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Miami Web Fest, la web-series fait son festival à Miami

Plus branché que le festival de Cannes, ne ratez pas le Miami Web Fest du 29 septembre au 2 octobre. L’occasion pendant quatre jours de découvrir les séries web les plus réputées à travers le monde.
La “web-series” a évolué ces dernières années et elle est aujourd’hui un nouveau support pour de nombreux auteurs débutants ou professionnels. Au cours du Miami Web Fest, le public pourra voir des productions en avant-première avant leur transition vers de grandes chaînes ou sur des plateformes comme Netflix.
Après les projections en salle obscure, des soirées déjantées sont organisées dans le cadre du festival avec les stars des films diffusés dans la journée.
Les “web-series” sélectionnées concourent dans différentes catégories : de la comédie à la science-fiction en passant par les sketches. Des prix seront également consacrés aux réalisateurs, scénaristes et pour les effets spéciaux.

Autarcie(….), la tribu chorégraphiée d'Anne Nguyen à LA

Enfermées sur un plateau, quatre danseuses s’affrontent avec, comme arme, leur style de danse (breakdance, le b-boying et le popping). C’est le concept de la sixième création d’Anne Nguyen, “Autarcie (….)”, présentée le jeudi 6 octobre au Theatre Raymond Kabbaz.
Imaginé comme un jeu de stratégie, “Autarcie (….)” donne libre cours aux aspirations guerrières des quatre danseuses, qui forment une tribu. Sur un rythme effréné de percussions organiques, elles font face à des enjeux de pouvoir, se livrent à des rituels frénétiques et à des jeux de stratégie. 
Comme à son habitude, Anne Nguyen encourage la digression au cours de cette quête de territoire, d’alliances et de hiérarchie. Lauréate du prix nouveau talent chorégraphie SACD 2013, Anne Nguyen est danseuse, chorégraphe et breakeuse. Elle a monté en 2005 sa propre compagnie, par Terre, et inventé le looping pop, un nouveau style chorégraphique qui mélange la danse de couple et une danse mécanique appelée « popping ». 
Soutenue par la fondation FLAX, cette performance est produite en parallèle de la création de la compagnie Lux Aeterna Dance Company, “Punctum Saliens” , dont un extrait sera présenté en introduction.
Une masterclass, menée par la chorégraphe Anne Nguyen, sera proposée gratuitement le jeudi 6 octobre à 9h30 (inscription à [email protected]).

Clément Leclerc, un consul marathonien à Miami

Voilà près d’un mois qu’il a pris possession de ses nouveaux quartiers sur Brickell Avenue. Clément Leclerc, diplomate de 40 ans, a remplacé Philippe Létrilliart à la tête du consulat de France à Miami.
Réunions de travail, rencontres avec les élus ou encore échanges avec la communauté française, la rentrée de Clément Leclerc s’est effectuée sur les chapeaux de roues. Malgré un agenda plutôt chargé, et même s’il assure vouloir suivre de près tous les dossiers qui lui sont confiés, le nouveau consul s’accorde un peu de temps pour ses loisirs. « Avec un mode de vie citadin, et plus de 70 heures de travail hebdomadaire, le sport le plus facile à pratiquer est la course à pied, indique-t-il, je me suis donc inscrit au prochain marathon de Miami ».
Le diplomate n’en est pas à son coup d’essai puisqu’il a déjà parcouru deux fois celui de New York. « C’est un sport individuel, mais l’effort est avant tout collectif, je me sens porté par un groupe, ce qui est très motivant, dit-il en clin d’œil à sa carrière dans la diplomatie. Je souhaite surtout participer à quelque chose d’un peu hors norme, tout en étant aux côtés d’autres personnes qui avancent également dans le même sensc’est un beau challenge à relever ».
Expérimenté dans la diplomatie
Titulaire d’une maîtrise en droit international, diplômé de Sciences Po Paris et de l’ENA, Clément Leclerc a débuté sa carrière en tant que conseiller des Affaires Étrangères au Quai d’Orsay en 2003. Trois ans plus tard, il a traversé l’Atlantique pour occuper le poste de Premier secrétaire à la représentation permanente de la France auprès des Nations Unies à New York, jusqu’en 2009. Il a ensuite rejoint l’Elysée pour devenir conseiller de Nicolas Sarkozy à la cellule diplomatique jusqu’en 2012. « Le fil conducteur de ces trois périodes a été mon implication dans les dossiers liés à l’Afrique sub-saharienne et notamment au maintien de la paix et à la résolution de crises dans plusieurs pays de ce continent », explique-t-il.
Après avoir passé plus de neuf ans à s’occuper de questions franco-africaines, Clément Leclerc s’est intéressé à l’Amérique latine en étant nommé Premier conseiller de l’ambassade de France au Mexique en 2012. Un changement de carrière opéré dans une période où la relation bilatérale entre la France et le Mexique s’est fortement accélérée. « Mon action diplomatique est en partie consacrée à promouvoir l’image de mon pays à l’étranger, ce qui n’est pas forcément mesurable, indique Clément Leclerc, mais quand une centaine d’accords sont signés entre deux pays, cela montre que notre action est concrète. C’est encourageant et pour les équipes c’est une grande fierté ».
Son parcours dans la diplomatie française lui a permis de découvrir de nombreux pays et de côtoyer des cultures différentes. Après avoir parcouru l’Indonésie, le Mexique ou même la Bolivie, Clément Leclerc a ainsi posé ses valises aux États-Unis, un pays dans lequel il avait à coeur de revenir après avoir vécu pendant trois ans à New York.
« C’est un pays passionnant et cette nouvelle mission à Miami me permet de continuer à me familiariser avec l’Amérique latine depuis un endroit qui est l’un de ses carrefours, c’est impressionnant de voir le nombre d’entreprises orientées vers l’Amérique latine qui ont leurs centres de décision régionaux basés ici en Floride ».

Delair-Tech, les drones industriels "made in Toulouse" arrivent aux US

Quand Delair-Tech a décidé de s’installer aux Etats-Unis, le choix de Los Angeles s’est imposé. “C’est une place forte de l’aéronautique et de l’aérospatial avec Caltech et SpaceX. La Silicon Beach se développe. Sans compter la météo idyllique” , assure Benjamin Benharrosh, l’un des quatre co-fondateurs de la start-up toulousaine spécialisée dans les drones professionnels. “Pour nous, c’est la période de l’adolescence, un passage obligatoire avec plus d’inertie et de balistique” , résume-t-il.
Cette installation, qui s’est concrétisée début juillet dans le quartier de Downtown, a été possible grâce à une levée de fonds de 13 millions de dollars, réalisée auprès d’investisseurs français et d’un Singapourien. “ C’est l’une des plus importantes en Europe pour ce secteur” . Disposant d’un siège à Toulouse et d’un bureau en Australie, Delair-Tech s’est lancée aux Etats-Unis dès l’ouverture de la réglementation américaine sur la circulation des drones, le 29 août. “Ils étaient plus frileux concernant la propriété privée. De plus, l’espace aérien est plus encombré qu’en Europe. Mais pourquoi ne pas remplacer les hélicoptères qui font de l’observation par des drones ?” suggère-t-il. 
Des idées, ils n’en manquent pas. Et il fallait en avoir pour lancer cette start-up en 2001. Les trois anciens élèves de Polytechnique et un ami ont quitté leur travail suite à une idée un peu folle. “Un de mes associés travaillait dans le secteur pétrolier en Afrique et en Amérique du Sud, et il y avait tous les jours des fuites d’hydrocarbure. Ils se disait qu’un petit avion pourrait les répertorier.” L’idée de développer des drones industriels était née – “même si on n’a jamais détecté ces fuites” , ironise Benjamin Benharrosh.
Une expertise qui a fait ses preuves
De quatre, ils sont passés à 75 employés, et bientôt 100. Destiné aux professionnels, leur produit s’est imposé par son endurance (vol entre 2 et 3 heures pour parcourir entre 100 et 150 km). “Nos drones professionnels inspectent les lignes électriques, voies ferrées ou champs agricoles.” Pour cela, ils s’appuient sur un réseau de pilotes formés à Toulouse. “Ils génèrent de l’image analysés ensuite par des algorithmes automatiques et détectent les anomalies.” Après avoir sondé et analysé le sol, les experts de Delair-Tech livrent leurs conseils. “Grâce aux photos multi-spectrales de champs agricoles, nous pouvons donner des conseils en matière de fertilisants, prévoir les rendements, détecter les maladies. Cela permet de faire de l’agriculture de précision.”
“Made in Toulouse”, les 150 drones sont en service dans une trentaine de pays. “On va en produire 500 cette année, s’enthousiasme Benjamin Benharrosh. Les Etats-Unis sont un gros marché minier, agricole, électrique et pétrolier avec Bakersfield. Nous visons également le marché sud-américain.” Même s’il y a de la concurrence, Delair-Tech sait qu’il a pris une longueur d’avance : “nous avons éprouvé notre expérience de la technologie, alors que les Américains démarrent à peine” .

/ Photo Romain Laporte
Deux types de drones sont commercialisés. / Photo Romain Laporte

Ils continuent leur développement en misant sur la technologie de la caméra embarquée et l’autonomisation du drone. “Bientôt, ils pourront modifier leur itinéraire, en fonction de ce qu’ils voient, se réjouit Benjamin Benharrosh. Il y a des innovations en permanence.”
La prochaine étape sera la Chine, qui est déjà leur meilleur client. La start-up toulousaine mise sur l’essor de la construction. “Nos drones scanneront la terre. Ils remplaceront le géomètre en offrant une topographie en 3D.” Et le fondateur n’est pas contre voir plus haut. “Pour nous, les drones sont avant tout des petits satellites qui volent.”

Gagnez des places pour les Vieilles Charrues à Central Park

Plus que quelques jours avant la première édition des Vieilles Charrues New York. Alors que les préparatifs vont bon train, French Morning vous propose de gagner cinq paires de tickets pour le festival, qui aura lieu le samedi 1er octobre dès 4pm sur la scène de SummerStage à Central Park.
On le rappelle: les têtes d’affiche du rendez-vous seront The Avener et “M” . Pour participer au tirage au sort, il suffit de remplir le formulaire ci-dessous. Et croiser les doigts!
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Les multiples visages de Jacques Harbelot à New York

Chez Jacques Harbelot, le visage est une obsession. Il en a fait une série d’oeuvres, “Palimpsestes”, visible à la galerie S.Artspace jusqu’au dimanche 2 octobre.
Originaire de Troyes, cet artiste n’a jamais montré son travail à New York. Pour cette série, il a travaillé le fond de l’image avant d’y peindre des formes noires aux allures de crâne ou de visage. L’exposition avait déjà été présentée en avril à la galerie le Clos des Cimaises (St Georges du Bois). Le Français, ancien dirigeant d’une société de communication arrivé à la peinture à 40 ans se spécialise dans des oeuvres grand format. Ses “personnages” fantomatiques, censés évoquer notre mortalité et la mémoire, lui ont valu d’être invité au sein du collectif d’artistes Salon de Mai et exposé au Japon.
 

Eat The River, Frédérick Gautier revisite la LA River

Elle serpente dans la ville sur 80 km, et pourtant on n’y fait plus attention. L’artiste français Frédérick Gautier s’est imprégné de la Los Angeles River, qu’il a arpentée durant deux mois. Le résultat: une exposition Eat The River, rassemblant 100 céramiques à Please Do Not Enter à Los Angeles, du mercredi 21 septembre au mardi 25 octobre.
Première résidence d’artiste organisée par le concept store, le projet expérimental de Frédérick Gautier illustre la philosophie du lieu. “Nous aimons confronter une sensibilité européenne et française en particulier à une réalité américaine” , argue Nicolas Libert, le co-fondateur.

 frederick-gautier

Passionné par la ville de Los Angeles, Frédérick Gautier aime ses frontières floues, où l’industriel côtoie la nature. Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure du Paysage à Versailles, cet artiste parisien a commencé à travailler sur ce site historique et emblématique le 20 juillet. Il a été frappé par l’intervention industrielle sur la rivière, cimentée en 1920.
Les fissures, empreintes ou trous dans le lit de béton, autant de traces du temps qui passe, lui ont inspiré les objets en céramique. Plats, containers, cafetières, vases: elles traduisent une lecture fantasmée de ces paysages. Allant de 500 à 4.500 dollars, chaque oeuvre représente un objet du quotidien, simple et utilitaire. Une photo précisera l’endroit exact qui a inspiré sa création. Cette archéologie contemporaine jette un nouveau regard sur ce site qui a longtemps servi de décor de cinéma.

Invitation VIP pour une vente privée The Kooples à Los Angeles

Découvrez une nouvelle start-up française et refaites votre garde-robe en même temps! French Morning vous invite à une vente privée VIP exclusive The Kooples.

La start-up, c’est Eclipse, créée par deux jeunes Français de Los Angeles, Raphael Vidal et Elsa Assouline. Objectif: créer des ventes privées, ou “sample sale”, exclusives.

Pour cette première, la marque française The Kooples est à l’affiche. L’occasion de vous rhabiller en chic européen à prix cassés.

Les 25 premiers inscrits ci-dessous pourront accéder à la soirée VIP -et fouiller les porte-manteaux avant tout le monde, mercredi 5 octobre de 5 pm à 10 pm. Pour les autres, une inscription sur cette liste permettra d’accéder du jeudi 6 au lundi 10 octobre.

Adresse: 8483 Melrose Avenue, Los Angeles, CA 90069 


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Gagner la loterie de la carte verte: "Une grosse excitation, mais…"

On a gagné dès la première fois” . Si vous jouez à la loterie de la carte verte tous les ans depuis vingt ans, vous ne voudrez peut-être pas rencontrer Géraldine Boisnard.
En 2013, cette Française de Fort Myers (Floride) s’est inscrite avec son mari Stéphane à la DV-Lottery pour apprendre en mai 2014 qu’ils avaient été sélectionnés. Le début d’une nouvelle aventure américaine que la Mentonnaise relate dans un livre, Mon rêve américainqui sort juste avant l’ouverture de la loterie 2018, le 4 octobre (fermeture des inscriptions: le 7 novembre). “Je donne un maximum d’informations sur le processus, je partage notre ressenti et tout ce que nous avons fait” , explique l’expatriée, aussi auteure du blog Notre rêve américain.
Le couple avait joué sur un coup de tête. Propriétaire de sites spécialisés dans les deux roues et de sociétés de création de site Internet, ils avaient passé plusieurs séjours aux Etats-Unis, dont leur voyage de noces. Lors de recherches sur l’immigration, Géraldine Boisnard découvre la DV-Lottery et décide de s’inscrire. “Comme ça” , sans rien en attendre. “Je suis tombée enceinte de ma fille et j’ai oublié qu’on avait joué. Un soir, j’ai vérifié et vu que mon mari avait été sélectionné” .
Une sélection à la loterie n’est pas synonyme de carte verte, comme le couple s’en est rendu compte. “Le soir même, nous avons ressenti une grosse excitation, mais nous ne connaissions pas encore les tenants” . Franchir le cap de la loterie n’est que la première étape d’un processus qui a duré plus d’un an pour les Boisnard. Une fois sélectionnés, les “gagnants” doivent remplir un premier dossier et se voient accorder un “case number” . Plus celui-ci est élevé, plus le risque que le dossier ne soit pas examiné augmente. En effet, pour que votre green card soit validée, celle-ci doit être approuvée avant le 30 septembre (fin de l’année fiscale aux Etats-Unis) de la même année. “Il y a 100.000 personnes sélectionnées chaque année. Parmi elles, il y a celles qui ne vont pas rentrer dans les critères, celles qui vont se désister. Et celles qui auront un numéro de dossier trop élevé pour rentrer dans le quota des 50.000 personnes retenues dans le monde entier”, raconte-t-elle.
Lire notre Dossier carte verte
Géraldine Boisnard et son mari passent leur entretien à l’ambassade en avril 2015, soit presque un an après avoir appris la nouvelle de leur sélection. Patience et motivation sont essentielles pour faire face à toutes les démarches, selon la Française. “Il y a des frais, une visite médicale, des dossiers à remplir . Il faut aller une fois aux Etats-Unis pour valider la carte… Il faut apprendre à être patient et à fournir les pièces demandées au fur-et-à-mesure, poursuit-elle. D’un certain côté, j’avais peur de quitter le quotidien, le confort, nos amis. Mais de l’autre, on se disait qu’on ne pouvait pas passer à côté de ça. Les Etats-Unis nous ont toujours fait rêver” .
Installé en Floride depuis six mois, le couple prend ses marques avec ses deux enfants de 5 et 2 ans. Côté professionnel, l’obtention de la “green card” a nécessité une “mise en place“. “On a réussi à trouver des solutions professionnelles. Mais cela a créé des complications au niveau du décalage horaire. Mon mari doit se lever tôt pour être en contact avec la France et nous avons recruté quelqu’un en France.” Et à ceux qui s’inscriront à la loterie de cette année, elle rappelle “tout ceux qui ont gagné ont tenté leur chance” .
 

La femme-orchestre Jain va surprendre Los Angeles

Jain suit les pas de Christine and The Queens. Pour la première fois, la pétillante artiste de 24 ans donnera un concert le mardi 4 octobre au Hotel Café de Los Angeles, avant de se produire à New York les mercredi 12 et jeudi 13 octobre.
Après avoir enchaîné les festivals en France, la Toulousaine vient présenter son premier album “Zanaka” (qui signifie “enfance” en malgache) au public américain. Sorti en novembre 2015, cet opus va être réédité et enrichi de quelques titres, suite à son succès.
Seule sur scène, cette compositrice-interprète se transforme en femme-orchestre, tapotant sur son beatmaker, et enregistrant sa voix pour recréer un choeur. Reconnaissable à sa robe noire à col Claudine, elle interprétera ses plus grands tubes, tels que “Come” (30 millions de vues sur Youtube) et “Makeba”, écrit en hommage à la chanteuse et militante africaine Miriam Makeba.
Dans ses chansons, Jain raconte sa jeunesse, ponctuée de déménagements à Dubaï, en République démocratique du Congo et à Abu Dhabi. Son univers musical est inspiré de ses aventures, offrant des inspirations électro, d’afro-beat et de rumba. Nul doute que la chanteuse, déjà nominée aux Victoires de la musique, fera parler d’elle ici aussi.

Conférence-déjeuner avec l'ambassadeur Gérard Araud à Dallas

Les relations entre la France et les Etats-Unis seront au coeur d’un “luncheon” avec Gérard Araud le mardi 25 octobre a l’hôtel Rosewood Crescent.
L’ambassadeur de France aux Etats-Unis parlera des défis communs auxquels doivent faire face les deux pays, en particulier la lutte contre le terrorisme. Gérard Araud est ambassadeur depuis septembre 2014. Avant cela, il était le représentant permanent de la France à l’ONU.
Le rendez-vous est organisé par le World Affairs Council de Dallas-Fort Worth, en partenariat avec la chambre de commerce franco-américaine et l’université SMU.

Les secrets de l'incroyable famille Boltanski à Albertine

Dans la famille Boltanski, on connaissait Christian l’artiste et Luc le sociologue. Christophe, journaliste au Nouvel Obs, raconte à présent l’intimité de cette famille pas comme les autres dans un roman intitulé La Cache, lauréat du Prix Femina en 2015. Il viendra présenter l’ouvrage le lundi 3 octobre à la librairie Albertine, accompagné de Violaine Huisman, chargée de la programmation des rencontres littéraires au BAM.
La Cache porte sur une figure méconnue de la tribu Boltanksi, Etienne, le grand-père juif de Christophe Boltanski, qui a vécu pendant la Seconde guerre mondiale reclus dans une étroite pièce de leur appartement parisien. L’auteur plonge dans cette histoire dans l’Histoire et examine l’impact qu’elle a eu sur sa famille, au restaurant, en vacances et dans d’autres moments du quotidien.
Gratuit. Conférence en anglais.