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Trucs énervants, fautes d'anglais : vos listes préférées de 2015

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Vous adorez les “list-icles” de French Morning. Normal: qui n’aime pas rire des petits travers, singularités et désaccords entre Français et Américains?
En 2015, les listes que vous avez préférées abordent des sujets divers : des conseils business pour réussir aux USA, des produits à ramener de France dans ses valises, ou les fautes d’anglais que les Français ont du mal à éviter.
7. Start-up : 13 conseils pour réussir aux Etats-Unis
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6. 27 résolutions pour devenir un bon Américain en 2015
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5. 19 choses qui énervent les Français au restaurant aux Etats-Unis
restaurant
4. 15 produits indispensables que vous rapporterez de France cet été
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3. 11 fautes d’anglais que les Français font toujours
mistress
2. 45 choses que les Américains font mieux que les Français

Credit: Ron Sachs / CNP - NO WIRE SERVICE -
Credit: Ron Sachs / CNP

1. 40 trucs qui vont vous énerver pendant vos vacances en France
ouverture dimanche

L'humoriste Jeff Panacloc ramène Jean-Marc à New York, Miami, LA et SF

En France, Jeff Panacloc connait son heure de gloire. Ou plutôt, sa marionnette, Jean-Marc, singe jaune poilu et goujat avec qui il présente son spectacle “Jeff Panacloc perd le contrôle”.
Un show que l’humoriste de 29 ans a joué pendant un an à Paris à la Comédie des Boulevards, et qu’il vient présenter début février aux Etats-Unis. Il passera à Los Angeles le 2 février, à San Francisco le 4 février, à Miami le 8 et à New York le 10.
Dépoussiérant le concept de l’humoriste-ventriloque, Jeff Panacloc a commencé a se produire sur scène avec sa marionnette à 23 ans. Remarqué par Patrick Sébastien en 2011, il se produit depuis régulièrement dans son émission Le plus grand cabaret du monde. Il également apparu chez Michel Drucker, ou encore avec Djamel Debbouze au Marrakech du rire.
Autant le dire : ce n’est pas de l’humour très fin, mais c’est efficace – ses vidéos enregistrent plusieurs millions de vues sur Youtube. Et l’effet ventriloque est impressionnant. Début décembre, Jeff Panacloc a remporté le prix de l’humoriste de l’année 2015 dans l’émission Les Z’awards de la télé.
[youtube http://www.youtube.com/watch?v=84Fu0auLChM]

Comment Daniel Bohbot a rhabillé les "hot mamas" de Californie

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Derrière la façade anonyme d’un entrepôt de Beverly Boulevard se cache le royaume coloré de Daniel Bohbot. Ce Français est le créateur de la marque Hale Bob, lancée en 2001 à Los Angeles. Un label devenu le chouchou des Californiennes et des stars d’Hollywood, adeptes d’une mode “hippie chic” et confortable.

Parmi ses afficionadas, le designer compte Eva Longoria, Salma Hayek, Heidi Klum, Sharon Stone ou encore Amal Alamuddin, la femme de George Clooney. Les tenues du créateur sont également apparues à l’écran dans la série Desperate Housewives ou lors du Ellen DeGeneres show.

Daniel Bohbot a imprimé sa marque dans la mode californienne en étant l’un des premiers à créer des tops haut-de-gamme (entre 120 et 300 dollars) luxueux et décontractés. “Il y a 15 ans, le jean premium était la grande tendance”, explique-t-il, assis confortablement dans l’un des fauteuils de son grand bureau lumineux. “J’ai eu envie de décliner le concept en créant de jolis hauts de qualité, faciles à porter. Le succès a été immédiat”, se souvient l’entrepreneur, à la tête d’un petit empire de 40 millions de dollars.

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C’est aux côtés de son frère et de sa belle-soeur, Marc et Michèle Bohbot, PDG de la marque de vêtements Bisou Bisou, implantée aux Etats-Unis en 1989, que Daniel Bohbot a fait ses armes dans le monde de la mode. “J’étais chargé de la distribution en France. Pendant longtemps, j’ai multiplié les voyages entre les deux continents. Ce n’est qu’au début des années 2000, lors de vacances en famille, que je suis tombé fou amoureux de la Californie.”

Six mois plus tard, la famille s’installe à Los Angeles, capitale américaine du sportswear et du denim, où de nombreux Français du monde de la mode ont déjà fait fortune. “C’est ici que Guess et BCBG ont démarré” rappelle, rêveur, le patron de Hale Bob.

Cool californien et mode ethnique

Tuniques amples et colorées, tissus imprimés d’arabesques, perles et brillants brodés à la main… Tout en étant influencés par “le cool californien”, les modèles de Daniel Bohbot reflètent aussi les origines méditerranéennes de ce Franco-Marocain, né à Casablanca, “une ville située à la même latitude que Los Angeles“, s’amuse-t-il.  

“J’aime tout ce qui est métissé. Je suis aussi très sensible à l’art. Je m’inspire beaucoup de l’Alhambra en Espagne et des mosaïques marocaines”, explique le designer en nous faisant faire le tour de ses studios. Une cinquantaine d’employés y travaillent, auxquels Daniel Bohbot s’adresse dans un joyeux mélange d’anglais, de français et d’espagnol.

“Tout est conçu à Los Angeles mais 90% de la production se fait à Shanghai. Les 10% restants  sont de petites commandes ou des produits spéciaux que nous fabriquons ici à L.A. Il faut aussi savoir que 56% de ma distribution est européenne”, ajoute cet ambitieux patron, qui sort chaque mois de 35 à 40 nouveaux modèles.

Un vêtement pour un vaccin

En plus de Hale Bob, Daniel Bohbot a créé une ligne plus jeune baptisée Liberty Garden, dont il a récemment présenté la nouvelle collection printemps-été 2016.

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“La marque Hale Bob, qui est vendue chez Bloomingdales, c’est pour la “hot mama”, la jeune maman active et sportive, tandis que Liberty Garden, que l’on retrouve chez Anthropologie, s’adresse plutôt aux étudiantes”, explique-t-il. “Pour créer cette nouvelle ligne, j’ai tenu compte des aspirations de la jeune génération, beaucoup plus concernée par le monde qui l’entoure. J’ai remplacé les matières d’origine animale par du faux-cuir vegan et des fausses fourrures.”

Daniel Bohbot s’est aussi lancé dans un projet humanitaire en partenariat avec Médecins Sans Frontières. “Chaque vêtement Liberty Garden acheté permet de de subventionner l’achat d’un vaccin contre la malaria, un peu sur le modèle de Tom’s (une célèbre enseigne de mode éthique). 80 000 vaccins ont ainsi déjà été distribués.

Deux légendes du jazz en concert au Lycée Français de Los Angeles

Ils se sont rencontrés à l’école de musique de Berklee à Boston aux débuts des années 70. John Scofield, compositeur-guitariste et Joe Lovano, saxophoniste, se retouvent une fois de plus le 26 février, pour deux concerts sur la scène du théâtre Raymond Kabbaz du Lycée Français. A leurs côtés, le batteur Louis Nash et le contrebassiste Ben Street.
John Scofield a joué avec les plus grands : Chet Baker, Charlie Mingus, Miles Davis, Herbie Hancock… Joe Lovano est l’un des saxophonistes de jazz les plus reconnus dans le monde, avec une discographie aussi longue que son saxo ténor.
S’ils mènent chacun une carrière de leur côté depuis plus de quarante ans, ils ont aussi travaillé régulièrement ensemble, et ont même sortis trois albums en commun au début des années 90 sous le prestigieux label Blue Note.
Pour les amoureux du jazz, c’est l’événement à ne pas rater. Les deux concerts ont lieu la même soirée.

En janvier, Emmanuel Ax joue Franck, Berlioz et Boulez au Disney Concert Hall

Saviez-vous que le prodigieux pianiste Emmanuel Ax, né en Pologne et élevé à Winnipeg, Canada, a étudié le français à l’université de Columbia à New-York ?
Visiblement son goût pour la langue et la culture française est encore présent aujourd’hui.
Du 8 au 10 janvier prochain, l’artiste a choisi de jouer les œuvres de trois compositeurs français au Disney Concert Hall de Los Angeles : Hector Berlioz (Le Corsaire), César Franck (variations symphoniques) et Pierre Boulez (Mémorial). Il terminera la soirée avec  la symphonie N°2 de Robert Schumann
Ce concert marque le quarantième anniversaire de la collaboration entre Emmanuel Ax et l’orchestre philarmonique de L.A.

"Mustang", qui représente la France pour les Oscars, passe à L.A

Présenté par la France, le film “Mustang” est en lice pour l’Oscar du film en langue étrangère – la sélection définitive sera annoncée mi-janvier. Sa réalisatrice, Deniz Gamze Ergüven, a été formée à l’école de cinéma la Fémis à Paris. Les cinq comédiennes sélectionnées à l’issue de milliers d’auditions sont exceptionnelles.
Dans le nord de la Turquie, cinq sœurs orphelines profitent des plaisirs que la vie leur offre à proximité de la mer, de la nature et des garçons. Mais leur liberté se heurte aux traditions. Petit à petit leur oncle et leur grand-mère les coupent du monde extérieur et organisent des mariages arrangés pour les faire rentrer dans le rang. Leur joie naturelle et leur relation fusionnelle les aide à résister. Malgré cela, cette nouvelle vie aura raison leurs âmes pures et de leurs rêves.
Un film tendu, sensible, où l’on rit parfois. Le message est loin d’être désespéré, même si l’on frémit à la vue de ces jeunes filles sacrifiées au nom d’un système qui semble finalement déplaire à tout le monde.

La brioche, la bonne idée de deux Français de Santa Barbara

En moins de deux mois, la brioche est devenu le produit en vogue dans le comté de Santa Barbara. Un engouement lié à l’ouverture à Montecito de Bree’Osh, un café tenu par Nelly Mousseau et Pierre-Yves Henry, deux Français fraîchement débarqués aux Etats-Unis.

L’attrait de l’étranger et la passion pour la cuisine : ce sont ces deux facteurs qui ont fait basculer la vie de Nelly Mousseau, 34 ans, et Pierre-Yves Henry, 35 ans. Quelques années plus tôt, le couple résidait encore à Neuilly-sur-Seine, poursuivant une carrière dans les technologies de l’information pour l’un et dans le marketing digital pour l’autre.

“Nous avions envie de voir autre chose”, indique Nelly. “Nous sommes passionnés de plongée, et à chaque fois que nous visitions un pays, nous prenions des renseignements sur ce qu’il était possible d’y faire. Nous voulions nous frotter à une autre culture, mais en dépit d’une opportunité en Inde qui ne s’est pas concrétisée, les opportunités étaient maigres.”

Il y a trois ans, Pierre-Yves a donc pris le taureau par les cornes et délaissé son emploi pour s’inscrire à l’école de cuisine de Ferrandi. Une formation suivie par un perfectionnement de son apprentissage dans les boulangeries de Gontran Cherrier puis de Cyril Lignac. “Lorsque nous nous sommes sentis prêts, nous nous sommes mis en quête d’un lieu où s’installer.”

Du Chili à la Colombie, en passant par le Pérou, le couple passe d’abord six mois en Amérique du Sud, sans trouver ce qui lui convenait. “Dépités, nous avons décidé de venir voir des amis en Californie pour nous changer les idées. Nous n’avions jamais pensé à nous y installer. Nous pensions que les Etats Unis étaient inabordables pour notre budget et trop stricts sur les procédures.”

Nelly Mousseau et Pierre-Yves Henry tombent pourtant sous le charme de la petite ville de Montecito, à proximité immédiate de Santa Barbara, et décident d’y concrétiser leur projet. “Nous avons vite trouvé l’emplacement. Fin août, nous avons commencé les travaux et nous avons pu ouvrir Bree’Osh le 1er octobre.”

Depuis, les brioches sucrées et salées, déclinées sous toutes les saveurs (nature, chocolat, sucre, bio, fromage et bacon, etc.) régalent une clientèle grandissante. Pierre-Yves Henry se lève chaque jour à 2:30 am pour effectuer ses préparations et les commandes à emporter, tandis que Nelly s’occupe du service de 7am à 3pm. “Le démarrage dépasse nos attentes. Que ce soit pour les brioches sucrées du petit-déjeuner ou pour les sandwiches briochés du déjeuner, il y a toujours du monde. Nous vendons tout ce que nous produisons, soit en moyenne 150 brioches par jour, ce qui est beaucoup pour une production artisanale. Mais nous avons aussi des commandes ponctuelles à emporter, surtout le week-end, parfois jusqu’à 60 brioches.”

Un succès qui a d’ailleurs incité le couple à louer un autre local à quelques kilomètres, afin de pouvoir installer un laboratoire culinaire plus spacieux, destiné à produire en plus grandes quantités. Un partenariat a également été signé avec un café-torréfacteur local, pour que le café proposé avec les brioches soit à la hauteur de la réputation des tasses servies en France. Des petits détails qui séduisent les clients.

La vie parisienne est désormais bien loin pour Nelly et Pierre-Yves. Et l’expatriation dont ils avaient toujours rêvé s’est désormais transformée en réussite commerciale.

Dallas relance ses programmes d'after-school en français

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Si l’association Education française Greater Houston n’a cessé de croître depuis cinq ans (l’effectif de la « French after school » atteignant désormais 160 élèves), le programme de français langue maternelle de Dallas-Fort Worth peinait, lui, à s’installer.
Avec le départ de la fondatrice de Parlons Français au début de l’été, il fallait trouver un nouveau leadership pour l’organisation.
La communauté francophone de la metroplex s’est donc mobilisée, et les conseillers consulaires Bertrand Pelletier et Damien Regnard ont proposé à une enseignante française rencontrée lors d’une permanence de prendre la direction (bénévole) du projet, qui redémarre officiellement samedi 9 janvier pour les enfants.
Passée par le monde de l’entreprise en France, puis par l’université de Tyler, dans l’Est du Texas, dont elle est sortie diplômée en communication, Mireille Chavanne Boss étudiait justement les options disponibles pour les parents de jeunes francophones.
Mère d’un petit garçon de quatre ans ne parlant français qu’avec elle, elle était intéressée par une alternative à la Dallas International School, « qui est une école extraordinaire mais malheureusement pas à la portée de toutes les bourses », en dépit des aides offertes aux Français les plus défavorisés.
Relancé dans une salle de la Tyler Street United Methodist Church, le programme de français langue maternelle de Dallas souhaite couvrir les besoins des 4-16 ans dès la rentrée 2016-2017, et ce en français langue maternelle comme en français langue étrangère. Le coût de deux heures hebdomadaires est limité à 450$ par semestre de quinze semaines (français langue maternelle).
Un nouveau conseil d’administration composé de francophones et francophiles comme Darryl Baker, ancien membre du conseil d’administration de l’Alliance française de Dallas, a été constitué au mois d’octobre. Parlons Français est devenu Education Française Dallas Metroplex, afin de mieux s’inscrire dans le réseau international constitué par Education Française Greater Houston, Education Française Austin, mais aussi Education Française Bay Area à San Francisco, Education Française New York…
Une série de rencontres avec les autres associations franco-américaines de l’agglomération a permis de s’assurer du soutien de l’accueil francophone de Dallas, l’Alliance française, la Chambre de Commerce franco-américaine… « Et si nous relançons le programme dans le quartier d’Oak Cliff où je réside, Dallas International School s’est déjà déclarée prête à mettre gracieusement à disposition d’Education Française Dallas Metroplex une classe de son campus de Waterview à la rentrée 2016-2017 », annonce de plus Mireille Chavanne Boss.
« La communication autour de la relance a été gênée par les attentats de Paris, qui ont beaucoup touché la communauté francophone et francophile de Dallas-Fort Worth, mais nous continuons de prendre les inscriptions pendant les fêtes », indique Mireille Chavanne Boss, qui semble ravie de s’investir autant dans le projet.

Cousin coquin, ado blasé… : des bons plans vacances de Noël à New York

ccVos invités sont déjà arrivés pour passer Noël avec vous, et vous devez les divertir. Ce n’est pas obligé d’être une corvée. Quelques bons plans pour mettre tout le monde d’accord.
Noël avec les grands-parents hyperactifs
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Vu les températures attendues pour les Fêtes, nous vous conseillons une bonne marche à travers New York. L’an dernier, nous vous avions recommandé quatre itinéraires pour grands marcheurs dans le Bronx, Queens, Brooklyn avec quelques arrêts au stand le long de la route.
Et comme ils sont actifs, ils se lèvent tôt. L’occasion de vous rendre dans les endroits que les touristes prendront d’assaut un peu plus tard dans la journée, comme Times Square et le Rockefeller Center. Allez contempler New York de l’un de ces dix points de vue pour voir la ville se réveiller avant tout le monde.
L’ado blasé
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Il a tout vu, mais vous allez lui en faire voir encore plus. S’il aime le basket, il ne sera pas indiffèrent face au jeu de jambes des Knicks au Madison Square Garden – ils continuent à jouer pendant les Fêtes. Pensez aussi à regarder le programme du Barclays Center à Brooklyn, qui propose des matches de basket, de hockey sur glace et… du catch.
Les parents gourmets
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Il y a plusieurs excellents restaurants à New York. Si l’on regarde le classement Michelin, le restaurant à surveiller est le Modern, qui a fait cette année son apparition dans les deux étoiles. Dix restaurants new-yorkais figurent pour la première fois dans la catégorie « une étoile », dont le tout nouveau restaurant Gabriel Kreuther, du chef alsacien du même nom, qui a ouvert au printemps en face de Bryant Park. On vous conseille le Gentleman Farmer à Brooklyn, une cuisine délicate et travaillée dans un décor soigné.
La cousine fêtarde
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Elle veut un endroit branché, emmenez la dîner à Tao, les restaurants asiatiques géants où défilent les young and beautiful. A Tao Downtown (92 Ninth Avenue et 16th Street), mangez dans des gradins. A Tao Uptown (42 East 58th Street), mangez autour d’un boudha géant. Dans les deux cas, les boites de nuit ne sont pas loin. Dans le premier, le Dream Hotel et le reste du Meatpacking vous tendent les bras (et les bars). Dans le second, le Lavo et son club au sous-sol se trouvent en face.
La sœur fashionista
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Commencez par un tour au spa luxueux du Setai Wall Street pour vous faire chouchouter avant de foncer faire les vitrines de Downtown. Sur 9th Street, dans l’East Village, la petite boutique Duo NYC et ses vêtements et accessoires minimalistes n’attendent que vous et votre sœur. Allez faire un tour aussi à Tomorrowland, la marque japonaise qui a ouvert récemment à SoHo. Continuez sur East 14th Street par un martini-manucure à 10 dollars au Beauty Bar.
Le tonton aventurier
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Pour découvrir New York, il y a les visites guidées classiques, puis il y a Soundwalk, un site qui propose des promenades sonores thématiques dans différents quartiers. Laissez-vous guider par la voix d’un narrateur, agrémenté de sons d’ambiance, dans les rues du Bronx sur les traces du hip-hop, ou dans le quartier hassidique de Brooklyn, ou encore Chinatown. Soundwalk propose aussi des balades plus classiques à Wall Street, Bryant Park et Ground Zero.
Le frère hipster
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Oubliez Williamsburg, le centre de gravité du New York hipster s’est déplacé un peu plus loin sur la ligne L, à Bushwick. On ne compte plus les bars, galeries, salles de spectacle qui apparaissent dans ce quartier qui monte. On vous conseille de faire un tour au Bizarre Bar pour une mousse, à House of Yes, un espace de performance (cirque, théâtre, cabaret…) bien connu des artistes du coin qui a rouvert ses portes en décembre, ou Bushwick Public House pour un concert. Profitez-en pour aller faire un tour au speakeasy Hell Phone, tenu par des Français.
Le neveu intenable
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Pour se défouler, emmenez le faire un tour sur la glace de l’une de ces patinoires. Ca le rafraichira. Consultez aussi nos autres bons plans pour les enfants.
Le cousin coquin
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Il est de retour et il va falloir le divertir. Heureusement, il y a de quoi à New York. Il y a des strip clubs de partout. Sapphire et le Hustler Club font partie des plus connus. Pour sortir des sentiers battus, visitez Gallaghers 2000 (43-19 37th St, Long Island City), le meilleur strip club du Queens, ou encore Pumps, un bar à strip tease sans prétention d’East Williamsburg. New York est aussi la capitale de la drague. Ça tombe bien parce que votre cousin coquin veut aller au contact. Miss Favela à Williamsburg est une valeur sûre. Tant que vous êtes dans le coin, emmenez-le dans l’ambiance caliente de Bembe non loin, ou de Baby’s All Right.
La tata intello
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Votre tante sera heureuse à New York. Profitez des Fêtes pour aller voir plusieurs expositions au Met, MoMA ou ailleurs. En voici cinq.
 

Retraites, coaching, self-help: le business florissant de Christine Lewicki

Christine Lewicki: ce nom vous est-il familier ? Avec son livre “J’arrête de râler”, cette auteure a transformé son challenge (21 jours sans râler) en success story.
On pensait vendre 10000 livres et finalement, on en a écoulé 250 000 exemplaires”, se réjouit cette coach française, installée à Los Angeles depuis 15 ans. Son ouvrage, paru en 2011, est traduit en cinq langues.
Face à une telle réussite, une question était sur toutes les lèvres. “On me demandait comment un auteur inconnu, qui plus est une femme ordinaire, peut vendre autant de livres”, avoue Christine Lewicki, le sourire collé aux lèvres. Car cette mère de trois enfants compte parmi les dix auteurs de développement personnel les plus influents en France.
Une réflexion sur son succès littéraire
Dans un premier temps, Christine Lewicki explique son succès par son challenge. “J’ai découvert des possibilités en enlevant la pollution des râleries”, précise-t-elle. “Mais je savais que cette réponse était incomplète.” Elle décide alors de réaliser une introspection sur sa réussite, citant volontiers Steve Jobs: “On ne peut pas prévoir l’incidence qu’auront certains événements dans le futur, c’est après coup seulement qu’apparaissent les liens.” Son livre “Wake up” est né de ce travail, en avril 2014.
Elle y livre ses quatre piliers pour “arrêter de vivre sa vie à moitié endormi”. Le premier consiste à oser être brillant(e). “Pour moi, c’était oser écrire un livre même si j’avais peur de ne pas être à la hauteur”, lâche-t-elle.
Poser des actes à la hauteur de ses ambitions, est le deuxième principe. “Cela consistait à se lever à 6am tous les jours pour écrire mon livre. De même, j’ai poussé mon éditeur à croire au livre, et à développer la campagne publicitaire. Cela a été concluant.
Troisième pilier : créer sa réalité avec des mots. “Un 31 décembre, j’ai déclaré que j’écrirai un livre. Le dire en public nous oblige à mettre des actes sur les mots.” 
Enfin, le dernier principe consiste à prendre soin de sa source. “Il faut protéger son champ de conscience, sa flamme intérieure. Je suis notamment plus sélective dans les médias que je regarde, et je m’entoure de personnes de confiance.
Prochaine retraite fin janvier à Ojai
Avant d’en arriver à la publication de “Wake Up”, écoulé à 60 000 exemplaires, Christine Lewicki a fait valider ses piliers à vingt-cinq lecteurs, qui ont participé à un séminaire, en 2013, à Poitiers. “Les gens ont été profondément impactés.” Depuis, elle organise ces retraites quatre fois par an.
La prochaine retraite aura lieu à Ojai, sur les hauteurs de Santa Barbara, du 28 janvier au 1er février 2016. Ce travail de groupe (limité à 15 participants) sera ponctué par des ateliers de danse, yoga, méditation, et des randonnées. “Beaucoup de Français font le déplacement depuis la France, mais peu d’expatriés“, regrette-t-elle.
Entre ses livres et ses retraites, Christine Lewicki coache des entreprises françaises telles que la SNCF, la BNP ou Publicis, mais aussi californiennes, comme les laboratoires pharmaceutiques Grifols.
Cette dynamique coach n’est pas prête d’arrêter de nous réveiller.

Avec l'arrivée de Repetto, SoHo devient encore plus français

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Si SoHo est désormais surnommé le “French Quarter” de New York, c’est pour une raison : en à peine cinq ans, une dizaine de marques francaises s’y sont installées, comme Comptoir des Cotonniers, Maje, Sandro, APC, The Kooples, Cotélac…
Sur West Broadway, le magasin pour enfants Bonpoint côtoie le salon de thé Ladurée, lui-même mitoyen de la nouvelle boutique Repetto, qui a ouvert ses portes le 15 décembre.
C’est la première fois que la marque parisienne, créée en 1947, ouvre une boutique aux Etats-Unis, assure Ann Magnin, qui s’occupe des relations publiques de Repetto aux USA. “Repetto était déjà présent aux Etats-Unis via différentes détaillants et grands-magasins, mais jusqu’ici, il n’y avait aucune boutique.”
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La boutique vaut le coup d’oeil, avec son parquet et ses étagères de chêne, ses lustres, ses grands miroirs surmontés de barres d’exercice, ses banquettes et ses rideaux en épais velours rouge. “C’est un mélange entre l’appartement classique parisien et l’univers de la danse”, illustre Ann Magnin. En fond sonore, on entend les mélodies de Casse-noisette.
Les inévitables ballerines Repetto, toujours fabriquées en France, sont exposées sur des tables rondes, dans de multiples couleurs et matières. Les prix sont ceux du haut de gamme. La ballerine de base, la “Cendrillon” – 95 déclinaisons possibles ! –  est vendue 295 dollars (en revanche, elle est à 195 euros sur la boutique en ligne française).
Sont aussi exposés tous les modèles classiques de Repetto : salomés, derbies, chaussures “Zizi” telles que portées par Serge Gainsbourg… 
Au fond, on trouve toute une série de vêtements charmants pour la danse (femme et enfants) : justaucorps, pointes, cache-coeur, chemises et pantalons, ainsi que des parfums et une ligne de sac à main en cuir.
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Le clou de la boutique, c’est un atelier pour créer sa chaussure sur mesure, avec différentes couleurs et types de cuir, de lacets ou de finitions. Tout est personnalisable, et sa ballerine de rêve, créée en France, arrive en quatre semaines. Coût de cette folie ? Autour de 550 $.