La Richard Taitting Gallery présente “Colorful Line“, une exposition solo des œuvres de l’artiste camerounais Pascale Marthine Tayou du mercredi 2 au mardi 22 mai.
Depuis les années 1990, l’artiste s’est fait connaître à travers le monde, notamment grâce à une première série d’œuvres consacrées au Sida, en 1994. Depuis, cet artiste explorateur a abordé d’autres thèmes, tels que la ruralité et la mondialisation. Une partie de son travail est consacrée à l’exploration du post-colonialisme. Il mélange dans ses travaux des éléments provenant d’Afrique avec d’autres issus du monde occidental dans lequel il vit.
L’exposition “Colorful Line” a été conçue comme un voyage dans l’univers de l’artiste. Il s’agit de l’exposition la plus plus complète de son œuvre aux États-Unis. Elle est notamment composée d’installation de grande taille réalisées entre 2006 et 2018.
"Colorful Line", les voyages surprenants de Pascale Marthine Tayou
Gala de la FACC à Dallas le 11 mai
(Article partenaire) La Chambre de Commerce Franco-Americaine de Dallas/Fort Worth a le plaisir d’annoncer que sa soirée de gala la Vie en Rose se tiendra le vendredi 11 mai 2018 au Renaissance Dallas hôtel.
Cet évènement en tenue de soirée débutera par une reception au cours de laquelle champagne et amuse-bouche seront servis. Elle sera suivie d’un diner préparé par le Chef Frank Quant. Chef Frank crée ses menus avec des produits de saison frais, naturels et provenant de la région uniquement.
A une époque où le changement climatique devient une préoccupation majeure, le thème de la soirée portera sur “l’Environnement”. Un sujet très sérieux que nous aborderons d’une manière extrêmement ludique.
Nous aurons également le plaisir de respecter la tradition et décerner deux prix :
Le “Alain Bellet Award” sera présenté à Sarah Carabias-Rush, vice-présidente du Département Economique de la « Dallas Regional Chamber ».
Sarah dirige les efforts de la DRC pour accroitre la dimension internationale de la Metroplex et collabore fréquemment avec la FACC pour rencontrer des entreprises françaises.
Alex Doubet, PDG et fondateur de la Compagnie Door recevra le “French-American Chamber of Commerce Innovation Award”. La plateforme innovante et disruptive de Door change totalement les règles du marché immobilier en faveur des clients qu’ils soient vendeurs ou acheteurs.
Enfin, nos invités auront l’occasion de vivre quelques expériences tout aussi surprenantes
qu’amusantes grâce à la société Amaxe-In- VR, expert en réalité virtuelle.
La FACC est une organisation non gouvernementale, à but non lucrative. Les fonds levés lors de cette soirée permettent à la chambre de remplir sa mission : faciliter les relatons entre les entreprises françaises et américaines et aider les entreprises françaises à s’installer dans la Metroplex.
Vous pouvez acheter vos billets ici ou appeler Judy Evans au (972) 241-0111.
Dany Boon : "Je ne vais pas rester à L.A. car je n'aime pas Donald Trump"
À peine a-t-il débarqué au Directors Guild of America que Dany Boon claque des bises à tout-va. Il faut dire qu’avec sa femme Yaël, ce sont des habitués du festival de films français de Los Angeles, Colcoa, qui se déroule du 23 au 30 avril. “Il est présent tous les ans”, s’enthousiasme une Française, qui fait fi des interviews pour lui taper la causette et réclamer son selfie annuel.
L’acteur-réalisateur, qui n’a pas perdu son sens de la répartie et enchaîne les conversations alambiquées avec ses fans, a le don de faire déplacer les foules. Y compris à Los Angeles où la première de son film “La Ch’tite Famille” a fait salle comble, mardi 24 avril au soir. Un accueil digne de sa patrie où le film a connu le meilleur démarrage au box-office pour un film français depuis dix ans. Cela n’empêche que, pour Dany Boon, présenter son film à Colcoa revêt une signification particulière. “J’aime ces Américains qui aiment le cinéma français. C’est rare”, avoue-t-il, ajoutant : “J’adore quand les gens viennent découvrir des cinémas étrangers.”
Dix ans après “Bienvenue chez les Ch’tis”, Dany Boon signe une nouvelle comédie qui rend hommage à son Nord natal. Il y campe Valentin, marié à Constance, qui forment un couple de designers réputés. Honteux de ses origines prolétaires et «ch’timis», Valentin se fait passer pour orphelin. Un aveu difficile à maintenir quand sa famille débarque à Paris pour fêter l’anniversaire de leur mère. Suite à un accident, il redevient celui qu’il était 25 ans plus tôt.
“Ca parle des racines, de l’importance de se rappeler d’où on vient. Il y a toujours un moment où on a honte de sa famille”, résume le Français, dont la popularité ne s’est pas effritée avec le temps. “Il y a un décalage entre comment nos parents nous perçoivent et l’image qu’on s’est forgé, je joue là-dessus.” Pour autant, Dany Boon se défend d’avoir jamais eu honte de ses origines : “dans le film, mon personnage fait un contre-pied de ce que j’ai fait personnellement : j’ai perdu mon accent en arrivant à Paris, mais je l’ai gardé sur scène.”
Sous-titré en ch’ti américain
Pour que ce film – qui parle ch’ti – soit “intelligible” par le public américain, Dany Boon a collaboré avec un traducteur new-yorkais pour les sous-titres. Il “a inventé une sorte de ch’ti anglais”.
Mais pour autant, ce nouveau long-métrage ne connaîtra pas une sortie dans les salles américaines. “Je n’ai pas un public assez large”, reconnaît l’humoriste, précisant avoir reçu des propositions pour le diffuser avec un distributeur.“Mais c’était pour des sorties assez intimistes. Pour toucher un large public, je préfère qu’il sorte chez Apple TV.” Ce fut notamment le cas pour “Rien à déclarer” et “Bienvenue chez les Ch’tis”, qui ont été “les plus gros cartons annuels parmi les films étrangers”, aime-t-il rappeler, entre deux signes de main à des connaissances.
Et son passif ne fait que le conforter dans cette idée. En effet, l’adaptation américaine de “Bienvenue chez les Ch’tis” a été avortée faute de “bons scénarios”. “Franchement, c’était pas bien”, répète-t-il, alors qu’il avait un rôle de conseiller sur ce projet. “Certaines adaptations de comédies françaises sont catastrophiques. Aujourd’hui, les studios ne font pas assez confiance au talent.”
Un déménagement à cause de Trump
Mais ce n’est pas la raison pour laquelle il a décidé à quitter Los Angeles, où il s’était installé (dans le quartier de Johnny Hallyday, ndlr) avec ses cinq enfants et sa femme “pour fuir la notoriété“. “Je ne vais pas y rester parce que je n’aime pas Donald Trump. Enfin, je n’aime pas sa politique. Je trouve qu’il met une sale ambiance”, argue l’humoriste, qui infirme les rumeurs sur son installation en Belgique.
Toutefois, il n’abandonnera pas la Californie pour autant. “Je vais revenir pour travailler, j’ai des projets, notamment avec Netflix. Ils veulent me proposer des choses, on discute”, lâche-t-il, très énigmatique. Pas question pour autant de faire une carrière US à la Gad Elmaleh : “je suis très admiratif, mais ça ne m’intéresse pas de jouer en anglais. Sans compter que j’ai arrêté le one-man-show, je veux me consacrer au théâtre et au cinéma.”
En attendant l’avancée des “discussions“, il a déjà signé un contrat avec Netflix, lors de son passage à Los Angeles, pour la diffusion de son dernier one-man-show, “Dany de Boon des Hauts de France”, à partir du 4 mai, dans tous les pays où la plateforme de vidéos à la demande est accessible. “Une nana de chez Netflix l’a vu en coréen et a beaucoup ri”, se réjouit-il. “Tous les humours ne voyagent pas particulièrement bien, mais le ‘physical comedy’ (comédie corporelle) ou la musique – et j’en fait sur scène-, ce sont des choses qui voyagent bien.”
Léonard de Vinci au château du Clos Lucé, sa demeure à Amboise
(Article partenaire) 2016-2019 – 500ème anniversaire des années Léonard de Vinci au Château du Clos Lucé à Amboise (1516 – 1519).
Invité par François Ier à l’automne 1516, l’artiste-savant quitte l’Italie avec trois de ses chefs-d’œuvre (la Joconde, la Sainte Anne et le Saint Jean Baptiste) et l’ensemble de ses carnets et manuscrits pour s’installer à Amboise. Ici commence l’histoire française de ses chefs-d’œuvre aujourd’hui conservés au musée du Louvre.
Au Clos Lucé, Léonard de Vinci travaille sans relâche dans ses ateliers à de grands projets pour le Roi dont celui d’un château grandiose et s’éteint dans sa chambre le 2 mai 1519.
La demeure de Léonard de Vinci
Crédit photo: Léonard de Serres.
Dans cette demeure qui fut la résidence d’été des rois de France, on découvre la chambre de Léonard de Vinci, écrin de son dernier souffle, les fresques de la chapelle peintes par ses disciples, la cuisine, la salle du conseil où il reçoit ses hôtes de marque et les artistes italiens installés à Amboise. Le Clos Lucé présente aussi une collection unique de maquettes réalisées par IBM d’après les dessins originaux du Maître italien et construites avec les matériaux de l’époque.
Les ateliers restitués de Léonard de Vinci
Crédit photo: Léonard de Serres.
Léonard de Vinci apporte dans ses ateliers les dernières touches à ses chefs-d’œuvre comme en témoigne la rencontre avec le cardinal d’Aragon. La scène est restituée en ses lieux grâce à la technologie “ghost” dite du « théâtre optique ».
Dans l’atelier de l’artiste on retrouve l’ambiance des Bottega typiques de la Renaissance. Dans la bibliothèque s’alignent fac-similés de l’Institut de France et ouvrages anciens côtoyant un étonnant cabinet de curiosités.
Le Parc Leonardo da Vinci et le jardin de Léonard
Crédit photo: Léonard de Serres.
Le parcours permet de découvrir l’étendue du génie visionnaire de Léonard de Vinci et de ses multiples savoirs en matière de mathématiques, de botanique, d’astronomie, d’aéronautique… au travers de la présentation de ses inventions reproduites en grandeur nature.
La saison culturelle 2018 : « Léonard de Vinci, le rêve du vol »
Depuis son enfance en Toscane, Léonard de Vinci observe les oiseaux avec fascination et curiosité. Plus tard, dans sa vie d’ingénieur à Florence, Milan, Rome et Amboise, il dissèque, dessine, étudie les techniques de vol des petits et grands volatiles.
Dans ses codex, le rêve se concrétise par de nombreux dessins, croquis et études autour des machines volantes variées : vis aérienne, ornithoptère, aile volante, parachute, planeur, …
Cette année, le Château du Clos Lucé propose une découverte du vol humain qui demeure, au travers des siècles, un objet de fascination et d’innovation au travers de nocturnes, d’un parcours scénographique extérieur, d’animations virtuelles et interactives, d’ateliers pédagogiques….
Le saviez-vous ?
Au Clos Lucé commence l’histoire française de La Joconde et de ses chefs-d’œuvre comme en témoigne l’écrit d’Antonio de Beatis, secrétaire du cardinal d’Aragon.
Lors de sa visite le 10 octobre 1517 chez Léonard de Vinci, le cardinal découvre trois peintures terminées que lui présente le Maître italien : « celui d’une dame de Florence peinte au naturel sur ordre de feu Julien de Médicis, une figure de Saint-Jean-Baptiste tout jeune et enfin une vierge avec l’enfant assis sur les genoux de Sainte-Anne, et toutes les trois sont d’une rare perfection. »
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Kalachakra, documentaire très personnel de Natalie Fuchs
C’est l’histoire, classique, d’une occidentale en quête de sens. Mais Natalie Fuchs en a fait un documentaire très personnel, histoire de son immersion au coeur du Kalachakra. Littéralement “la roue du temps”, c’est l’initiation la plus élevée dans le bouddhisme tibétain, enseignée par le Dalaï Lama devant des foules immenses.
Le documentaire, diffusé ce dimanche 29 avril lors du festival Focus on French Cinema à Greenwich (CT), est né de rencontres de Natalie Fuchs qui lui ont fait découvrir le bouddhisme. Venue à Dharamsala (Inde) pour un projet de film sur le Dalaï-Lama, elle découvre ce long rituel d’initiation qu’est le Kalachakra. « J’ai découvert une culture, une philosophie et j’étais très bouleversée sur place, raconte-t-elle. C’était tellement fort et puissant, l’énergie était palpable, nous avons donc décidé de filmer l’intégralité de cette initiation pendant 11 jours».
Pour la première fois, le Dalaï-Lama a ouvert les portes de son monastère privé de Namgyal et a autorisé une équipe de tournage à filmer la création du mandala de Kalachakra, raconte la réalisatrice. «C’était vraiment exceptionnel ». Nathalie Fuchs, a fait le choix de traiter le rituel d’initiation de Kalachakra en parallèle à une histoire de rencontres humaines s’articulant autour du quotidien de quatre personnes se liant d’amitié. Ils se retrouvent dans divers lieux de Dharamsala et échangent sur les sujets qui les animent : l’amour, le couple, la vie de moine, la séparation, la mort. Ils ont tous la même quête du bonheur qui les mènent à rencontrer le Dalaï-Lama et d’autres grands maîtres du Bouddhisme tibétain.
Mais le documentaire devient aussi éminemment subjectif lorsque la réalisatrice revient sur un traumatisme de son enfance, la perte de sa sœur. Un long cheminement qui la mène, grâce à l’initiation menée par le Dalaï-Lama, à “une paix intérieure, une sorte d’apaisement et une acceptation de la mort d’un enfant lorsqu’on est enfant soi-même”. « J’ai choisi d’utiliser cette histoire comme fil rouge pour emmener le spectateur à l’intérieur de l’initiation du Kalachakra ».
Natalie Fuchs a aussi eu une bonne surprise: Uma Thurman a consenti à prêter sa voix à la version anglophone du film. Pour la réalisatrice, il s’agissait d’un choix évident car le père de l’actrice est professeur d’études bouddhistes indo-tibétaines à l’Université Columbia, le professeur Robert Thurman. « Ma rencontre avec elle a été pour moi l’un des plus beaux moments du chemin de tournage. »
Gala de la FACC à Dallas
La chambre de commerce franco-américaine de Dallas se met sur son 31. Son gala annuel, « La Vie en rose », a lieu cette le vendredi 11 mai au Renaissance Dallas Hotel.
Le gala commence à 7pm avec une réception au champagne suivie d’un dîner arrosé au vin français. La soirée se conclura par une soirée dansante et, des animations. Enchères silencieuses et divertissements sont également au menu des festivités.
Prix: 150 dollars pour les membres, 175 dollars pour les non-membres.
De Vegas à Monument Valley, un road trip optimal dans l’ouest américain
ATTENTION, cet article peut heurter la sensibilité des personnes aimant prendre leur temps.
Avec tous ces aller-retours en France, vous n’avez pas assez de “day off” pour explorer les parcs nationaux ? Ou vous prévoyez un road trip aux USA et vous avez du mal à optimiser votre planning ? French Morning ne perd pas de temps et vous embarque pour un road trip de quatre jours au timing réglé comme du papier à musique. En voiture simone !
JOUR 1 : Las Vegas > Zion Park > Bryce Canyon > Kanab
Prenez un avion aux aurores direction Vegas (1h de vol au départ de Los Angeles ou San Francisco). À 9am, vous vous mettez en route pour Zion Park (2h40, 160 miles) que vous traversez d’est en ouest par la highway 9. Pique-niquez au Canyon overlook (1 mile, 30 min/1h aller-retour)
Vers 2:15pm, partez pour Bryce Canyon (1h20, 72 miles), en empruntant le tunnel de la Mount Carmel Junction. Vous regardez le coucher de soleil depuis les points de vue Bryce Point et Sunset Point. Puis, cap sur la ville de Kanab (1h20, 77 miles) pour y passer la nuit. Où manger ? Rocking V Cafe.
Jour 2 : Kanab > Grand Canyon > Page
Partez de Kanab pour arriver sur la rive nord du Grand Canyon en fin de matinée (1h40, 80 miles). Du 15 octobre au 15 mai, la route 67 menant à la rive nord est fermée. Passez alors par Jacob Lake pour vous rendre à la rive sud (3h15, 195 miles). Ce qui rallonge le parcours d’1h40. Après avoir écumé les différents points de vue, rejoignez Page pour (2h30, 125 miles depuis la rive nord ou 130 miles, 2h20 depuis le sud). Fondée à la fin des années 50 lors de la construction du barrage de Glen Canyon, cette ville n’a rien d’exceptionnelle. ll s’agit avant-tout d’une bourgade de transit pour partir à la découverte des merveilles alentours. Pour dîner le soir, filez à Big John’s Texas BBQ. AU menu : concert live et ribs potatoes.
Jour 3 : Page > Lac Powell > Antelope Canyon > Monument Valley
Lever du soleil sur le Lac Powell depuis le Wahweap Overlook (6 miles, 10 min du centre-ville). Enchaînez avec Horseshoe Bend (9 miles, 15 min), un gigantesque rocher en forme de fer à cheval, entouré par les eaux aux reflets vers émeraudes du fleuve Colorado. Comptez une heure sur place (1,5 miles, 30 min de marche aller-retour). Réservez une visite guidée (obligatoire) de Lower Antelope Canyon en fin de matinée, afin que le soleil éclaire un maximum les entrailles du canyon.
Dirigez-vous ensuite vers Monument Valley (115 miles, 1h50). Rendez-vous au point de vue se trouvant sur le parking de l’entrée. Faites un tour sur la Valley Drive, la piste qui serpente entre les buttes et les mesas (17 miles, 2h). Dormez dans le coin : de nombreux particuliers louent des tentes sur leur terrain. Vous pourrez ainsi appréciez le coucher et le lever du soleil sur les terres des indiens Navajos. Où manger ? Barbecue sous les étoiles.
Jour 4 : Monument Valley > Valley of Fire > Las Vegas
Réveillez-vous au soleil levant qui éclaire progressivement les buttes et les mesas alentour. Filez vers la Valley of Fire (350 miles, 6 heures), un petit parc naturel du Nevada abritant des roches couleur rouge feu. Vous repassez par Page où vous pourrez une nouvelle fois plonger votre regard dans le Lac Powell. Entrez par l’est de la vallée du feu, puis cap sur la Fire Wave (1,4 miles, 30 min aller-retour). Cette formation géologique ondulant telle une vague bicolore est l’attraction principale du parc. Admirez ensuite le coucher de soleil du haut du Rainbow Vista Point, avant de rentrer sur Vegas (50 miles, 1h).
Visite d'Etat à Washington : suivez les temps forts en direct
French Morning est à Washington pour suivre la visite d’Etat d’Emmanuel Macron. Suivez les temps forts en direct.
Mercredi 25 avril, 6pm: Macron invite les jeunes Américains à “perturber le système”.
Mercredi 25 avril, 4pm: Emmanuel Macron répond aux questions des étudiants de The George Washington University:
Emmanuel Macron répond aux questions des étudiants de The George Washington University. Vivez son town hall en direct
Posted by French Morning on Wednesday, April 25, 2018
Mercredi 25 avril, 2pm : Au Congrès, Macron fait de l’anti-Trump
Mardi 24 avril, 8pm: Devant les Français de Washington, Macron se la joue Kennedy.
Mardi 24 avril, 6pm: Discours devant la communauté française de Washington:
Mardi 24 avril, à 3pm: A Washington, Emmanuel Macron courtise les patrons américains.
Mardi 24 avril, 12:45pm: conférence de presse conjointe Donald Trump-Emmanuel Macron
Conférence de presse conjointe Donald Trump-Emmanuel Macron
Posted by French Morning on Tuesday, April 24, 2018
Mardi 24 avril, 9am : cérémonie d’accueil d’Emmanuel Macron à la Maison Blanche
Cérémonie d’accueil à la Maison Blanche. On suit la visite d’Etat d’Emmanuel Macron.
Posted by French Morning on Tuesday, April 24, 2018
Lundi 23 avril, 11:30am: entretien avec Olivier Piton, conseiller consulaire dans la capitale américaine:
Lundi 23 avril, 11am: entretien avec Gaël Duval, fondateur de www.JeChange.fr, de la French Touch Conference, et membre de la délégation présidentielle française
Lundi 23 avril, 10:30am: entretien avec Eric Kayser, fondateur de Maison Kayser et membre de la délégation présidentielle française
Lundi 23 avril, 10am: entretien avec Denis Chazelle, directeur de la Chambre de Commerce Franco-Américaine de Washington
Des camps d’été francophones pour s'amuser en VF au Texas
C’est le printemps. Il est donc grand temps de penser aux camps d’été. French Morning dresse sa liste traditionnelle des “summer camps” francophones au Texas pour permettre à votre progéniture de s’amuser tout en apprenant (ou l’inverse) et à vous, parents, de souffler un peu.
Dallas
A la Dallas International School, on propose 23 “summer enrichment camps” au choix, regroupés sous quatre thématiques : langues (anglais, français, espagnol, chinois, arabe), art (poterie, sculpture, musique, art digital…), sports (basketball, tennis, échecs…) et sciences (robotique, programmation…). Une fête de la musique est organisée la semaine du 21 juin ainsi qu’un petit gala à l’issue de chaque session de trois semaines. Une semaine internationale est prévue la cinquième semaine du camp. Pour les enfants de 3 à 10 ans et les adolescents. Du 11 juin au 20 juillet, de 9am à 12pm et de 12:30pm à 3:30pm, à la journée ou à la demi-journée (avec possibilité de garde à partir de 7:30am et jusqu’à 6pm). De 320$ à $600 par semaine en journée complète. Trois semaines minimum. Deux campus : 6039 Churchill Way et 17811 Waterview Parkway. Détails et inscription ici. Catalogue
L’Alliance française de Dallas propose de nombreux camps avec chansons, jeux et activités créatives au programme. En fonction du thème, les camps s’adressent aux 4-7 ans, 8-11 ans et s’étalent tout au long de l’été du 4 juin au 10 août. Chaque classe dure de 9:30am à 2:30pm du lundi au vendredi avec un minimum de quatre enfants par groupe. Prix : $170 ou $280 la semaine. Adresse : 10830 N. Central Expwy Suite 152 Dallas, TX. Détails et inscriptions ici.
Houston
Histoire, cuisine, géographie, sport… Il y en a pour tous les goûts lors des camps d’été d’Education Française Greater Houston (EFGH). A chaque semaine son thème. Les activités ont lieu en intérieur et à l’extérieur. Même si le camp est ouvert à tous, le français reste de rigueur avec des animateurs dont c’est la langue maternelle. Pour les enfants de 5 à 10 ans. $380 par semaine en journée complète. Du 4 juin au 13 juillet. Du lundi au vendredi de 9am à 4pm. Possibilité de garde de 8am à 9am et de 4pm à 6pm pour $40/$$80 par semaine. A Awty international school, 7455 Awty School Lane. Détails et inscription ici.
Même principe au Lycée International de Houston, nouveau venu en ville, avec un thème par semaine mais en trois langues : anglais, français et espagnol. Au programme : les super-héros, le voyage dans le temps, le théâtre… Le camp se poursuit jusqu’à début août. Pour les enfants à partir de 3 ans. Du 11 juin au 3 aout. Du lundi au vendredi de 8am à 4pm. $375/semaine en journée complète. Possibilité de garde de 4pm à 5:30pm pour $50 par semaine. Adresse : 15950 Park Row DR. Détails et inscription ici.
La Maternelle de Houston s’adresse aux plus petits (dès six semaines!) et propose de leur faire découvrir le monde des pirates, des dinosaures, de l’espace ainsi que l’univers sous-marin avant de finir l’été en compagnie des animaux. Des jeux aquatiques sont aussi au programme pour se rafraîchir. Pour les bébés et les enfants de 18 mois à 6 ans. Du 1er juin au 10 août, de 7h à 6:30pm. Environ 250$/semaine. Adresse : 2301 S. Dairy Ashford Rd. Détails et inscriptions ici.
L’Alliance française de Houston propose deux camps d’été de trois semaines chacun en juin et juillet. La première session aura lieu du 11 au 28 juin, et la seconde du 2 au 19 juillet. Ici, on met l’accent sur l’apprentissage de la langue au travers d’activités académiques et ludiques. Les enfants sont en immersion totale, encadrés par des professeurs de langue maternelle française. Du lundi au jeudi de 9:30am à midi. Pour les 5-15 ans. $125 la semaine de 10 heures ou $350 les trois semaines. Adresse : 427 Lovett Blvd. Détails ici inscriptions au 713 526-1121.
Austin
Le camp de l’Austin International School (AIS) s’adresse aux enfants de 4 à 10 ans, élèves de l’école ou non, et quel que soit leur niveau de français. Un thème diffèrent est proposé chaque semaine pour les six semaines que durera le camp, le tout en pratiquant le français, l’anglais ou l’espagnol. Du 11 juin au 20 juillet. De 9am à 3:30pm (avec possibilité de garde à partir de 7:30am et jusqu’à 6pm). 300$ par semaine ou $70 par jour en journée complète (garde à partir de 7:30am gratuite, $75 jusqu’à 6pm). Adresse : 4001 Adelphi Lane. Détails et inscriptions ici.
Chez Education Française Austin, les camps de vacances sont menés exclusivement en français. Des jeux, des histoires, des chansons et des activités artistiques et manuelles “à la française”, ce camp est l’opportunité de découvrir la langue ou de renforcer ses connaissances dans une ambiance créative. Pour les enfants de 4 à 7 ans. Deux sessions au choix : du lundi 18 au vendredi 22 juin et du lundi 25 au vendredi 29 juin, de 9am a 5pm. Prix : $230 (étudiant EFA) ($275 externes) par semaine. Adresse : Magellan International School, Anderson Lane Campus, 7938 Great Northern Blvd. Détails et inscriptions ici.
L’école Jean-Jacques Rousseau propose au mois de juin, des cours de langue le matin suivis de diverses activités l’après-midi articulées autour de projets d’arts plastiques, visuels et de dessin “à la manière” d’artistes célèbres. Au programme des journées : chants et comptines, jeux culturels et de psychomotricité. Le camp s’adresse aux élèves de tous niveaux en français pour les 3 à 5 ans et à ceux ayant eu une exposition à la langue de 6 à 10 ans. Du 4 au 22 juin, de 9am à 3pm (avec possibilité de garde jusqu’à 5:30pm). $250-$275/semaine avec un minimum de deux semaines. Garde : $50/semaine. Adresse: 11607 N. Lamar Blvd. Détails et inscription ici.
Surgeons of Hope rend hommage à Michel Berty à New York
L’association caritative Surgeons of Hope organise son Gala annuel le jeudi 3 mai à 7 pm, au Bernardin, à New York. Depuis plus de dix ans la fondation œuvre et lève des fonds pour venir en aide aux enfants atteints de maladies cardiaques en Amérique Centrale.
Cette année, la soirée “A Night for Hope” mettra à l’honneur une figure de la communauté française de New York, Michel Berty, l’un des artisans de la “success story” du géant des services technologiques Capgemini, décédé en février dernier à l’âge de 78 ans.
L’annonce de sa disparition avait été faite le mardi 13 février par la Surgeons of Hope Foundation (SOH), dont il a été membre du conseil d’administration.
Un dîner est organisé au Bernardin, qui était son restaurant préféré et de nombreuses autres animations rythmeront la soirée.
Depuis 2008, Surgeons of Hope opère un centre de soins au Nicaragua. L’association intervient aussi auprès d’un hôpital au Costa Rica.
Macron invite les jeunes Américains à "perturber le système"
Dans l’arène de basketball de George Washington University, 1.200 étudiants attendent avec impatience la star du jour qui s’apprête à faire un exercice bien américain : le town hall. Arrivés au moins trois heures à l’avance, ces étudiants – choisis par une loterie parmi 5.000 inscrits – sont impatients de poser des questions à Emmanuel Macron.
Dans cette grande université internationale, progressiste, le chef de l’Etat est en terrain conquis. “Il est très charismatique et honnête, très transparent sur ce qu’il pense sur différents sujets“, explique Sarah, une étudiante en 4e année à la faculté. “En étant transparent de la sorte, il parvient à communiquer avec tout le monde. C’est pour cela que les Américains l’aiment bien“.
Sourire affiché, chemise blanche et manches remontées, Emmanuel Macron a invité les jeunes à être “directs“, sans “filtres“. Pendant 70 minutes, le président a été interrogé sur des sujets variés: le problème du sida, sa politique en Afrique, la Syrie, les grèves aux Etats-Unis et en France, le terrorisme, l’immigration, la guerre commerciale et même sa relation avec le dalaï-lama.
Emmanuel Macron n’a pas seulement répondu aux questions, il a essayé de faire passer un message important à la génération qu’il avait devant ses yeux. “Si je devais vous donner un seul conseil ? Perturbons le système ensemble“. Dans son discours, il a poussé les étudiants à “prendre vos responsabilités“.
“Ne croyez pas ceux qui disent que c’est la règle du jeu, ça a toujours été comme ça. C’est de la connerie (bullshit, ndr)“, a-t-il dit, provoquant des rires dans la salle. Et de prévenir son auditoire: “votre génération aura d’énormes défis: la situation économique, la planète, les instabilités, et nous allons faire du mieux que l’on peut pour y répondre. Mais à la fin, ce sera votre décision“.
Ce n’est pas la première fois que le président français s’essaie à cet exercice d’échange. Il avait rencontré les étudiants burkinabés et indiens lors de son passage à Ouagadougou et New Delhi.
À la George Washington University, plus d’une personne l’a comparé à une autre idole politique de la jeunesse américaine: Barack Obama. “Il transmet les mêmes ondes que Barack Obama, car lui aussi est jeune et écoutait la jeunesse“, commente Minah Malik, une étudiante de 4ème année. “On ne voit pas vraiment ça chez les leaders aujourd’hui“. Kristen, étudiante en PhD à George Washington University, est d’accord. “Il a pris des questions en plus. Cela a montré qu’il était prêt à discuter avec nous, comme Obama l’aurait fait. Ses positions sur le changement climatique aussi sont similaires“.
Shuba et Michele lui trouvent aussi des points communs avec l’ex-président démocrate. “Le fait qu’il ait appelé à ne pas faire d’amalgames entre terroristes et musulmans évoque Obama“, selon Michele.
Qu’en pense l’intéressé ? “Chaque société est différente mais j’étais très heureux d’être avec vous“, glisse-t-il avant de s’engouffrer dans les couloirs de l’arène. Sa visite d’Etat est terminée.
Débarquement de cavaliers européens aux Longines Masters de New York
Les chevaux ont atterri à JFK il y a 8 jours, traités en stars qu’ils sont, après un voyage transatlantique en avion spécialement aménagé pour les besoins de ces athlètes. Ces vingt chevaux européens sont là pour une rencontre au sommet du monde du saut d’obstacle, l’étape new-yorkaise des Longines Masters, qui se déroulent au Nassau Coliseum (Long Island) du 27 au 29 avril.
Organisée précédemment à Los Angeles, c’est la première fois que l’étape américaine a lieu à New York. L’occasion de voir les meilleurs cavaliers du monde, dont les Français et champions olympiques Kevin Staut et Philippe Rozier, ainsi que Patrice Delaveau. Côté américain, les cavalières Georgina Bloomberg (fille de l’ancien maire de New York et milliardaire Michaël Bloomberg) et Jessica Springsteen (fille de Bruce Springsteen) assureront le quota glamour.
Conçue comme un évènement à grand spectacle et de prestige, la compétition culminera samedi soir avec une “bataille” d’un nouveau genre en équitation, opposant une équipe européenne et une équipe américaine, sur le modèle des masters de golf. Le “match aller” a été remporté, en décembre dernier à Paris, par les cavaliers européens. L’heure de la revanche a donc sonnée pour les cavaliers américains.