C’est l’histoire des soldats afro-américains engagés aux côtés des militaires français dans la Première guerre mondiale. “Men of Bronze” raconte l’épopée des “Harlem Hellfighters”, ces hommes issus du 369ème régiment d’infanterie.
Le documentaire de 1977, qui sera montré le 9 février à la Maison française, s’appuie sur des photographies, des interviews de vétérans et des images d’archives provenant des Archives nationales françaises et américaines. Une discussion rassemblant des experts en jazz et une réception suivront la projection.
Gratuit mais RSVP obligatoire.
Un docu sur les Harlem Hellfighters, héros noirs de la Grande Guerre, à Washington
Le consulat de France à New York voit rose pour la Saint-Valentin
Trouverez-vous l’amour au consulat de France ? Pour la Saint-Valentin, le consulat organise une soirée “A Pink Evening in the Pink Salon”, le mardi 13 février. Elle est ouverte aux couples et aux personnes à la recherche de l’âme soeur.
Le consulat promet une soirée “pétillante et douce“, arrosée au champagne rosé Pommery et aux chocolats de la Maison du chocolat, avec les décorations de Flowers & Creation. Plusieurs marques françaises présenteront leurs produits pendant l’événement, comme le parfumeur Sous Le Manteau (SLM) qui proposera un test pour déterminer quel est votre élixir d’amour, et le joailler Marbella qui fera gagner quelques-uns de ses bijoux de peau.
Pitchez votre start-up devant des VCs américains à New York
C’est parti ! Le réseau d’entrepreneurs français FrenchFounders a lancé son appel à candidatures pour son 5ème “Start-ups to VCs” le 11 avril à New York.
Le principe: au moins dix start-ups à la recherche de financements en série A ou au-delà, sélectionnées par des PDG francophones, viendront pitcher en privé leur projet devant un parterre d’une trentaine de VCs français et américains. Trois des jeunes pousses sélectionnées se présenteront aussi lors d’une session ouverte au public, après une conférence d’une demi-heure sur la levée de fonds aux Etats-Unis.
Les candidatures doivent être déposées avant le 26 février. Pour postuler, un des fondateurs ou dirigeants doit être francophone et la start-up doit être en développement aux Etats-Unis. Côté VCs, l’édition de l’an dernier avait rassemblé des représentants de Canaan, Rubicon, Wells Fargo, Octopus et Flatiron Investors.
Le chocolatier Thierry Atlan lance sa propre marque
(Article Partenaire) Installé depuis quatre ans à New York, Thierry Atlan fait partie des 19 Meilleurs Ouvriers de France – Chocolatiers au monde et est le seul de sa catégorie à vivre à l’étranger. Après plus de 10 ans en tant que consultant international, il écrit maintenant une nouvelle page de sa carrière à New York où il a lancé sa marque éponyme. Préparez vos papilles, vous allez déguster!
L’art du chocolat
Depuis sa découverte, le chocolat est considéré comme une confiserie noble. Que ce soit dans les barres, les bonbons ou les boissons, il est apprécié par beaucoup pour son goût et sa qualité. Mais la fabrication du chocolat est un processus long et complexe qui nécessite des années d’expérience. Pour Thierry Atlan, fabriquer du chocolat, c’est utiliser des produits d’une qualité exceptionnelle et être capable de créer la combinaison parfaite entre les saveurs d’une ganache ou d’un praliné et le chocolat. “Du cacao aux truffes, chaque ingrédient utilisé dans la confection de nos chocolats est rigoureusement sélectionné”, explique-t-il.
Le savoir-faire et la passion de Thierry Atlan l’ont toujours poussé à réinventer ses collections de chocolats en recherchant la meilleure qualité. Il y a 35 ans, il est entré dans la chocolaterie de Mr. Charpot à Troyes, où il a fait son apprentissage, et est tombé amoureux de la matière. Pour lui, travailler le chocolat, c’est partager ses passions du goût et de la maîtrise.
Histoire d’une transmission
En 1990, Thierry Atlan commence à travailler pour la prestigieuse Maison Lenôtre en tant que chocolatier. Avec l’aide de l’école et au travers de ses rencontres, il devient Meilleur Ouvrier de France en 1997, et premier MOF chocolatier de Lenôtre. Après avoir reçu son titre prestigieux, le Français devient directeur du département recherche et développement pour le chocolat et professeur à l’Ecole Lenôtre. Il quitte cette dernière en 2000 et commence à travailler pour Disneyland Paris en tant que chef chocolatier de tous les hôtels du parc.
En 2003, il fonde son entreprise de consulting et travaille avec plus de 100 entreprises à travers le monde sur une période de 10 ans. Au fil du temps, il a appris à s’adapter aux goûts culturels et aux ingrédients des différents pays dans lesquels il a travaillé. Mais il a gardé une mission en ligne de mire: éduquer le public sur la qualité du chocolat à la française. “Parce que le chocolat est associé au plaisir, les émotions apportées par chaque bouchée sont un aspect important de la confection de nos chocolats. Chaque recette a été élaborée avec le temps pour trouver l’équilibre parfait entre goût et texture.”
Sugar and Plumm
Thierry Atlan est aujourd’hui vice-président de Sugar and Plumm, grossiste haut-de-gamme créé par Lamia Jacobs. C’est une équipe de chefs pâtissiers et chocolatiers pourvoyeurs de tout ce qui est délicieux et gourmand! C’est le choix des meilleurs ingrédients pour une qualité incomparable. Sous Sugar and Plumm, Thierry Atlan a lancé sa propre marque de chocolat de luxe alliant savoir-faire français et goûts américains.
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Legolas Exchange: Frédéric Montagnon s'aventure dans les crypto-monnaies
Fiabilité aléatoire, frais de transaction onéreux et risque de hacking: les plateformes d’échange de crypto-monnaies ont parfois mauvaise réputation. Et les monnaies virtuelles type bitcoin sont également citées dans des affaires de blanchiment. “Malgré tout, ce qui se passe est très intéressant et ce serait dommage de passer à côté. Ces monnaies virtuelles sont en train de révolutionner le monde de l’information et du software tel qu’on le connaît“, résume Frédéric Montagnon, entrepreneur installé à New York.
Avec son associé, Ouziel Slama, le Français vient de fonder Legolas Exchange, une plateforme d’échange transparente entre crypto-monnaies. “On veut apporter de la confiance dans ce marché où les investisseurs traditionnels n’entrent pas, trop effrayés ou trop hésitants pour des raisons de transparence“. Legolas, dont le nom est inspiré d’un personnage du Seigneur des Anneaux, utilise la technologie “blockchain” de transmission de données sans contrôle extérieur pour garantir le prix à l’acheteur et au vendeur de crypto-monnaies, avec une transparence totale sur la marge.
Legolas a déjà levé l’équivalent de 25 millions de dollars (soit 3.504 Bitcoins au 5 février 2018) lors d’une vente publique et deux privées. La vente publique a atteint son plafond en moins de neuf heures, récoltant près de 18 millions de dollars (2.000 BTC) et rassemblant près de 10.000 personnes dans 130 pays différents. Cette levée de fonds servira à agrandir l’équipe d’une trentaine de personnes, basée entre New York et la France. Une autre partie de la levée sera consacrée à la monnaie créée par Legolas, le LGO.
“Pour nous, il y a une double opportunité, reconnaît Frédéric Montagnon, co-fondateur de la plateforme de blogging OverBlog et d’autres start-ups à succès. La première est de se positionner sur ce créneau avec un angle qui n’existe pas aujourd’hui. La deuxième est de travailler avec des investisseurs qui, pour le moment, n’osaient pas rentrer pour des questions d’opacité. C’est un nouveau marché qu’on ouvre“.
"Libérez Weinstein": Saturday Night Live se paie Deneuve et Bardot
Catherine Deneuve et Brigitte Bardot (ou plutôt les comédiennes Kate McKinnon et Cecily Strong) étaient dans l’émission Saturday Night Live pour expliquer ce qu’elles reprochent à #MeToo.
En janvier, les deux actrices françaises ont fait partie des 100 signataires d’une tribune dans Le Monde critiquant le mouvement anti-harcèlement sexuel, provoquant de nombreuses réactions d’indignation aux Etats-Unis où ce mouvement a vu le jour.
Kate McKinnon et Cecily Strong s’en sont donné à coeur joie en imitant les deux actrices avec un bel accent français. “Pourquoi une femme a-t-elle des seins ? Pour permettre aux hommes de les prendre et les tirer, dit la fausse Brigitte Bardot jouée par Kate McKinnon. Les armoires ont une poignée. Les femmes ont deux poignées“.
Gagnez des places pour chanter avec Carla Bruni à New York
Après Jane Birkin et Lara Fabian, un autre grand nom de la chanson française vient rendre visite aux New-Yorkais. Carla Bruni jouera à Town Hall le vendredi 16 février. French Morning et BureauExport New York vous proposent de gagner deux paires de tickets pour ce spectacle, pendant lequel l’ex Première Dame chantera son nouvel album “French Touch” de classiques du rock re-visités.
Pour participer au tirage au sort, il faut remplir le formulaire ci-dessous:
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Les cultures américaine et française se mêlent dans "Dialectic of the Stars" à L.A.
“En tant qu’Européen, j’ai été inspiré par L.A., qui est un lieu attirant, contradictoire, hallucinant et mystérieux, à la fois politique et poétique.” Fasciné par la ville, le curateur français indépendant Fabien Danesi a été invité par Anna Milone, programmatrice de la fondation FLAX, pour imaginer une série d’événements trans-disciplinaires intitulée “Dialectic of The Stars”. L’objectif ? Engager le dialogue sur L.A. comme centre culturel important.
En collaboration avec la galerie Ceysson & Bénétière et les services culturels du Consulat de France, ce festival d’art visuel présente des œuvres de 19 artistes et collectifs français et américains émergents ou renommés, du 11 au 25 février. Telle une constellation, la dialectique étoilée se produira sur cinq lieux emblématiques, dont The Sowden House le 11 février (complet), le Los Angeles Contemporary Exhibitions (LACE) le 15 février, Ford Theatres le 18 février, LA Dance Project le 24 février et le Zebulon le 25 février. Un seul point commun : une œuvre mobile de Nicolas Momein, dont l’univers minimal est fait de matériaux familiers et objets triviaux, sera présentée sur chaque site.
Le festival débutera par une intervention de Fabien Danesi et une vidéo d’Ange Leccia. “Bodies2”, au L.A Dance project, livrera deux performances qui questionnent la construction culturelle de l’anatomie. Au Zebulon, “Surfing Countdown” offrira un voyage spatial lyrique. Tout un programme.
Le contrat est essentiel dans les relations commerciales aux US, voici pourquoi
(Article partenaire) Opportunités commerciales, innovation, dynamisme: pas besoin de rappeler pourquoi les Etats-Unis font rêver. Mais il existe de nombreux échecs, souvent liés à des contrats commerciaux mal ficelés.
“Le recours au processus contractuel et sa mise en place par le biais d’avocats qui évoluent entre plusieurs cultures reste une démarche encore mal acceptée par de nombreuses entreprises, notamment françaises”, témoigne Pascale Longuet, avocate française spécialisée dans le droit des affaires américain.
C’est pourtant essentiel. Parfois, un contrat en anglais n’est pas revu par un juriste et se transforme en piège pour l’entreprise. Certains contrats sont signés une fois que les produits ont été expédiés et installés depuis des mois. “Les exemples de situations bancales sont nombreux”, témoigne l’avocate. Une règle: “Tout projet ponctuel dans la vie d’une PME, réalisé avec un partenaire américain, se concrétise par un contrat“.
En amont, un contrat permet de tester la solidité d’un partenaire américain pressenti pour un projet. Il est souhaitable que ce soit l’investisseur financier majoritaire d’un projet qui prenne l’initiative de la rédaction des termes, après avoir établi un « business plan » et un budget en collaboration avec ce partenaire. Le véhicule juridique de l’investissement (“corporation”, “limited liability company”…) mais aussi les pourcentages d’intérêts dans la structure, les personnes et les pouvoirs des dirigeants sont autant d’éléments qui permettent d’évaluer la situation et les intentions d’un partenaire.
Une entreprise qui souhaite s’installer aux Etats-Unis doit parfois négocier des projets de contrats établis unilatéralement par un potentiel partenaire américain. Dans ce cas de figure, l’entreprise non-américaine reçoit un projet de contrat très détaillé sur le fonctionnement et la direction d’une entité locale mais qui ne reflète que l’intérêt de la partie qui en a pris l’initiative, et sans considération des apports financiers et technologiques de l’investisseur étranger. “Il est fréquent dans ces situations que les parties ne signent pas de contrat, mais chaque partie aura mieux compris ce qu’elle souhaite réellement aux Etats-Unis“, explique l’avocate.
L’effectivité du contrat n’est pas seulement préventive, mais demeure une arme en vue d’obtenir l’exécution des engagements. Il faudra être attentif à prévoir un mode de résolution des litiges approprié (tribunaux ou arbitrage) et la langue applicable, conseille Pascale Longuet. “Ceci évitera au mieux les tentatives abusives de forum shopping de la part d’un co-contractant qui cherchera son avantage exclusif lors de la survenance d’un conflit“. Le recours à des pénalités en cas de retard dans l’exécution ou d’inexécution des obligations est également dissuasif.
Pour plus d’informations, visitez le site de Pascale Longuet Law Office
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
L'app Ohlalanola rappelle qu'il n'y a pas que le "French Quarter" à la Nouvelle-Orléans
En arrivant à la Nouvelle-Orléans il y a un an-et-demi, Céline Gorin a fait comme tout le monde: elle a ouvert son guide touristique et cherché des adresses de restos, de bars et le descriptif des différents quartiers pour trouver où se loger. Sauf que pour la Française, originaire des Deux-Sèvres, il manquait quelque chose. « Dans les guides traditionnels, il est surtout question du French Quarter mais la Nouvelle-Orléans, c’est bien plus ».
Au fil des rencontres et des balades, l’urbaniste de 30 ans s’est fait son propre réseau et a appris à connaître toutes les facettes de sa ville d’adoption. « En quelques mois, j’ai rencontré des gens accueillants et bienveillants qui m’ont aidé à découvrir cette ville de manière moins touristique », raconte Céline Gorin.
Avec son compagnon, la jeune femme décide de créer une application pour faire découvrir la Nouvelle-Orléans autrement. L’appli gratuite, baptisée Ohlalanola, est disponible sur Google Play depuis le 12 janvier et permet notamment de télécharger une carte de la ville afin de pouvoir s’orienter facilement, même sans réseau. Touristes et nouveaux arrivants y trouvent différents thèmes comme « Taste the cuisine » et ses bonnes adresses de restaurants proposant des produits bio et locaux, « Explore the nature » pour les espaces verts et les endroits insolites, hors des sentiers battus, ou encore « Build your style », qui répertorie les friperies.
« Il y a toujours une démarche éco-responsable dans les adresses que je donne pour soutenir les initiatives locales », explique Céline Gorin, qui travaille à la création d’un musée sur le mouvement des droits civiques à la Nouvelle-Orléans. « Find your home » est particulièrement intéressant pour ceux qui veulent s’installer dans la ville qui fête son tricentennaire cette année. « J’habite le quartier Bywater que j’adore, l’un des plus sympas avec ses petits cafés, ses commerces, ses artistes, mais il n’est jamais dans les guides traditionnels, déplore Céline Gorin. Je veux proposer une autre facette de la Nouvelle-Orléans ».
Le jour où une marmotte décide de la durée de l'hiver
Ce vendredi 2 février 2018, vous le savez tous, c’est la Chandeleur. Mais si vous avez bien prêté attention à votre calendrier canadien, vous aurez peut-être remarqué une autre fête : le jour de la marmotte, ou Groundhog Day. Une journée cruciale où plusieurs rongeurs décident du sort de l’hiver en Amérique du Nord.
C’est une vieille – et drôle – tradition du nouveau continent qui a lieu chaque année le jour où les Français s’empiffrent de crêpes : on prend une marmotte, on la sort de son terrier et on observe son comportement. Si elle a vu son ombre, l’hiver est prolongé de 6 semaines. Dans le cas contraire, le printemps devrait arriver plus tôt que prévu.
Cette célébration est particulièrement populaire aux Etats-Unis. Dans la petite ville de Punxsutawney, en Pennsylvanie, Phil la marmotte décide depuis de très nombreuses années de la longueur de l’hiver américain. Cette année, l’animal a vu son ombre, les USA sont donc promis à un hiver plus long que prévu. La légende veut que la marmotte, effrayée, retourne se réfugier dans son terrier pour dormir encore 1 mois et demi.
Bon c’est Groundhog Day, et la marmotte prédit qu’il nous reste 6 semaines de temps hivernal pic.twitter.com/Wyw3KeFMwz
— Philippe Corbé (@PhilippeCorbe) 2 février 2018
Du côté du Canada, en Ontario, la bête s’appelle Willie et elle est du même avis que sa cousine de Pennsylvanie. La marmotte albinos de Wiarton a vu son ombre, alors l’hiver devrait jouer les prolongations dans la province des Grands Lacs. “Willie tiendrait son don de clairvoyance du fait qu’elle est née exactement sur le 45e parallèle”, précise par ailleurs Radio-Canada.
En Nouvelle-Écosse, la marmotte s’appelle Sam. Et contrairement à sa consoeur ontarienne, la mascotte locale n’a pas vu son ombre. La province voisine de Saint-Pierre et Miquelon peut donc s’attendre à un printemps précoce. A noter par ailleurs que l’animal a tenté de s’échapper de son enclos. Rattrapé in-extremis par un journaliste de CBC, Sam s’est vengé à sa manière. Qui a dit que le métier de journaliste n’était pas dangereux ?
VIDEO: After @ShubenacadieSam made his prediction and the crowds left, the media was let into his enclosure.
Then he tried to escape… pic.twitter.com/K72PZgThtm
— Brett Ruskin (@Brett_CBC) 2 février 2018
Quid du Québec ? La Belle Province a bien entendu sa propre marmotte : Fred, de Val-d’Espoir. En Gaspésie, le mammifère est sorti de son terrier devant environ 500 personnes réunies devant le parvis de l’église (voir vidéo ci-dessous). Tout comme le mammifère néo-écossais, Fred n’a pas vu son ombre. C’est donc une bonne nouvelle pour les Québécois qui auront un printemps hâtif. En revanche, la légende ne dit pas si ces marmottes voyantes mettent le chocolat dans le papier d’alu.