Expatriée à Washington depuis 2012, Sophie Caporossi trouvait qu’il n’y avait pas assez d’artistes français représentés à Washington. “J’étais très déçue et je ne trouvais pas de choses à acheter, ou du moins à admirer. Il y avait de nombreux artistes locaux originaires de Virginie, du Maryland ou parfois du Delaware”, dit-elle.
Cette passionnée d’art contemporain a donc pris son bâton de pèlerin et créé Batignolles in DC. L’objectif: faire connaître le travail d’artistes français dans la capitale américaine. Sa prochaine exposition a lieu dans le quartier historique et culturel de Georgetown, du mercredi 30 janvier au dimanche 3 mars. Le peintre Gaëtan de Seguin, qui travaille sur le thème de la foule, et le sculpteur autodidacte Helder Batista, qui s’est fait connaître grâce à sa série “Flag gun”, des armes à feu enveloppées de drapeaux et résinées, seront à l’honneur.
Après avoir vécu près de vingt ans dans le quartier des Batignolles à Paris, Sophie Caporossi décide de suivre son époux à Washington. Consultante dans le marketing des médias, elle réalise rapidement qu’elle pourra difficilement poursuivre sa carrière aux Etats-Unis. “Je sentais que j’étais ‘so french’, ce qui n’est pas toujours un avantage. Puis, je me rendais compte qu’intégrer une société américaine voulait dire deux ou trois semaines de vacances par an. Or, j’ai besoin de rentrer pour revoir ma famille. Je me suis alors dit que l’entrepreneuriat était une bonne solution”, se souvient-elle.
Amatrice d’art depuis plusieurs années à Paris, la Française décide alors de pousser les portes des galeries de la capitale pour leur proposer des artistes français. Elle rencontre une galeriste de Singapour intéressée d’exposer des œuvres européennes. La jeune femme reprend contact avec Hervé Maury, un peintre français qui travaille sur le thème des animaux. Une première exposition est organisée en 2014. Depuis, Batignolles in DC organise des événements dans plusieurs villes américaines.
Sophie Caporossi n’a pas ouvert de galerie, elle se considère comme agent d’artistes. Elle choisit elle-même ceux qu’elle souhaite exposer. “Je cherche des artistes qui ne se ressemblent pas“, poursuit-elle. Le public est international. “J’ai des Américains, mais également des Européens grâce à mon réseau privé. La communauté française de Washington est très dynamique. Le public francophone est présent”, se réjouit la jeune maman.
Sophie Caporossi, la marraine des artistes français à Washington
Épisode 4: L'Utah, l'étonnant pionnier de l'éducation bilingue
Dans l’épisode 4 de notre podcast “Révolution Bilingue”, Fabrice Jaumont s’intéresse à l’exemple passionnant de l’Utah.
Il y a une dizaine d’années, les dirigeants de cet Etat ont lancé une politique de développement des programmes bilingues en immersion. A travers l’Utah, 225 écoles enseignent désormais la moitié du temps scolaire dans une langue autre que l’anglais. Espagnol et chinois sont en tête, mais il y a également trente-et-une écoles en français.
Anne Lair est la coordinatrice du programme d’immersion au lycée/université (programme Bridge) pour l’Etat de l’Utah. Elle raconte comment et pourquoi l’Utah a décidé de se donner les moyens de former des citoyens du monde.
Listen to “L’Utah, l’étonnant pionnier de l’éducation bilingue” on Spreaker.
Au "Grand débat national" de San Francisco, des critiques et des propositions
Plus de 70 personnes se serrent dans l’étroite bibliothèque du Lycée Français de San Francisco, prêtes à participer au Grand débat national.
Cette discussion est la première (et la seule à ce jour) à avoir été montée aux Etats-Unis dans le cadre de la grande discussion voulue par Emmanuel Macron pour répondre à la crise des Gilets jaunes. Organisé vendredi 25 janvier par Sophie Suberville, vice-présidente du conseil consulaire de San Francisco et membre de La République en marche, le débat est animé par la psychologue Gwladys Louis-Marie et par la journaliste Janis Couvreux.
Fiscalité, dépenses publiques, transition écologique: le temps manque pour aborder tous les thèmes. Sur la fiscalité, les participants au débat réclament plus de transparence sur la justification et la redistribution des impôts: “Sur un même formulaire, on trouve pêle-mêle les cotisations sociales et la taxe audiovisuelle”, déplore Romain Pirracchio, professeur de médecine à UCSF. “On pourrait réorganiser la feuille d’impôt par secteur, comme l’éducation, la santé, la défense par exemple.” Pierre Adida, retraité, pointe du doigt le nombre de sénateurs et de députés en France, “aberrant” quand on le compare à celui, beaucoup plus modeste, des Etats-Unis.
Appelés à réfléchir sur les domaines où faire des économies, une réponse fuse du fond de la salle: “Il faut tout digitaliser et supprimer les fonctionnaires!“. Des rires répondent à cette provocation, mais la discussion continue sur la nécessité d’une meilleure efficacité de l’administration, comparée à “un mille-feuille“.
Tous s’accordent aussi sur une perte de confiance en l’Etat quand il s’agit de faire les bons choix en termes de dépenses. S’inspirant de son expérience de citoyen américain, un participant souligne que le système américain repose bien plus sur des initiatives citoyennes que la France: “On vote sur différentes propositions liées à la ville, le comté et l’Etat de Californie; les propositions sont très concrètes, bien expliquées dans des fascicules que chacun peut lire, et émanent souvent de citoyens.”
Sur la question de la transition écologique, la question de la transparence se pose encore: “On met sur la table des objectifs pour la planète que personne ne peut contester, mais qui se traduisent par une taxe sur le diesel qui a été mal expliquée, explique Romain Pirracchio. Il faut que l’impôt soit intégralement utilisé pour financer la transition écologique, pour le bénéfice de tous.”
Un jeune étudiant se lève pour dénoncer les pollueurs: “On demande aux gens de trier leurs déchets, mais on ne dit rien des entreprises qui ont délocalisé et dont on importe les produits sur des porte-containers très polluants. C’est un changement sociétal qu’il nous faut!” Des applaudissements saluent son discours. “On flique le petit contribuable, mais on ferme les yeux sur les gros pollueurs, et ceux qui font de l’évasion fiscale“, poursuit-il.
Roland Lescure, député des Français de l’étranger et qui a fait le déplacement à San Francisco, est invité à conclure le débat. “Les Français expatriés apportent de nouvelles idées, et j’ai d’ailleurs pris plein de notes durant cette discussion. Je retiens surtout le besoin évident de transparence, tant sur la fiscalité que sur la transition écologique, ainsi qu’une meilleure pédagogie.”
Selon le député, d’autres débats devraient être organisés prochainement à New York, Atlanta ou Montréal. “Chacun peut organiser un débat, et les consulats sont là pour aider à l’organiser“, rappelle-t-il. Le grand débat national se clôturera le 15 mars, et chacun peut soumettre ses idées directement sur le site dédié.
Français aux Etats-Unis, je soutiens les Gilets jaunes
Cela fait depuis 2016 que Jérôme Bertrand est installé à Austin. Mais ça ne l’empêche pas de suivre de près le mouvement des Gilets jaunes, qui se poursuit depuis deux mois en France. Cet ingénieur fait partie des Français des Etats-Unis qui soutiennent les manifestants. Et qu’importe si un océan les sépare.
“Emmanuel Macron essaie de mettre en place des réformes qui vont faire converger le modèle social français vers le modèle social américain et je ne le veux pas. C’est le cas de la réforme de la retraite, qui reprend le modèle américain. Soutenir les Gilets jaunes, c’est pour moi une façon de contraindre le gouvernement à revoir sa copie”, dit-il, “fier” de voir que le mouvement français a inspiré des Américains à se mobiliser aussi. “C’est frustrant de ne pas être en France, car j’aurais aimé aller sur les ronds-points. Mais en même temps, quand je vois la violence policière, c’est plus confortable de voir les manifestations de loin.”
Etre pro-Gilets jaunes et vivre aux Etats-Unis peut paraitre incompatible pour certains. Pourtant, le mouvement a rencontré un (petit) écho ici, où il a été loué à la fois par des figures de droite (dont Donald Trump sur twitter) et des militants socialistes. Jérôme Bertrand est loin d’être le seul Français a être tenté par l’appel du rond-point. Pour Alain Braux, chef pâtissier et nutritionniste bien connu à Austin, Emmanuel Macron doit carrément démissionner car il “vend la France à des banquiers internationaux et nous risquons la faillite“.
“Je vis aux Etats-Unis depuis quarante ans, mais je suis conscient que si j’étais en France, je serais dans le même pétrin. Je serais un travailleur comme les autres et je serais victime des impôts et des taxes. Je me suis toujours considéré comme un ouvrier, je ressens donc plus le mouvement qu’une personne travaillant dans le secteur des hautes technologies”, considère-t-il. À défaut de manifester dans les rues, il aide les Gilets jaunes en re-postant des messages sur les réseaux sociaux et en faisant des donations financières. Il a ainsi participé à la cagnotte controversée pour l’ex boxeur professionnel Christophe Dettinger, qui a frappé un CRS.
Pauline Schneider, enseignante à San Francisco, a commencé à soutenir le mouvement dès l’appel au rassemblement lancé fin novembre à Saint-Nazaire (et qui a été vu plus d’un millions de fois en deux jours sur Facebook). “Personne militante” auto-proclamée, “je trouve cela intéressant que les gens cherchent à se ré-approprier une parole. Je suis habituée aux manifestations, mais dans le cas du mouvement des Gilets jaunes, beaucoup de manifestants sont des gens que l’on ne voit pas souvent dans les cortèges“, raconte-t-elle. Autour d’elle, à Berkeley, plusieurs Français soutiennent le mouvement et “la plupart des Américains que je connais sont également ouverts à la discussion et s’intéressent au mouvement“.
Tous les jours en fin de soirée, Mayëline Brissac, infirmière installée à Humble près de Houston depuis cinq ans, regarde le journal télévisé pour se tenir au courant, une façon de ne pas lâcher “ces gens-là”, ceux que l’on a oubliés. « Les retraités n’ont pas à subir ce sort, c’est une véritable injustice sociale. Le taux de chômage est obscène, il faut retrouver une fluidité du marché ».
En 2017, Emmanuel Macron a obtenu plus de 92% des voix aux Etats-Unis. Expatriée à Houston depuis bientôt sept ans, Anne-Marie Marabin fait partie de ceux qui ont voté pour lui. Près de deux ans plus tard, elle soutient les Gilets jaunes et juge que le président a fait des erreurs. «il n’a pas compris le fonctionnement de l’État ». Elle aimerait cependant que ses compatriotes « apprennent » à se réinventer, mais quand elle évoque le sujet devant ses amis en France, on lui renvoie son statut d’expatrié à la figure: « tu ne peux pas comprendre », lui disent-ils. Alors, mal à l’aise, elle évite d’en parler avec ses proches.
Sébastien Cappelier, enseignant à Washington D.C., a été “séduit par le fait que c’était un mouvement citoyen qui n’avait pas été repris par les syndicats“. “Le mouvement initial des Gilets jaunes, celui que je soutiens, a commencé par être celui des gens qui rament. Je trouvais le combat juste, nous avons trop de taxes en France. Je partageais leurs revendications, car je trouve que c’est légitime de vouloir avoir de meilleures fins de mois, souligne cet expatrié depuis 2009. “Ce sont des questions assez éloignées de nos quotidiens, ici aux Etats-Unis, car nous ne sommes pas directement concernés par le mouvement. Il y a une certaine distance qui permet de ne pas avoir des débats toxiques”.
“Même si je ne vis plus en France, je reste Français, conclue Jérôme Bertrand. J’ai l’intention de rentrer un jour, j’ai une famille et je suis un citoyen. J’ai également le devoir de voter, mais la démocratie ne s’arrête pas au vote.”
Par Marie Demeulenaere (Washington), Lorraine Talbot (Houston), Alexis Buisson (New York)
Environnement: le docu "Demain" vient redonner espoir aux New-Yorkais
César 2016 du meilleur documentaire, “Demain” de Cyril Dion et Mélanie Laurent arrive à la Maison Française de l’université Columbia le jeudi 7 février. Juste à temps pour donner un bon bol d’optimisme à l’heure où l’on a l’impression que la planète court à sa perte.
Engagé sans être culpabilisant, “Demain” traite de l’avenir de l’humanité face à la destruction de l’écosystème. Le documentaire raconte comment un groupe de six trentenaires, dont Mélanie Laurent et Cyril Dion, tente de résoudre la crise écologique pesant sur le monde. La fine équipe part pour un tour du monde des initiatives locales pour protéger l’environnement. Agriculture, énergie, habitat, éducation, économie, démocratie…: elle fait découvrir au spectateur des projets innovants et comment des citoyens ordinaires se retroussent les manches pour sauver les générations futures. Un documentaire qui fait du bien.
Les héros américains du Thalys deviendront Français à Sacramento
Leur courage leur avait valu de recevoir de nombreuses distinctions, dont la légion d’honneur des mains du président François Hollande. Il a même inspiré Clint Eastwood à en faire un film, “The 15:17 to Paris”.
Spencer Stone, Alek Skarlatos et Anthony Sadler, les trois héros américains du Thalys, deviendront français lors d’une cérémonie de naturalisation le jeudi 31 janvier à l’Alliance française de Sacramento. Le consul de France à San Francisco Emmanuel Lebrun-Damiens et Guy Michelier, consul honoraire de France à Sacramento, participeront à la cérémonie.
En août 2015, les trois amis originaires de Sacramento et de sa région et deux autres personnes ont neutralisé un terroriste à bord d’un train Thalys qui allait d’Amsterdam à Paris, évitant ainsi un carnage. Le terroriste était muni de plusieurs armes à feu, d’un marteau et d’un cutter. Les trois Américains, dont deux militaires, étaient en vacances en Europe à ce moment-là. Ils se sont rués sur le terroriste quand celui-ci est arrivé dans leur wagon, profitant d’un dysfonctionnement de son arme à feu pour l’immobiliser. Quatre personnes ont été blessées pendant l’attaque, y compris le terroriste.
5 shows de stand-up américains à découvrir sur Netflix US
Au pays du stand-up, les vannes fusent aussi vite que les comédiens se succèdent. De l’ancienne garde aux artistes plus récents, voici cinq one man shows américains à découvrir sur Netflix US.
Trevor Noah – “Son of Patricia”
Présentateur star du Daily Show sur la chaîne Comedy Central, Trevor Noah a grandi à Johannesburg, élevé par un père blanc d’origine suisse et par une mère noire sud-africaine. Le spectacle “Son of Patricia” est un hommage à cette dernière. Trevor Noah y raconte son enfance bercée par le racisme, son arrivée aux Etats-Unis et porte un regard très critique sur la politique américaine, le tout avec beaucoup d’humour. Un one man show plus que jamais d’actualité sur le thème de l’immigration (avec même quelques imitations en français).
Jerry Seinfeld – “Jerry before Seinfeld”
Il est sans doute la plus grande star du stand-up américain. Jerry Seinfeld a commencé sa carrière en 1976. Il a enchaîné les succès depuis sur scène et à la télévision. Dans “Jerry before Seinfeld”, l’Américain de 64 ans remonte sur la scène qui l’a fait connaître, The Comic Strip Live situé dans l’Upper East Side à New York. A l’aide d’images d’archive, il revient sur sa jeunesse et ses débuts sur scène, reprenant ses meilleurs blagues de l’époque. Un one man show essentiel pour quiconque s’intéresse au stand-up américain.
Joe Rogan – “Strange Times”
Beaucoup moins politiquement correct que les deux premiers, Joe Rogan a notamment été rendu célèbre pour son émission radio “The Joe Rogan Experience” et pour les combats d’UFC (Ultimate Fighting Championship) qu’il commente depuis 1997 à la télévision américaine. Dans “Strange Times”, Joe Rogan s’attaque frontalement à Hillary Clinton, aux vegans, aux féministes et à la bien-pensance en général. Un spectacle mordant et caustique à contre-courant.
Sarah Silverman – “A Speck of Dust”
Tout à la fois actrice, humoriste et productrice, Sarah Silverman traite dans ses spectacles des tabous sociaux et des sujets sensibles avec un mélange de sarcasme et d’humour noir. Sorti en 2017, “A Speck of Dust” est son spectacle le plus abouti. Sarah Silverman y aborde des thèmes comme la religion, l’avortement ou la politique américaine. Une comédienne atypique et outrageuse.
John Mulaney – “The Comeback Kid”
Moins connu que Jerry Seinfeld ou Trevor Noah, John Mulaney a déjà pourtant une belle carrière derrière lui. D’abord auteur et scénariste dans l’émission “Saturday Night Live” diffusée sur NBC, l’Américain de 36 ans en est à son quatrième spectacle. Dans “The Comeback Kid”, son troisième show sorti en 2015, il revient dans sa ville natale de Chicago. Il nous raconte sa vie quotidienne -son mariage, son admiration pour les agents immobiliers ou la difficile co-habitation avec son bulldog français, le tout avec une auto-dérision hilarante et un sens aigü du story-telling.
Bonus: pour découvrir plus de talents américains, regardez la série The Standups, composée de prestations de 30 minutes d’humoristes en devenir.
La FACC Los Angeles vous dit comment investir aux Etats-Unis
Qui dit “nouvelle année” dit “nouveau rendez-vous”. La chambre de commerce franco-américaine de Los Angeles (FACC) organise un atelier intitulé “comment investir votre argent aux Etats-Unis” le mardi 5 février à Dots Space.
Trois experts y participeront: Romain Lefranc, directeur général d’Aaron Capital, Cyril Darmouni, partenaire d’EXCO US et Gregory Day, conseiller financier au sein de la société d’investissement Edward Jones. Cette conférence (accessible uniquement sur réservation pour les membres et les non-membres) se conclura comme il se doit par des hors d’oeuvres et du vin.
The Inner Circle: l'app de dating pour ceux qui n'aiment pas le dating
(Article partenaire) Trouver l’amour en ligne n’a rien de simple. Les applications de dating ont changé notre manière de rencontrer de nouvelles personnes et la façon dont nous communiquons avec elles. Et pas toujours dans le bon sens. Si vous avez déjà démarré votre journée avec un message plus qu’inapproprié de la part d’une « conquête » un peu trop téméraire, vous savez de quoi l’on parle.
C’est là que The Inner Circle entre en jeu. Avez-vous déjà entendu parler du selective dating ? On vous explique tout.
Le dating sélectif, c’est ne pas vouloir rencontrer que des mannequins et des chefs d’entreprises. Cela veut dire ne plus vouloir s’infliger des rendez-vous interminables avec des personnes avec qui vous n’avez aucun atome crochu, ou pire, qui vous ont menti sur leur identité et vous mettent dans une situation insupportable. Cela veut dire commencer à utiliser une application de rencontres qui n’essaye pas de transformer votre vie amoureuse en jeu, et qui vous traite plutôt avec le respect que vous méritez.
L’application The Inner Circle fait cela en se concentrant sur la qualité plutôt que la quantité. Les plus grandes villes du monde sont séduites: Paris, Londres, New York et Sydney… Chaque membre de The Inner Circle doit être approuvé en amont. Objectif: s’assurer que les membres, venant d’horizons différents et ayant des professions et activités diverses, sont tous animés par une vraie volonté de trouver la personne avec laquelle ils partageront leur vie.
Mais cela ne s’arrête pas là : l’application regorge de fonctionnalités. Vous ne savez pas où emmener votre match pour un premier rendez-vous ? L’application vous liste une sélection d’établissements locaux notés par d’autres membres. Autre particularité : si vous voyagez beaucoup, vous pouvez utiliser la fonctionnalité « Trips », qui vous permet de renseigner quand et où vous allez, pour entrer en relation plus facilement avec d’autres membres en amont de votre arrivée.
Cerise sur le gâteau, The Inner Circle organise des soirées et événements de renom dans les grandes villes du monde : Paris, New York, Milan, Londres… Toujours dans des endroits magnifiques et iconiques, où vous passerez une soirée exceptionnelle avec d’autres membres sélectionnés, comme vous.
Pour rencontrer des personnes connectées et intéressantes, créez vous un compte gratuitement, et préparez-vous à ne plus jamais avoir à dater…
Rejoindre The Inner Circle
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
À Williamsburg, une fondue bien au chaud
Pour traverser l’hiver rigoureux en souriant à la vie, on a trouvé la vraie bonne idée : une fondue entre potes, sous un pod, bien au chaud!
On reporte ses résolutions diététiques de début d’année et on booke une soirée fondue à l’Hôtel Hoxton, fraîchement installé à Williamsburg, pour notre plus grande joie. L’expérience dure jusqu’au 25 février.
En piste, suivez le guide pour découvrir les charmes de ce temple de la branchitude, où 3 pods habilement aménagés ont été installés dans la cour.
Chaque dôme contient 8 places assises et est équipé d’un poêle, de couvertures polaires et de peaux de bêtes, pour parfaire l’ambiance igloo.
La carte est classique : fondue dans tous ses états, fontaine de chocolat ou à défaut, accès aux plats du Klein’s, le resto de l’hôtel.
Un shot de Fernet-Branca pour digérer et faire de beaux rêves et hop, nos voeux sont faits…
Santé!
Dans le coin ?
Si le shot de Fernet-Branca vous a requinqué et que vous avez envie de poursuivre joyeusement la soirée, lancez-vous sur la piste (de danse ou de bowling) du Brooklyn Bowl voisin. Chaude ambiance garantie.