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À Salty Donut, les donuts partent comme des petits pains

A quelques pas du cœur de Wynwood, le quartier street art et branché de Miami, se trouve une adresse qui ne désemplit pas.
Et pour cause, the Salty Donut, créé en 2015 par un couple de Miamiens, est un des plans les plus gourmands du quartier. Certains locaux décrivent d’ailleurs la dégustation de ces donuts comme “une expérience religieuse”. D’ailleurs, ces donuts ont été élus les meilleurs de Miami.
Toute l’année, retrouvez les classiques comme le traditionnel “glazed donut” (un donut simplement recouvert d’un glaçage au sucre), l’excellent et crémeux “guava and queso” (goyave et fromage) ou l’intrigant “maple and bacon”. Non, vous ne rêvez pas, il y a bien un donut au sirop d’érable et bacon à la carte. C’est même l’un des best-sellers.
Sur le reste de la carte : fruits de saison, Nutella, chocolat, des duos alléchants comme “pamplemousse fraise” ou “noix de coco et key lime” qui restent à la carte environ un mois… Gardez un œil sur les éditions limitées pour les fêtes comme Pâques, la fête des mères ou encore Halloween.
Les donuts du Salty Donut sont préparés à partir de produits frais, et le plus souvent locaux, pour encore plus de saveurs. D’ailleurs, le très attendu donut à la mangue (tous les ans en début d’été) est garni d’une crème composée des mangues que les locaux apportent eux-mêmes aux cuisines. Comment faire plus local ?
Pour en profiter, préférez les jours de semaine ou venez tôt. Les heures de fermeture sont claires : “6pm or sold out”. Quand la fournée du jour est épuisée, on ferme !
Si vous choisissez un jour d’affluence, notre conseil : éloignez-vous de la boutique avec votre précieuse cargaison, et filez au coeur du bâtiment. Vous y trouverez un agréable patio ombragé, et en haut des marches, une terrasse.
Pour les gourmands du sud de l’agglomération, une nouvelle boutique ouvrira bientôt ses portes à South Miami.
Vous avez peur de finir avec la bedaine d’Homer Simpson après une telle gourmandise ? Pour éliminer, suivez les guides de Miami Off Road à travers les rues de Wynwood. Elles vous feront découvrir les plus fresques street art du quartier, ou vous emmèneront à la rencontre d’artiste locaux pour vous essayer à l’art du graffiti.

"Tu as voté pour Trump ?": quand le dating devient politique à New York

Les supporters de Donald Trump ne sont pas nombreux à New York, mais il y en a. Caitlin (prénom changé), une Américaine de 33 ans, en a croisé un sur Tinder il y a quelques semaines. Après les traditionnels échanges un peu forcés, cette démocrate de Brooklyn a fini par mettre les pieds dans le plat. “Tu as voté pour qui à la dernière présidentielle ?” “Trump” a-t-il écrit après une petite pause dans le tchat, sentant peut-être le couperet tomber. “Je lui ai dit que cela ne pouvait pas marcher et on s’est arrêté là”. 
Comme si trouver l’âme soeur n’était pas assez difficile comme ça à New York, les célibataires doivent désormais compter avec un nouvel obstacle: Donald Trump. Depuis l’élection acrimonieuse de 2016, l’étiquette politique de la personne en face compte plus qu’avant. Et cela peut briser bien des histoires naissantes. “J’ai l’impression que le thème de la politique arrive plus tôt qu’avant dans les conversations, observe Caitlin. Je n’étais pas particulièrement intéressée par la politique, mais l’élection a été un tournant. Je suis allée à la Marche des Femmes. J’ai participé à des manifestations. Je ne supporte pas ce président. Pour moi, sortir avec quelqu’un qui cautionne les politiques de Trump est impensable. C’est une question de valeurs“.
Cailtin n’est pas la seule. CNN (entre autres) a consacré un long article à ces célibataires new-yorkais de bords politiques opposés. Le papier évoque le cas d’un homme qui a rompu avec sa copine, avec laquelle tout se passait bien, quand il a appris qu’elle avait voté pour le milliardaire. Il se sont remis ensemble après sa victoire surprise mais le discours d’investiture du républicain en janvier a apporté le coup de grâce à la relation.
Maria Avgitidis, fondatrice du site de match making Agape Match, confirme que la politique fait désormais partie du jeu. “J’avais l’habitude de dire: ne laissez pas l’idéologie barrer la route à l’amour, (mais) quand quelqu’un rencontre quelqu’un d’autre, il veut connaitre ses valeurs et son style de vie“, dit-elle dans le New York Post. 
En février, le site de dating OK Cupid a inclus des questions liées à Donald Trump dans son questionnaire de compatibilité. Il a trouvé que 72% des personnes estimaient que sortir avec un supporter du républicain était une raison suffisante pour tout arrêter. Les employés du gouvernement Trump s’en sont aperçus à leurs dépends à Washington DC. En juin, le site d’information politique Politico consacrait un long article à leurs difficultés à trouver l’âme soeur dans une ville où ils sont honnis. Une d’elle raconte avoir été traitée de “raciste” et de “bigot” (en lettres capitales, s’il vous plaît) dans un message.
Leur réponse à ces déconvenues amoureuses est finalement tristement humaine. Ces jeunes trumpistes ont fini par sortir entre eux et à s’enfermer un peu plus dans leur bulle. Et ils ne sont pas les seuls à avoir la même idée. Ce n’est pas un hasard si les sites et apps de dating politique, comme Trump Singles à droite ou Bernie Singles à gauche, se sont multipliés ou ont gagné en popularité depuis un an.
Je trouve dommage qu’on choisisse de ne voir que des gens qui pensent comme nous. C’est tellement facile de faire ça aujourd’hui, lance autour d’un verre une Française de New York qui pratique les apps de dating. Elle précise qu’elle n’a jamais eu affaire à un supporter de Donald Trump sur Tinder ou Happn. “Si cela se présentait un jour, je lui donnerais sa chance. J’écouterais ses raisons si on en vient à parler de ça. On est Français. On aime débattre!“.
Ouais, après, s’il a des posters de Trump dans sa chambre ou qu’il se trimballe avec sa casquette rouge, ça ne marcherait pas pour moi…, glisse sa voisine, Française aussi. On ne peut pas rester sans rien dire face à un président comme lui. Ce n’est pas un républicain traditionnel. En tant que Française immigrée, c’est quasiment un acte de résistance de refuser de sortir avec des gens qui le soutiennent. C’est triste d’en arriver là, mais c’est comme ça“.
L’hebdo alternatif Isthmus ne dirait pas le contraire. À un lecteur de gauche, surnommé “The Resistance”, qui se sentait mal d’avoir couché avec une électrice de Donald Trump, ce journal du Wisconsin a répondu sans détour: “Vous devriez avoir honte de vous. Vous décriez le “programme destructeur” de Trump et vous l’appelez une “menace à notre démocratie”. Mais, malgré ces sentiments forts, vous n’avez pas eu le courage de faire connaitre votre point de vue face à une femme séduisante qui dit le contraire“.
Qu’on se rassure, il y a encore des couples qui ne partagent pas les mêmes opinions politiques et qui s’aiment (oui, oui, c’est possible). Le New York Times leur a donné la parole en février . Un d’eux a même dit que Trump avait été une chance pour leur mariage. Lui était supporter de Ronald Reagan, elle démocrate. “Pour la première fois, nous étions d’accord. Nous étions tous les deux affligés que quelqu’un de si incompétent puisse être élu“.

À Washington, la French-American Business Week fait son retour

Sortez les cartes de visite. Chaque année depuis 2016, la French-American Business Week de la chambre de commerce franco-américaine de Washington DC rassemble des acteurs politiques et économiques français et américains pour deux jours d’échanges. La troisième édition aura lieu les mercredi 17 et jeudi 18 octobre à la Maison française de l’Ambassade de France. Les inscriptions sont ouvertes.

L’événement comporte trois volets: un salon où des entreprises de secteurs divers viennent présenter leur produit ou service, des séances de networking ainsi qu’une série de conférences. Quatre thèmes seront couverts pendant les deux jours de discussions: “le futur des transports”, “le futur de l’aérospatiale et de la défense”, “le futur du commerce” et le bilan du “France is back” d’Emmanuel Macron.
L’événement sera clôturé par une réception à la résidence privée de l’Ambassadeur de France le jeudi 18 octobre en présence d’acteurs du monde politique et économique. Les billets sont à réserver séparément ici.
 

"Mata Hari, agent H21" projeté au Spy Museum de Washington

La célèbre espionne Mata Hari vous donne rendez-vous au Spy Museum. (Re)découvrez Jeanne Moreau et Jean-Louis Trintignant dans cette folle histoire d’amour et d’espionnage “Mata Hari, Agent H21” de Jean-Louis Richard, le jeudi 23 août à 6:30pm.
En 1914, Mata Hari, danseuse, devient espionne au service de l’Allemagne. La jeune femme est invitée à user de ses charmes pour dérober de précieux documents à François Lassalle. Elle s’éprend de l’officier et une romance commence entre les deux personnages.
Co-sponsorisé par l’Alliance Française de Washington, le film est diffusé en français, sous-titré anglais. Comptez 10$ la séance avec du pop-corn et des sodas. Tickets ici. 

"Napoleon" de Stanley Kubrick adapté pour la première fois sur scène à New York

Pour la première fois, “Napoleon” de Stanley Kubrick sera adapté sur scène à New York le 20 et le 23 août à 8pm à la Fondation Angel Orensanz dans le Lower East Side. Le chanteur d’opéra et acteur français David Serero jouera le rôle de Napoléon. Cet artiste touche-à-tout a joué dans des séries, des opéras et des pièces de théâtre comme “Cyrano de Bergerac”, “Don Giovanni”, “Othello”.
En 1969, le célèbre réalisateur Stanley Kubrick travaille sur une biographie de Napoléon que devait produire la Metro-Goldwyn-Mayer. Le film ne sortira jamais. Le cinéaste avait rassemblé des informations pendant plusieurs années. Ce qu’il en reste ? Un gros livre rassemblant les archives de ce projet appelé « Le Plus Grand Film Jamais Fait ». Steven Spielberg travaille sur une mini-série pour HBO sur ce film qui n’a jamais été.

Donald Trump assistera aux commémorations du 11-Novembre en France

A défaut de pouvoir organiser son propre défilé, Donald Trump assistera aux commémorations du 11-Novembre en France.
Le président américain participera au grand défilé prévu sur la base aérienne d’Andrews dans le Maryland avant de se rendre à Paris pour célébrer le centième anniversaire de la fin de la Guerre de 14-18. Emmanuel Macron a invité 80 chefs d’Etat à participer à cet événement.
Le président américain avait l’intention d’organiser à Washington une grande parade militaire inspirée de celle du 14-Juillet sur les Champs-Elysées, à laquelle le locataire de la Maison-Blanche a assisté en 2017. Il avait demandé au Pentagone de se pencher sur le projet avec l’ambition de “faire mieux” que la parade française.
Mais sa réalisation est vite apparue compromise. Initialement prévue le samedi 10 novembre, le défilé a été repoussé en raison de son coût, chiffré à plus de 90 millions de dollars. Donald Trump ne cache pas sa colère contre les autorités de la capitale américaine : « Les politiciens locaux qui dirigent (mal) Washington savent reconnaître une aubaine quand ils la voient. Quand on leur a demandé de nous donner un prix pour le grand défilé militaire, ils voulaient une somme si ridiculement élevée que je l’ai annulé », a-t-il annoncé sur twitter.


 

12 choses que vous rapporterez de France cet été

Le temps de refaire vos valises pour les Etats-Unis est venu. Heureusement, pendant vos vacances en France, vous avez eu le temps de refaire vos stocks de produits bien de chez nous dont vous ne pouvez pas vous passer ici. A-t-on vu juste ?

Du shampoing bio

Un adoucissant pour la lessive

Du saucisson sec


Du bon vin

Du pâté et encore du pâté

Des sacs entiers de Doliprane 

Du sirop Teisseire 

Des fromages

De la levure en sachet 

Levure Alsa

Le Canard Enchaîné

De la Purée Mousline 

De la moutarde Amora (la vraie moutarde)

Pourquoi les bars et restaurants sont-ils si bruyants à New York ?

Vous connaissez la situation: vous donnez rendez-vous à un.e ami.e dans un bar ou restaurant et là, patatras, il y a tellement de bruit qu’il est impossible d’avoir une discussion sans s’égosiller. Pourquoi le volume est-il aussi élevé ? Ce n’est pas qu’une question de voix…
On en revient à l’éternel problème de New York: il y a trop de monde dans cette ville. Même si le nombre de bars et restaurants y est élevé (près de 45.000 en 2016 selon la National Restaurant Association), ils sont souvent bondés. « Les New-Yorkais n’aiment pas particulièrement cuisiner et, souvent, ils ne disposent pas du matériel adéquat chez eux», observe Paul Freedman, historien à Yale et auteur de Ten restaurants that changed America. Les appartements new-yorkais sont, en outre, souvent petits. Il est difficile de recevoir voire même de cuisiner.
Le design en priorité
Pour ne rien arranger, à New York, on fait monter les décibels avec des matériaux qui renvoient les bruits plutôt que de les atténuer. « La plupart des restaurants à New York ont été pensés pour proposer un cadre agréable à l’œil », poursuit Paul Freedman. La majorité des établissements ne dispose donc pas des revêtements nécessaires pour diminuer l’impact des sons.
Un argument appuyé par George Forgeois, propriétaire de plusieurs restaurants à New York (Jules Bistro, le Singe Vert, Bar Tabac): « les propriétaires de restaurants n’investissent pas dans l’isolement sonore car les baux sont courts. Certaines salles de restaurants et bistrots sont équipées de nombreux miroirs. Cela n’atténue pas les sons, au contraire! Ça part donc dans tous les sens. Le carrelage, placé au mur ou sol, n’aide pas non plus.»
Loin d’être anodin, le bruit dans les établissements serait devenu une technique commerciale. À partir des années 80, « beaucoup de restaurants faisaient tourner des playlists», explique George Forgeois. Le volume incitait les clients à dîner en vitesse, ce qui permettait d’accélérer la rotation de la clientèle.
On s’est également aperçu que lorsque le niveau sonore d’un restaurant atteignait un certain seuil, les clients consommaient plus de boissons. « Quand c’est plein, les gens parlent plus fort que la musique. On monte le son, les gens parlent encore plus fort et commandent des boissons, et tout le monde est content », explique George Forgeois.
Enfin, « les restaurants ont aussi moins la cote chez les jeunes s’ils ne sont pas bruyants», précise Paul Freedman. L’historien ajoute que les clients qui se plaignent de nuisances sonores “sont en général les personnes âgées”. Ou les Français.

5 bars-restaurants à découvrir à Jersey City

Face à la flambée des prix new-yorkais, vous êtes nombreux à traverser l’Hudson River pour vous installer à Jersey City. Pas très “sexy” sur le papier, la ville a pourtant beaucoup d’atouts à faire valoir. Voici 5 bars-restaurants à découvrir en urgence.
Surf City Bar

Crédit photo: Facebook Surf City Bar

Un bar de plage au milieu des bateaux avec vue sur les tours de Manhattan. Qui pourrait résister face à un tel décor de carte postale? Ouvert de mai à septembre au bord de l’Hudson Point Marina de Jersey City, Surf City Bar dispose de deux grands espaces intérieurs et extérieurs. On y vient à la sortie du bureau déguster de bons “frozen cocktails” les pieds dans le sable, avant de se réchauffer au coin du feu autour de quelques fruits de mer. Un lieu épatant. Surf City Bar, 1 Marin Blvd, Jersey City, (201) 516-9000. 
Hudson Hall
Crédit photo: Facebook Hudson Hall

Le bâtiment de ce biergarten -un immense hangar haut sous-plafond aux poutres en bois et aux murs en brique- vaut à lui seul le détour. Il abritait autrefois une usine électrique. Le menu d’inspiration allemande est également très réussi avec des plats préparés et fumés sur place comme le sandwich au pastrami (16$) ou au poulet (14$). Choix d’une cinquantaine de bières à partir de 7$. Happy hour du lundi au vendredi de 4 à 7pm avec bières à 5$ et plat de frites, chicken wings, pretzel ou pastrami sliders à 6$. Hudson Hall, 364 Marin Blvd, Jersey City, (201) 659-6565.
Madame Claude Bis
Crédit photo: Facebook Madame Claude Bis

Perdu dans une rue calme du Historic Downton, ce restaurant français en sous-sol à des allures de speakeasy. Il propose une carte de classiques français bien exécutés (confit de canard, gratin dauphinois, assiette de pâté) dans un décor moderne-industriel très “Bushwick” avec ses briques aux murs et ses tuyaux apparents. Le patron des lieux Mattias Gustafsson est aussi le leader d’un groupe de jazz manouche qui se produit tous les mardi et jeudi dans le restaurant. Menu prix-fixe du mardi au jeudi de 5 à 7pm avec trois plats pour 25$. Madame Claude Bis, 390 4th St, Jersey City, (201) 876-8800.
La Taqueria Downtown
Crédit photo: Yelp

Un petit restaurant mexicain tout en couleurs et chaleureux, avec un patio très agréable à l’arrière ouvert aux beaux jours. Goûtez leur délicieux guacamole fait maison (7,5$), les tacos au porc et au poisson (3,75$ pièce) et les tamales au poulet (4$), tous les quatre à tomber par terre. Le tout est servi “à la bonne franquette”, dans des paniers en plastique comme dans les taqueria traditionnelles. Taqueria Downtown, 236 Grove St, Jersey City, (201) 333-3220.
Lackawanna Coffee
Crédit photo: purecoffeeblog.com

Un petit coffee shop calme décoré dans des tons clairs -mur de briques blanc, béton brut au sol, avec un adorable patio arboré à l’arrière. Idéal pour venir défier ses amis au ping-pong autour d’une pâtisserie et d’un café bio. Lackawanna Coffee, 295 Grove St, Jersey City.

10 films français à voir ou à revoir sur Netflix US cet été

A French Morning, on vous dit où sortir le soir, mais aussi que faire chez soi. Pour passer votre soirée devant un film français sur Netflix, c’est facile. Voici notre sélection.
1/ “Wedding Unplanned” (“Jour J”) 
Réalisée par Reem Kherici, avec elle-même, Julia Piaton et Nicolas Duvauchelle.
Mathias et Alexia sont en couple depuis quelques années. Lors d’une soirée arrosée, Mathias dérape et trompe Alexia avec Juliette, une “wedding planner”. Lorsque Alexia découvre la carte de visite de Juliette dans une des poches de Mathias, elle comprend très vite qu’il veut l’épouser. Folle de joie, elle dit oui et Mathias se retrouve entre sa maîtresse et sa femme, contraint d’organiser un mariage imprévu.


2/ “La Dream Team”
Réalisé par Thomas Sorriaux avec Medi Sadoun et Gérard Depardieu.
Maxime Belloc est un grand joueur de football. La jambe brisée, son agent le contraint de se mettre au vert le temps de sa convalescence. Direction chez son père à qui il n’a pas parlé depuis 15 ans. Là-bas, Maxime va redécouvrir le sens de la famille.


3/ “I am not an easy man” (“Je ne suis pas un homme facile”)
Réalisé par Eléonore Pourriat avec Vincent Elbaz et Marie-Sophie Ferdane
Damien, célibataire dragueur et mâcho, se réveille dans un monde dirigé par la gente féminine. Il tombe amoureux d’Alexandra, une femme puissante avec laquelle il entame un bras de fer pour lui plaire. Pour cela, il tente de comprendre les codes inversés de ce nouveau monde.


4/ “Le fabuleux destin d’Amélie Poulain”
Réalisé par Jean-Pierre Jeunet avec Audrey Tautou et Mathieu Kassovitz.
Un bon classique. Amélie Poulain est serveuse dans un bar et s’amuse à observer les gens qui l’entourent. Elle décide de faire le bien autour de soi. Incognito, elle invente des stratagèmes pour intervenir dans la vie des ces gens. Sur son chemin, elle fait beaucoup de rencontres.


5/ “We are Family” (“C’est quoi cette famille ?”)
Réalisé par Gabriel Julien Laferrière avec Julie Gayet et Julie Depardieu.
Bastien, 13 ans, est au coeur d’une famille recomposée. Fatigué des aller-retours et de cet emploi du temps familial complexe, ils décident, avec ses 6 demi frères et soeurs, d’inverser les règles. Les enfants squattent un grand appartement et ce sont aux parents de se déplacer.


6/ “In the Shadow of Iris” (“Iris”)
Réalisé par Jalil Lespert avec Charlotte Le Bon et Romain Duris.
Iris, la femme d’un riche banquier, disparait à Paris. Max, un mécanicien endetté, pourrait se retrouver mêlé à cette disparition. Mais les enquêteurs sont loin d’imaginer ce qu’il s’est vraiment passé.


7/ “L’ascension”
Réalisé par Ludovic Bernard avec Ahmed Sylla et Alice Belaïdi.
Pour prouver son amour à Nadia, Samy lui dit : “Pour toi je pourrais gravir l’Everest”. Il aurait mieux fait de se taire car Nadia attend la preuve. Par amour, il quitte sa cité HLM, direction le Toit du Monde. A la clé, un message d’espoir : tout est possible. Ce film est tiré de l’histoire réelle de Nadir Dendoune.


8/ “Slack Bay” (“Ma Loute”)
Réalisé par Bruno Dumont avec Juliette Binoche et Fabrice Luchini.
En 1910, dans la baie de Slack dans le nord de la France, de mystérieuses disparitions inquiètent la région. Les inspecteurs Machin et Malfoy mènent l’enquête et se retrouvent au milieu d’une étrange histoire d’amour entre Ma Loute, fils aîné d’une famille de pêcheurs et Billie, issue d’une riche famille bourgeoise.


9/ “Headwinds” (“Des vents contraires”)
Réalisé par Jalil Lespert avec Benoit Magimel et Audrey Tautou.
La femme de Paul disparait subitement. Après des années de recherches infructueuses, il part s’installer à Saint-Malo où il tente de continuer à vivre sa vie, sans savoir ce qu’est devenu sa femme.


10/ “The boss’s daughter” (“La fille du patron”)
Réalisé par Olivier Loustau avec lui-même et Christa Theret.
Vital travaille comme chef d’atelier dans une usine textile. Alix, 25 ans, la fille du patron, le prend en cobaye, anonymement, pour une étude ergonomique dans l’entreprise de son père. Elle tombe rapidement sous le charme de Vital, qui s’ouvre à elle et se met à rêver d’une autre vie.

"L'effet aquatique", une comédie éclaboussante à Austin

Comment déclarer sa flamme en se jetant à l’eau, voilà une métaphore singulière que  la réalisatrice franco-islandaise Solveig Anspach, disparue en 2015, est parvenue à illustrer avec brio.
«L’effet aquatique», qui sera projeté le dimanche 19 août dans le cadre du ciné-club de l’Alliance française d’Austin à l’AFS, est le dernier film d’une trilogie entamée en 2006 avec «Back Soon», suivi de «Queen of Montreuil» quelques années plus tard.
Récompensé par le César du meilleur scénario original en 2016 au Festival de Cannes, ce film posthume met en scène Samir (Samir Guesmi), un grutier qui s’éprend d’Agathe, (Florence Loiret-Caille), une maître-nageuse. Pour se rapprocher de l’élue de son coeur, Samir décide de prendre des leçons de natation alors qu’il sait parfaitement nager. Agathe, qui déteste les menteurs, découvre rapidement le subterfuge. S’en suit une comédie romantique pleine de rebondissements qui reflète parfaitement l’humour et l’effronterie qui faisaient la réputation de Solveig Anspach.

Nos meilleurs bars à jus à San Francisco

Été comme hiver, les jus de fruits sont nos meilleurs alliés. Plus rafraîchissants et “healthy” qu’une bonne vieille tasse de café, ces breuvages fruités nous régalent et nous apportent une bonne dose d’énergie tout au long de la journée. Si, comme nous, vous en raffolez, voici les adresses où vous devez impérativement vous arrêter.
BeBeBar

@Bebebar / Instagram

Au beau milieu de Castro District, BeBeBar se met à l’heure brésilienne. Colorée, fruitée… L’enseigne joue à fond la carte du “Rio style” en proposant des boissons dignes du sud. Pour préparer leurs jus, les propriétaires prônent l’organic et le 100% vegan. Petit “plus”: pour calmer une petite faim, vous trouverez également des snacks branchés locaux (empanadas, açai bowl…) 3809 18th Street, San Francisco 
Joe & the Juice 
@Joe&TheJuice / Instagram

C’est le nouvel envahisseur de la Bay Area… Tout autour de San Francisco, la franchise danoise a ouvert de nouvelles adresses, dont trois à Palo Alto. Au menu, on retrouve des jus frais et des produits surprenants préparés devant vos yeux (le fameux “made-to-order”). Malgré des prix relativement élevés, Joe & the Juice mérite tout de même qu’on s’y arrête, surtout pour son Hell of a nerve ! 301 Howard Street, San Francisco 
Judahlicious 
@Judahlicious / Facebook

C’est certainement le bar à jus le plus atypique de San Francisco. Situé entre Ocean Beach et le Golden Gate Park, Judahlicious surfe sur la tendance du cliché californien en terme de décoration. Pour ce qui est de la carte, on peut également difficilement nier cette touche très ensoleillée et nature. Au menu, on vous propose des fruits frais et de saison ainsi que des plats 100% vegan.  3906 Judah Street, San Francisco 
Bowl’d Acai 
@BowldAcai / Facebook

Soyons honnêtes, on ne peut faire plus original que le concept de Bowl’d Acai. Cinq jours par semaine, l’équipe se répartit en quatre trucks et sillonne les rues de San Francisco pour ravitailler ses troupes en snacks healthy et boissons fraîches. Du lundi au vendredi, différents points de rendez-vous sont mis à votre disposition de 8:15am à 3pm : 14 Mint Plaza, Soma Streat Food, 350 2nd Street et Spark Social. 
Nourish Cafe SF
@NourishCafeSF / Facebook

Plus traditionnel que les spots précédents, Nourish Cafe est le rendez-vous des amoureux de la nature. Avec une carte 100% vegan, l’enseigne se positionne en faveur de la qualité et de l’environnement. Outre des plats raffinés et des desserts copieux, Nourish Cafe propose également des jus et smoothies dont sa clientèle raffole. 189 6th Avenue, San Francisco