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“Swipe now, meet later” : en période de confinement, les applications de dating sont loin d’être en pause

(Article partenaire) 

Disons-le clairement : la période que nous vivons est très étrange. Le confinement massif des populations à travers le monde déstabilise un grand nombre d’industries mais aussi d’individus, qui peinent parfois à s’adapter à ce nouveau “mode de vie”. Pour traverser cette épreuve, nous avons plus que jamais besoin de créer du lien entre nous.

Mais comment continuer à créer du lien en étant enfermé chez soi ? C’est une question que beaucoup de personnes, et notamment de célibataires, se posent. Devons-nous mettre notre vie amoureuse complètement entre parenthèses pendant plusieurs semaines, si ce n’est plusieurs mois ?

Absolument pas. Plus que jamais, nous avons du temps devant nous, et nos smartphones et ordinateurs nous permettent de continuer à se rencontrer et à communiquer en ligne.

Le nouveau crédo pendant le confinement ? Swipe now, meet later.

Pléthore de temps, mais pas de temps à perdre

L’idée n’est pas de passer toute votre journée scotchée à votre smartphone à swiper à droite et à gauche jusqu’à ne plus sentir vos pouces. Si l’offre d’applications de dating est grande, il s’agit de choisir la bonne et de s’y tenir. Attention par exemple aux applications qui ne filtrent pas leurs membres : plus de gens en ligne, ça veut potentiellement dire plus de personnes mal intentionnées. The Inner Circle met un point d’honneur à être une “fake-free zone” : tous les profils sont vérifiés manuellement par leurs équipes pour s’assurer de leur authenticité.

Confinement ne veut pas forcément dire isolement

Vivre confinés ne veut pas dire que nous devons renoncer à nos interactions sociales habituelles ou encore à rencontrer de nouvelles personnes. L’activité sur les applications de dating explose en ce moment : entrez dans la danse et prenez le temps de créer du lien avec des personnes intéressantes. Si vous faites une belle rencontre en ligne, vous pouvez déjà prévoir de vous rencontrer après la crise. Sinon, aucun problème : il n’y a pas de mal à simplement discuter avec d’autres personnes dans la même situation que vous.

Et si vous rencontriez la bonne personne en ligne pendant le confinement ?

Tout vient à point à qui sait attendre 

C’est certainement la meilleure conséquence du confinement sur le monde du dating : la perspective d’attente éloigne les moins sérieux.

Les personnes qui n’ont qu’une idée derrière la tête (vous devinerez laquelle) n’expriment en général qu’un intérêt très limité pour la conversation et n’ont donc aucun intérêt à utiliser les applications de dating en ce moment. Résultat : ne restent que ceux qui ont envie de construire une vraie relation. Une double garantie sur les applications comme The Inner Circle, où les profils sont déjà triés sur le volet pour permettre aux personnes recherchant une relation sérieuse de se rencontrer.

La soirée au bout du tunnel

L’application The Inner Circle est également connue pour ses événements exclusifs organisés aux 4 coins du monde. Si bien évidemment ceux-ci sont suspendus pour le moment, ça ne laisse que plus de temps à leurs équipes pour vous préparer des soirées inoubliables une fois le confinement terminé. Vous serez tous invités !

Essayez The Inner Circle ici.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

5 films français à voir sur Netflix US en ce moment

L’ascension (Ludovic Bernard)

Samy Diakhaté est un jeune chômeur de la cité des 4000 à La Courneuve. Pour séduire Nadia, qu’il aime depuis le collège, il décide d’entreprendre un voyage fou : gravir l’Everest. Sans entrainement physique ni d’expérience en alpinisme, Samy va devoir se surpasser pour impressionner sa bien-aimée. La jeune femme, qui croit d’abord à une blague, va suivre la folle aventure de Samy à travers la radio, internet et la télé. Réalisé par Ludovic Bernard avec Ahmed Sylla, Alice Belaïdi et Nicolas Wanczycki.

10 jours en or (Nicolas Brossette)

Marc Bajau est un commercial qui mène une vie instable, enchainant les conquêtes d’un soir. Un matin, il se réveille avec un enfant métis dans les bras, abandonné par son flirt de la veille. L’enfant n’a qu’un seul indice sur lui, une adresse à l’autre bout de la France. Au cours de son voyage, les deux personnages vont apprendre à se connaitre et se lier d’amitié. Marc va beaucoup apprendre de l’enfant et remettre ses choix de vie en question. Réalisé par Nicolas Brossette avec Franck Dubosc, Claude Rich et Marie Kremer

Divines (Houda Benyamina)

En banlieue parisienne, Dounia a soif de pouvoir, d’argent et de réussite. Soutenue par sa meilleure amie, elle abandonne le lycée professionnel. Elle va se rapprocher de Rebecca, une dealeuse respectée, pour proposer ses services. Dounia devient dealeuse et mène la vie qu’elle a toujours rêvée. En même temps, elle va faire la rencontre de Djigui, un danseur d’opéra qui va la perturber. Réalisé par Houda Benyamina avec Oulaya Amamra, Déborah Lukumuena et Jisca Kalvanda.

Il a déjà tes yeux (Lucien Jean-Baptiste)

Paul, d’origine martiniquaise, et Sali, d’origine sénégalaise, veulent adopter un enfant. L’aide sociale à l’enfance leur propose Benjamin, un petit garçon blanc de 4 mois. Les nouveaux parents se retrouvent confrontés à la suspicion et aux contrôles fréquents de l’assistante sociale et aux préjugés de la société. Les traditions des familles vont aussi perturber la construction de la nouvelle famille. Réalisé par Lucien Jean-Baptiste avec Lucien Jean-Baptiste, Vincent Elbaz et Aïssa Maïga.

Mon frère (Julien Abraham)

Teddy, un jeune sans histoire se retrouve accusé du meurtre de son père alors qu’il voulait protéger son petit frère de ses violences. Incarcéré dans un centre éducatif, il découvre la brutalité du monde carcéral. Perdu au milieu d’autres jeunes en difficultés, il se lie d’amitié avec Enzo. Ensemble, ils vont lutter contre la routine et s’échapper de leur quotidien. Réalisé par Julien Abraham avec MHD, Aïssa Maïga et Darren Muselet.

Comment aider le personnel de santé à New York ?

Les applaudissements quotidiens à 7pm, aux balcons et aux fenêtres, ne sont pas la seule manière de soutenir le personnel soignant en première ligne dans la bataille contre le Covid-19. Voici une liste non-exhaustive de ressources.

Donations matérielles et immatérielles 

Il y a beaucoup de plateformes qui permettent de réaliser des donations diverses et variées. On retient celle de l’Etat de New York, qui a mis en place une page pour centraliser toutes les offres d’équipements de protection (PPE), comme les masques et les gants, mais aussi d’objets utiles divers (torches, produits hygiéniques), de services (garde d’enfants, tâches administratives…) et de lieux (logement, parking…). Le site s’adresse aussi bien aux entreprises qu’aux particuliers. Formulaire ici.

Si vous êtes un particulier et que vous confectionnez vos propres masques, il est conseillé de contacter directement votre hôpital pour savoir s’il les accepte. Pour trouver les coordonnées de tous les centres hospitaliers dans l’Etat, rendez-vous sur le site GetUsPPE. Il répertorie tous les hôpitaux new-yorkais et leurs besoins, y compris en masques faits à la maison.

Soutenir directement les hôpitaux

Le réseau de santé Health+Hospitals recueille les dons financiers pour soutenir son personnel (prise en charge des trajets en taxi, courses, services de lessive…). Informations ici

Aider les restaurants qui nourrissent les hôpitaux

Il faut manger, malgré tout ! Plusieurs restaurants se sont retroussé les manches pour offrir des repas aux soignants. Pour soutenir cet effort important, ils lèvent aussi des fonds pour couvrir leurs coûts. Le site Eater en a listé un bon nombre ici.

Mettre à disposition un endroit où rester

La plateforme d’hébergement Airbnb encourage ses utilisateurs à mettre leur logement à disposition du personnel médical. Aucun autre occupant ne doit être présent. Plus d’infos.

Donner votre sang

La Food and Drug Administration (FDA) n’autorise toujours pas les personnes qui ont passé plus de cinq ans en France entre 1980 et 2001 à donner leur sang et leur plasma. Si vous n’êtes pas dans ce cas de figure, vous êtes plus qu’encouragé à le faire. Le Covid-19 a accentué la pénurie existante. Plus d’infos sur les sites du New York Blood Center et de l’American Red Cross.

Daniel Teper, un Français dans la course aux traitements du Covid-19

C’est une autre bataille, qui se mène loin du front et des salles de réanimation mais au moins aussi importante pour la victoire finale. Partout dans le monde, des centaines de chercheurs s’activent pour tenter de trouver un traitement pour les infections du Covid-19.

Une bataille qu’a rejoint cette semaine le Français Daniel Teper, qui dirige à New York la startup de biotechnologie Cytovia Therapeutics. Lancée en juin dernier, la compagnie s’est d’abord concentrée sur la lutte contre le cancer, en se focalisant sur un type de globule blancs, connues sous le nom de cellules tueuses naturelles, ou “Natural Killer” (NK). “C’est l’immunité innée, par opposition à l’immunité acquise” explique Daniel Teper. “Ces derniers mois, on a commencé à se dire que ces recherches pouvaient aussi être appliquées au SARSCoV2 (le nom du virus, Covid-19 étant le nom de la maladie, NDLR), car ces cellules NK jouent un rôle important dans la destruction des cellules infectées”.

Nous espérons pouvoir commencer des tests cliniques à la fin de cette année, si nous pouvons obtenir l’autorisation de la FDA. Les essais cliniques prendraient ensuite 6 mois à un an, pour un traitement qui pourrait être disponible courant 2021”, détaille Daniel Teper. Un horizon comparable à ceux des groupes pharmaceutiques tels que AstraZeneca, GSK ou Regeneron, également lancés dans la course.  D’ici là, nombre d’autres traitements auront été testés et probablement approuvés, notamment l’usage de médicaments existants, actuellement testés sous l’égide de l’OMS (la fameuse hydroxychloroquine, le remdesivir, le ritonavir, etc…).

Mais Cytovia appartient à une autre catégorie de recherche -et d’espoir-, celle de technologies radicalement innovantes, le plus souvent d’immunothérapie, développées par plusieurs startups et compagnies pharmaceutiques. Une piste que beaucoup de spécialistes jugent plus prometteuses que celle des médicaments existants. Ancien patron de la FDA, Scott Gottlieb écrit notamment cette semaine dans le Wall Street Journal que “l’approche des anticorps est plus prometteuse” que les antiviraux existants et nécessite que la FDA change ses règles pour accélérer les processus de mise sur le marché. “C’est seulement si un traitement efficace est disponible que l’on pourra redonner confiance aux gens, et relancer l’économie (…) Sinon il faudra attendre un vaccin qui pourrait prendre 18 mois à deux ans.”

La technologie développée par les chercheurs de Cytovia est, elle, dite “bi-functionnelle”: elle est à la fois antivirale et immunitaire. “Un bras agit contre le virus et l’autre sur le système immunitaire” résume Daniel Teper. Comme beaucoup des équipes de chercheurs mobilisées contre le Covid-19, celle de Cytovia mise sur des avancées technologiques et scientifiques très récentes. “Tout cela est très nouveau”, souligne le PDG, mais, prédit-il, “2020 sera l’année de l’émergence thérapeutique des cellules tueuses naturelles génétiquement modifiées”. Dans ce domaine, Cytovia bénéficie de partenariats récents avec la New York Stem Cell Fundation et le laboratoire d’une autre franco-américain, Justin Eyquem, à l’UCSF (University of California San Francisco).

La nouveauté est largement autant technologique que biologique, d’où l’association de Cytovia avec une autre start-up, Macromoltek, une société d’intelligence artificielle sortie de l’incubateur Y Combinator. “Ils sont à la pointe de la convergence entre l’informatique et la biotechnologie, explique Daniel Teper. Grâce au machine learning, ils peuvent concevoir des anticorps de manière extrêmement accélérée”. Dans cette course contre la montre, c’est un atout majeur, non seulement dans la “guerre” actuelle contre le SARS-CoV-2, mais aussi pour changer la donne à plus long terme dans la lutte contre les maladies infectieuses. “Grâce à ces technologies, on peut imaginer de créer en quelques semaines des traitements contre de nouveaux types de virus”.

Car l’horizon des startups de biotech comme Cytovia est en général beaucoup plus lointain que celui de la crise actuelle du Covid-19. Mais en matière de biotech comme ailleurs, l’admonition churchilienne de ne “jamais laisser perdre une bonne crise” s’impose. Ces deux dernières semaines, en pleine déroute des marchés financiers, les fonds de venture capital spécialisés dans la biotech ont levé des sommes considérables (plus de 5 milliards de dollars à ce jour). Cet intérêt renouvelé des investisseurs pour le secteur est une bonne nouvelle pour Cytovia qui entend boucler une levée de fonds (series A) dans les tous prochains mois.

Où trouver ses chocolats pour les Fêtes de Pâques à New York ?

Pâques approche à grands pas, il est temps de chercher où acheter vos chocolats pour ce dimanche 12 avril. A  New York, quelques enseignes résistent à l’arrêt complet de leur production afin de vous proposer à la ventes à emporter ou à la livraison tout ce dont vous aurez besoin pour passer de joyeuses Fêtes de Pâques. 

La Maison du Chocolat, avec ses quatre boutiques à Manhattan, conserve pour l’heure les productions de ses deux principales enseignes, à savoir celle sur la Madison Avenue près du Met et celle à proximité du Rockefeller Center. Si les boutiques sont fermées, leur site tourne à plein régime.

Source : lamaisonduchocolat.us

Vous y retrouverez une “Easter collection” : créations artistiques, oeufs, figurines en chocolat … de quoi ravir vos papilles. Il vous suffit de passer commande en ligne ici, et vous recevrez vos chocolats directement à domicile. Un service de “Pick Up” est également proposé aux personnes habitant le quartier.   

 

Chocolat Moderne, à quelques blocs du Flatiron Building, a clos ses portes mais

Source : chocolatmoderne.com

son espace de production, situé au neuvième étage du building sur la vingtième, continue de créer de nombreux chocolats. Pour commander, l’enseigne propose un service en ligne où vous pourrez  retrouver des assortiments artistiques d’oeufs de Pâques peints à la main de motifs florales. Un service de “Pick Up” est proposé. Un pis-aller pour le commerce: “ au vu de la situation, nos ventes en ligne augmentent mais cela n’égalera pas nos ventes habituelles, explique le propriétaire. Les autres années, 90% des ventes se font en boutique par vente directe”

Sur la Sixième avenue, la célèbre chocolaterie Kreuther Handcrafted a fermé ses portes depuis maintenant plus d’un mois. Vous pouvez néanmoins commander sur leur site internet.  

Source : laduree.fr

La célèbre institution française Ladurée vous propose pour ces Fêtes de Pâques une sélection d’oeufs de Pâques  à commander sur le site internet. Vous retrouverez Super, Turbo, Magic, Cosmic et Rocket, les 5 oeufs de Pâques  avec des saveurs et un design uniques.

 

 

D’autres ont dû fermer totalement, comme l’artisan français Thierry Atlan. “Notre production artisanale n’est pas prévue pour être livrée, c’est bien trop fragile. Nous avons même dû suspendre notre site car cela demandait une présence continuelle et au vu du pourcentage de vente par internet ça ne valait pas le coup” explique le Meilleur Ouvrier de France qui espère rouvrir ses portes dans quelques semaines. 

Jacques Torres, chocolatier et pâtissier a annoncé hier après-midi la fermeture temporaire de ses ventes en ligne. “Au cours des 20 dernières années, rien ne m’a apporté plus de joie que de faire du chocolat et de contribuer à vos douces célébrations de Pâques. Nous avons travaillé sans relâche avec un personnel réduit, mais il est temps de suspendre temporairement les ventes sur notre site web pour assurer le bien-être de notre famille pendant le pic de la pandémie” annonçait-il sur ses réseaux sociaux et sur son site internet. Ses sept boutiques, implantées dans différents quartiers de Manhattan, sont temporairement fermées en attendant le rétablissement de la situation liée au coronavirus. En attendant, la saison 4 de Nailed it, disponible sur Netflix, vient de sortir. C’est une série où trois boulanger s’affrontent sur des créations de gâteaux et pâtisseries compliquées, et cela dans le but de remporter 10 000$. Une façon de rester connecté au chocolatier, juge dans l’émission. “Pouvoir passer des moments de rire durant cette période de notre vie est tellement important et je suis sûr que cette nouvelle série d’épisodes fera exactement cela” écrit-il sur son site.   

Où trouver des chocolats de Pâques à Los Angeles (et aux alentours)

Pâques, c’est le 12 avril. Si les traditionnelles chasses aux oeufs sont remises à l’année prochaine, on ne va pas pour autant se priver de chocolats ! Voici notre sélection d’adresses à Los Angeles (et aux alentours) pour en commander ou se faire livrer.

Chez Pitchoun Bakery

La boulangerie aux accents chantants de la famille Souliès est fermée pendant le confinement. Mais, rassurez-vous, ils fournissent toujours pour leurs habitués les chocolats qu’ils ont préparés dernièrement pour Pâques. Cookies en forme de lapin recouverts de pâte à sucre, oeufs et rongeurs en chocolat, oeuf stylisé recouvert de fleurs : Pâques aura du style, en plus d’être gourmand. Pour vous en procurer, il faudra pré-commander en ligne, puis les récupérer dans une des deux locations (Beverly Hills et Downtown) le vendredi 10 avril de 10 am à 12 pm ; ou se les faire livrer gratuitement à domicile (montant minimum de 50 $ avant taxes) le samedi 11 avril au matin. Pitchoun Bakery, au Beverly Center (8500 Beverly Blvd, Los Angeles) et à Downtown (545 S Olive St, Los Angeles). Plus d’informations par email à [email protected].

Chez Chocolats du Calibressan
Le chef bourguignon Jean-Michel Carré a troqué sa toque de cuisinier pour celle de chocolatier, il y a une dizaine d’années. Dans la petite ville de Carpinteria, à quelques kilomètres de Santa Barbara, les Chocolats du CaliBressan sont également à l’arrêt. Mais ils continuent à proposer leurs produits à emporter et en livraison (la solution la plus adaptée pour les Angelinos). Pour Pâques, il a concocté des “Bunnies”, une ganache au chocolat noir et orange, recouverte d’une coque de chocolat blanc. Vous pourrez également succomber à ses truffes aux goûts exotiques (gingembre-citron, curry-noix de coco, café, etc). Chocolats du CaliBressan, joignables au 805-684-6900 et 805-568-1313, et par email à [email protected].

Chez Ladurée
Autre option : la Maison Ladurée propose cette année la collection Chocobots : des œufs en chocolat, en deux tailles et trois sortes : chocolat au lait, chocolat noir et chocolat blanc. Pour pouvoir les déguster dimanche, il faudra vous dépêcher de commander sur leur site pour une livraison en 24 heures (accessible sur tout le territoire américain). Ladurée, plus d’informations ici.

Chez Valerie Confections
Le chocolat n’est pas une exception française. Ainsi, Valerie Gordon a sû se distinguer comme une des meilleures artisans chocolatiers de la ville. Cette année, elle a imaginé des oeufs poétiques (au chocolat blanc-framboise recouvert de pétales), mais aussi fourrés de caramel ou de ganache. Ils peuvent être livrés à domicile ou récupérer dans sa boutique d’Echo Park (à votre convenance). Valerie Confections, 1665 Echo Park Ave, Los Angeles. Commande en ligne ici.

Chez Compartes
Vous pouvez faire partie du carnet de clients prestigieux (Frank Sinatra, Marilyn Monroe ou Winston Churchill) de Compartes. Le chef Johnathan Grahm a imaginé des lapins de Pâques dorés, des oeufs fourrés au peanut butter, ou encore des bonbons Peeps à moitié trempé dans du chocolat (au lait ou noir). Sont également proposés à la vente des paniers de chocolats artisanaux. Pour les déguster, vous pourrez bénéficier de la livraison (gratuite dès 20 dollars d’achat). Compartes, 516 N La Brea Ave, Los Angeles, disponible au 310-826-3380.

Chômage, visas et aide aux entreprises : retrouvez l’intégralité de notre webinaire

Mardi 7 avril, nous invitions deux experts à vous expliquer en détails la situation actuelle et à répondre à vos questions en direct.

Retrouvez l’intégralité du webinaire ci-dessous.

Retrouvez les slides de la présentation ici.

Précision : la SBA a annoncé mardi les règles concernant les filiales américaines d’entreprises étrangères. Dans ce cas, le seuil des 500 employés s’apprécie seulement pour les employés basés aux Etats-Unis, quelle que soit la taille de la maison mère à l’étranger.

Contacter nos experts
Andrew Massat, associé du cabinet d’expertise comptable Massat Consulting Group
Isabelle Marcus, C.E.O et fondatrice de Columbus Consulting Group

Où trouver des chocolats de Pâques à San Francisco

Dimanche 12 avril, on fêtera Pâques. Si les traditionnelles chasses aux oeufs sont remises à l’année prochaines, on ne va pas pour autant se priver de chocolats! Voici notre sélection d’adresses à San Francisco pour les commander.

Miette

Cette pâtisserie-confiserie située dans Hayes Valley a fermé ses portes, mais propose chocolats et bonbons de Pâques par courrier. On peut même se faire livrer pour le lendemain. Au menu: moulages en forme de poules, lapins et poussins, mini oeufs fourrés au chocolat ou aux amandes, agneaux, carottes ou canetons en pâte d’amande, …De quoi ravir tous les gourmands. 449 Octavia Street, San Francisco, CA 94102. (415) 626 6221. Plus d’infos.

One65

En plus de ses assortiments de chocolats tous plus raffinés les uns que les autres, l’enseigne de Claude Le Tohic confectionne pour Pâques des moulages tellement soignés qu’on regretterait presque de les manger: au choix, un oeuf ou un poulet en chocolat. Ils sont disponibles à emporter ou à la livraison avec les services habituels. 165 O’Farrell St, San Francisco, CA 94102. (415)-814-8888. Plus d’infos.

The Candy Store

La boutique de bonbons de Russian Hill où il est absolument impossible de résister à la tentation: du sol au plafond, on y trouve des étagères sur lesquelles s’alignent des pots remplis de gourmandises colorées et des sucettes géantes. Pour Pâques, The Candy Store propose lapins et petits oeufs en chocolat, à commander en ligne pour une livraison partout aux Etats-Unis pour 10 dollars. 1507 Vallejo Street, San Francisco, CA 94109. (415) 921-8000. Plus d’infos. 

Charles Chocolates

Un des chocolatiers locaux les plus connus, Charles chocolates ne faillit pas à la tradition de Pâques, avec des coffrets de chocolats et des moulages de lapins multicolores qui sont aussi beaux que bons. Disponible uniquement à la livraison, en deux jours pour 5 dollars. 2650 18th St, San Francisco, CA 94110. Plus d’infos.

Covid-19: “Attention au déconfinement prématuré”, prévient Romain Pirracchio, chef du service réanimation au Zuckerberg Hospital de San Francisco

Les journée de Romain Pirracchio, qui dirige le service d’anesthésie-réanimation au Zuckerberg Hospital de San Francisco, se suivent mais ne se ressemblent pas: aujourd’hui, c’est une succession de réunions, pour se préparer à un afflux massif de patients: “Hier, j’étais avec mes malades toute la journée, aujourd’hui, je me suis concentré sur notre stratégie pour favoriser le principe d’aplatissement de la courbe du Covid-19. Chaque jour, nous nous adaptons et revoyons nos priorités.

Médecin, chef de service, enseignant et chercheur, installé depuis 2018 à San Francisco, Romain Pirracchio est un spécialiste des biostatistiques, qui permettent de créer des modèles en fonction de données sur certaines pathologies. “En épidémiologie infectieuse, nous avons des modèles qui sont dérivés d’observations rétrospectives de maladies, et qui nous permettent de prédire les pics de contamination. Ici, le défi est de réagir plus vite et de construire des modèles plus dynamiques, grâce à des techniques bien maîtrisées dans la Silicon Valley, comme l’intelligence artificielle et le machine learning. C’est la course contre la montre du moment, car nous avons besoin de beaucoup de données pour construire ces modèles, mais pour l’instant, elles ne sont pas encore disponibles et pas d’assez bonne qualité.

A San Francisco, où le confinement est en place depuis le 16 mars, le pic de l’épidémie semble encore loin: “Selon les prédictions actuelles, il aura lieu la dernière semaine d’avril“, avance Romain Pirracchio. “Les mesures que la ville a prises tôt sont largement responsables de la dynamique beaucoup plus lente que l’on observe ici, avec un effet net sur l’aplatissement de la courbe. Nous constatons que nous avons peu de patients à San Francisco, mais ils sont en général plus gravement malades, sans toutefois que le nombre de morts soit élevé. ” Le médecin met toutefois en garde contre un triomphalisme prématuré, qui circule déjà dans les médias et pourrait faire penser que la région de San Francisco sera relativement épargnée: “Il faut être très prudent, car ces courbes peuvent devenir désastreuses si on relâche les mesures actuelles d’isolement. On ne pourra être sûr qu’a posteriori que le pic est passé. Nos actions d’aujourd’hui sont déterminantes pour les semaines qui viennent.” 

Fort de dix années à la tête d’un service similaire à l’hôpital Georges-Pompidou à Paris, Romain Pirracchio n’en est pas à sa première gestion de crise. Il a notamment vécu les attentats de 2015, et sait que la préparation des structures hospitalières est fondamentale: “A San Francisco, nous avons les capacités d’accueil et de matériel nécessaires, en particulier les respirateurs. Si on compare avec New York, l’impact de l’épidémie est à l’opposé du spectre, et mes collègues doivent travailler dans des conditions extrêmement difficiles avec des capacités hospitalières mises à rude épreuve. Heureusement, la mise à disposition d’un bateau-hôpital permet d’augmenter le nombre de lits.” Quant à l’absence de politique fédérale pour imposer un confinement à tout le pays, elle est clairement à déplorer: “Sans faire de politique, il est facile de faire le parallèle avec le système de santé en France, où la capacité de réagir de manière concertée et rapide est à prendre en exemple.

Romain Pirracchio salue aussi l’élan de solidarité dont il est témoin depuis le début de l’épidémie, aussi bien dans les biotechnologies que dans les entreprises tech traditionnelles, et les universités: “A UC Berkeley, des ingénieurs sont prêts à développer des procédures de stérilisation pour pouvoir réutiliser nos équipements d’intervention, notamment les masques. A UCSF, on compte sur les technologies portables comme les montres connectées pour suivre l’évolution de la maladie“, énumère le médecin. “Chacun veut mettre son temps et son savoir à disposition. Et de façon très pragmatique, cela commence par l’envoi de masques que les entreprises ou les particuliers avaient en stock chez eux.

Quant à l’après-COVID, Romain Pirracchio préfère rester prudent, et s’attend à ce que le déconfinement prenne du temps: “Pour le moment, le confinement est imposé dans la Bay Area jusqu’au 4 mai. Si le pic se produit fin avril, il est scientifiquement très peu probable que le retour à la normale s’effectue début mai. Nous assisterons sans doute à un plateau du nombre de cas avant de voir une vraie décroissance, puis le déconfinement”, explique-t-il.  “Notre rôle est de continuer à être le bon élève, ne pas relâcher les règles d’isolement pour espérer se sortir de cette situation le mieux possible.”

Contrôle renforcé aux frontières françaises : attestation de déplacement obligatoire

Depuis le lundi 6 avril, il faut désormais une attestation spécifique pour entrer sur le territoire français.

Si vous êtes citoyen français, aucune autre restriction n’est mise en place, vous pouvez rentrer sur le territoire, mais il est nécessaire d’avoir l’attestation avec soi. Les compagnies aériennes refuseront l’embarquement aux passagers qui ne remplissent pas les conditions requises” précise le site de l’ambassade de France au US.

En revanche pour les non ressortissants français, il faut remplir une des conditions suivantes pour pouvoir entrer en France: 

Ressortissants d’un pays de l’Union européenne (et assimilés):

-Personnes ayant leur résidence principale en France, ainsi que leurs conjoints et leurs enfants.

-Personnes transitant par la France pour rejoindre leur résidence, ainsi que leurs conjoints et leurs enfants

-Professionnels de santé aux fins de lutter contre le Covid 19

-Transporteurs de marchandises, dont les marins

-Equipages et personnels exploitant des vols passagers et cargo, ou voyageant comme passagers pour se positionner sur leur base de départ

-Personnels des missions diplomatiques et consulaires, ainsi que des organisations internationales ayant leur siège ou un bureau en France, titulaires d’un titre de séjour spécial ou d’un visa D promae

-Travailleurs frontaliers aux frontières intérieures terrestres.

Ressortissants d’un pays tiers:

-Titulaires d’un titre de séjour ou d’un visa de long séjour français ou européen en cours de validité, ainsi que leurs conjoints et leurs enfants

-Personnes en transit pour rejoindre leur pays d’origine, présentant le titre de voyage vers leur pays d’origine et restant en zone internationale sans entrer sur le territoire national

-Professionnels de santé aux fins de lutter contre le Covid 19

-Transporteurs de marchandises, dont les marins

-Equipages et personnels exploitant des vols passagers et cargo, ou voyageant comme passagers pour se positionner sur leur base de départ

-Personnels des missions diplomatiques et consulaires, ainsi que des organisations internationales ayant leur siège ou un bureau en France, titulaires d’un titre de séjour spécial ou d’un visa D promae

-Travailleurs frontaliers aux frontières intérieures terrestres.

Les pièces justifiant le statut de la personne sont également exigées.  Un contrôle sanitaire pourra être imposé aux personnes voyageant à destination des collectivités d’Outre-Mer françaises, cela pouvant donner lieu à une mise en quarantaine à domicile ou dans une structure dédiée. 

Plus d’information ici.

Attestations à télécharger ici. 

Où trouver des chocolats de Pâques à Washington DC?

Quoi de mieux que de délicieux chocolats pour remonter le moral en ces temps de confinement? Dans la capitale américaine, trois chocolatiers offrent leurs services pour passer un weekend de Pâques presque normal.

The Chocolate House (Dupont Circle)

Cette petite chocolaterie haut de gamme nichée au rez-de-chaussée d’un immeuble à Dupont Circle passe presque inaperçue de la rue, mais ses chocolats valent le détour. The Chocolate House achète ses ingrédients dans monde entier, dont Hawaï et la Suisse. Pour cette année, la maison prend des commandes en ligne et les envoie par USPS. Vous pouvez également vous rendre sur place pour récupérer les commandes, du lundi au samedi, de 12pm à 5pm. 1904 18th St NW. Site.

Ladurée (Georgetown-Union Station)

La célèbre boutique française, connue pour ses macarons, continue à prendre des commandes sur son e-shop. La boutique locale est “sold-out” donc seule une commande en ligne est possible. Plusieurs sortes de chocolat sont encore disponibles, en forme d’oeuf ou en carré, mais aussi du thé vert et des confitures. Site.

Chocolate Chocolate (Downtown)

Pour les festivités de Pâques, la boutique propose des œufs de Pâques de noix de coco grandes tailles, des carottes et des lapins en chocolat moulés, et la sélection habituelle, des bonbons raffinés aux truffes gourmandes. Sur leur site, les chocolatiers demandent à leurs clients de “passer vos commandes en ligne“, ou “appelez-nous au 202.466.2190 pour passer une commande à expédier” car “en raison de COVID-19, nous n’offrirons plus de ramassage ou de livraison en bordure de trottoir pour le moment. Veuillez rester à la maison et en sécurité!“. Site.

Coronavirus et expatriation : tout ce que vous devez savoir

(Article partenaire) La crise sanitaire qui touche actuellement le monde entier soulève un grand nombre de questions et d’incertitudes pour de nombreuses personnes à travers la planète. Qu’en est-il des Français expatriés ? Nous faisons le point sur la situation pour les non-résidents.

Coronavirus : quelle est la situation mondiale ?

Alors que l’épidémie de coronavirus débutait en Chine fin décembre 2019, elle s’est aujourd’hui propagée dans tous les continents, au sein de 183 pays, en un peu plus de 3 mois. Au 6 avril 2020, on compte 1.289.380 cas confirmés et 70.590 décès suite au Covid-19 dans le monde, selon le Centre pour la science et l’ingénierie des systèmes (CSSE) de l’Université Johns Hopkins de Baltimore, qui propose notamment une carte avec l’évolution du nombre de cas dans le monde. 

En France, 93.780 cas ont été confirmés, et 8.093 décès ont été déplorés, faisant de l’Hexagone le 5ème pays le plus touché, après les États-Unis, l’Espagne, l’Italie et l’Allemagne. Le nombre de cas en France double tous les 3 ou 4 jours, comme le rappelait Édouard Philippe dans sa conférence de presse du 28 mars. Il a par ailleurs annoncé un prolongement du confinement pour deux semaines supplémentaires, jusqu’à mi-avril, alors que la France terminait déjà sa deuxième semaine de confinement.

Les Français expatriés sont, quant à eux, très limités dans leurs déplacements. En effet, près d’une quarantaine de pays a déjà fermé ses frontières, ou a imposé des restrictions d’accès aux voyageurs français. C’est notamment le cas pour les États-Unis, l’Union européenne et l’Espace Schengen, la Chine, le Japon, la Thaïlande, la Nouvelle-Zélande, l’Inde, la Russie, le Pérou… 

Pour en savoir plus sur le sujet : téléchargez gratuitement le replay de notre webinar “Coronavirus, expatriation et immobilier”.

Coronavirus et expatriés : ceux qui souhaitent rentrer en France

Suite à la soudaine fermeture des frontières et de la majorité des lignes aériennes au sein de nombreux pays, 130.000 Français, touristes et expatriés, se sont retrouvés bloqués à l’étranger dans l’attente de pouvoir rejoindre la France. La grande majorité d’entre eux a pu être rapatriée, mais 20.000 Français sont toujours dans l’attente de pouvoir revenir dans leur pays d’origine.

Les Français de l’étranger sont invités à s’inscrire sur le site Ariane, du ministère des Affaires étrangères. Cela permet d’une part de répertorier les ressortissants de l’Hexagone et ainsi de prendre contact avec eux plus facilement. De plus, les expatriés inscrits sur le site pourront être prévenus de toute nouvelle information ou alerte.

Il est conseillé aux expatriés qui souhaitent rentrer en France de se renseigner au préalable sur le site des Affaires étrangères, afin de connaître les recommandations du gouvernement.

En ce qui concerne la couverture médicale des non-résidents à leur retour en France, les députés ont récemment voté en faveur de la suspension du délai de carence de trois mois. D’ordinaire, ce délai est imposé aux expatriés de retour en France, après avoir séjourné à l’étranger pendant une longue période. 

Grâce à cette nouvelle réglementation, tous les non-résidents français faisant le choix de rentrer dans l’Hexagone pourront accéder automatiquement à la Sécurité sociale.

Coronavirus et expatriés : ceux qui restent dans leur pays d’expatriation

Beaucoup d’expatriés choisissent de rester chez eux, dans leur pays d’expatriation, pendant la crise sanitaire. En effet, de nombreux pays n’affichent désormais que très peu de cas et certains non-résidents ont même pu retrouver un quotidien plus ou moins normal. 

L’économie est également fortement impactée par la pandémie, qui a déjà entraîné un krach boursier à l’échelle nationale et internationale. Toutefois, en ce qui concerne l’immobilier, on peut s’attendre à ce que l’impact soit plus positif. En effet, suite à cette crise inédite, les taux de crédit immobilier vont probablement baisser. De plus, quand le confinement aura pris fin en France, il faut s’attendre à ce que l’activité et les transactions immobilières remontent en flèche. Beaucoup de biens vont également être mis en vente, et il y aura donc sûrement des opportunités intéressantes à saisir.

On constate aussi que, malgré cette urgence sanitaire, l’immobilier ne perd pas de son dynamisme, et les prix sont toujours élevés dans les grandes villes attractives de France, comme Paris, Lyon, Bordeaux ou Marseille.

L’immobilier est par ailleurs connu pour constituer une valeur refuge pendant des périodes de crises ou d’incertitudes. Investir dans un bien immobilier permet notamment de mettre à l’abri ses avoirs et de sécuriser son avenir et celui de ses enfants, ce qui est particulièrement judicieux dans le contexte actuel.

Ainsi, plusieurs expatriés se préparent à investir dans l’Hexagone, où le marché de l’immobilier reste encore très stable et favorable.

Vous souhaitez investir dans l’immobilier français une fois la crise sanitaire passée ? C’est maintenant qu’il faut commencer à préparer votre projet. Contactez My expat pour vous faire aider dans les démarches et pour investir depuis votre pays d’expatriation.

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