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Fête des mères: notre sélection de cadeaux à San Francisco

Le dimanche 10 mai, nous fêterons les mamans aux Etats-Unis. En période de confinement, il sera difficile de trouver un cadeau à la dernière minute, c’est pourquoi nous vous avons préparé un guide des commerces français qui vous permettront de gâter les mamans.

Petit-déjeuner au lit avec un joli bouquet de fleurs

Le Marais bakery, une boulangerie française située dans la Marina, le Castro et le Tenderloin, a concocté un menu spécial Fête des mères pour gâter les mamans dès le saut du lit: yaourts, granola, fruits, oeufs brouillés, avocat, saumon fumé, deux croissants nature et deux pâtisseries, le tout pour deux personnes, et accompagné d’un bouquet de saison du fleuriste Marigold, situé dans le quartier de Mission. On peut se faire livrer ou aller chercher son panier gourmand au Marais dans la Marina, 2066 Chesnut street.

Produits de beauté, bijoux et vêtements Made in France

Charlotte Boëdec, créatrice de Gazette, un magasin qui propose divers marques de produits français dans Hayes Valley, a soigneusement sélectionné plusieurs cadeaux qui raviront toutes les mamans: de la marinière Saint James aux accessoires Le Lundi au Soleil ou Colonel Moutarde, ainsi que les produits de beauté C.Lavie. La boutique vend également les bijoux Madeleine B., oeuvres d’Audrey Avenel, une Française installée à San Francisco. Gazette offre une réduction de 15 dollars aux lecteurs de French Morning en utilisant le code FRENCHMORNING ou MAMAN. La livraison est gratuite à San Francisco, et on peut également chercher ses achats à la boutique.

Un moment pour elle

Et si on offrait à maman une heure rien que pour elle? Avec le confinement, la promiscuité rend cette parenthèse souvent difficile, mais pourquoi pas essayer d’en faire un moment spécial à l’occasion de la fête des mères? Outre sa sélection spéciale fête des mères, Gazette propose aussi une séance virtuelle de shopping grâce à une consultation vidéo depuis le magasin pendant laquelle sa créatrice vous montre ses produits et peut répondre à vos questions…Idéal pour choisir judicieusement comment dépenser cette carte cadeau du magasin…

Pour les mamans soucieuses de leur bien-être, la coach sportive Alexia Cornu fera un live spécial le jour de la fête des mères pour répondre à toutes les questions que les mamans se posent sur la nutrition, la reprise du sport après la grossesse, se maintenir en forme… Les détails seront postés bientôt sur le compte Instagram d’Alexia Cornu, et les questions peuvent être soit envoyées à l’avance à [email protected], ou posées live le 10 mai.

Côté beauté, l’esthéticienne Marion Pernoux, dont l’institut se situe dans SoMa, propose une séance virtuelle personnelle et gratuite d’une heure pendant laquelle elle suggère différentes techniques pour se reconnecter avec soi-même et faire ressortir sa beauté intérieure.

Pour un pique-nique de gourmets

La Fromagerie, bien connue des amateurs de fromages à San Francisco, propose un panier gourmand qui va ravir les papilles des mamans: il comprend un fromage de chèvre à la truffe, une bouteille de rosé pétillant Baron de Seillac, un paquet de gaufres au caramel, un assortiment de cinq macarons, des crackers à l’huile d’olive et un saucisson sec. Tous les produits sont fabriqués localement, et seront parfaits pour un pique-nique de la fête des mères. La Fromagerie offre la livraison, y compris le dimanche, à San Francisco, ou vous pouvez venir chercher soit dans leur enseigne du Dogpatch, ou du Financial District.

 

Nos idées de cadeaux pour la fête des mères à Miami

La fête des mères approche à grands pas. French Morning a déniché quelques idées de cadeaux disponibles à Miami, à commander directement auprès des entrepreneurs français de la région qui redoublent d’efforts en ces temps confinés.

Écharpes, leggings, coussins, lampes de table ou encore assiettes, l’artiste peintre Bénédicte Blanc-Fontenille, installée depuis une vingtaine d’années à Miami, propose une myriade de vêtements et d’accessoires inspirés de ses peintures. Multi-casquette, la Française met par ailleurs à profit ses talents de comédienne afin d’enregistrer gracieusement le poème de votre choix avant de le faire parvenir par voie électronique à votre mère. Infos ici et par email

Pour un cadeau éthique, Nicolas Rivière a récemment lancé Riposte, sa marque de tee-shirts en coton biologique. Passionné de street art, le Bordelais s’est entouré de Golden et Slomo, deux artistes emblématiques du quartier de Wynwood, afin de réaliser le design de chacune de ses créations. Infos ici

Également engagée dans une démarche écologique et responsable, Marie-Laure Desnoulez a créé, il y a tout juste un an, Bichōn, sa marque de tee-shirts et casquettes aux couleurs de Miami. La Française dessine chaque création qui arbore une broderie revisitant certains clichés de la ville : un flamand rose ou encore une inscription « Miami It » en clin d’oeil à l’équipe de basket locale. Infos ici

De la robe au tee-shirt en passant par la combinaison, vous allez pouvoir refaire la garde-robe de votre mère avec Zélivia + Co. À la tête de cette marque, la Parisienne Élise Granjot, aujourd’hui installée à Miami Beach, qui s’affaire au quotidien devant sa machine à coudre afin de confectionner ses créations à la fois élégantes et confortables. Infos ici 

À Fort Lauderdale, Nathalie Cormouls Verre a créé Blù Nomad, une marque de vêtements éthiques et responsables. Après avoir vécu plusieurs années en Inde, la Française a souhaité se lancer dans un projet équitable et solidaire. Chaque création est cousue à la main par des femmes dans un atelier à Pondichéry en Inde permettant ainsi de valoriser le travail artisanal et le savoir-faire ancestral. (786) 715-0162 – Infos ici et par email

Cartes postales, toiles ou encore reproductions numérotées, les amateurs d’art seront séduits par l’une des oeuvres de l’artiste peintre Sandra Encaoua qui offre une remise de 30% pour toute commande avec le code SPRING20. La Française a par ailleurs édité deux catalogues qui renferment l’ensemble de ses peintures à l’huile et à l’aquarelle. Infos ici

Si votre mère aime la lecture, elle sera ravie de dévorer « Sagamore: Le Dossier after Shave », le dernier ouvrage de Michel Tessier dans lequel un chaman doté de pouvoirs extraordinaires vient en aide à la police afin de résoudre l’énigme de ce roman noir. « Wagon », le troisième livre de l’auteur français, dans lequel il raconte son histoire personnelle en mêlant fiction et réalité, est également disponible en ligne en anglais et en français. Infos ici

Les fans de littérature apprécieront également « Irma et les autres » (disponible à partir du 1er mai), le second roman de l’auteure Anna Alexis Michel, établie à Miami Beach. Publié deux ans après « Le Peignoir aux alouettes », un texte entre temps adapté au théâtre et joué au Fillmore de Miami Beach, « Irma et les autres » a pour cadre la ville de Miami pendant un ouragan et traite de ce genre de phénomènes bien réels ou symboliques qui traversent nos vies. Infos ici

Une création florale pour la fête des mères est toujours un cadeau très apprécié. La fleuriste Véronique Touboul qui gère la boutique French Floral Designs propose des livraisons d’orchidées, de plantes ainsi que de bouquets de fleurs coupées joliment emballés. La Française s’engage par ailleurs à faire un don à l’Unicef ainsi qu’à Rainforest Trust Australia, une association qui participe à la reforestation de l’Australie, pour toute commande d’une création florale « H2O » ou « Heart to Heart ». (305) 893-7076 – Infos ici

Les adeptes de bijoux seront heureuses de recevoir l’un des bracelets de la marque SanaVibe. Récemment créée par deux françaises installées à Miami, l’enseigne propose une collection de bracelets confectionnés à la main avec des pierres qui apaisent et stimulent nos émotions comme l’améthyste qui augmente la confiance en soi ou encore l’oeil de tigre qui éloigne les énergies négatives. Il ne vous reste plus qu’à choisir celles que vous souhaitez offrir à votre mère. Infos ici

Pour un intérieur cosy, La Maison de Sophie, qui a récemment ouvert ses portes à Deerfield Beach, regorge d’articles de décoration fabriqués en France comme des bougies parfumées à la cire végétale ainsi que des savons à l’huile d’olive. Sophie Bouquin, la gérante de l’établissement, vend également différents meubles d’inspiration française, du linge de maison, des horloges, des statuettes ou encore de la vaisselle. Infos ici

Enfin, les amateurs de gastronomie qui souhaitent soutenir l’économie locale peuvent faire d’une pierre deux coups en faisant livrer un bon repas accompagné de quelques plaisirs sucrés au domicile de leur mère en passant commande auprès des restaurateurs, boulangers et pâtissiers français de Miami qui ont été obligés d’adapter leur offre en cette période de confinement.

Pourra-t-on rentrer en France cet été?

C’est le sujet qui agite nos apéros zoom et autres débats de groupes Facebook: pourra-t-on rentrer en France cet été. Les familles devront-elles renoncer à leur traditionnel été au pays? Entre fermetures de frontières incertaines, transport aérien en plein désarroi et entreprises incapables de donner des consignes précises, difficile de prendre une décision.

Employé dans le marketing, Charles Gérand devait rentrer en France en juillet pour une série de mariages, dont celui de sa soeur. Il n’a pas encore annulé, mais plus les jours passent, plus il se dit que c’est ce qu’il devrait faire. “Je n’ai pas vu ma famille depuis un an. On avait planifié tout un circuit de visites avant et après ce mariage. C’est une situation de m***e“, dit-il. “Nous avons effectivement des questions en ce sens”, confirme Anne-Claire Legendre, Consule générale de France à New York. “Mais pour le moment il est bien trop tôt pour y répondre, compte-tenu des incertitudes qui pèsent ici comme en France sur les modalités et les dates du déconfinement. Les recommandations sont toujours à ce stade pour les résidents d’éviter au maximum les voyages internationaux et de ne se rendre en France que pour des raisons impératives”.

En annonçant que les frontières extérieures de Schengen resteraient fermées “jusqu’à nouvel ordre”,  Emmanuel Macron a semé l’inquiétude parmi certains expatriés qui y ont vu le signe qu’ils ne pourraient pas rentrer cet été. En réalité, le retour en France pour les ressortissants européens est toujours -légalement- possible: l’interdiction d’entrer sur le territoire ne s’applique qu’aux non-ressortissants. Il suffit de se munir d’une attestation spécifique et de cocher “ressortissant de nationalité française” (les ressortissants européens non français doivent, pour être admis, avoir leur résidence principale en France, ou être en transit vers leur résidence principale).

Mais il y a bien d’autres obstacles à un éventuel retour estival: y-aura-t-il des vols? Voyager sera-t-il risqué? Le retour sera-t-il possible?

L’inconnue du transport aérien

L’industrie du voyage est sans doute l’une des plus touchées par la crise, et surtout parmi celles qui mettront le plus longtemps à s’en remettre. Il est encore trop tôt pour savoir dans quelle mesure le transport aérien aura repris cet été, mais une chose est sûre: les vols disponibles seront bien moins nombreux qu’à l’habitude. Le sort de plusieurs compagnies, dont Norwegian, est très incertain. Entre New York et Paris, deux nouvelles compagnies devaient se lancer en juin (Corsair et French Bee). Aucune n’a pour l’heure annoncé de report, mais retard ou annulation pure et simple sont attendus d’après plusieurs sources proches de chacune des compagnies. Les plus grandes compagnies, elles, ne remettront leurs avions en service que très progressivement.

Pour l’heure, l’inventaire disponible sur les sites de réservation reste important et les prix donc très intéressants (à partir de 300$ l’aller-retour en plein été entre New York et Paris, et à partir de 600$ entre la Californie et la France par exemple). “Mais il est peu probable que tous ces vols qu’on voit aujourd’hui en juillet ou août auront bien lieu, note Helane Becker, analyste spécialiste du secteur. Les compagnies vont adapter leur offre à la demande du moment”. Résultat, les prix devraient augmenter à l’approche de l’été. C’est en tout cas le pari de certains, comme Gabriel de La Rivière, ingénieur à Irvine (CA). D’ordinaire peu enclin à anticiper ses séjours en France, il va cette fois les prendre sans tarder, “de peur que les prix ne flambent au dernier moment, tout le monde voulant rentrer”. Mais par précaution, il a décidé de prendre des billets annulables ou modifiables. “Je prendrai ma décision en fonction du contexte une semaine avant la date du départ“, avoue celui qui, sans le mariage de sa sœur, ne prendrait pas le “risque” de rentrer au mois de juillet.

D’autres s’inquiètent plus du risque pour la santé que représente un voyage en avion. Plusieurs compagnies aériennes ont d’ores et déjà annoncé qu’elles rendraient obligatoire le port du masque pour tous les passagers. D’autres envisagent de laisser un siège sur deux vacant, entre mesures destinées à rassurer les candidats au voyage. “Pour moi, c’est vraiment ce qui me fait hésiter à rentrer en France, confie Isabelle Garry qui n’aimerait rien tant que de laisser le Texas derrière elle pour des vacances families en Bretagne. Après 3 mois avec 3 enfants en bas âge à la maison, je ne rêve que de les voir courir dans un grand jardin, mais pas au risque de leur santé évidemment”.

Le retour sera-t-il possible?

La principale question pour certains est celle de l’après-vacances et du retour sur le territoire américain. Pour l’heure, toute personne qui a séjourné depuis moins de 14 jours en Europe ne peut pénétrer aux Etats-Unis que si elle est citoyenne américaine ou titulaire de carte verte. C’est la principale des hésitations de Charles Gérand: titulaire d’un visa, il craint de rester “coincé” en France. “Je pourrai continuer à travailler de France, mais le décalage horaire rend les choses plus compliquées“. Son épouse, qui est architecte, est elle aussi sous visa. Hors de question pour elle aussi de prendre le risque de rester bloquée en France. “On n’a aucune certitude. On a des patrons conciliants, mais si on reste coincés en France pendant longtemps, on ne sait pas si un travail nous attendra à notre retour“, raconte le Français.

Cette même inquiétude a conduit certains employeurs à mettre en garde leur salariés. C’est le cas de plusieurs établissements scolaires français en Californie, qui ont averti leurs enseignants qu’un voyage en France, cet été, pourrait empêcher une reprise à la rentrée 2020. Selon un professeur du Lycée International de Los Angeles, “lors d’une réunion, on nous a expliqué que si tu n’es pas résident permanent (nombre d’entre eux viennent travailler aux Etats-Unis avec un J1), tu as de grandes chances de ne pas être réadmis sur le sol américain si tu sors cet été.” “Pour tous les visas, il est plus prudent de rester aux Etats-Unis cet été“, en déduit le professeur. Car aucune restriction, obligation, n’ont été émises par les établissements. Mais pour ces enseignants qui entendent poursuivre leur expatriation, ces “conseils” seront écoutés avec grande attention.

(Emmanuel Saint-Martin, Alexis Buisson et Sandra Cazenave)

[Webinaire] Assistance fiscale pour les sociétés françaises en période de Covid-19 : quelles-sont les mesures mises en place ?

Update : retrouvez le replay du webinaire ici.

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Rendez-vous lundi 4 mai à midi (heure de New York) pour prendre part à notre webinaire portant sur les mesures d’assistance fiscale mises en place pour les sociétés françaises, aux États-Unis et en France, en période de Covid-19.

Au programme notamment :

– Prolongement des délais administratifs – paiement et dépôt de liasse

– Charges sociales – reports d’échéances, crédits, et autres bénéfices

– Monétisation des pertes fiscales

– Déductions d’intérêts

– Correction technique favorable

– Impôt fédéral et autres sources potentielles de cash

– Comparaison des mesures de soutien prises en France et aux États-Unis

[Inscription ici]

Rejoignez-nous pour poser vos questions en direct à nos experts :

Valérie Boissou

Partner, US-France Corridor lead – KPMG US

D’origine française et ancienne associée de KPMG France, Valérie dirige le Corridor US-France pour KPMG US. Le Corridor est dédié aux entreprises françaises implantées aux États-Unis et fonctionne comme plateforme collaborative entre KPMG US et France pour assurer un service transparent et personnalisé à nos clients transfrontaliers.

Valérie est associée au sein du Department of Professional Practice de KPMG US, avec plus de 20 ans d’expérience en audit et conseil aux États-Unis, en France et au Royaume-Uni. Elle accompagne les clients et les équipes sur les questions techniques et pratiques dans l’application des normes IFRS et US GAAP.

Valérie est également au board du Sustainability Advisory Council de KPMG US et partner en charge du réseau Living Green pour le bureau de KPMG New York.

George Gans

Partner, US-France Corridor tax lead – KPMG US

George est un associé qui se spécialise en fiscalité des entreprises. Basé à Pittsburgh, il a plus de 21 ans d’expérience en fiscalité. Son expérience couvre une grande variété de clients dans des industries diverses, y compris des sociétés publiques et privées. George dirige les efforts du corridor fiscal France de KPMG. Il travaille régulièrement avec des sociétés françaises présentes aux États-Unis.

Patrick Seroin

Partner, US-France Corridor tax lead – KPMG France

Patrick Seroin Joly, avocat, est l’associé responsable de la ligne de service Fiscalité Internationale des Entreprises de KPMG Avocats à Paris. Il dispose d’une expérience d’une vingtaine d’années dont 3 en Allemagne et 3 autres à New York (qu’il a quitté fin 2018 et dont il regrette, entre autres, le concours du meilleur croissant organisé par French Morning !)

Le webinaire sera présenté par Emmanuel Saint-Martin, CEO de French Morning Media Group.

Des cadeaux pour la fête des mères à Los Angeles

En ces temps confinés, il est parfois difficile de se souvenir quel jour il est. Pour autant, il ne faut pas oublier les célébrations, dont la fête des mères qui aura lieu le dimanche 10 mai. Pour que cette journée rime avec surprise, nous avons recensé des cadeau que vous pourrez offrir aux mamans de votre vie, tout en soutenant des commerces français.

Des croissants au petit-déjeuner
L’odeur de la pâte feuilletée et du beurre réveille toutes les mamans de bonne humeur. La Chouquette, spécialisée pour ses éclairs colorés, propose également des pains aux raisins, madeleines, croissants aux amandes, pains au chocolat et même des baguettes (en livraison via Postmates et Grubhub tous les matins). De quoi soutenir Elodie et Dan Darmon, qui vivent leur rêve américain depuis près de 3 ans. Si vous êtes du côté de Pasadena, vous pourrez également faire un stop par Frenchifornia qui pratique le “take out” pour ses pâtisseries et viennoiseries.

Un bon repas livré à domicile
Plutôt que de saccager la cuisine (et se coltiner une heure de vaisselle), nous vous conseillons de lui apporter les plats de ses restaurants français préférés. Les amateurs de gastronomie bretonne seront séduits par les crêpes salées ou sucrées de chez La Table de Sophie (livraison avec Doordash). Pour retrouver des saveurs plus traditionnelles, optez pour Air Food L’Appart, qui concocte confits de canard, soupe à l’oignon, croque-monsieur et même un jambon beurre. Et laissez vous surprendre par le BurNaan, un boeuf bourguignon enroulé dans un naan au fromage imaginé par le chef Thierry Babet (livraison via Ubereats, Grubhub et Doordash). Des goûts de chez nous à retrouver également chez Meet in Paris, le restaurant de Sébastien Cornic. Au menu : de la bisque de homard, des escargots à l’ail, un steak tartare, ainsi que des moules frites (marinières, à la provençale, à la dijonnaise, etc). A commander sur Postmates.

A Los Feliz, Sarah Bessade et Antoine Blandin ont repris du service pour notre plus grand plaisir. Chez Loupiotte Kitchen, où les plats sont à récupérer sur place, vous pourrez vous délecter d’un granola, d’oeufs brouillés au parmesan, de sandwich au thon, de poulet à la moutarde ou de hachis parmentier (à commander en ligne). Les poulets (rôtis, panés ou en salade) de Coco Queen, la rôtisserie d’Angelique Bohbot et Nathalie Dahan, sont également proposés à emporter. La gastronomie française sera mise à l’honneur avec Belle Vie, le restaurant de Vincent Samarco. Vous pourrez recevoir à domicile (via l’application Caviar) des rillettes de canard, du turbot, un camembert rôti ou un poulet à la moutarde.

Les amateurs de quiche succomberont à celles préparées par Françoise Claquin de Holy Quiche! (en format miniature, famille ou extra large). Pour les goûts, vous avez l’embarras du choix : lorraine, épinard et roquefort, brocolis et oignon… A commander sur Grubhub. Vous pourrez recréer l’ambiance des salons de thé le temps de la fête des mères en commandant un panier au Salon de Thé de West Hollywood (commande possible tous les lundis) : un mini à 50 dollars ou la totale à 100 dollars (avec macarons, plat, pain et légumes). Les saveurs orientales sont à l’honneur chez Palikao. Lionel Pigeard concocte kemias (assortiment d’amuse-gueules) et mezzes orientaux : houmous, baba ganousch, labneh, taboulé libanais, falafel… qui seront livrés chez vous (commande par téléphone +1(323)830 5248 et internet sur pali-kao.com). Chez Mauro’s, ce sera la cuisine italienne que vous privilégierez. Les Fred’s Pasta, le poulet balsamique et les légumes sautés sont plébiscités (à commander sur Postmates et Doordash).

Une expérience par vidéo ou à réaliser plus tard
Si les plaisirs de la table ne sont pas appréciés par votre mère, vous pourrez toujours la surprendre avec des activités. Voire une expérience à réaliser dès que le “stay at home” sera levé. On pense notamment à Virtual Room, créée par Gilles Amsallem à Hollywood, une “Escape room” en réalité virtuelle qui vous transporte dans des univers parallèles. En cette période de quarantaine, l’entreprise propose des cartes cadeaux. La start-up What Women Want, spécialisée dans les “petites attentions pour les amoureux”, collabore avec le Chef Frederic Aumeunier, sous-chef chez Per Se à New York, pour proposer des cours de cuisine virtuel “sur-mesure” en couple. Et si votre mère (ou belle-mère) est américaine, précipitez-vous chez Coucou French Classes. L’école de langues propose des sessions en ligne intensives pendant le confinement ou des cartes cadeaux.

Des cadeaux au pied de la porte
Si vous préférez un cadeau que vous pourrez offrir dans une belle boîte, nous avons de quoi satisfaire vos besoins. Vous pourriez notamment lui faire plaisir en commandant des produits de beauté chez Payot Skincare, qui a sélectionné des coffrets pour la fête des mères. Dans la même lignée, les parfums Ex-Nihilo (dont le site US fait ses débuts) sont toujours une bonne idée. Si votre mère a un penchant artistique, vous la surprendrez avec des oeuvres d’artistes françaises installées à Los Angeles ; comme les affiches d’Anais Godard (à partir de 27 dollars) ou les tableaux surréalistes de Reine Paradis (prix sur demande). Autre option (pour les plus gros budgets) : dénicher un meuble de designer chez The French Apartment. Enfin, s’il y a bien une chose avec laquelle on ne déçoit jamais, c’est le vin. Vous pourrez lui faire goûter ceux d’Obvious Wines, la collection de six vins de Brice Baillie.

Report des résultats de la loterie de la carte verte 2021

Si vous avez participé à la loterie de la carte verte en fin d’année dernière, il faudra prendre votre mal en patience. Le Département d’Etat a annoncé, lundi 27 avril, que la mise en ligne des résultats sera reportée du 5 mai au 6 juin.

Les ressources du Département sont utilisées pour sa réponse contre le Covid-19 et servent en priorité à assister les citoyens américains à l’étranger”, précise le State Department dans un communiqué. Celui-ci précise toutefois que le processus d’examen des dossiers retenus ne devrait pas être affecté car les “entretiens pour DV-2021 (le nom donné à la Loterie de la Diversité pour 2021, ndlr) doivent commencer en octobre“.

L’annonce intervient quelques jours après la proclamation de Donald Trump qui suspend la venue aux Etats-Unis d’immigrés “présentant un risque pour le marché du travail américain pendant la reprise économique après le Covid-19“. Cette proclamation interrompt notamment la délivrance de cartes vertes pour une période de deux mois (à partir du 24 avril) pour les demandeurs vivant en dehors des Etats-Unis. “Toute personne qui n’est pas sur le territoire américain et qui n’a pas encore eu un entretien pour leur carte verte est concernée par cette décision“, explique Eliot Norman, avocat basé en Virginie et invité, mardi, d’une conférence de la FACC Washington sur la décision du président américain.

Critique de la loterie de la carte verte, qui permet à 50 000 heureux élus de décrocher le précieux document chaque année, Donald Trump n’est pas revenu explicitement sur la DV-Lottery dans sa proclamation. Le président ne peut pas la supprimer purement et simplement car le dispositif découle d’une loi votée au Congrès.

En revanche, sa proclamation a bien pour conséquence de la suspendre. “Aucun dossier n’est traité en ce moment dans les consulats et ambassades, rappelle Eliot Norman. Le président ne peut pas abroger une loi d’immigration. Par contre, il peut interdire l’entrée sur le territoire pour les titulaires de visas d’immigrants ou temporaires. C’est ce qu’il fait“. Pour l’avocat, les participants à la loterie en dehors des Etats-Unis ne devraient pas se faire d’illusions. Il pense que les mesures de suspension seront reconduites jusqu’à l’élection de novembre compte-tenu des perspectives économiques pessimistes. La prochaine loterie doit ouvrir en octobre.

[Webinaire] Covid-19 et immobilier : quel bilan sur le marché de la vente et de la location à New York ?

Update : Retrouvez l’intégralité du webinaire en replay ici

Le sujet de notre prochain webinaire, qui aura lieu vendredi 1er mai à 11am (heure de New York), sera l’impact de la crise du Covid-19 sur le marché immobilier à New York.

Nous aborderons les thèmes suivant :

– Crise du Covid-19 : comment ont réagi les vendeurs et acquéreurs sur le marché immobilier ?

– Quel est l’impact sur les loyers ?

– Comment se réorganisent les acteurs de l’immobilier en cette période ?

– L’activité juridique à distance

– La notion « de force majeure »

– Les contrats de bail face au Covid-19

[Inscription ici]

Nos experts :

Christophe BOURREAU
Licensed Real Estate Broker et Managing Partner chez Barnes New York

Apres avoir été directeur commercial de Barnes Miami de 2008 à 2011, il vient s’installer à New York pour ouvrir le bureau qui deviendra l’une des vitrines du groupe immobilier international de luxe. Avec 12 ans d’expérience d’immobilier international, Christophe a pu accompagner de nombreux clients vendeurs, acquéreurs, investisseurs, locataires ou propriétaires.

L’équipe de Barnes New York parle plus de 5 langues et couvre principalement Manhattan, Brooklyn et Westchester.

 

Richard ORTOLI
Associé fondateur du cabinet d’avocats Ortoli Rosenstadt LLP à New York

Membre des barreaux de Californie et New York, il est avocat spécialisé en droit immobilier, droit commercial international et en fiscalité internationale.

Il est diplômé d’une licence de Lettres modernes de l’université de Leeds (Angleterre) et d’un doctorat en droit (Juris Doctor) de la faculté de droit de l’université de Cornell (Etats-Unis).

Richard vit aux États-Unis depuis 47 ans. Il est conseiller à l’Assemblée des Français de l’étranger pour les États-Unis depuis 2009 et conseiller des Français de l’étranger pour la circonscription consulaire de New York depuis 2014.

Fils d’un père diplomate français, Richard est Français de l’étranger depuis sa naissance en Australie. Il a également vécu en Nouvelle-Zélande, en Angleterre, en Afrique du Sud, en Espagne, au Brésil et en France.

Il est chevalier de l’ordre national du Mérite.

 

Le webinaire sera présenté par Romain POIROT, directeur commercial de French Morning Media Group

 

“Les employés n’avaient jamais été au chômage de leur vie”: les marques françaises de New York face à la crise

Le tsunami vient: quelle que soit la rapidité de la sortie de confinement, le nombre de faillites aux Etats-Unis va exploser. Le commerce de détail (“retail”) est au premier plan. Une étude du cabinet Earnest Research, analysant les dépenses par cartes de 6 millions d’Américains, révèle que le segment de la mode est, avec la restauration, le plus affecté, avec une diminution de 50 % à 100 % des ventes comparé à 2019. Les marques françaises ne sont pas épargnées.

Certaines ont déjà abandonné la partie. C’est le cas de Repetto, la marque de ballerines haut-de-gamme. “Avec l’incertitude du coronavirus, la décision a été prise de stopper l’activité”, explique Gilles Assor, l’ancien directeur général USA qui a quitté ses fonctions fin mars. Repetto a fermé sa boutique new-yorkaise sur West Broadway, dont le loyer était très élevé, et licencié l’ensemble des employés à l’exception d’une personne “en charge d’assurer la gestion des grands comptes qui ont encore de la demande”, indique-t-il. Depuis son départ, Gilles Assor a monté une société de conseils aux entreprises (1.1.100). Son objectif : apporter son expertise pour 100 dollars de l’heure. Expert en gestion d’entreprise, Gilles Assor assure que beaucoup de marques françaises se posent la question de poursuivre ou non l’activité en raison des loyers et de l’approvisionnement. “Il y a une remise en question sur l’opportunité de rester sur le marché américain”, analyse-t-il.

Pression sur les landlords

Même pour les groupes plus solides financièrement, la période est délicate. Longchamp a fermé sa vingtaine de boutiques américaines et placé la quasi totalité de son personnel en chômage technique (“furlough”). “C’est très difficile pour eux, constate Olivier Cassegrain, directeur de Longchamp USA. Aucun d’entre eux n’avait jamais demandé le chômage auparavant”. Si en France les employés mis en chômage technique restent payés par elle -l’entreprise étant remboursée par l’Etat-, “ici, il faut qu’ils s’inscrivent au chômage, ce qui en ce moment est très difficile. Deux semaines après, certains n’avaient toujours pas pu s’inscrire. Beaucoup le vivent comme un déclassement, même si évidemment ils n’y sont pour rien”.

La marque de luxe continue de vendre en ligne (“c’est ce qui nous permet de nous dire que la vie continue”), mais c’est à la réouverture des magasins que les choses se joueront, estime le dirigeant. “Le principal problème, pour nous, ce sont les propriétaires des locaux où sont nos boutiques. Ils proposent souvent d’échelonner les paiements, mais ce n’est évidemment pas suffisant. Surtout, on sait bien qu’à la réouverture, que ce soit en mai ou en juin, les ventes de repartiront pas tout de suite. Si on fait un tiers de notre chiffre d’affaires dans les premières semaines ce sera très bien. Il va falloir que les landlords en tiennent compte”.

Certains ont joué de malchance, comme Veja. La marque de chaussures “écologiquement responsables” venait d’ouvrir sa première boutique américaine à New York fin février. “Le site Internet est toujours ouvert mais les livraisons ne reprendront pas avant la réouverture de l’entrepôt”, explique la marque sur son site. Jointe par French Morning, la société n’a pas souhaité commenter.

Ba&Sh, la griffe parisienne a fermé provisoirement toutes ses boutiques américaines depuis le 16 mars tout en continuant d’assurer la vente en ligne. “Nous verserons 15 % de nos bénéfices sur Internet à l’association Baby2Baby dont la mission est de fournir des produits essentiels aux familles défavorisées touchées par le Covid-19”, explique la marque dans un communiqué.

Les boulangeries en crise aussi

Maison Kayser, la très prisée chaîne de boulangeries à New York, a aussi dû fermer provisoirement tous ses magasins le 19 mars et mettre en chômage technique (furlough) la majorité des quelque 700 employés. “On fait le maximum pour soutenir nos employés, explique José Alcalay, CEO de Maison Kayser. C’est notre responsabilité sociale vis-à-vis d’eux”. 

Plus petite aux Etats-Unis, et sur un segment moins haut-de-gamme, l’enseigne Marie Blachère poursuit elle l’exploitation de son activité. “Nous avons décidé de laisser nos deux magasins new-yorkais ouverts car la quasi-totalité des employés a souhaité continuer de travailler. Nous avons réduit nos effectifs d’environ 30 % mais il n’y pas eu de licenciements car nous avons placé des salariés en congés. Ils figurent toujours parmi nos effectifs. En revanche, nous avons repensé notre mode de fonctionnement en boutique en développant le paiement sans contact, en réduisant l’offre de 30 %, en adaptant les horaires et deux semaines avant la crise nous avions lancé notre nouveau site Internet”, explique Christophe Mars, directeur opérationnel de la filiale américaine. Il insiste surtout sur l’importance de “montrer que la vie continue”. “Nous utilisons les plateformes de livraisons, nous communiquons et nous assurons une forte presence sur les réseaux sociaux”, dit-il. Depuis la crise, le chiffre d’affaires a fortement diminué “mais nous réduisons la baisse de semaine en semaine car les clients commandent de plus en plus en ligne”, assure Christophe Mars.

Laurent Garrigues et Emmanuel Saint-Martin

Ses salles de sport fermées, il se lance dans les tenues médicales

En ce début d’après-midi, l’entrepreneur Benjamin Chemla roule dans un New York qui tourne au ralenti. Dans la voiture, sa fiancée Rachel Rothenberg-Saenz et une de ses collègues, Amy Tiefermann. Avec Alexandra Baylis, l’une de leurs collègues chez le créateur Oscar de la Renta, les deux femmes sont les fondatrices de Garment District For Gowns, une initiative qui vise à fabriquer et équiper les soignants de tenues médicales, équipements qui manquent encore cruellement à New York. La joyeuse équipe doit rejoindre rapidement un grand hôpital de Crown Heights pour lui livrer une boite de vêtements. “On est fatigués, mais on sait que cette fatigue permet de faire une différence“, confie Rachel Rothenberg-Saenz.

Benjamin Chemla s’est retrouvé embarqué dans l’aventure après être lui-même tombé malade du Covid-19 à la mi-mars. Après avoir décidé, avec “39,8 degrés de fièvre“, de fermer ses deux salles de sport FitHouse et de mettre en place des séances de sport en ligne, ce serial entrepreneur, pionnier de la livraison au dernier kilomètre en France (il a notamment fondé la plateforme de livraison Stuart en 2015), a mis ses instincts au service du projet de sa compagne.

Appels à la FDA, identification des besoins, livraisons: le trentenaire, doté des anti-corps découlant du virus (il a été testé), ne ménage pas sa peine. “Quand ma fièvre est retombée, je me suis dit: dans dix jours, tu seras guéri. Comment peux-tu te mettre au service de la société ?, se souvient-il. J’ai regardé le don de plasma ou la possibilité de faire des livraisons avec Invisible Hands. Le monde était à l’arrêt. Il n’y avait plus de business. Je n’avais pas le droit de rester chez moi”.

Lui et sa fiancée vont décider de se lancer dans la production de tenues de protection après une conférence de presse du gouverneur de l’Etat de New York Andrew Cuomo. “Il a dit que les besoins en blouses médicales étaient estimés à 20 millions mais que l’Etat n’en avait que 145 000 dans son stock”, explique-t-il. Cruelle coïncidence: le jour de la mise en ligne d’une page GoFundMe destinée à financer l’opération, il découvre les images d’infirmières de Mount Sinaï obligées de porter des sacs poubelles pour se protéger, faute d’équipements adaptés.

Grâce aux contacts de sa fiancée et de ses collègues, l’opération se met en place. Les fondatrices mettent la main sur des rouleaux de tissu étanche et réutilisable utilisé en temps normal par l’armée. Elles mobilisent 60 couturiers qui acceptent de faire l’assemblage chez eux. Mais face aux défis logistiques de l’affaire, elles décident de se tourner vers les ateliers du Garment District, près d’Union Square, et font rouvrir trois ateliers de coupe et de couture dans ce quartier connu pour la confection de vêtements. Au total, la chaine de production mobilise environ 140 personnes, en comptant deux autres ateliers à Brooklyn et Baltimore.

Avant la livraison, les tenues arrivent dans les locaux de FitHouse à Union Square, où elles sont empaquetées par des volontaires au milieu des altères. “C’est super de voir ce lieu fermé reprendre vie“, explique Benjamin Chemla, qui a dû mettre ses cinquante employés en chômage partiel.

Aujourd’hui, Garment for Gowns tourne à plein régime, mais veut encore augmenter la production pour atteindre 30 000 blouses par semaine (soit 100 fois plus que leur série initiale). L’équipe livre les grands hôpitaux new-yorkais et les maisons de retraites. Les fondatrices ont même été contactées par la SPA américaine, la RSPCA, qui elle aussi manquait d’équipements.

Benjamin Chemla assure les livraisons plusieurs fois par semaine. “Il y a un décalage entre la taille de ces groupements d’hôpitaux et le fait qu’ils peuvent avoir des centaines de soignants sans blouses médicales. Ils vont aussi réutiliser le même masque. J’ai parfois l’impression d’être au Moyen-Âge, raconte-t-il. Mais cela ne les empêche pas d’être toujours très souriants, très humains“. Les besoins restent importants. “Ça ne ralentit pas du tout. Nous avons toujours beaucoup de demandes. L’exposition des personnels au Covid-19 reste le même. On est sur deux mois de nécessité. Les tenues doivent être renouvelées constamment“, souligne-t-il. Garment District For Gowns veut aussi poursuivre sa production pour reconstituer les stocks en vue d’une possible seconde vague de contaminations. “Chaque tenue que nous faisons, explique le Français, c’est un sac poubelle en moins pour le personnel médical“.

La Bande FM, ép.3: Le couple dans le confinement

Pour ce 3ème épisode, La Bande FM parle couple. Comment vit-on le huis-clos du confinement. Les liens sortent-ils renforcés ou abîmés? Comment gère-t-on le quotidien? La libido dans tout ça? Nous parlerons de tout ça, mais aussi des couples séparés par la pandémie, du dating impossible…

Nous recevrons 3 expertes qui répondront à vos questions et réagiront à vos témoignages: Adelaide Fulconis, psychothérapeute; Claudia Six, sexologue; Corine de Hemptinne-Morel, coach.

C’est jeudi 30 avril à 12:30 pm EST, 9:30am PST.

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Emission à suivre sur Zoom (c’est là que vous pourrez poser vos questions en direct) ou sur Facebook Live:

Top 5 des villes où investir en France en 2020

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Vous avez un projet d’investissement immobilier ? Le choix de la ville est un des critères décisifs afin de garantir un investissement rentable et sécurisé sur le long terme. Voici notre sélection de 5 villes françaises où investir depuis l’étranger en 2020.

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Bordeaux 

Depuis plusieurs années, la capitale girondine fait partie des villes françaises les plus prisées par les investisseurs. Elle bénéficie, d’une excellente qualité de vie, d’un climat agréable, et d’une situation géographique privilégiée : à seulement 2 heures de Paris en train 

Ces attraits séduisent grand nombre de Français qui viennent s’y installer, à tel point que la population bordelaise pourrait atteindre le million d’habitants d’ici à 2030.

Les prix de l’immobilier ont augmenté de plus de 38 % en seulement 5 ans. 

Bordeaux offre donc de très belles opportunités pour les investisseurs expatriés, qui s’assurent ainsi d’une vacance locative inexistante.

Lyon

La capitale des Gaules est l’une des villes de France les plus propices à un investissement dans l’immobilier locatif en 2020. Elle bénéficie d’une situation géographique privilégiée : proche de Paris, des Alpes, et de la Méditerranée.

Lyon rayonne sur le plan économique, et offre un terrain très propice à la création d’entreprises. Elle attire grand nombre de jeunes actifs et entrepreneurs. La population lyonnaise est en constante augmentation ces dernières années, avec une hausse de près de 1 % par an, assurant aux propriétaires bailleurs une très forte demande locative. Le marché de l’immobilier y est très dynamique, avec une hausse des prix de 7,5 % en un an.

Nantes

Nantes fait partie des villes françaises les plus attractives pour un investissement immobilier. Avec son dynamisme économique, sa qualité de vie et son attractivité touristique, la ville ne manque pas d’atouts. 

En seulement un an, le prix de l’immobilier à Nantes a augmenté de plus de 8 %. Le prix au mètre carré s’élève en moyenne à 3 351 € en mars 2020. Ces chiffres prouvent la forte attractivité de la ville, très appréciée par les étudiants. En effet, Nantes compte plus de 50 000 étudiants, et propose une offre académique de grande qualité. La ville est très intéressante pour un investissement locatif, plus de 61 % de la population nantaise était locataire en 2019.

Rennes

Rennes est, comme Nantes, très plébiscitée pour son offre universitaire. Elle fait partie des villes étudiantes les plus appréciées de France. Les étudiants représentent 20 % de la population.

Les prix immobiliers ont également connu une très forte hausse, près de 6,5 % en un an, et s’élèvent en moyenne aujourd’hui à 3 200 € par mètre carré, pour l’achat d’un appartement. La rentabilité locative y est attractive, les investisseurs peuvent espérer un rendement supérieur à 4 %. L’attractivité croissante de la ville assure ainsi une grande sécurité aux investisseurs expatriés. 

Toulouse 

Toulouse connaît une activité économique très forte ces dernières années, La ville attire un grand nombre de jeunes actifs, cadres, entrepreneurs, mais aussi beaucoup d’étudiants. La population y est très jeune, moins de la moitié des habitants est âgée de moins de 29 ans.

L’attractivité de la ville se confirme au travers d’une forte hausse de la population, + 1,1 % par an en moyenne. Ces 10 dernières années, la « ville rose » a accueilli 64 000 nouveaux habitants.Toulouse est ainsi la quatrième plus grande ville de France.

Sa qualité de vie et son climat agréable font de Toulouse une ville très appréciée. Malgré une très forte hausse des prix de l’immobilier en l’espace d’un an (+ 6,7 %), le coût d’acquisition des biens reste toutefois attractif. En mars 2020, le prix au mètre carré pour un appartement s’élève en moyenne à 3 261 €.

Les autres villes de France où investir en 2020

Parmi les autres villes de France très attractives pour investir dans l’immobilier en 2020, nous pouvons également citer Marseille, Lille, Nancy, Villeurbanne, Metz et bien sûr Paris, ainsi que certaines villes de la région parisienne. 

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