.
9308 South Dixie Highway
Miami, FL 33156
www.NeptuneCigar.com
1-800-655-3385
1-305-670-0633

Lanzallamas Monofonica en concert

Voilà un groupe qui déploit une énergie incroyable. Au total, 8 chanteurs et musiciens (guitare, basse, piano, batterie, percussions, violon). Ils chantent en espagnol. L’une des deux chanteuses est originaire de Miami. Difficile de décrire leur musique : afro, latino avec un rythme «caraïbe». Très, très sympa !
L’entrée est gratuite, mais il faut consommer bien-sûr.
Van Dyke Café
846 Lincoln Road
Miami Beach, FL
305-534-3600
http://thevandykecafe.com

The South Beach Comedy Festival

Parmi les comédiens qui se produiront au festival, les artistes du « Daily Show » au Jackie Gleason Theater Samedi 23 Janvier à 9 pm. Prix des places $ 37,50.
Vous pouvez consulter le programme :
http://www.southbeachcomedyfestival.com/

« godonAmerica », un nouveau venu dans le Design district

Le concept de la galerie “godonAmerica” est original : l’espace est dédié à un seul artiste Alain Godon. A la fois une galerie et un show room destiné à la vente « wholesale » de reproduction des œuvres sur le territoire américain et en Amérique Latine. Le but est de créer un réseau de revendeurs à travers le pays, cela peut-être des boutiques cadeaux, des décorateurs , des chaînes de magasins, etc.
À l’initiative de cette nouvelle façon de vendre de l’art, Bernard Markowicz qui n’en est pas à son premier essai puisqu’il a été longtemps directeur associé de l’« Opera Gallery » à Bal Harbour. Le concept de cette galerie a été conçu comme un véritable produit avec un plan marketing ,  les œuvres sont commercialisées selon 3 éditions : godonPrestige, godonEntoilés et godonBildoReliefo déclinées sur différents supports et éditées de un à 350 exemplaires.
Alain Godon est une valeur sûre du moment, qui expose déjà à Paris, et New York. Ses tableaux aux formes enfantines sont très colorés et plein d’humour. Son chien est par exemple dissimulé dans toutes ses œuvres. Ses thèmes favoris sont Paris et New York dont il peint les lieux connus avec beaucoup de rythme et d’originalité. Son prochain thème sera Miami.
N’hésitez pas à rentrer dans cette galerie, vous serez reçu par Arielle Biscayart qui vous expliquera avec passion, les différentes matières et formats sur lesquels sont reproduites les œuvres.
Galerie “godonAmerica”
1st NE 40 street, Miami, FL 33137
Tel: 305 303 1218
Photos: Georges- Felix Cohen
 

International Chocolat Festival

23 et 24 Janvier de 9:30am à 5:30pm
Prix : gratuit pour les membres, non membre $20 et enfants $10.
Fairchild Tropical Botanic Garden
10901 Old Cutler Rd
Pinecrest, FL
305-667-1651
http://fairchildgarden.org

Exposition José Gurvich au Frost Museum

Ce peintre né en 1927 en Lituanie s’est installé à New York en 1970 où il mourut 4 années plus tard. À découvrir au Frost Museum.
Mercredi 20 Janvier à 6 pm, jusqu’au 11 Avril
http://thefrost.fiu.edu/newsletter.html
The Patricia & Phillip Frost Art Museum
Florida International University, University Park
10975 SW 17th Street
Miami, FL 33199
Tel: 305.348.2890

Alain Altinoglu dirige Carmen au Metropolitan Opera

Alain Altinoglu dirigera cette nouvelle production de Carmen mise en scène par le britannique Richard Eyre pour 8 représentations au Met, puis dès octobre au Chicago Lyric Opera.
Le Français a commencé en tant que pianiste au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris où il a enseigné pendant plus de dix ans. Son répertoire symphonique étendu l’a mené aussi à diriger de nombreuses créations mondiales. Parmi ses projets, on peut noter Salomé à l’Opéra de Paris, La Flûte Enchantée à l’Opéra de Munich, ainsi que Roméo et Juliette au Staatsoper de Vienne.
Carmen, Mercredi 27 et Samedi 30 janvier, Lundi 1, vendredi 5, mardi 9, samedi 13 février, Mercredi 28 avril et Samedi 1er mai à 8pm
Metropolitan Opera Lincoln, 50 Lincoln Center Plaza, 212- 362-6000
Prix : à partir de $15
Plus d’infos: www.metoperafamily.org

Séance de psy au Lycée Français

Serge Tisseron est un psychiatre et psychanalyste français auteur d’une trentaine d’ouvrages. Il travaille essentiellement sur deux thèmes : les secrets de famille et les relations que nous établissons avec les images.
Il présentera une conférence intitulée “Tintin et les secrets de famille”. Issu d’un milieu modeste, Serge Tisseron s’intéresse à la « sous culture », comme la bande dessinée, les graffitis ou les séries télé. A partir de l’étude de l’œuvre de Hergé, il propose une vision d’ensemble des questions posées par l’existence des secrets de famille et leur impact sur plusieurs générations.
Le mercredi 3 février au Lycée Français de New York, 505 East 75th Street, (212) 369-1400
Plus d’infos sur le blog de Serge Tisseron: http://squiggle.be/tisseron
Et sur : http://www.alliance-us.org