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Ludivine Sagnier rivalise avec Catherine de Médicis dans « The Serpent Queen »

The Serpent Queen, mini-série adaptée du best-seller de Leonie Frieda, sort ce dimanche 11 septembre sur la chaîne de télévision américaine Starz et sur la plateforme StarzPlay (accessible en France depuis Amazon Prime et Canal+ Séries). Elle rend hommage à Catherine de Médicis, qui fut reine puis régente du royaume de France. L’actrice britannique Samantha Morton y joue la veuve noire d’Henri II ; et Ludivine Sagnier la maîtresse du roi, Diane de Poitiers – un rôle qu’elle s’est vu offrir au printemps 2021 « sans audition, mais après un échange passionnant avec le producteur et créateur de la série » Justin Haythe.

Une production américaine

Révélée aux Etats-Unis dans la série Lupin – et bien avant en France pour ses apparitions dans divers films de François Ozon, parmi lesquels 8 femmes et Swimming Pool, l’actrice française enchaîne les réalisations américaines. Elle participe actuellement au tournage de la série Franklin de Michael Douglas et apparaîtra l’an prochain dans Napoleon, le dernier film de Ridley Scott (deux productions Apple). « Je n’ai pas besoin d’aller à Hollywood puisqu’Hollywood vient en France », plaisante-t-elle.

Ces trois projets historiques se sont succédés « par hasardcomme si mon souhait de faire des films en costume avait été exaucé », confie l’actrice, reconnaissante de ces « propositions extraordinaires » qu’elle accepte « les yeux fermés ». Dans The Serpent Queen, elle salue notamment le travail de la costumière Karen Muller Serreau, qui « a redoublé de génie pour trouver de nouvelles façons d’illustrer l’état d’esprit de Diane de Poitiers, avec une contrainte de couleurs : la veuve était toujours vêtue de noir et de blanc – l’expression d’un profond mélange de sentiments ».

Une série féministe

Ludivine Sagnier explique s’être plongée dans le personnage de Diane de Poitiers « avec une vraie curiosité » – en associant à un scénario déjà riche l’expertise d’un historien et en épluchant ses correspondances. « Elle a toujours été obsédée par le besoin de rester proche du pouvoir et d’Henri II, dont elle elle a été la gouvernante et la maîtresse. Je pense qu’il y a eu entre eux une réelle histoire d’amour », ajoute l’actrice. « Elle avait un certain goût pour le luxe, et a cumulé énormément de biens au cours de sa vie. On étudie d’ailleurs son cas en droit des successions, car elle transmis son patrimoine à ses filles », un fait extrêmement rare pour l’époque.

« Catherine de Médicis et Diane de Poitiers ont toutes deux été considérées comme machiavéliques », rappelle Ludivine Sagnier. Souvent dépeinte comme acariâtre et cruelle, la première a finalement été réhabilitée par l’histoire moderne. La seconde est décrite par son interprète comme « une femme déterminée et volontaire, une survivante d’une période où les femmes n’avaient que très peu de droits et étaient privées de tout si elles ne se montraient pas un tant soit peu agressives. Catherine de Médicis et Diane de Poitiers ont réussi à se hisser au pouvoir par la force de leur intelligence et de leur stratégie, et j’admire leur force », insiste la Française. « La série est très authentique, et les dialogues y sont extrêmement savoureux », s’enthousiasme-t-elle. Un résultat « intelligent, piquant et décalé » qu’elle invite à regarder.

Voir la bande-annonce :

Bien Vivre aux États-Unis : le salon en ligne des expats francophones revient le 12 septembre

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Edit: Visionnez toutes les webconférences en replay

Famille, business, patrimoine, santé, immigration… trouvez les réponses à toutes vos questions pour bien vivre votre expatriation.

Rendez-vous du 12 au 16 septembre 2022 pour un salon en ligne dédié aux Français et francophones expatriés – ou préparant une expatriation – aux États-Unis.

Au programme : de nombreuses conférences d’experts sur les thèmes de l’immigration, de la santé, du patrimoine, mais aussi de la vie quotidienne de l’expatrié, le but étant de vous donner les clés pour vivre votre expatriation de la meilleure manière possible.

Le salon en ligne est 100% gratuit. Nous vous demandons simplement de vous inscrire afin de recevoir les rappels par email.

Aperçu des thèmes des conférences :

  • L’arrivée aux US : bons plans d’expats
  • Acheter un bien immobilier à New York : conseils d’experts
  • S’expatrier en famille : les impacts juridiques
  • Gérer son patrimoine, sa fiscalité et sa retraite entre la France et les États-Unis
  • S’expatrier avec des ados
  • Immigrer en 2022/2023 : ce qui est possible, ce qui ne l’est pas
  • “Je suis endetté donc je suis” : comprendre le crédit à l’américaine
  • La couverture santé pour les Français aux USA
  • Entreprendre aux USA
  • Les couples expatriés

[Je m’inscris gratuitement]

Cet événement est sponsorisé par USAFrance Financials, cabinet de gestion privée et patrimoniale pour les francophones expatriés aux États-Unis.

À Dallas, le musée qui vous fera aimer George W. Bush

George Bush Jr. n’était pas le président le plus populaire à la fin de son mandat. Loin de là. On l’oublierait presque en se baladant dans les salles de la George W. Bush Presidential Library and Museum.

Situé sur le campus de la Southern Methodist University (SMU) à Dallas, ce centre de recherche consacré au 43e locataire de la Maison-Blanche renferme 70 millions de pages de documents d’archives, ainsi que des vidéos et des photos consacrées à sa présidence. C’est aussi un lieu d’exposition, qui permet de redécouvrir les moments forts de son mandat et les coulisses du pouvoir.

Dès le hall d’entrée, les visiteurs sont accueillis par les nombreux cadeaux offerts par des dirigeants étrangers au leader américain, dont un cheval de bronze donné par Nicolas Sarkozy. Ils survolent ensuite le parcours de Bush, de son enfance au Texas jusqu’à sa campagne de 2000 remportée au terme d’un recomptage à suspense des voix en Floride. Les geeks politiques apprécieront notamment de voir le document de certification des résultats par le Congrès, datant du 6 janvier 2001, avec la répartition des grands électeurs par État.

Puis, ils rentrent dans le « dur ». De salle en salle, on est replongé dans les années Bush, de sa politique éducative No Child Left Behind aux relations internationales en passant par son action environnementale et le 11-Septembre. Le tout émaillé de vidéos de discours lyriques, de photographies et d’objets divers (robes de la Première Dame, Laura Bush, lion empaillé offert par un leader africain…). Les sujets les plus controversés sont racontés avec des pincettes. Ainsi, les guerres en Afghanistan et en Irak sont-elles traitées jusqu’à la fin de sa présidence, mais pas au-delà. Et le volet sur l’ouragan Katrina, épisode qui avait valu à Bush d’être accusé de racisme, mentionne des « critiques » à l’égard du chef d’État. Sans plus.

Les points forts du musée ? L’interaction. Les visiteurs peuvent notamment s’installer dans un « centre de décision » où ils sont invités à se mettre dans la peau du président – une manière de leur rappeler, peut-être, que le job n’est pas simple. Au moyens d’écrans tactiles, ils doivent décider ce qu’ils feraient à sa place face à la crise financière ou Katrina, par exemple. Un peu plus loin, un autre grand écran leur permet de suivre le détail du processus de décision de la Maison-Blanche sur l’envoi de troupes en Afghanistan et en Irak.

Le clou du musée est sans conteste la reproduction à l’identique du Bureau Ovale tel qu’il était pendant le mandat du républicain, avec son tapis décoré de rayons de soleil et d’étoiles texanes. Un guide sur place raconte quelques anecdotes sur le décor et invite les visiteurs à prendre place derrière le Resolute Desk, l’imposant bureau trimbalé entre différents services de la Maison-Blanche avant d’être récupéré par Franklin D. Roosevelt. En sortant, on est attiré par une vidéo qui montre George W. Bush sous un jour plus personnel. Il parle de sa famille, son ranch de Crawford (Texas) et son goût pour l’humour et l’auto-dérision. Ses filles jumelles font également une apparition.

Une autre partie des galeries est consacrée à Bush l’artiste. En effet, après son départ de Washington, le Texan a commencé à peindre des portraits d’anciens combattants et d’immigrés, connus et anonymes, qui l’ont marqués. Une quarantaine d’œuvres sont exposées aux côtés de citations sur les bienfaits de l’immigration pour les États-Unis. Une critique, en creux, du lointain successeur républicain de Bush Jr., Donald Trump. « W » n’a quitté le pouvoir qu’en 2009, mais c’était une époque bien différente.

Deux Françaises lancent la Fête du Patrimoine à San Francisco

Alors que les Journées Européennes du Patrimoine fêteront en France leur 39ème édition le samedi 17 et le dimanche 18 septembre prochains, à San Francisco, deux Françaises inaugureront en même temps une initiative locale similaire. Sylvie Walters, créatrice de l’agence de visites guidées en français L’Esprit San Francisco et Daphné Touchais, chanteuse lyrique et guide-conférencière entre ses répétitions, ont en effet imaginé une première « Fête du Patrimoine ». L’objectif ? Partager leur amour pour la ville et raconter son histoire aux friands de culture.

« Il n’existe pas de journée du patrimoine ici et quand certains évènements sont organisés, ils restent confidentiels et très pointus. Pourtant, il y a de nombreux passionnés par l’histoire locale ! », confie Sylvie Walters, sur place depuis treize ans. Et Daphné Touchais, installée à Berkeley depuis deux ans et demi, de compléter : « la notion de patrimoine est différente aux États-Unis. Ils peuvent raser des bâtiments classés ou renommer des sites. Il y a aussi une notion de rentabilité que nous ne connaissons pas. Dans les années 40, la ville souhaitait par exemple supprimer les “cable cars”, pas assez performants. Aujourd’hui, ils sont l’un des symboles de la ville ! »

Direction le Rincon Center

Les deux amoureuses de la Baie de San Francisco s’inscrivent dans l’esprit des Journées du Patrimoine. Elles veulent ainsi « faire visiter des lieux normalement fermés au public ou peu connus ». Pour cette première édition, elles ont jeté leur dévolu sur le Rincon Center Annex, un ancien bureau de poste construit dans les années 30 en centre ville. Inscrit depuis 1979 à l’inventaire national des lieux historiques, il reste oublié. « C’est pourtant un fleuron Art Déco et on y découvre 27 peintures murales retraçant la vie des habitants de la Californie », explique Daphné Touchais. 

Sylvie Walters précise que c’est aussi « l’un des rares lieux qui évoque les minorités, comme la population chinoise ou les tribus amérindiennes ». Une visite qui fera écho aux traditions muralistes de la région et au réalisme social, dans la mouvance du peintre Diego Rivera. Les visites – gratuites – se feront à deux voix permettant aux animatrices de se concentrer sur leurs sujets de prédilection. L’architecture pour Daphné Touchais et l’histoire pour Sylvie Walters. Le circuit, d’environ 1h30, accueillera seize personnes par groupe et démarrera à 2:30 pm le samedi 17 et le dimanche 18 septembre. Inscriptions indispensables par ici. 

Couloir et peintures murale dans l’enceinte du Ricon Center Annex à San Francisco

Un nouveau rendez-vous 

Avec cette Fête du Patrimoine, soutenue par le Consulat Général de France à San Francisco, les deux guides espèrent installer une rencontre annuelle. « Selon les retombées de cette première édition, on aimerait par la suite élargir avec des visites en français et en anglais, avec plus de lieux et plus de monde » explique Sylvie Walters. « On bouillonne d’idées et on aimerait aussi aller explorer l’Est de la Baie », ajoute sa complice, Daphné Touchais. 

Les deux passionnées comptent donc bien élargir leurs horizons. Elles ont déjà commencé à contacter des associations locales pour se faire connaître et se déployer, notamment grâce à de potentiels partenariats. « On adore la région et si on peut transposer notre estime française du patrimoine dans cette région que l’on adore, ce serait merveilleux » confie Daphné Touchais qui, avec cette mission culturelle, se sent « porteuse de valeurs essentielles. »

Sézane est de retour à San Francisco

Trois ans après une première boutique éphémère, la marque de vêtements française Sézane est de retour à San Francisco. Le vendredi 16 septembre, elle ouvrira un concept similaire au 2028 Fillmore street. Pour le moment, la devanture est recouverte d’affiches annonçant que « Sézane is bringing Paris to San Francisco », mais rien ne laisse deviner à quoi ressemblera l’intérieur du magasin.

Créée en 2013 par Morgane Sezalory, la marque sait très bien comment créer le buzz autour de ses collections. L’esthétique parisienne bohême chic fait mouche auprès d’une clientèle qui attend avec impatience la mise en ligne des nouveautés, et qui a parfois la chance de pouvoir essayer ces vêtements dans l’une des rares boutiques Sézane : en effet, il n’existe que douze magasins de la marque, avec ses « appartements » à Paris, Aix-en-Provence, Lille, Bordeaux, New York, Londres et Madrid, et 90% des ventes se font en ligne.

Nouvelle boutique pop-up

Aux États-Unis, Sézane possède un « appartement » à New York, et a ouvert en avril dernier une boutique éphémère à Los Angeles, plus précisément dans le centre commercial Platform de Culver City. Avec ces pop up stores, l’idée est de tester l’attrait de la clientèle locale pour la marque, avant d’envisager une implantation plus définitive. Sézane avait déjà tenté l’aventure californienne, avec un pop up en 2018 installé dans le centre commercial The Grove de Beverly Hills, et un autre sur Maiden Lane à San Francisco en 2019. Par ailleurs, Sézane avait signé à la même époque un partenariat avec cinq magasins Nordstrom pour distribuer ses collections dans cinq villes américaines.

2023 sera t-elle l’année de la concrétisation des plans d’expansion de Sézane sur la côte Ouest ? La croissance de la marque parisienne, qui a triplé son chiffre d’affaires entre 2018 et 2021, passant de 80 millions d’euros à plus de 250, augure d’un avenir prometteur. Sézane peut entre outre compter sur les fonds d’investisseurs, tels que General Atlantic, ou plus récemment Téthys Invest, holding d’investissement de la famille Bettencourt Meyers, qui a annoncé, le 5 septembre dernier, qu’elle prenait une participation au capital de la marque.

À San Francisco, la boutique Sézane devrait facilement attirer la clientèle bobo-chic qui raffole de ses imprimés colorés et de ses mailles douces : avec les boutiques de vêtements et accessoires Reformation, Lululemon, Cuyana ou Paige, Fillmore street est en effet une rue très commerçante de Pacific Heights, l’un des quartiers les plus chers de San Francisco. Le lancement de la marque a été élégamment annoncé par un joli carton d’invitation envoyé par courrier à tous les clients de Sézane. Si le succès est le même qu’à Los Angeles en avril, il faudra s’armer d’un peu de patience pour découvrir la boutique le 16 septembre prochain. Elle devrait rester ouverte jusqu’en janvier 2023.

Mathieu Templon: «C’est le bon moment de s’installer à New York»

Il s’est pris un café à emporter mais deux heures plus tard, Mathieu Templon ne l’avait pas encore touché. Il faut dire que le galeriste de 36 ans est par monts et par vaux. En ce mercredi 7 septembre, lui et son équipe apportent les dernières touches à la nouvelle galerie Templon à New York, avant son vernissage inaugural, le soir même – une exposition de l’artiste sénégalais Omar Ba.

Retour aux sources

Aucun détail ne doit être laissé au hasard. La nouvelle adresse est la première antenne américaine de la fameuse galerie parisienne créée par le père de Mathieu Templon, Daniel, en 1966. Depuis sa fondation, elle a représenté et exposé les plus grands  – Richard Serra, Willem de Kooning, Andy Warhol hier, David Lachapelle, Kehinde Wiley ou encore Prune Nourry aujourd’hui – , jouant un rôle non-négligeable dans la présentation de talents américains au public français dans les années 1970 et 1980, à l’heure où ils étaient peu connus.

Pour ce nouvel espace new-yorkais, elle a élu domicile dans un bâtiment à trois niveaux au coin de la 27ème rue et de la Dixième Avenue à Chelsea, au cœur de quartier des galeries. « J’ai toujours eu une passion pour New York. Elle est depuis très longtemps la capitale du monde de l’art contemporain », explique Mathieu Templon, assis dans son bureau flambant neuf.

Cette aventure est une sorte de retour aux sources pour le Français, qui a fait ses armes dans plusieurs galeries locales reconnues comme David Zwirner et Metro Pictures, localisées à Chelsea. Avant de partir s’installer à Bruxelles en 2015, où il s’est occupé du lancement de la galerie Templon locale, il a travaillé pendant trois ans pour la Sean Kelly Gallery, située elle aussi à quelques rues de l’adresse new-yorkaise qu’il supervise aujourd’hui. « Quand je suis reparti en Europe, je savais au fond de moi que je reviendrai. L’envie ne m’a jamais quitté ! ».

Rajeunir l’image de la galerie

Pour renforcer sa présence à l’international, Templon a d’abord envisagé Londres, mais le choix s’est progressivement porté sur New York où certains de ses artistes « jeunes ou à mi-carrière », comme le Chilien Iván Navarro ou la Japonaise Chiharu Shiota, sont peu ou pas représentés. Des voix que Mathieu Templon, qui a entrepris de rajeunir l’image de la galerie familiale, est décidé à faire entendre. Ainsi, l’exposition inaugurale, visible jusqu’au 22 octobre, marquera les débuts news-yorkais d’Omar Ba, dont les peintures engagées interrogent la place de l’Afrique dans le monde. À partir du vendredi 9 septembre, l’un de ses travaux sera aussi montré au FIAF dans le cadre du festival pluridisciplinaire Crossing the Line, et en novembre, le Baltimore Museum of Art lui dédiera une exposition personnelle.

Cette antenne new-yorkaise est aussi une manière de se rapprocher des collectionneurs américains avec qui la galerie travaille. « La plupart se trouve à New York », précise le directeur. « Avec la pandémie, certains ont dit que la ville avait perdu un peu de son attractivité. Je ne le pense pas. Au contraire, c’est le bon moment de s’y installer. Nous voulons participer à sa renaissance. »

Un pari sous forme de défi personnel pour Mathieu Templon, qui écrit ainsi le prochain chapitre de l’entreprise de son père, venu lui prêter main forte pour l’ouverture. « Il m’a emmené toute sa vie dans ses voyages d’affaires. J’ai eu la chance de rencontrer des dizaines et des dizaines d’artistes figurant parmi les meilleurs et de voir des centaines de musées dans le monde entier, raconte Mathieu Templon. Je me suis toujours dit que c’était le plus beau métier du monde ». Même si cela signifie boire son café froid.

Museum Day, un journée de tickets gratuits dans les musées américains

Aller au musée c’est bien, mais quand on peut y aller en payant moins cher, c’est encore mieux. Ça tombe bien, c’est le principe du Museum Day qui se tiendra le samedi 17 septembre à l’initiative du Smithsonian Magazine. Les institutions participantes offrent deux entrées gratuites à toute personne qui se présentera ce jour-là avec un ticket de Museum Day.

Musées d’histoire, scientifiques, zoos, centres d’exposition… Les curieux ont l’embarras du choix. Des dizaines d’institutions dans tous les États américains ont rejoint l’opération. C’est l’occasion de redécouvrir des grands musées américains, comme le Grammy Museum de Los Angeles ou l’Intrepid, le fameux porte-avions à New York, mais aussi de se familiariser avec des endroits moins connus tels que le musée international du bowling à Arlington au Texas ou le Gold Coast Museum de Miami, consacré à l’histoire du rail.

Pour obtenir le fameux ticket Museum Day, il faut le télécharger sur le site de l’événement, après avoir sélectionné le ou les musées que vous voulez visiter ce jour-là, et le montrer à votre arrivée.

L’Impératrice en concert pour inaugurer la Rose des Vents à SF

Après sept années passées à s’animer au gré du vent devant le Conservatoire des Fleurs de San Francisco, « La Rose des Vents », œuvre du sculpteur français Jean-Michel Othoniel, sera officiellement inaugurée le jeudi 15 septembre 2022, en présence de l’artiste. Cette cérémonie marque l’installation définitive de cette sculpture dans le Golden Gate Park, grâce au don qu’en a fait la galerie 836M à la ville de San Francisco.

Cette inauguration sera ponctuée par deux performances : tout d’abord, le chorégraphe français Dimitri Chamblas présentera « Slow Show », qui réunira 50 personnes dansant sur les musiques du DJ Eddie Ruscha. À partir de 6pm, le groupe français L’Impératrice donnera un concert gratuit. L’Impératrice avait électrisé son public lors de deux concerts à The Independent début 2019, au festival de Coachella en avril dernier, ainsi qu’au Fox Theatre d’Oakland. Le groupe, composé de Charles de Boisseguin (claviers), Hagni Gwon (claviers), David Gaugué (guitare basse), Achille Trocellier (guitare électrique), Tom Daveau (batterie), et Flore Benguigui (chant) s’est fait connaître grâce aux chansons « Vanille Fraise », « Sonate Pacifique », « Erreur 404 », et plus récemment « Fou » et « Hématome ».

La veille de cette inauguration, la Villa Albertine et Frédéric Jung, Consul général de France à San Francisco, organisent une réception à la résidence de France en l’honneur de Jean-Michel Othoniel. Le sculpteur parlera de son œuvre, caractérisée par l’emploi du verre et la création de colliers géants. Le chorégraphe Dimitri Chamblas sera également présent. Les places, sur réservation uniquement, sont gratuites.

Apéro et coucher de soleil pour le retour du Bal Français à New York

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Après avoir fait danser la mythique salle de l’Avant Gardner pour le 14-Juillet, Le Bal Français revient le dimanche 25 septembre sur les toits de Brooklyn.

Les organisateurs vous attendent à partir de 4pm pour un apéro/coucher de soleil face à la skyline de Manhattan sur le rooftop français de Socceroof (Sunset Park).

Au programme : des copains, du rosé, du ricard (l’alcool est à consommer avec modération), des planches de fromage et pizzas, et une playlist de sons français qui a fait la réputation du Bal Français, de Louise Attaque à Aya Nakamura en passant par Stromae, NTM, Daft Punk, Indochine, France Gall ou encore Magic System.

https://www.instagram.com/p/CiIQsqtIhJb/

La compagnie aérienne française French Bee fera également gagner deux tickets d’avion AR Paris-New York pendant l’événement.

Le Bal Français propose un ticket individuel, une offre pour les groupes de cinq à dix, et également une entrée qui inclut un t-shirt à prix préférentiel à l’effigie du Bal Français. Infos ici.

https://www.instagram.com/p/CiPPwTKIRyG/

Sortie en salle de «Serre-moi fort» de Mathieu Amalric

Clarisse abandonne, du jour au lendemain, son mari et leurs deux enfants. Aucun mot d’explication, aucune nouvelles par la suite. Dans l’incompréhension totale, les siens tentent de faire front en apprenant à vivre sans elle. Mais dès le début du film, le spectateur se trouve plongé entre fiction et réalité. Deux histoires se mêlent. Celle d’une séparation ou celle d’un deuil ? Jusqu’au bout, le spectateur jongle entre les deux récits.

De retour derrière la caméra pour la huitième fois de sa carrière, Mathieu Amalric a choisi d’évoquer le thème de la résilience, adaptation à l’écran d’une pièce de Claudine Galéa, « Je reviens de loin ». « J’ai voulu montrer l’état de délire dans lequel nous sommes tous, dans des moments aussi douloureux qu’une séparation amoureuse ou un deuil, expliquait le réalisateur à l’AFP l’an dernier, lors de la sortie du film en France. Deux situations très proches dans le ressenti. On s’invente des stratégies, des filtres ou des tactiques pour arriver à mettre un pied devant l’autre. On passe souvent par la folie justement pour ne pas devenir fou car il faut bien continuer à vivre… »

Présenté en sélection officielle hors compétition au dernier Festival de Cannes l’an dernier, nommé à deux Césars pour Le Meilleur Scénario et La Meilleure Actrice, le film est porté par la performance de l’actrice luxembourgeoise Vicky Krieps, remarquée dans « Phantom Thread » (2017) et « Bergman Island » (2021). « Serre-moi fort » sort en salle le mois prochain aux États-Unis sous le titre – traduction littérale – « Hold me tight », le vendredi 9 septembre à New York au Film at Lincoln Center et à l’Angelika Film Center, le vendredi 16 septembre à San Francisco à l’Opera Plaza et le 23 septembre (sortie repoussée d’une semaine par rapport à la date initialement annoncée) à Los Angeles, au Laemmle Royal.

Mon couple survivra-t-il à une expatriation ?

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« Mon couple survivra-t-il à une expatriation ? » 

Cette question vous trotte sûrement en tête si vous envisagez de vous expatrier, ou même si vous êtes déjà aux États-Unis.

Partir vivre dans un autre pays est une aventure exceptionnelle, qui vous transforme et vous fait évoluer. Cela peut impacter votre couple, dans le bon sens, ou parfois malheureusement dans le mauvais.

Pour vous aider à appréhender au mieux votre expatriation à deux et évoluer ensemble, nous vous donnons rendez-vous en ligne le vendredi 16 septembre pour une conférence dédiée, avec Audrey Zeitoun, coach de vie, Clémence Douady, thérapeute de couple, et Cécile Chaban, conseillère conjugale.

Cette conférence vous est proposée dans le cadre du salon en ligne « Bien Vivre aux États-Unis ».

[Inscription gratuite]

— REPLAY — Visionnez l’enregistrement de la webconférence ici

Cet événement est sponsorisé par USAFrance Financials, cabinet de gestion privée et patrimoniale pour les francophones expatriés aux États-Unis.

Entreprendre aux États-Unis : les points de vigilance à prendre en compte

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Vous êtes entrepreneur aux États-Unis ou souhaitez le devenir ?

Entreprendre aux États-Unis implique différents point de vigilance, notamment au niveau légal :
– Comment structurer une entreprise américaine ?
– À partir de quand faut-il payer des impôts américains ?
– Comment les lois internationales s’appliquent-elles à vous ?
– Comment protéger votre propriété intellectuelle ?

Rejoignez-nous en ligne le vendredi 16 septembre prochain pour une webconférence dédiée à ces questions, en compagnie de Daniel Koburger et Alexandre Leturgez-Coianiz de KBL Roche. Vous aurez l’occasion de poser vos questions en direct.

Cette conférence vous est proposée dans le cadre du salon en ligne « Bien Vivre aux États-Unis ».

[Inscription gratuite]

— REPLAY — Visionnez l’enregistrement de la webconférence ici

Cet événement est sponsorisé par USAFrance Financials, cabinet de gestion privée et patrimoniale pour les francophones expatriés aux États-Unis.