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Deux conférences à San Francisco sur l'expatriation en famille

Comment réussir son départ à l’étranger à deux ou en famille ? C’est cette grande question qui sera au centre de deux conférences organisées par San Francisco Bay Accueil (SFBA) à la Résidence de France à San Francisco le mardi 9 octobre.
Les deux évènements sont animés par Alix Carnot, directrice associé du service d’accompagnement Expat Communication et auteure de Chéri(e), on s’expatrie. La première conférence, de 10am à 12pm, porte sur l’impact de l’expatriation sur la famille, le couple et les enfants. De 6pm à 8pm, la deuxième conférence abordera la thématique de la double carrière et la protection du conjoint accompagnateur.
Prix: 5 dollars pour les non-membres jusqu’au 28 septembre et 10 dollars après. Gratuit pour les membres de SFBA.

Nouvelle rentrée, nouveaux clubs à Washington Accueil

Le but de notre association est vraiment d’aider les expatriés à vivre une bonne expérience et rencontrer des personnes dans le même cas“, assure Eve Chauchard, présidente de Washington Accueil Association (WAA), une association créée en 1990.
Quand on arrive, on est peut-être dans la situation où l’on a perdu un travail en France. Au lieu de rester chez soi, seul, l’association propose des activités pour continuer à être actif et même acquérir de nouvelles compétences“, souligne-t-elle.
Pour souhaiter la bienvenue aux nouveaux expatriés français et francophones, WAA organise son Grand Café de la Rentrée le jeudi 20 septembre de 10am à 12pm à la Maison Française de l’Ambassade de France. Les inscriptions (obligatoires) sont encore possibles jusqu’au mardi 18 septembre en envoyant un e-mail à l’adresse [email protected].
L’association présentera les clubs et les activités proposées tout au long de l’année avec quelques nouveautés pour cette rentrée. Trois nouveaux clubs verront le jour: “vélo, danse et gourmets“, explique Eve Chauchard, qui entame sa quatrième et dernière année à la présidence de WAA. Depuis qu’elle fait partie de l’association, elle a vu “un nombre croissant de membres d’année en année“, affichant fièrement 260 au compteur pour l’instant, contre 228 en mai 2017 et 240 fin mai 2018.
Les membres du club vélo participeront notamment à la Cider Ride le 3 novembre – cette randonnée annuelle vise à faire découvrir la beauté de la région tout en faisant la promotion de la petite reine. Pour l’activité danse, les participants découvriront la contredanse, un type de danse folklorique du XVIIème siècle. D’autres clubs, autour de l’écoute et de la découverte de la ville sont également à disposition. Au total, WAA propose trente clubs différents.

L'Alliance française Miami Metro commencera ses cours le 24 septembre

C’est le moment de dire à vos ami.e.s américain.e.s de s’inscrire. La très attendue nouvelle Alliance française de Miami donnera le coup d’envoi de ses cours le lundi 24 septembre pour les adultes et le samedi 29 pour les enfants.
L’Alliance française Miami Metro proposera des cours de français pour tous les niveaux, ainsi que des ateliers et des camps pour les enfants (les étudiants ont la possibilité de passer un test de niveau en ligne). Les cours pour adultes auront lieu sur les trois campus de l’Alliance française (Brickell City Center, Miami Beach, Kendall) et ceux pour enfants uniquement à Kendall pour le moment. L’Alliance prévoit aussi d’organiser des événements destinés à promouvoir la culture française.
Miami était dépourvue d’Alliance française depuis 2013. L’Alliance française Miami Metro rejoint huit autres alliances actives dans la région (Bonita Springs, Gainesville, Jacksonville, Naples, Greater Orlando, Porto Rico, Sarasota et Tallahassee).

Deux journalistes d'immigration récompensés par la FAF à New York

L’un a signé un reportage sur les artistes réfugiés, l’autre sur des mineurs immigrés non-accompagnés tiraillés entre la violence du gang MS-13 sur Long Island et le respect de la loi.
Nos confrères Sébastien Jédor (RFI) et Jonathan Blitzer (The New Yorker) seront récompensés du Prix du journalisme d’immigration de la French-American Foundation (FAF) et du Cercle des médias lors d’une cérémonie le mardi 2 octobre aux Services culturels de l’Ambassade de France à New York. Sébastien Jédor est entré à Radio France Internationale en 2002 et y couvre l’actualité culturelle africaine depuis 2013. Jonathan Blitzer est spécialisé dans les questions d’immigration au New Yorker. Son travail, en particulier sur les écoles souterraines pour migrants, lui a déjà valu plusieurs récompenses.
Louise Arbour, représentante spéciale du Secrétaire général de l’ONU pour les migrations, ouvrira la cérémonie.
 

"French Heritage Night": les Français du LA Galaxy à l'honneur

Ce ne sont pas les Bleus… Mais les joueurs français du LA Galaxy ont tout autant besoin de leurs supporters. Le match du dimanche 23 septembre sera dédié à Romain Alessandrini et Michaël Ciani. Avec leur équipe, ils affronteront les Seattle Sounders FC au Stubhub Center. Après le match, cent fans seront autorisés à rencontrer les deux joueurs.
Pour cette nouvelle édition de la “French Heritage Night” organisée par le club, les supporters français recevront avec leur ticket spécial une écharpe “Liberté, égalité, fraternité” pour se sentir comme à la maison. Et ils pourront également déguster de bonnes crêpes, concoctées par le food truck Crêpes Bonaparte.

Homebox: le garde-meuble des futurs expatriés

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(Article partenaire) Vous venez de décrocher un contrat pour vous installer aux Etats-Unis. C’est l’euphorie. La perspective d’un nouveau départ. Mais vous avez un problème: beaucoup de meubles et autres objets encombrants qui devront rester en France.

Plutôt que de tout vendre, choisissez l’option “stockage”. HOMEBOX, réseau de self-stockage en France lancé en 1996, est devenu le leader sur le marché français du garde-meuble grâce à un réseau de près de 100 centres répartis sur tout le territoire.

HOMEBOX dispose d’offres de stockage spécifiques pour les particuliers qui déménagent, les étudiants qui partent à l’étranger, les actifs qui s’expatrient ou encore les entreprises, petites et grandes. Les espaces de stockage proposés vont de 2 à 50m² et sont accessibles à volonté 24h/24, 7j/7.

En complément du stockage dans ses centres, l’entreprise a lancé une solution de stockage collaboratif qui permet d’entreposer vos biens chez des particuliers (cave, garage, grenier, débarras…). HOMEBOX agit alors comme un intermédiaire entre le client et le particulier, garantissant la sécurité des paiements et en proposant une assurance couvrant les biens stockés.

Pour plus d’informations, visitez le site de Homebox

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Française, je suis mariée à un militaire américain

“Si un jour quelqu’un m’avait dit que je vivrai au Texas avec un militaire américain, je ne l’aurais pas cru”, affirme Lena Desnos. Expatriée aux Etats-Unis depuis 2011, la jeune maman de 32 ans a pourtant déjà connu trois déménagements, un déploiement de six mois et deux accouchements sur des bases militaires américaines.
Quand elle rencontre son futur mari sur une plage paradisiaque d’Exmouth dans l’ouest de l’Australie en 2012, la jeune brune ne connaît rien de la vie de militaire. “On a eu notre premier rendez-vous le 12 mars et le 19 mars 2012, nous avons officialisé notre relation. Pourtant, on se connaissait à peine”, raconte la jeune femme originaire de Loire-Atlantique. En mission pendant deux ans pour l’Air Force, son époux doit repartir aux États-Unis. Elle décide alors de le suivre.
Surnommée “The great place”, la base de Fort Hood est située à environ une heure d’Austin au Texas. Construite en 1942, elle est également la base la plus peuplée du monde, avec 65.000 habitants. C’est ici que la Française a posé ses valises en mars 2015. Elle n’est pas la seule. Valérie Inglis Alonso a, elle, quitté la Belgique pour suivre son mari, policier militaire. À peine arrivée, la jolie Belge aux yeux pétillants ne pense qu’a une seule chose : “Je suis très indépendante et j’avais besoin de travailler”, se souvient l’ancienne hôtesse de l’air qui a depuis été embauchée. La Bruxelloise ne le cache pas, les débuts ont été difficiles et angoissants. Seule à la maison avec un niveau d’anglais médiocre, elle ne sait pas comment s’intégrer. “J’ai pleuré pendant plusieurs jours ! C’était un monde nouveau”, témoigne-t-elle. “C’était confiné, j’avais l’impression d’être un oiseau en cage”, abonde Lena Desnos.
Selon la journaliste Tanya Biank, la vie de femme de militaire aux États-Unis est différente du reste de la société. “C’est plus qu’un métier, c’est une façon de vivre. Epouser un soldat représente une partie de l’identité des femmes de militaires. Elles deviennent membre d’une communauté qui possède ses propres codes”, explique l’auteur du livre Army wives : the unwritten code of a military marriage, qui a inspiré la célèbre série télévisée Army’s wive.
Valérie Inglis Alonso gagne désormais un salaire, mais ce n’est pas le cas de beaucoup d’entre elles. Selon le Département de la Défense américain, le taux de chômage des femmes de militaire est deux fois plus élevé que la moyenne nationale. Sur les réseaux sociaux, les groupes de femmes de militaires en recherche d’emplois se comptent par dizaines.
Les jeunes femmes font partie des 690.000 personnes mariées à des militaires américains. Pour autant, la plupart des conjoints étrangers sont originaires d’Allemagne, de Corée du Sud et de pays hispanophones. Si les Français sont peu nombreux à traverser l’océan pour rejoindre leur époux militaire, c’est en partie parce que l’armée américaine ne possède aucune base en France. Or, beaucoup de soldats rencontrent leur conjoint lors de leur déploiement à l’étranger.
“L’armée américaine est paternaliste”
Pour Juliette Frye, la sécurité financière proposée par l’armée américaine est rassurante. Originaire de la région parisienne, cette traductrice indépendante de 29 ans a suivi son mari américain sur la base de Fort Bliss, à El Paso, dans le sud du Texas. “Les militaires et leurs familles sont très bien pris en charge et il y a beaucoup d’avantages”, estime la Française. Elles peuvent en effet bénéficier de nombreuses promotions comme des concerts de musique gratuits, des ventes privées, ou encore des places de cinéma gratuites. Les militaires ont également accès à l’assurance santé. “Sans l’armée, la vie ici serait beaucoup plus difficile, car dans la société américaine, il n’y a pas de filet de sécurité. L’armée américaine est paternaliste”, poursuit la traductrice qui anime un groupe de lecture à El Paso.
Lena Desnos a pu profiter des soins de santé gratuits. Elle a accouché deux fois au sein d’hôpitaux militaires, à Hawaï et au Texas. “Je pense qu’avoir des enfants est plus facile en tant que militaire, tout est pris en charge gratuitement”, témoigne-t-elle.
Leur plus gros sacrifice ? “Avoir quitté ma famille dont je suis très proche” affirme Juliette Frye qui réussit à voir ses proches deux fois par an. “Je suis souvent la dernière à connaître les ennuis de santé, c’est angoissant”, affirme-t-elle. Lena Desnos relativise : “On se téléphone souvent et finalement la distance nous rapproche, car on profite plus des moments passés ensemble”.
Après plusieurs mois passés au Texas, les jeunes femmes se sont adaptées malgré les différences culturelles. Rentrer ? “Hors de question ! Je ne reviendrai pas en arrière et j’aime mon mari. Je crois qu’il faut s’adapter, sans trop réfléchir. Quand je fais la liste des choses positives, il y en a pleins !”, ajoute Valérie Inglis Alonso. Une philosophie que de nombreuses femmes de militaires américaines ont adopté en reprenant l’expression “Fleuris où tu as été planté”.

Une exposition historique sur Delacroix au Met

« Quiconque pense connaître Eugène Delacroix en sait assez pour savoir qu’on ne peut pas le connaître », sourit Ashley Miller, commissaire associé de la nouvelle exposition « Delacroix », présentée du lundi 17 septembre 2018 au dimanche 6 janvier 2019 au Metropolitan Museum of Art (Met) à New York.
En partenariat avec le musée du Louvre, qui vient de décrocher sa propre exposition de quatre mois à Paris, le Met inaugure la toute première rétrospective américaine sur l’œuvre du maître romantique, « un génie inépuisable », commente Ashley Miller, spécialiste des peintures européennes qui prépare l’exposition depuis fin 2013.
L’exposition présente près de 150 œuvres, de tableaux monumentaux à des séries de lithographies, en passant par des manuscrits de journaux intimes – facette méconnue de l’artiste star du XIXe siècle.
« On a voulu montrer que Delacroix, c’est une carrière qui dure quarante ans et dont le grand public ne connaît que les dix premières années », indique Côme Fabre, l’homologue d’Ashely Miller au musée du Louvre, venu assister au vernissage de l’exposition new-yorkaise.. Il raconte l’origine de cette présentation inédite : « On ne percevait pas forcément l’urgence de notre côté. Ce sont les Américains qui sont venus nous voir en disant : “Il n’y a jamais eu d’exposition Delacroix en Amérique du Nord, il faut absolument en faire une.” », se souvient-il.
« De notre côté, nous nous sommes rendus compte que la dernière rétrospective complète à Paris, qui embrasse l’intégralité de sa carrière sous toutes ses facettes, la peinture, le dessin, ses journaux, ses écrits etc., datait de 1963. Ça faisait cinquante-cinq ans ! », insiste le spécialiste.
Quelques peintures n’ont toutefois pas pu franchir l’Atlantique. « Il y a des œuvres tellement immenses qu’elles ne peuvent malheureusement pas prendre l’avion, des tableaux trop fragiles pour voyager et aussi des tableaux trop symboliques pour pouvoir quitter le Louvre » comme “La Liberté guidant le peuple”, note Côme Fabre. 
Le Met n’est cependant pas en reste. Sur les murs sombres des salles de l’exposition, les visiteurs peuvent admirer entre autres l’iconique « Autoportrait au gilet vert », « La Mort de Sardanapale », « Les Femmes d’Alger », « Médée furieuse », « La Bataille de Nancy » ou encore « La Chasse aux lions ».
« Le Met bénéficie de prêts absolument exceptionnels consentis par des grands musées des beaux-arts français comme celui de Lille, de Bordeaux, de Montpellier, de Nantes, par la mairie de Paris aussi…, énumère Côme Fabre. Ils avaient conscience que cette première apparition de Delacroix sur la scène américaine était vraiment un événement historique ».

Claude Chabrol plonge "Au coeur du mensonge" sur TV5 Monde USA

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Une jeune commissaire enquête sur le meurtre d’une fillette de 10 ans, retrouvée violée et étranglée en Bretagne. Toutes les suspicions se portent sur son professeur d’art, un peintre dépressif appelé René joué par Jacques Gamblin. Sa vie va être changée par les rumeurs qui bruisse dans le petit village où il vit et tout le monde se connait. Une seconde mort va venir brouiller un peu plus les pistes.
Ce film de Claude Chabrol, avec Sandrine Bonnaire, Valéria Bruni-Tedeschi et Antoine de Caunes, sera diffusé le jeudi 27 septembre à 8:30pm EDT / 5:30pm PDT sur la chaine francophone TV5 Monde USA. Le film est sorti en 1999.
Pour plus d’informations sur l’abonnement à TV5 Monde USA, c’est ici

La High Line, c'est fini. Bienvenue Domino Park

Si vous êtes complètement passés à côté de l’inauguration de Domino Park en juin, rassurez-vous, vous allez pouvoir suivre pas à pas – c’est le cas de le dire – l’évolution de ce projet pharaonique sur l’East River, qui devrait durer encore quelques années…
C’est le cabinet James Corner Field Operations, designer de la High Line, qui a conçu ce parc paysagé de 2 hectares pour aménager les quais de l’emblématique Domino Sugar Refinery. Le bâtiment central, les docks et les entrepôts datent de 1882 et furent durant près d’un siècle, le siège de la plus grande raffinerie de sucre au monde.
Autour de la nouvelle promenade, les espaces de détente se succèdent mais ne se ressemblent pas.
Ici, on joue au Beach Volley, là on s’initie au bocce, la pétanque italienne. Plus loin encore, on se rafraîchit sous une brumisation colorée, ambiance boule à facettes. Bref, un complexe industriel réhabilité avec des pelouses, des aires de jeux, des projecteurs, des tacos, des toasts-avocats, un skate park… On est bien à Brooklyn!
Et on en redemande. On se pose, on flâne, on redécouvre les vestiges du passé glorieux de l’American Sugar Refining Company et on investit le nez en l’air, ce quartier qui se transforme jour après jour.
On finit la balade dans le potager de North Brooklyn Farms pour une piqûre de rappel écologique au milieu de ces buildings de luxe. Silence, ça pousse…
Un petit creux ?
On s’échappe pour commander un café to-go chez Devocion à siroter sur la passerelle de Domino Park, sous les grues, face à la vue. À l’heure du déjeuner, on skippe le Taco Cina bondé pour un lunch en terrasse chez Aurora.
Le soir, les fins gourmets pourront réserver une table dans le jardin d’Aska, un restaurant scandinave à se damner. Idéal pour une soirée à la belle étoile (Aska en a même deux chez Michelin!)

Air France va lancer des vols directs Paris-Dallas en mars

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La compagnie aérienne française a annoncé le 13 septembre l’ouverture d’une ligne directe entre les aéroports de Paris-Charles de Gaulle et Dallas-Fort Worth au Texas.
Air France proposera jusqu’à cinq vols hebdomadaires à partir du 31 mars 2019 et pour toute la saison d’été 2019. Ce nouvel itinéraire sera assuré par un Airbus A330 de 224 sièges. Dallas est la 13ème destination américaine desservie par la compagnie aérienne française au départ de Paris, et la deuxième au Texas après Houston.
Dallas est la quatrième zone urbaine des Etats-Unis. Surnommée « Big D », elle abrite l’un des plus grands noyaux industriel du pays. (…) Côté tourisme et découverte, Dallas n’est pas qu’une série télévisée. C’est aussi le véritable fief des cow-boys où ranchs et rodéos rythment la région”, explique Air France dans un communiqué.

Florence: l'opération "Solidarité hébergement" entre Français relancée

Mise en place durant pour venir en aide aux Français affectés par l’ouragan Irma l’an dernier, l’opération “Solidarité hébergement” a été réactivée pour le passage de Florence. Le principe: offrir un hébergement temporaire pour les déplacés et les sinistrés.
Cette initiative lancée par l’élue consulaire d’Atlanta Elisabeth Marchal est soutenue par le consulat d’Atlanta, dont dépendent les Carolines et la Virginie, des Etats qui seront affectés par les vents et les inondations causées par l’ouragan.
Les Français qui sont en mesure de proposer une solution d’hébergement provisoire et ceux qui en ont besoin sont priés de contacter les personnes suivantes:
– Elisabeth MARCHAL,
-Pour la Caroline du Sud : Nicolas BRINDEL
-Pour la Caroline du Nord : Marie-Claire RIBEILL