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L’enseignement bilingue à San Francisco : webconférence gratuite

— REPLAYS —
? L’enseignement bilingue dans la Silicon Valley
? L’éducation française à San Francisco and East Bay

Vous êtes parent, francophone, aux États-Unis ? Quelles sont les options d’éducation bilingue pour votre enfant ?

Du 3 au 7 octobre 2022, des milliers de parents auront l’occasion de venir découvrir en ligne les options d’éducation bilingue disponibles pour leurs enfants dans quatre grandes régions des États-Unis, en assistant à des webinaires de présentation et en interagissant en direct avec les représentants des écoles et des programmes périscolaires représentés.

? Inscription gratuite

Nous vous proposerons notamment une session dédiée à San Francisco et East Bay, ainsi qu’une deuxième session dédiée à la Silicon Valley.

Avec :

  • Olivier Monteil de la Silicon Valley International School
  • Mireille Sagne, Amina Maine et Emmanuel Texier du Lycée Français de San Francisco
  • Sirika Yong et Karine Luguet de la French American International School

L’édition 2022 de la Bilingual Education Fair des États-Unis est sponsorisée par :

Avec le soutien de :

Retrouvez le programme complet du salon.

L’éducation en français en Californie du Sud : webconférence gratuite

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— REPLAY — Visionnez l’enregistrement de la webconférence ici

Vous êtes parent, francophone, aux États-Unis ? Quelles sont les options d’éducation bilingue pour votre enfant ?

Du 3 au 7 octobre 2022, des milliers de parents auront l’occasion de venir découvrir en ligne les options d’éducation bilingue disponibles pour leurs enfants dans quatre grandes régions des États-Unis, en assistant à des webinaires de présentation et en interagissant en direct avec les représentants des écoles et des programmes périscolaires représentés.

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Une session sera dédiée à l’éducation en français en Californie du Sud, avec Juliette Lange du Lycée International de Los Angeles.

L’édition 2022 de la Bilingual Education Fair des États-Unis est sponsorisée par :

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Donner du sens au français pour ne pas le perdre : en immersion à l’EFGB

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Cette semaine, French Expat continue sa série de podcasts en immersion dans les écoles bilingues de Boston. Après un épisode à la Milton Public School, direction la ville de Cambridge, accolée à Boston.

J’ai choisi de me rendre dans cette école car son histoire et son approche m’ont interpellée. L’EFGB, aussi connue sous le nom de École Française de Greater Boston, n’a pas toujours été une école traditionnelle. Il s’agit d’une école communautaire initialement créée il y a une quinzaine d’années par des parents d’élèves français installés dans la région de Boston qui souhaitaient offrir des alternatives financièrement abordables aux familles afin d’apprendre le français à leurs enfants. Initialement un programme de cours de français after school – après l’école donc -, c’est aujourd’hui une école multi campus qui propose une scolarité de la petite section de maternelle au CM2.

Merci à Hervé Seux (cofondateur de l’école) ainsi qu’à l’équipe enseignante et aux enfants pour leur participation et leur accueil chaleureux au sein de l’école.

French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d’écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music.

Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief.

Expat expert : l’immobilier new-yorkais décrypté par Jean-Luc Teinturier

[Article partenaire] On ne le répètera jamais assez, lors d’un achat immobilier aux États-Unis, il est primordial de se faire accompagner par un agent immobilier qualifié et de confiance. D’autant plus lorsque l’on est français et, par conséquent, pas familier avec le système immobilier américain.

Jean-Luc Teinturier est un agent immobilier franco-américain, installé entre Manhattan et Greenwich, Connecticut depuis trente ans. Jean-Luc revient sur la situation actuelle de ces deux marchés.

Bonjour Jean-Luc, pouvez-vous nous décrire votre parcours : comment êtes-vous arrivé dans l’immobilier ?

Jean-Luc Teinturier : J’ai tout d’abord acquis une expérience en tant que salarié Directeur de filiale à New York. Je me suis ensuite dirigé vers l’entrepreneuriat, notamment sur des créations et cessions d’entreprises. Et depuis 2013, j’ai décidé de me lancer en tant qu’agent immobilier dans les États de New York et du Connecticut.

L’immobilier m’a toujours plu. J’ai effectué plusieurs transactions à titre personnel en tant que marchand de biens. Ces expériences m’ont apporté de nombreuses connaissances, qui me permettent aujourd’hui de comprendre et de m’adapter à chaque demande et problématique de mes clients ; que ce soit pour une location, un investissement immobilier ou tout simplement pour une résidence principale, en gardant en tête la revente à plus ou moins long terme.

Comment bien s’entourer lors de la réalisation d’un projet immobilier à New York ?

Jean-Luc Teinturier : Ces années d’expérience m’ont permis d’apprendre à connaître et de m’entourer de professionnels français et/ou américains en qui j’ai une entière confiance : experts-comptables, fiscalistes, banquiers et avocats … Ces professionnels sont indispensables pour conseiller mes clients et les aider à prendre les meilleures décisions, limiter les risques et optimiser leur investissement immobilier.

Par ailleurs, j’ai la chance de travailler au sein du groupe Coldwell Banker, qui est le leader mondial de l’immobilier de prestige,  numéro un dans le Connecticut et septième agence immobilière à New York. Coldwell Banker est présent dans plus de cinquante pays, notamment en Europe.

Comment se porte le marché de l’immobilier à New York  ?

Jean-Luc Teinturier : Avant toute chose, il est important de noter que le COVID a, comme partout ailleurs dans le monde, changé beaucoup de choses à New York, et l’immobilier n’y a pas échappé. À Manhattan par exemple, cela fait maintenant trois ans que le marché est en chute. Nous sommes désormais sur un marché d’acheteurs dans ce borough. Brooklyn quant à lui se maintient bien, notamment car les prix y sont bien plus raisonnables. Des quartiers entiers au nord comme Williamsburg, Greenpoint, ou encore Bushwick, Bedford et Stuyvesant se gentrifient à leur tour, ce qui se traduit par une augmentation constante des loyers et des prix de vente. Il en va de même pour Midwood, situé au cœur de Brooklyn, où le prix des appartements neufs a augmenté de plus de 20% en trois ans.

Pour en revenir à Manhattan, comme dit précédemment, les prix de vente ont fortement baissé. Cependant,  les loyers ont connu depuis un an de très fortes hausses, ce qui améliore la rentabilité pour les propriétaires.

Le ticket d’entrée est donc certes plus cher, mais il y a toujours de réelles opportunités à saisir pour du locatif ou pour se loger (pied-à-terre ou résidence principale), car les prix de l’immobilier à moyen terme à Manhattan vont remonter.

Investir dans l’immobilier à New York est-il toujours intéressant, compte-tenu des charges ?

Jean-Luc Teinturier : Oui, il faut cependant être vigilant au quartier et faire appel à un agent immobilier de confiance qui saura vous conseiller. En termes de property tax et charges de copropriété, Brooklyn est beaucoup plus avantageux que Manhattan ; que ce soit pour des condominiums, des coop ou des petits immeubles. La rentabilité y est supérieure : de 4 a 6 % pour Brooklyn contre 2 à 3% pour Manhattan.

Vous habitez à Greenwich, Connecticut. Recommanderiez-vous à vos clients d’y investir également ?

Jean-Luc Teinturier : Oui ! La ville de Greenwich, Connecticut, où je réside depuis plus de trente ans, offre une qualité de vie exceptionnelle. On y trouve notamment une plage réservée aux habitants de la ville, des écoles privées, un lycée ainsi qu’une école maternelle et secondaire publique d’un excellent niveau. Il y a par ailleurs huit golfs ainsi qu’un centre ville charmant rempli de restaurants qui sauront ravir les plus gourmands.

En ce qui concerne les chiffres, les taxes immobilières ou property tax y sont deux à trois fois inférieures à celles du Westchester.

Enfin, le charme, la sécurité, la proximité à Manhattan (moins d’une heure) sont autant de raisons qui font de Greenwich une ville où il fait bon vivre.

Où conseilleriez-vous d’acheter à Greenwich, Connecticut ?

Jean-Luc Teinturier : Greenwich comporte cinq quartiers, donc cinq micro marchés : Byram au sud, Greenwich downtown au centre avec Midcountry et BackCountry, Cos Cob, Riverside et enfin Old Greenwich.

À Greenwich Midcountry et BackCountry, vous aurez la possibilité d’acquérir une belle maison avec un terrain d’un acre (plus de 4 000 mètres carré) ou plus, avec ou sans piscine (terrain piscinable). Cos Cob, à l’origine un quartier d’immigrés italiens, compte un peu moins de 10 000 habitants. Ce quartier est central et proche du centre ville, de la gare et à dix minutes de la plage. Les prix y sont plus modérés. Pour finir, Riverside et Old Greenwich sont les deux quartiers les plus proches de la plage, donc très prisés par les familles.

Quels sont les prix de l’immobilier à Greenwich ?

Jean-Luc Teinturier : Le prix moyen actuel d’une maison à Greenwich est de 2.3 millions de dollars et semble se stabiliser. Il faut toutefois garder en tête que l’inventaire est faible, pour une forte demande : il vous faudra donc un dossier solide préparé en amont et être prêt à faire une offre. Il y a en effet plus de dix acquéreurs en moyenne pour une vente.

Les prix du mètre carré à Greenwich restent en moyenne deux à trois fois moins élevés qu’à Manhattan et inférieurs à ceux de Brooklyn. La différence est encore plus flagrante si vous allez un peu plus au Nord, à Norwalk ou à Wilton par exemple.

Êtes-vous disponible pour accompagner de futurs acquéreurs francophones dans leur investissement à Greenwich ou New York ?

Jean-Luc Teinturier : Bien-sûr ! Que ce soit pour un achat, une vente ou une location à New York ou dans le Connecticut, je serai ravi de prendre en charge votre recherche que j’assumerai comme si c’était pour moi même, en intégrant bien vos objectifs à moyen et long terme.

N’hésitez pas à me contacter, par téléphone et sur WhatsApp au 203.550.5945 ou par mail à l’adresse suivante : [email protected].

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

[Vidéo] Acheter un bien immobilier à New York : les 7 erreurs à éviter

Dans quelle zone acheter ? Quelles sont les opportunités du moment ? Quel est l’état du marché en 2022, quelles prévisions pour 2023 ? Quelles sont les 7 erreurs à éviter ?

Nous vous donnions rendez-vous mardi 20 septembre 2022 pour un webinaire dédié au sujet avec Renaud de Tilly et Marius Coulon de DE TILLY REAL ESTATE.

Visionnez le replay sur notre chaine YouTube

Contactez Renaud de Tilly : (347) 614-6070 · [email protected]

The American French Film Festival : «Notre-Dame brûle» en ouverture de la 26e édition à LA

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Du lundi 10 au dimanche 16 octobre, The American French Film Festival, ex-COLCOA, présentera au Directors Guild of America Theater Complex de Los Angeles (DGA), 75 films et séries aux spectateurs. 71 concourront à la compétition officielle, dont les lauréats seront annoncés à Paris le mercredi 2 novembre.

Rebaptisé en mai dernier « The American French Film Festival », l’ex-festival COLCA présentait ce mardi 20 septembre à la Résidence de France du Consulat de Los Angeles, aux côtés du Fonds Culturel Franco-Américain (FCFA), la liste officielle des films et séries engagées pour sa 26ème édition.

«Extraordinaire dynamisme» du cinéma français

Au micro, François Truffart, producteur et directeur artistique du festival, détaillait la programmation avec en ouverture du festival annoncée, la projection du film de Jean-Jacques Annaud, « Notre-Dame Brûle » (« Notre-Dame On Fire »). « Un film épique signé du vétéran du cinéma français, détaillait-il, et un thème qui affecta particulièrement les français de l’étranger comme les Américains, qui participèrent activement à la reconstruction de Notre-Dame. »

Dans le détail, le festival accueillera donc 75 films et séries, et proposera 20 court-métrages, soit un chiffre supérieur à celui de l’année dernière (l’édition 2021 avait réuni 55 films et séries et 19 court-métrages), la plupart étant présentés en avant-première aux États-Unis. « Des chiffres qui soulignent l’extraordinaire dynamisme des productions françaises, dans un contexte de crise d’après-COVID et d’inflation pourtant compliqué », ajoutait François Truffart.

Pariant sur la diversité des genres, l’émergence de nouveaux talents et la créativité des femmes au cinéma, la sélection Cinéma mettra notamment à l’honneur le film « Corsage » écrit et réalisé par Marie Kreutzer. Une co-production austro-luxembourgeoise-germano-française qui raconte une tranche de vie de l’impératrice Sissi (Elizabeth d’Autriche, interprétée par Vicky Krieps), obligée, pour satisfaire les attentes de l’empereur François-Joseph Ier, de se plier à un régime rigoureux de jeûne, d’exercices de coiffure et de mesure quotidienne de sa taille, et bien décidée à se rebeller contre les usages.

Également au menu, le film « Hawa », écrit et réalisé par Maïma Doucouré, conte l’histoire d’une adolescente élevée par sa grand-mère et décidée à se faire adopter par Michelle Obama. « Rodeo » immerge dans l’univers des rodéos urbains sous la caméra de Lola Quivoron et « Les pires » (« The Worst Ones»), co-réalisé par Lisa Akoka et Roxane Gueret, et déjà récompensé du prix Un certain regard au dernier Festival de Cannes, s’intéresse à quatre adolescents en difficulté de Boulogne-sur-Mer, tous castés pour participer à un film.

D’autres films viendront grossir la catégorie, ainsi « Du crépitement sous les néons » (« Blazing Neon »), un road-movie noir projeté en avant-première mondiale et que l’on doit au duo Kevin Ossona et Fabrice Garçon; « Coupez » (« Final Cut »), la zombie comédie de Michel Hazanavicius, remake français du film japonais « One Cut of the Dead »; Et « En corps » (« Rise ») réalisé par Cédric Klapish sur le destin d’une danseuse (Marion Barbeau) dont la vie est bouleversée par une blessure.

Dans la catégorie des séries destinées à la télévision, le festival annonce 14 productions cette année. « Touchées » (« En garde »), réalisé par Alexandra Lamy, s’intéressera au thème de la violence des femmes. La série « Toutouyoutou » (« The Aerobics Project »), l’œuvre de Julien Party plonge, elle, dans les années 80 et dans la région toulousaine où Karine, mère de famille jolie et discrète, voit sa vie bouleversée par l’arrivée de Jane, fan inconditionnelle d’aérobic. Enfin, Romane Bohringer présentera « L’Amour Flou » (« Uncoupling »), un conte drôle et épique sur la séparation et l’amour.

Hommage à Godard, Perrin et Trintignant

Plusieurs hommages seront également adressés aux personnalités du cinéma français récemment disparus, ainsi de Jean-Luc Godard, Jacques Perrin et Jean-Louis Trintignant, la sélection Court-Métrage mettra en lice 20 créations et plusieurs « focus » seront proposés, présentant ainsi le travail du producteur Charles Gilbert, du compositeur Eric Neveux et du réalisateur Dominik Moll. Ce dernier clôturera le festival avec son nouveau thriller « La Nuit du 12 » (« The Night of the 12th »), une dernière journée qui verra également la diffusion en avant-première mondiale de la série Irma Vep imaginée par Olivier Assayas.

Au terme des projections, le public assistant aux différentes projections pourra voter dans les trois catégories suivantes – cinéma, télévision et court-métrages – et pour la 14ème année consécutive, la Los Angeles Film Critics Association (LACFA) s’associe au Festival pour nommer le Prix des Critiques et le prix du meilleur long métrage. Un jury d’étudiants votera également pour le Prix des Étudiants, l’ensemble des lauréats étant dévoilés et conviés à une première cérémonie parisienne organisée le mercredi 2 novembre prochain.

Pour participer au festival, les spectacteurs peuvent réserver leur billet à partir du jeudi 22 septembre sur le site de l’American French Film Festival, ou directement sur place, au Directors Guild of America, 7920 Sunset Boulevard. Le port du masque, comme l’année dernière, sera encore obligatoire.

Ibrahim Maalouf en tournée au Canada et aux États-Unis cet automne

Le trompettiste franco-libanais Ibrahim Maalouf sera en tournée nord-américaine cet automne, avec plusieurs dates aux États-Unis et au Canada. Il se produira notamment :

  • le vendredi 23 septembre au Mtelus de Montréal
  • le samedi 24 septembre au Palais Montcalm de Québec
  • le lundi 26 septembre au Axis Club de Toronto
  • le jeudi 29 septembre au Sinclair à Boston
  • le vendredi 30 septembre au Poisson Rouge à New York
  • le dimanche 2 octobre à l’Union Stage à Washington, DC
  • le mardi 4 octobre au El Rey de Los Angeles
  • le jeudi 6 octobre au Bimbo’s à San Francisco

Avec 15 albums, de nombreuses collaborations avec des stars de la musique telles que Sting, Quincy Jones, Amadou et Mariam, Matthieu Chédid, Ibrahim Maalouf s’est imposé comme un instrumentiste de premier plan, qui a su démocratiser le jazz. Son œuvre a également été récompensée par deux Victoires du jazz, deux Victoires de la Musique, et un César de la meilleure musique originale pour le film « Dans les forêts de Sibérie » en 2017.

6 jardins de Washington à visiter absolument

La capitale américaine possède des jardins envoûtants, souvent méconnus du public. Le début d’automne est la période idéale pour (re)découvrir les espaces verts de Washington. Suivez le guide !

Dumbarton Oaks Garden 

Situé dans le quartier historique de Georgetown, Dumbarton Oaks est avant tout une somptueuse demeure acquise par la famille Bliss dans les années 1920. La famille avait demandé les services de la célèbre paysagiste Beatrix Farrand, pour dessiner et créer un jardin d’éden unique. Pendant plus de trente ans, Beatrix Farrand a dessiné et façonné ce jardin reconnu comme l’un des plus beaux du monde. Au hasard des allées d’azalées, du jardin d’hiver et des fontaines italiennes, le temps s’arrête pendant quelques heures. Dumbarton Oaks est également célèbre pour avoir accueilli une conférence préparatoire à la création des Nations unies en 1944. Prenez le temps de visiter le musée qui abrite des collections d’arts. Le jardin est ouvert du mardi au samedi entre 2pm et 6pm. Jusqu’au 31 octobre, il faut réserver son billet d’entrée ici. Le musée ouvre ses portes entre 11.30am et 5.30pm du mardi au samedi et son entrée est gratuite. 1703 32nd Street NW. 

Tudor Place

L’histoire de ce jardin est directement liée avec celle des États-Unis, puisque la petite-fille de George Washington, Martha Custis, a construit cette jolie demeure en 1805, grâce à l’argent donné par son célèbre grand-père. Six générations ont habité à Tudor Place, jusqu’en 1983. Depuis, la demeure se visite, ainsi que son magnifique jardin. Tudor Place est ouvert du lundi au dimanche entre 10am et 4pm. 1644 31st Street NW. 

Hillwood garden 

Ce jardin secret a été conçu par la riche héritière Marjorie Merriweather Post. Suite à son divorce en 1955, la milliardaire a acheté une propriété sur une colline de Washington et a façonné un jardin magnifique, où elle organisait des fêtes somptueuses. Le parc s’étend sur cinq hectares et possède plusieurs styles, avec un jardin japonais, un parterre français, une serre avec plus de 200 espèces d’orchidées, ou encore un cimetière des animaux de compagnie. Cette résidence-musée offre l’une des plus belles vues de la capitale. Marjorie Merriweather Post a également transformé la maison en musée, grâce à ses collections d’arts. Hillwood Musem est ouvert du mardi au dimanche entre 10 am et 5pm. Entrée sur donations personnelles (environ 15 dollars). 4155 Linnean Avenue NW. 

Le jardin botanique des États-Unis

Situé à proximité du Capitole, le jardin botanique des Etats-Unis est une adresse incontournable pour les passionnés de plantes et pour ceux qui souhaitent admirer la végétation luxuriante tout en restant à Washington. Le jardin botanique des Etats-Unis possède une collection impressionnante de plantes exotiques et rares. Les visiteurs peuvent également y admirer la fontaine Bartholdi et la vue imprenable sur le dôme du Capitole. Botanic Garden100 Maryland Avenue, SW. Ouvert tous les jours entre 10am et 5pm. Entrée gratuite. 

L’Arboretum des États-Unis

Plus qu’un jardin, le National Arboretum est un parc immense de 180 hectares et un centre de recherche national en botanique. Le parc est avant tout célèbre pour sa collection unique de bonsaï et d’arbres miniatures japonais, ainsi que pour ses azalées. Ne manquez pas le National Herb Garden, ainsi que les anciennes colonnes du Capitole. Parfait pour une journée en famille. National Arboretum, 3501 New York Avenue, NE. Ouvert tous les jours entre 8am et 5pm. Entrée gratuite.

Les jardins du Mount Vernon

Le premier président américain George Washington était passionné par l’agriculture. Il était l’un des planteurs les plus riches de Virginie, grâce à sa plantation du Mount Vernon. Toute sa vie, il chercha à améliorer l’agriculture en expérimentant des nouvelles semences et des techniques nouvelles pour son époque. Aujourd’hui, il est toujours possible de visiter cet endroit magnifique avec une vue imprenable sur la rivière Potomac. Compter environ trente minutes en voiture au départ de Washington DC. Pour les plus sportifs, il est possible de rejoindre le Mount Vernon en empruntant le Mount Vernon Trail à pied ou en vélo. 3200 Mount Vernon Memorial Highway, Mount Vernon, Virginia. Ouvert tous les jours de 9m à 5pm. Compter 28 dollars pour un adulte et 15 dollars pour enfant.

À Harlem, une visite « émouvante » pour Pap Ndiaye

N’en déplaise à tous les établissements qu’il a inaugurés, Pap Ndiaye a son petit chouchou. Et il se trouve à New York.

Lundi 19 septembre, le ministre de l’Éducation nationale marquait l’ouverture du nouveau bâtiment du collège de NYFACS, l’école à charte franco-américaine de Harlem. Visiblement touché par l’accueil chaleureux que lui ont réservé élèves, parents, enseignants et membres de la direction, agglutinés dans la salle commune toute neuve de l’établissement, il n’a pas caché sa gratitude. « Vous êtes super (…) Vous pouvez compter sur le soutien total de la France sur votre chemin vers l’excellence , a-t-il lancé sous les applaudissements. Je n’oublierai jamais cette inauguration. C’est probablement la plus originale, intéressante, émouvante de celles que j’ai pu faire comme ministre ».

Un lien particulier avec les familles de l’école

Et pour cause, il s’agissait de bien plus qu’une simple cérémonie. L’ouverture du bâtiment de ce collège bilingue et biculturel public récompense les efforts de NYFACS, une école qui a connu des problèmes de gestion à son démarrage en 2010 qui lui ont valu d’être mise à l’épreuve par le Département de l’Éducation new-yorkais. Aujourd’hui, elle compte près de 400 élèves répartis entre le primaire et la middle school, qui a pris ses quartiers à la rentrée dans le bâtiment historique de l’Alhambra, une salle de spectacles mythique du quartier.

Contrairement à d’autres visites de têtes connues, dont celle d’un certain Emmanuel Macron quand il était candidat à la présidentielle de 2017, la venue de Pap Ndiaye avait une saveur toute particulière pour les jeunes de NYFACS. École essentiellement noire (66%), ses élèves sont pour beaucoup issus d’Afrique francophone ou de la communauté afro-américaine. Franco-Sénégalais ayant étudié aux États-Unis, le nouveau ministre est, pour sa part, le premier Noir à s’occuper du portefeuille de l’éducation en France. Il est connu pour ses écrits sur l’histoire de la communauté afro-américaine et la situation des minorités raciales. Sa nomination avait provoqué la vive colère de l’extrême droite. Pour ne citer qu’elle, Marine Le Pen avait vu dans sa sélection « la dernière pierre de la déconstruction de notre pays, de ses valeurs et de son avenir ».

Loin des polémiques, Bertrand Tchoumi, le directeur de NYFACS, a noté la dimension symbolique de la rencontre, décrivant devant son auditoire  le « signe d’espoir » et « l’exemple extraordinaire » que constitue le locataire de la rue de Grenelle pour les « jeunes francophones, non-francophones et les immigrés ».

« Je prends cela avec la modestie nécessaire », a-t-il le ministre avant de prendre la route pour le Lycée français de New York pour participer notamment à un dialogue avec les enseignants et les élèves. « Ce qui est vrai, c’est que j’ai des racines ouest-africaines, françaises. En voyant les familles réunies ici, dont certaines partagent mon patronyme, je pouvais concevoir qu’un lien de proximité puisse s’établir entre elles, les enfants et moi. C’est une source de fierté. Ça m’honore et cela rend cette inauguration très spéciale ».

«Vitalité» de la langue française

« La francophonie est un grand espace constitué de beaucoup de personnes minoritaires. De voir un ministre français issu d’une minorité, cela montre aux enfants que tout est possible. Ils peuvent s’identifier à lui et cela peut changer leur vie », a ajouté Bertrand Tchoumi.

Richard Ortoli, le président du conseil d’administration de l’école, a demandé au ministre son soutien pour permettre à l’établissement, financé en grande partie par l’État de New York et des donateurs privés, de poursuivre sa croissance. NYFACS se distingue par son statut des autres programmes bilingues lancés ces dernières années à New York. Institution dite « à charte », elle est une école publique qui jouit d’une grande liberté pour établir son programme, gérer son personnel et définir ses objectifs. D’après Richard Ortoli, 70% des élèves bénéficient de repas gratuits ou à prix réduits.

Pap Ndiaye voit dans l’installation de la middle school de NYFACS dans son nouvel espace, qui pourra accueillir une centaine d’élèves, la preuve de la « vitalité culturelle et multiculturelle » de la langue française sur le sol américain. Un dynamisme qu’il souhaite à présent soutenir, sur le quinquennat, par le renforcement du développement professionnel et la formation des enseignants de français, ainsi que la mise en disposition « continue » de ressources.

« Historiquement, le français a été associé aux États-Unis aux élites de la Côte Est, a-t-il dit. C’est important qu’il soit désormais représenté par une école comme NYFACS, située dans un quartier populaire, où vivent des familles afro-américaines et ouest-africaines ».

Plus tard dans la soirée, il est revenu sur la force symbolique de sa nomination lors de son échange avec les élèves du Lycée français. « Elle ne me résume pas, a-t-il raconté, d’après l’AFP. Je pense aussi avoir des compétences, des savoirs intellectuels et universitaires pour remplir les missions de ce ministère, au mieux ».

Bien Vivre aux États-Unis : retrouvez toutes les conférences de l’édition 2022 en rediffusion

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Du 12 au 16 septembre 2022, nous vous donnions rendez-vous en ligne pour un salon dédié aux Français et francophones expatriés – ou préparant une expatriation – aux États-Unis.

Au programme : de nombreuses conférences d’experts sur les thèmes de l’immigration, de la santé, du patrimoine, mais aussi de la vie quotidienne de l’expatrié, comme la famille ou encore le couple, le but étant de vous donner les clés pour vivre votre expatriation de la meilleure manière possible.

Retrouvez la liste de tous les replays ici :

Cet événement est sponsorisé par USAFrance Financials, cabinet de gestion privée et patrimoniale pour les francophones expatriés aux États-Unis.

Les clés pour passer son permis de conduire aux États-Unis

C'est sans doute le document qu'on vous demandera le plus souvent aux États-Unis : que vous soyez ou non propriétaire d'une voiture, obtenir le permis de conduire américain est une bonne idée, qui vous facilitera la vie. Outre, bien sûr, la possibilité de conduire, le permis (driving licence) est aussi bien souvent la seule pièce d'identité officielle américaine reconnue universellement. Voici ce qu'il faut savoir sur l'obtention du permis - et comment vivre sans si vous y tenez. Et comme toujours aux États-Unis, selon l'État où vous habitez, les choses peuvent changer considérablement.
M...

Céline Imbaud : « Les Américains nous confient plus vite de gros projets »

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Pour beaucoup, Céline Imbaud pourrait être un symbole. Celui de la femme qui réussit sans jamais avoir cédé un gramme de qualité de vie à son ambition personnelle. Cette femme fait ce qu’elle veut, où elle le veut, et elle choisit les gens avec lesquels elle le fait.

La traduction, un secteur qui évolue vite

Première entreprise créée en 1999 en France. La vie personnelle installe ensuite Céline en Floride ce qui, loin de freiner son activité, va au contraire lui donner un fort coup d‘accélérateur. De cette expatriation va naître le holding Céline Imbaud Conseil, qui relève du droit américain et gère aujourd’hui des bureaux en France, aux États-Unis et au Canada. CIC emploie soixante personnes, qui, elles-mêmes, supervisent plus de 2500 traducteurs établis partout dans le monde. C’est le bureau français, donc le plus ancien, qui reste le plus puissant du holding, en contribuant pour moitié au chiffre d’affaires global. Voilà pour les chiffres, dus en partie à l’importante croissance de la demande en matière de traduction – partout dans le monde -, mais dus aussi à la forte personnalité de celle qui est le moteur du système. Car, pour en arriver là, Céline a dû travailler, plus qu’une autre. Pour découvrir et suivre, alors qu’elle ne fait pas véritablement partie de la génération tech, la vitesse d’un monde qui ne cesse de changer. Elle a, par exemple, créé il y a deux ans, une société de production audiovisuelle qui fabrique du sous-titre. Un autre métier, nouveau, et qui fait appel à de nombreuses autres connaissances, plus techniques. Elle trouve une forme d’accomplissement personnel dans cette obligation de suivre le train, de s’adapter à l’évolution galopante du métier. S’adapter, encore s’adapter, mais cette fois-ci à la manière de travailler, de réagir, des populations avec lesquelles elle collabore au quotidien. Du « sang chaud » des Européens, à l’extrême rigueur des Américains, en passant par des rancunes parfois tenaces chez les Canadiens, la négociation n’est jamais la même, son issue est en partie liée à la culture de pays qu’elle doit « découvrir » au jour le jour. Mais dans cette activité, aujourd’hui largement livrée à la technologie, Céline garde sa conviction que l’humain a une partie importante à jouer, dans le domaine de la traduction mais aussi dans celui du management. Elle a en elle aussi plusieurs certitudes. La première est d’avoir commis des erreurs qui, semble-t-il, n’ont pas eu d’impact sur la santé de son holding. Sa deuxième est qu’elle commettra à nouveau des erreurs. Elle le revendique, devant une caméra ou un micro, mais aussi devant ceux qui l’accompagnent au quotidien : ses employés. Cette franchise est aussi, à n’en pas douter, un de ses principaux atouts. Voir la vidéo : 
Écouter le podcast : https://www.spreaker.com/user/10781102/pad-audio_51