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Jean-Luc Teinturier: “Pour acheter à New York, il faut être réactif”

(Article Partenaire) Il y a à New York environ 30,000 agents immobiliers. Qui doivent se partager quelque 50,000 transactions par an. Bref, il y a deux catégories de “brokers”: ceux qui savent et ceux qui galèrent…

Jean-Luc Teinturier est sans contest dans la première catégorie, notamment parce qu’avant d’être agent, il a lui-même investi dans l’immobilier depuis des années. Et il continue de le faire, puisqu’il développe en ce moment un projet dans l’Upper East Side, dont les appartements vont arriver sur le marché dans les prochaines semaines.

“Cette connaissance du marché new-yorkais est cruciale, explique-t-il, notamment pour une clientèle française. Mon rôle est de les accompagner en les aidant à comprendre le marché”. Arrivé à New York en 1982, Jean-Luc Teinturier y a toujours travaillé, d’abord comme directeur de filiale dans l’agro-alimentaire, puis dans le flaconnage de parfums et enfin en créant avec son épouse Laurence un salon de la lingerie revendu en 2012. “Un parcours classique français, les fameux trois “f”: food, fragrance, fashion”, s’amuse-t-il.

Au sein de Barnes-Warburg, agence qui associe un grand nom français de l’immobilier de luxe, Barnes, à une agence new-yorkaise historique, Warburg, il bénéficie du soutien d’un solide réseau professionnel qui permet d’agir vite. “A New York plus qu’ailleurs, la réactivité est essentielle, explique-t-il. Grand nombre des affaires que j’ai pu réaliser l’ont été parce que nous étions les premiers à faire l’offre”.

La clef de la réussite, pour Jean-Luc Teinturier, est le lien tissé avec son client: “c’est important de comprendre les goûts du clients, les besoins aussi, qu’il s’agisse d’acheter pour habiter ou pour investir, précise-t-il. Je passe toujours plusieurs heures avec mes clients pour bien cerner leur projet et pouvoir les accompagner au mieux”.

Marie Vayron et César Ponsonnet, jeune couple “primo-accédants”, se réjouissent ainsi que Jean-Luc Teinturier ait “très vite compris notre profil très naturellement, et nous a fait des offres qui ont toujours répondu à nos attentes. Nous nous sommes sentis ecoutés tout au long de cette aventure”. Les jeunes trentenaires ont trouvé grâce à Jean-Luc un appartement neuf à Harlem, qui correspondait à leur budget et à leurs attentes.

Pour les clients expatriés, qu’ils résident déjà à New York ou non, l’accès au crédit est bien-sûr la principale difficulté. “Mon rôle est aussi de les accompagner grâce à mon carnet d’adresse, en leur recommandant les rares banques qui prêtent aux expats, ou les autres professionnels indispensables, avocats, fiscalistes et même “general contractors” pour les travaux”.

Achat sans douleur

Lorsque Elisabeth Lando et son mari on cherché un appartement à Manhattan, “nous avions le sentiment d’être ses seuls clients, même si nous savions que ce n’était pas le cas, raconte-t-elle. Il répond à tous les appels et emails dans la journée et -surtout- il est très à l’écoute!” Jean-Luc Teinturier a présenté à Elisabeth plusieurs appartements “qui répondaient parfaitement à nos critères”. Leur choix s’est finalement porté sur un condo à Chelsea et l’achat s’est fait sans douleur, notamment grâce aux professionnels présentés par Jean-Luc Teinturier.

La connaissance du marché est essentielle, particulièrement en période d’instabilité, comme c’est le cas en ce moment. “Le marché reste tendu en dessous de 3 millions de dollars à Manhattan, mais il y a désormais des marges de négociations qui n’existaient pas il y a un an”, explique Jean-Luc Teinturier.“L’arrivée sur le marché de nombreux condos un peu partout dans Manhattan et à Brooklyn a amélioré l’inventaire disponible et fait que les vendeurs sont moins en position de force qu’auparavant”. Ce qui ne veut pas dire que les acheteurs sont devenus rois: encore plus de la moitié des offres sont faites au comptant (“cash”), c’est à dire sans condition suspensive d’obtention de prêt. Le marché new-yorkais reste compétitif, d’où la nécessité d’être accompagné par un agent expérimenté!

Pour contacter Jean-Luc Teinturier:

Email: [email protected]
Tel: +1 203 550 5945
 


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Combien ça coûte de se déguiser à San Francisco pour Halloween ?

Halloween is coming ! Et aux États-Unis, c’est une véritable institution… Autant vous dire que le déguisement est fortement exigé. Vous n’avez pas envie de revêtir votre costume de Dame blanche ou votre masque anonymous pour la 150e fois ?
Classe business : plus de 70 $
Si vous voulez sortir votre épingle du jeu, ou plutôt des cheveux, optez pour une perruque sur-mesure. Fondée en 1957 dans le quartier de North Beach, la boutique Gypsy Rosalie’s Wigs and Vintage est le paradis des postiches. Pour une longue tignasse, il faut compter environ 100 $.
La classe ultime : emprunter un déguisement au A.C.T. Costume Rental. Le service de location de l’American Conservatory Theater de San Francisco met à disposition une gigantesque collection de costumes pour la modique somme de 175 $ la semaine. Mieux vaut en prendre grand soin car chaque loueur doit rendre la tenue en l’état et rembourser le moindre dommage.
Classe éco : 30 $ et 70 $
Pour les moins manuels et les adeptes du prêt à l’emploi, foncez au magasin Fantastico dans le quartier de Soma : 69 $ le déguisement de Stormtrooper, 60 $ celui de Chapelier Fou ou encore 45 $ pour se grimer en Gru de “Moi, moche et méchant”.
Low cost : entre 15 et 30 $
C’est justement dans le quartier hippie que se trouve le magasin de déguisement le plus mythique de la Fog City. Le Piedmont Boutique et ses fameuses jambes en bas résille, chaussées de hauts talons rouges qui sortent de la fenêtre. Déguisements, bijoux, chapeaux, perruques et maquillage… tout est là pour se grimer. Il faut compter environ 30 $ pour un chapeau burlesque ou encore 25 $ pour des lunettes aviateur vintage.
Si vous vous sentez l’âme créative, vous pouvez fabriquer votre costume vous-même. Chez Britex Fabrics, à deux pas d’Union Square, les tissus et les rubans sont rois. Le mètre de tissus en coton est vendu environ 10$.
Pour une poignée de dollars : moins de 15 $
Pour être raccord avec le titre de cette rubrique, vous pouvez vous déguiser en Joe, le tireur d’élite incarné par Clint Eastwood dans le célèbre western spaghetti de Sergio Leone. Un chapeau de cowboy, un poncho mexicain, un pistolet en plastique et le tour est joué ! Exactement le genre d’accessoires que l’on trouve dans les nombreuses friperies dont San Francisco regorgent.
En matière de vêtements de seconde main, Goodwill est l’endroit parfait. La Baie de San Francisco compte une vingtaine de magasins. Il existe aussi d’autres friperies dans le quartier de Mission : Community ThriftMission Thrift ou encore Buffalo Exchange qui a également une boutique sur Haight Street. Dans cette rue commerciale du quartier hippie, vous trouverez plein d’autres boutiques vintage où il faudra mettre la main au portefeuille.

Comment passer son permis de conduire à New York ?

Vous avez dépassé (depuis longtemps) les 90 jours d’ESTA qui permettent de conduire légalement aux Etats-Unis avec un permis français ? Vous vous interrogez sur les modalités pour passer le permis américain? Sachez que chaque Etat possède sa propre législation. Aussi, si vous résidez dans le New Jersey ou le Connecticut, vous n’aurez pas besoin de repasser le permis. En revanche, à New York, vous n’aurez pas le choix.
Première étape: le code
C’est le passage obligé pour obtenir le permis de conduire de l’Etat de New York. Pour pouvoir passer le code, il faut prendre un rendez-vous auprès du DMV (Department of Motor Vehicles), soit en personne, soit en ligne pour éviter les files d’attente interminables. Une fois votre date d’examen en poche, il ne vous reste plus qu’à vous présenter au bureau du DMV qu’on vous a attribué pour présenter des papiers d’identité, un numéro de sécurité sociale et la photo qui sera un jour (on l’espère pour vous) sur votre permis américain.
Précision importante pour les femmes mariées: il faut pouvoir prouver son identité en six points. “Mon visa et mon numéro de sécurité sociale mentionnaient mon nom de jeune fille alors que mon passeport et ma carte bancaire mentionnaient mon nom marital”, raconte Marion Gintzburger, qui a perdu du temps à l’inscription. Le jour du test il faudra aussi passer un examen de vision (lecture de lettres sur un tableau).
Votre permis français est déjà loin? Vous avez besoin d’une petite révision avant l’examen? Pas de panique, le DMV met à disposition le manuel du conducteur et propose des tests en ligne pour s’entraîner. “A peu près toutes les questions sont disponibles sur le site, se souvient Thierry Delprat. Le niveau d’investissement est donc très limité“. Sa femme, Sabrina Delprat a passé son code en juillet dernier et a constaté que sur les 20 questions, 17 étaient en ligne.
Si vous avez fait moins de trois erreurs et que le test de vision est concluant, on vous remet un “learner’s permit”, qui permet de conduire avec son permis étranger le temps de passer l’examen de conduite.
Pour passer le code, comptez entre 70 et 80 dollars, en fonction de l’âge du conducteur et du type de véhicule.
Etape numéro deux: la (très longue) vidéo
Incontournable avant de passer la conduite, il faut d’abord passer 5h devant une vidéo de sensibilisation avec d’autres candidats. “Ça ne présente aucun intérêt, c’est juste une après-midi de perdue où on nous apprend que c’est mal de conduire en ayant bu par exemple“, résume Thierry Delprat. Il se souvient notamment d’un passage dans lequel on voit Christopher Reeves marcher (il est devenu paralysé en 1995), preuve que la vidéo est (très) ancienne!
Sophie Barrel a passé, elle, son permis new-yorkais en 2014 et garde un souvenir très particulier de la vidéo: “On m’avait dit que tout le monde venait avec un ordinateur ou un livre, ce que j’ai fait. Mais dans mon auto-école de Downtown Brooklyn, mon instructeur voulait qu’on soit attentif, il intervenait et nous posait des questions“. Et ce qui a le plus marqué Sophie Barrel, c’est l’heure passée par l’instructeur sur les consignes en cas d’arrestation par la police. “Il nous a rappelé les choses à observer, les comportements à avoir: être poli, ne jamais mettre ses papiers d’identité dans la boîte à gants pour ne pas effrayer l’agent de police, obéir aux ordres et ne pas parler sans avocat si on se retrouve à l’arrière d’une voiture de police”, se souvient-elle
Dernière étape: la conduite
En étant adulte et titulaire d’un permis de conduire étranger, vous n’avez pas besoin de repasser des heures de conduite. Mais tout le monde s’accorde à dire qu’un peu de pratique avant l’examen reste une très bonne idée. “J’ai pris une heure et j’ai aussi loué la voiture de l’auto-école pour passer la conduite“, explique Thierry Delprat. En effet, les aspirants conducteurs doivent venir avec une voiture à l’examen. Sophie Barrel a choisi la même formule: “Des amis pouvaient me prêter leur véhicule mais il n’était pas en très bon état et on m’avait prévenu que je risquais des remarques dessus“.
Le tarif dépend des auto-écoles mais Thierry Delprat se souvient lui avoir dépensé 158 dollars l’heure de conduite et la location de la voiture. Une dépense qui s’impose presque car comme en France, les manœuvres répondent à des règles strictes comme la position du corps et de la tête. “L’instructeur de mon auto-école à Chinatown ne parlait pas anglais, se souvient le Français. Il me faisait comprendre là où je devais être attentif en ouvrant grand les yeux à certains moments“.
L’examen en lui même est très court: ne stressez pas avec les échangeurs compliqués de New York ou avec l’autoroute ! Si vous êtes à Brooklyn, vous avez toutes les chances de passer votre conduite à Red Hook où la circulation est plutôt tranquille. “On doit s’arrêter à un stop, faire un demi-tour et un créneau sur une place où on pourrait garer un semi-remorque. Ça dure 5 minutes“, explique Thierry Delprat.
Sophie Barrel a elle été recalée la première fois, sans vraiment comprendre pourquoi. Cette mère de famille a donc du reprendre date et payer à nouveau une heure de conduite et la location de la voiture, sans oublier les frais d’inscription pour l’examen.
Si la conduite se passe bien, l’examinateur vous remet un permis temporaire le temps de recevoir le sésame officiel. A noter que si vous voulez un jour retourner en France et donc conserver votre permis européen, il faut le préciser pour éviter qu’il soit détruit, comme le veut la règle.

Ces Françaises rêvent d'Hollywood, malgré les Weinstein

Mickaëlle X. Bizet est une Française qui monte à Hollywood. Expatriée à Los Angeles, l’actrice a été remarquée dans la série “American Crimes”, dans laquelle elle joue le rôle d’une jeune fille au pair, Gabrielle Durand. Quand le scandale Weinstein a frappé, elle n’est pas complètement tombée des nues. “Je n’étais pas surprise. Choquée, dégoûtée, oui. Mais pas surprise”, déclare la jeune femme.
Mickaëlle X. Bizet fait partie de ces actrices françaises émergentes, bien décidées à réaliser leur rêve hollywoodien. Depuis deux semaines, elles et le reste des Etats-Unis vivent au rythme des révélations quasi-quotidiennes contre le producteur Harvey Weinstein, accusé de harcèlement sexuel et de viol.
Plusieurs Françaises ont pris la parole pour dénoncer son comportement (Emma de Caunes, Judith Godrèche, Léa Seydoux, Marion Cotillard…). D’autres, comédiennes moins connues, n’ont pas croisé le chemin d’Harvey Weinstein. Malgré tout, ces révélations ont réveillé en elles des souvenirs de situations similaires.
“Toutes les actrices ont vécu une histoire comme celle-là. Quand on dépend des envies des réalisateurs ou producteurs, on a forcément un côté vulnérable”, raconte Roxane Mesquida, révélée au grand public dans la série “Gossip Girl”. La Française aux yeux clairs a commencé sa carrière à 13 ans. “J’ai eu la chance d’avoir été mise en garde par ma mère qui m’a élevée seule. Cela a sûrement joué dans ma carrière”, admet celle qui fut l’une des muses de la réalisatrice Catherine Breillat, qui lui a ouvert les portes du cinéma américain.
Le tête-à-tête de Laura Weissbecker avec “Shower guy”

Actrice émergente, Laura Weissbecker a accusé Harvey Weinstein dès 2016 dans son livre Comment je suis devenue une chinoise. Racontant son ascension en Chine à la suite du film “Chinese Zodiac” de Jackie Chan, l’Alsacienne de 33 ans confie un épisode difficile de sa carrière : sa rencontre avec un “producteur mondialement connu, un Américain au ventre énorme et à la liste de films presque aussi impressionnante que son abdomen.”
Sans le nommer, elle décrit Harvey Weinstein, dont on reconnaît le “modus operandi”. Il l’avait convoquée à son hôtel lors du Festival de Cannes. Le producteur américain avait alors débarqué “vêtu d’un simple maillot de bain mouillé”. “Il hoche la tête d’un air connaisseur, tel un œnologue réputé qui examinerait un vin rouge, jugeant la couleur avant de vouloir le goûter”, écrit-elle dans son livre, méfiante de cet homme dont elle connaît “la réputation sulfureuse”.
“Il me cite franco toutes les actrices avec qui il a couché et dont il a fait des stars.” Il décide de prendre une douche, et lui propose de poursuivre la conversation.“Tu n’es même pas obligée d’entrer dans la salle de bain, tu peux rester dans le couloir”, lui dit Harvey Weinstein. Mais Laura Weissbecker préfère s’éclipser, sans ruiner ses chances : “Je lui confie que j’aimerais beaucoup prendre une douche avec lui, mais un autre jour, car je suis très pressée.” Elle sera harcelée de coups de téléphone de la part de son assistante avant qu’il “se lasse et m’oublie”.
Laura Weissbecker
Cet épisode lui a inspiré le hashtag #showerguy. “Malheureusement, il y a un certain nombre de #showerguys dans l’industrie cinématographique, je me suis retrouvée dans des situations très difficiles quand je débutais comme comédienne alors que je ne m’y attendais pas du tout; #harvey est sans doute le plus connu mais malheureusement pas le pire”, a-t-elle écrit sur Facebook (elle n’a pas répondu à nos demandes de commentaire).
Roxane Mesquida n’a pas été confrontée au harcèlement sexuel aux Etats-Unis.“Je fais des films indépendants, confidentiels. Ce n’est pas du tout ce que fait Harvey Weinstein.” À 18 ans, elle s’est toutefois retrouvée dans une situation délicate. “Mon agent m’avait organisé un rendez-vous chez un réalisateur. Il voulait faire des photos de moi, nue, pour participer au financement du film. J’ai refusé et il m’a insulté. Je suis partie en courant”, se remémore la Marseillaise de 31 ans. “Mon agent n’était pas choqué.” Depuis, elle a toujours évité de rencontrer les professionnels dans leurs chambres. “Après (la vingtaine passée) ça se calme, on se fait une réputation”.
Ancienne enseignante au collège et lycée, Mickaëlle X Bizet ajoute qu’elle n’est plus aussi “fragile” qu’au début de sa carrière. Cela ne l’empêche pas de prendre des précautions. “Maintenant, ajoute Mickaëlle X. Bizet, je me dis que je ramènerai quelqu’un avec moi en cas de rendez-vous dans un hôtel.”

Une discussion sur comment réussir comme artiste à Miami

Comment se vendre en tant qu’artiste, construire sa “marque” et promouvoir ses oeuvres ? Voici quelques-uns des thèmes qu’abordera l’artiste Sophie Blachet lors d’une conférence à Venture Café Miami le jeudi 26 octobre.
Galeriste, Sophie Blachet est co-fondatrice du réseau French Arts Associates, qui a pour ambition de fédérer et soutenir les professionnels français de l’art aux Etats-Unis. Cette conférence donnera le coup d’envoi d’une série de discussions d’une durée de 45 minutes autour de l’aide au développement professionnel. En plus de cette série, l’association organise déjà, chaque troisième mardi du mois, des petits-déjeuners autour d’artistes et de divers personnalités issues du monde des arts. Le prochain aura lieu le 21 novembre.
L’événement est gratuit.

Combien ça coûte de se déguiser pour Halloween à Miami ?

Halloween, c’est le 31 octobre. Maintenant que la soirée la plus terrifiante de l’année est planifiée, il ne vous reste plus qu’à trouver un costume digne de ce nom.
En classe business : plus de 100 dollars
Si vous souhaitez faire trembler vos amis le soir d’Halloween, procurez-vous le déguisement de Frankenstein, l’une des créatures les plus célèbres, ou celui de Cruela d’Enfer à 150 dollars chacun chez ABC Costume Shop à Wynwood.
La boutique, qui confectionne plusieurs milliers de costumes pour la télévision et le cinéma, vous propose également de vous glisser dans la peau de super-héros en optant pour un déguisement de Batman ou Catwoman à 190 dollars, ou encore celui de Superman ou Wonder Woman à 150 dollars.
Vous pourrez également incarner Marie Antoinette, qui n’est peut-être pas le costume le plus effrayant pour Halloween mais dont le prix, 275 dollars, fait froid dans le dos. Toutefois, si vous avez un budget serré, mieux vaut passer votre chemin.
En classe éco : entre 50 et 100 dollars
Pour réaliser quelques économies, tout en évitant de laisser votre costume amasser la poussière, rien de tel que de le louer. Si vous souhaitez arpenter les rues déguisé en vampire, en princesse maléfique ou en pirate, vous trouverez tout à Crazy About Costumes à Fort Lauderdale, qui offre un vaste choix de déguisements en location pour petits et grands.
Spirit, qui dispose de nombreux points de vente à Miami, propose plusieurs costumes permettant d’être le plus terrifiant le soir d’Halloween. Vous trouverez ainsi la panoplie du clown tueur à 75 dollars ou celle du zombie squelette à 70 dollars.
En low cost : moins de 50 dollars
Les enseignes de grande distribution disposent dans les rayons de nombreux costumes à bas prix comme celui de l’homme sans tête à 32 dollars à Target ou celui de la sorcière à 19 dollars à Walmart, sans oublier son balai à 10 dollars.
La Casa de los Trucos à Little Havana propose un choix varié de déguisements effrayants à des prix variables. Comptez 20 dollars pour celui de la faucheuse et 40 dollars pour un costume de citrouille gonflable.
Afin de parfaire votre déguisement, vous trouverez de nombreux accessoires comme des perruques, du faux sang et des kits de maquillage chez Wonder Costumes à Miami.
Les pop-up stores Halloween Megastore, ouverts spécialement pour l’occasion, proposent, quant à eux, une cape de vampire à 15 dollars, des cornes de démon à 12 dollars et divers masques à 25 dollars avec, en bonne place cette année, celui du président américain Donald Trump.
En mode débrouille : moins de 10 dollars
Si vous ne souhaitez pas dépenser de l’argent pour un déguisement qui sera porté pendant quelques heures puis mis aux oubliettes, munissez-vous d’un drap blanc dans lequel vous aurez découpé deux trous pour les yeux afin de réaliser le traditionnel costume de fantôme.
Vous pouvez également opter pour celui de la momie en vous enroulant de la tête aux pieds avec des bandes de gaze. En étant méticuleux, vous pouvez également tenter l’expérience avec du papier toilette, mais il faudra espérer qu’il ne pleuve pas ce jour-là.
Enfin, si vous manquez de créativité, Party City peut vous sauver la mise en vous proposant un large choix de masques et de chapeaux à 2 dollars ou encore des crocs de vampire à 4 dollars. Frissons garantis.

We Oui, la start-up qui fait des surprises complètement folles

Elle veut fêter l’anniversaire de son mari. Lui est passionné d’art. Le jour J, il reçoit en cadeau une très belle photo d’un artiste suisse-allemand qu’il ne connaissait pas. Le lendemain, il reçoit un SMS du photographe lui précisant que le cadre est équipé d’un double-fond. A l’intérieur, il trouve une loupe qui lui permet d’ausculter le tirage qui représente un paysage avec, au centre, une voiture à vendre à l’abandon.
Grâce à la loupe, il va découvrir un message invisible à l’oeil nu et qui lui est adressé: ‘Bonjour Patrick, appelez immédiatement ce numéro‘”. En passant le coup de fil, il entre dans un autre univers, loin de son quotidien de chef d’entreprise.
Cette aventure, qui a duré deux mois et qui s’est jouée d’énigmes en rencontres entre Paris et New York, fait partie des surprises complètement folles concoctées par les Français de We Oui. Dans ce scénario, tout a été créé de A à Z par la start-up: l’identité du photographe, son site web, sa page facebook, ses références. Il a fallu engager des acteurs dans plusieurs pays et fabriquer des décors. “Parfois, on doit louer des boutiques et remplacer le personnel par nos comédiens“, explique Romain Osi, co-fondateur, installé à New York depuis un an. “L’objectif de We Oui, c’est de mettre de l’art dans la vie de tous les jours“.
We Oui est né à Paris il y a trois ans-et-demi de l’imagination déjantée de Romain Osi et de Laetitia Gadan Karmaly. Lui est photographe de formation et a exposé dans des espaces publics incongrus. Elle est scénariste et productrice dans le cinéma. Un cocktail explosif.
Que ce soit pour une demande en mariage ou un anniversaire, les scénarios sont toujours dignes d’un film d’espionnage avec fausses pistes et intrigues. Bref,  We Oui, c’est presque “The Game” avec Michael Douglas, “mais en moins flippant“, plaisante Romain Osi. “En fonction de la personne à surprendre, de l’occasion, de son histoire, on écrit un scénario. Ensuite, on engage des comédiens, on crée des décors, on loue des boutiques s’il le faut“.
Installé à Brooklyn, le trentenaire gère les expériences françaises tout en développant autant que possible l’activité de We Oui à New York. “Pour le moment, ce sont surtout des Français installés ici ou qui viennent en vacances qui nous contactent“, reconnaît-il. Mais les Etats-Unis représentent un marché gigantesque pour la jeune pousse qui se définit comme une agence de “creative surprisers“. “Les Américains ont inventé les demandes en mariage loufoques, au cours de flash mob par exemple, quand tous les clients d’un restaurant participent. Ici, il y a un côté festif très particulier“.
L’expérience unique et les souvenirs inoubliables promis par We Oui ont bien sûr un coût: le prix plancher est de 4.000 euros. “C’est une somme importante, reconnaît Romain Osi, mais ça doit être quelque chose d’extraordinaire“. Les deux amis ont bien essayé les formules ‘low cost’, mais ont été déçus par les résultats. “La difficulté de notre marché est d’arriver à convaincre des personnes qui ont les moyens de dépenser une telle somme, de le faire avec nous et pas en achetant une bague“.
Depuis plusieurs mois, We Oui travaille également avec des entreprises pour organiser des événements de team building. “Ces boites ont envie d’idées fraîches, de choses qui sortent de l’ordinaire“. Quand la surprise s’adresse à 150 personnes, impossible pour la start-up de personnaliser mais les salariés se souviendront de leur séminaire d’entreprise.
Sans véritable concurrent, We Oui se porte plutôt bien et le bouche-à-oreille de clients satisfaits marche à merveille. Dans quelques jours, une nouvelle mission se tiendra à New York: une demande en mariage française. Alors, mesdemoiselles (le client est un homme), si un jour de novembre vous avez l’impression d’être dans un film, laissez-vous prendre au jeu.

Christiane Taubira et Gloria Steinem à l'affiche du Festival Albertine 2017

Le Festival Albertine, organisé par la librairie française de New York, se déroulera du 1er au 5 novembre. Les marraines de cette 4e édition seront Gloria Steinem et Robin Morgan, écrivaines et activistes féministes.
Le festival, qui a pour but de resserrer les liens littéraires entre la France et les Etats-Unis, se penchera cette année sur les femmes.
Parmi les participantes, l’ancienne ministre de la Justice Christiane Taubira et Houda Benyamina, réalisatrice de “Divines”; Nassira El Moaddem, journaliste et directrice du Bondy Blog; Marie Darrieussecq, auteure et activiste au sein du groupe d’action féministe La Barbe; ou encore Delphine Horvilleur, femme rabbin et rédactrice en chef de Tenou’a.
Ces intervenantes, poètes, écrivaines, philosophes, journalistes, réalisatrices de différentes nationalités et cultures, partagent un objectif: oser rêver le changement et l’égalité entre les hommes et les femmes.
Toutes les interventions seront disponibles en streaming sur livestream.com/frenchembassy
Parmi les conférences à suivre:
Mercredi 1er novembre, 7pm: “From the Voting Booth to your Living Room”. Conversation avec Christiane Taubira et Gloria Steinem sur la représentation politique des femmes et l’impact sur la vie quotidienne.
Vendredi 3 novembre, 7pm: “Body: Image vs. Reality”. Conversation avec Roxane Gay, Mona Chollet et Camille Morineau autour du combat pour l’intégrité du corps féminin et de ses représentations.
Samedi 4 novembre, 7:30 pm: “The Politics of Religion”. Wassyla Tamzali, Delphine Horvilleur, Annie Laurie Gaylor et Daisy Khan discuteront de l’influence de la religion sur la vie des femmes.

Discover LILA: plus qu'une porte ouverte

(Article Partenaire) “Discover LILA” c’est une journée porte ouverte, mais c’est plus que cela: une opportunité unique de découvrir tous ceux qui forment la communauté qui constitue le Lycée International de Los Angeles.
L’évènement a lieu le 4 novembre, sur le campus de Burbank du LILA, celui qui accueille les classes de collège et lycée. Et ce n’est pas par hasard: “le bilinguisme est un processus, qui se construit sur 12 ou 14 ans; cela commence dès les petits, dont les familles sont celles visées par ces journées de découverte, mais c’est au lycée qu’on voit les bénéfices d’une éducation comme la nôtre”, note Juliette Lange, la directrice des admissions du LILA.
Comme dans un mini-salon de l’éducation, les familles, parents et enfants, pourront découvrir des stands avec différents interlocuteurs: proviseur, directeurs de campus, professeurs, responsables d’activités extra-scolaires, coaches de sport, etc. Des collégiens et lycéens scolarisés au LILA guideront ensuite les visites du campus.

La journée est l’occasion de découvrir ce qui “fait” le LILA, ses différents campus, et notamment le tout nouveau centre de maternelle du campus de Los Feliz. Jusqu’à la rentrée dernière, il était le seul des quatre campus “primaires” du LILA à ne pas disposer de petites classes de maternelle. “C’était un manque qu’il était important de combler, souligne Juliette Lange. Il est crucial que l’immersion commence le plus tôt possible pour tous les enfants. Grâce à ce nouveau centre de maternelle, les enfants du campus de Los Feliz compteront le même nombre d’années de français que ceux des autres campus lorsqu’ils entreront en collège à Burbank”. 
Ouvert début septembre dans une annexe toute proche du campus principal de Los Feliz, le “Early Learning Center” accueille déjà 48 élèves en petite et moyenne section. Ils seront 90 dès l’année prochaine, répartis en six classes (trois en petite section et trois en moyenne section). Ces nouvelles classes sont complétées par un programme “Mommy & Moi” qui permet d’accueillir les tout-petits (de 6 à 30 mois), avec leurs parents, pour les familiariser, en français, avec l’école. “Ces programmes ont beaucoup de succès, ce qui montre que les parents comprennent de plus en plus les bénéfices d’une immersion très précoce en matière d’acquisition des langues”, note Juliette Lange.
Le “Early Learning Center” en vidéo:

 

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Combien ça coûte de se déguiser à Los Angeles pour Halloween ?

Halloween approche à grands pas, mais vous n’avez toujours rien à vous mettre ? Ne paniquez pas, French Morning a déniché des boutiques de costumes pour toutes les bourses.
En first class : plus de 100 dollars

Vous avez envie de faire la différence pour la soirée d’Halloween ? Que tous les regards se tournent vers vous ? Chez Ursula’s costume, dans le quartier de Mc Arthur Park, vous trouverez un déguisement de vampire à faire froid dans le dos à 212$. Pour faire sensation pour le Dia de los muertos, la version mexicaine de cette fête populaire, optez pour un costume de “mariachi mort” à 127$. Vous pourrez également dénicher la perle rare chez Make Believe Inc qui propose à la location des déguisements de qualité théâtrale adaptés à tous les budgets. Le temps d’une soirée mémorable, vous vous glisserez dans la peau d’un guerrier romain de luxe (avec une plaque de poitrine en métal et un casque en métal) pour 300$. Dans cette boutique, où le personnel est composé de stylistes professionnels, on peut également acheter des costumes à moins de 150$.
Autre option : faites un tour chez Western Costume Company, à Burbank qui dispose d’une des plus grandes collections de costumes du monde, proposés à la location entre 45$ et 325$. Il vous en coûtera quelques centaines de dollars pour vous mettre dans la peau d’une bourgeoise des années 1890.
En classe éco: entre 50 et 100 dollars

Si vous ne voulez pas casser votre “credit score” pour louer ou acheter un déguisement d’Halloween, il y a des magasins comme Halloween Town Store. Dans cette caverne d’Ali Baba, vous pourrez vous procurer un déguisement de sachet de pop-corn géant pour 65$ ou (pour les moins audacieux) de Princesse Leia pour 90$ et de cow-boy à la “Westworld” pour 65$.
Autre bonne adresse pour trouver votre bonheur avec ce budget : Hollywood Toys and Costumes. Près du walk of fame d’Hollywood, la boutique regorge d’idées. Vous devriez succomber au déguisement de Napoléon pour 70$ ou de Bob l’éponge pour 81$. Et il y en a pour tous les âges. Avec son costume de girafe à 53$, votre progéniture fera des ravages. L’éclectisme est également au rendez-vous chez The Costume Shoppe, à Glendale, spécialisé dans la location de costumes de style authentique. Il faudra compter entre 35$ et 100$ pour être vêtu comme une dame du XXe siècle ou un personnage shakespearien.
En low cost : entre 10 et 50 dollars

Si vous ne voulez pas en faire tout un plat, faites une halte chez Ozzie Dots. On est d’accord, il ne faut pas avoir peur de passer du temps à chercher dans ce brouhaha. Mais la boutique de Los Feliz recèle de trésors accessibles. Il ne vous en coûtera que 45$ pour devenir une serveuse de “diner” vintage, 30$ pour ressembler à une banane géante et seulement 17$ pour porter un masque de clown effrayant en mode “It” de Stephen King. Les enfants trouveront également de quoi se parer avec des costumes de requin à 15$.


Autre mine aux trésors, Hidden Treasures à Topanga. Les habitués de Burning Man connaissent le lieu, puisqu’on y trouve des leggings farfelus ou des manteaux de fourrure à la “Matrix”. Dans cette cabane de style Tiki, vous trouverez des uniformes militaires, tee-shirts des années 80 et des costumes d’occasion (dans les 30$), qui varient selon les arrivages.
Et si vous voulez vous concentrer sur votre visage, faites appel à Cinema Secret. Leurs équipes se mettront en quatre pour réaliser un maquillage à donner la chair de poule. Vous y trouverez des maquillages en latex, comme un masque digne de “La planète des singes” pour 15$, mais aussi des prothèses (comptez 50$ pour avoir le visage d’une créature inhumaine).
En mode débrouille : moins de 10 dollars

Pour payer moins de 10$, armez vous de votre créativité. Pour la soirée d’Halloween, vous vous métamorphoserez en votre personnage de série préféré (Pablo Escobar dans “Narcos”, Eleven dans “Stranger Things” ou Sheldon Cooper de “The big bang Theory”) en dégotant des vêtements de seconde main dans les thrift stores. Goodwill a également sa propre “Boo-tique” d’Halloween où l’on déniche des costumes à bon prix.
N’oubliez pas de farfouiller dans les bacs à costumes d’occasion de la Société St Vincent de Paul pour trouver de quoi surprendre vos amis, sans vous ruiner. Et cerise sur le gâteau, l’argent dépensé sera reversé aux familles dans le besoin.
Pour ceux qui ont moins d’imagination, foncez chez Party City où l’on trouve des déguisements très abordables, comme un kit de costume chat pour femme à 10 dollars, le chapeau de pikatchu à 10 dollars ou le masque du joker à 5 dollars.

Combien ça coûte de se déguiser pour Halloween à Washington ?

Halloween arrive. Le décor lugubre est quasiment achevé, reste à se déguiser. On vous laisse trouver en quoi. En attendant, voici une idée de combien cela peut vous coûter. Rassurez-vous, il y en a pour toutes les bourses, du costume « DIY » pour les bricoleurs fauchés à la panoplie « prêt-à-porter ».
En classe business
Comme chaque année, vous n’avez pas vu Halloween arriver ? Privilégiez la solution de facilité et louez. Chez Gene’s Costume (Kensington, Md) il vous en coûtera jusqu’à 250 dollars pour les costumes les plus luxueux, tandis qu’à l’American Backstage Company (Alexandria, Va), un costume d’oncle Sam se loue entre 45 et 75 dollars. Dépenser n’empêchant pas d’avoir des idées, il est aussi possible de commander un costume personnalisé.
En classe éco
Maquillage, perruques, accessoires, costumes… pour créer son déguisement de toutes pièces, dirigez-vous vers Total Party (Pentagon City, Va), Party Mania (Bethesda, Md), Party Warehouse (Silver Spring, Md), Party City, Party Depot (Falls Church, Va) ou Michaels (Friendship Heights). En plus, vous trouverez le nécessaire pour décorer votre maison.
Low cost
Simple et pas trop cher, l’option supermarché ravira ceux qui veulent habiller toute la famille en un seul voyage. Pour moins de 20 dollars à Walmart, un peu plus à Target, on trouve des déguisements complets prêts à l’emploi pour adultes comme pour enfants. Simple, mais efficace.
En mode débrouille
Vous ne voulez rien dépenser ? C’est possible si vous avez un conjoint (de sexe différent). Messieurs, enfilez une des robes de votre femme, mesdames choisissez un costume de votre mari. Un peu de maquillage et le tour est joué. Avec des talons aiguilles, ces messieurs pourront même participer à la High Heel Race, une course de drag queens qui se tient chaque année une semaine avant Halloween.

5 choses à faire pendant les French Weeks Miami 2017

Les French Weeks, grand rendez-vous art et business de la communauté française de Miami, font leur retour. Coup d’envoi: le jeudi 26 octobre à la Résidence consulaire. L’événement se terminera le 9 novembre, par un autre cocktail. Voici cinq temps forts du programme.
Du théâtre en VF
La troupe de théâtre MI@MI présentera la pièce “Le peignoir aux alouettes”, un vaudeville moderne qui met en scène les relations entre un homme et quatre femmes. L’oeuvre est signée Anna Alexis Michel. Elle sera jouée en français et sous-titrée en anglais. Les 4 et 5 novembre au Fillmore Theater (1700 Washington Avenue, Miami Beach). Tickets ici
Soirée “Tapis Rouge”
La télévision francophone Floride.tv organise une soirée “tapis rouge” pour le lancement du Mag, un nouveau mensuel gratuit. Les organisateurs promettent un “fashion show”, de la musique live, des dégustations de produits français et de vins. Le samedi 28 octobre à partir de 6pm au Skydeck Rooftop. Tickets ici
Séminaire business
Plusieurs événements business sont au programme de ces French Weeks. Parmi eux, un petit déjeuner consacré à l’impact des entreprises européennes sur l’économie de Floride et de Miami. Le 2 novembre dans les locaux de Greenberg Traurig (333 SE 2nd Ave, suite 4400). Tickets ici
Exposition “Made in France”
Les artistes français de Miami ont du talent et ils le montrent. L’exposition “Made in France” fait son retour pour la troisième année le 1er novembre dans le cadre des French Weeks Miami. Les tickets (gratuits) sont disponibles.
L’événement, qui aura lieu à l’hôtel Blanc Kara (en clin d’oeil au premier Art basel qui avait eu lieu dans un hôtel) à South Beach, rassemblera une vingtaine d’artistes français de Miami. Les oeuvres présentées mettront en valeur la beauté et l’élégance à la française. Plusieurs prix seront à gagner pendant la soirée (dîner pour deux à Villa Azur, séance photo, concert de musique classique…). L’exposition est organisée en soutien à l’association Street Art for Mankind (SAM) qui lutte contre l’esclavage des enfants dans le monde à travers l’art de rue.
Lancement et clôture
Les French Weeks fêtent leurs dix ans cette année. Les festivités débuteront, comme tous les ans, à la Résidence consulaire le 26 octobre à 6pm (tickets ici). La clôture aura lieu à Nikki Beach le 9 novembre de 6 à 8pm, en présence d’une délégation de la ville de Marseille (tickets ici).