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Un vide-dressing français à San Francisco

A vos sacs, partez ! Amatrices de marques parisiennes, vous allez être comblées. La marque Les Parisiennes organise un grand vide-dressing dans le salon de coiffure français et spa Atelier Emmanuel, le lundi 3 décembre.
Sézane, Maje, Sandro, Ba&sh, The Kooples, Gérald Darel, Claudie Pierlot et toutes les autres marques que l’on adore seront à petits prix. C’est aussi le moment de prendre soin de soi. Les fashionistas pourront aussi profiter d’ateliers gratuits (massage de la tête, brushing express pour aller dîner, sourcils).

Des foires pour faire le plein de livres bilingues à Brooklyn et Larchmont

L’International School of Brooklyn (ISB) et la French American School of New York (FASNY) organisent chacune leur foire aux livres en novembre. Au menu: des centaines voire des milliers de livres en anglais, français et espagnol.
Celle de l’ISB aura lieu le mardi 6 novembre de 8am à 4pm au sein du gymnase de l’école (192 Luquer Street) et promet des livres en français et espagnol pour tous les âges, ainsi que diverses publications multilingues pour la jeunesse. Participeront à l’opération: La Librairie des Enfants, Chau Chau Luna, Stories Bookshop & Storytelling lab, L’ecole Loisirs, l’éditeur Bayard/Milan.
Pour sa part, la FASNY organise sa foire du 10 au 12 novembre sur son campus de Larchmont (Westchester). Huit mille livres en français et anglais seront disponibles. Plusieurs auteurs sont attendus pour des séances de dédicaces: Benoit Cohen, Clelia Renucci, Meryem Alaoui et Jean-Michel Cohen Solal le samedi, Anne-Claire Kleindienst le dimanche.
 

Shipwrecked, le minigolf fou de Red Hook

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Après avoir testé – et approuvé – les attractions plus ou moins farfelues du “Made in Brooklyn” (du lancer de haches à la pétanque au coin du feu), on avait envie de revenir aux bases pour passer un moment fun, au chaud entre copains ou en famille avec des kids.
Et Shipwrecked, le minigolf indoor de Red Hook coche toutes les cases de notre brief : mise en scène du parcours amusante, décors originaux, 18 trous ludiques… Bref, de quoi combler les attentes des petits et des grands et perfectionner votre jeu d’approche.
Trois minis escape rooms et quelques jeux d’arcade – assez sommaires quand même – viennent d’être ajoutés à l’étage. On est loin des jeux de VR de Jump Into the Light mais le côté vintage est assez régressif : on adore.
Pour une party d’anniversaire ou juste une partie de golf : bienvenue aux clubs!
Dans le coin ?
On ne présente plus, à Red Hook, les indétrônables KeyLime Pies de Steve, ni le non-moins célèbre Brooklyn Crab voisin, mais pour un dépaysement total, sans kids cette fois-ci, faites donc escale pour quelques verres au Sunny’s : l’un des bars les plus surprenants de Brooklyn!

Guitare et violon se marient à l'église du Saint-Esprit à New York

Les promesses de la musique sont à l’honneur. L’Entraide Française de New York, association de soutien aux Français de New York dans le besoin, organise un concert “Jeunes talents” avec le violoniste Virgil Boutellis-Taft et le guitariste Thibaut Garcia le mardi 13 novembre à l’église du Saint-Esprit.
La programme sera placé sous le signe de Gragnani, Piazzolla, Paganini, Vitali, Bach et d’autres grands artistes. Ces jeunes Français jouent tous les deux entre l’Europe et les Etats-Unis. Le violoniste Virgil Boutellis-Taft a joué à plusieurs reprises au Carnegie Hall à New York. Thibaut Garcia a été lauréat du concours international de concerts de la Guitar Foundation of America en 2015. Son prochain enregistrement sera dédié au maitre de la musique classique, Jean-Sébastien Bach.

Voyage dans le temps avec la faïence française à la Frick Collection

Hors du temps sur la Cinquième avenue à New York, la paisible demeure Frick fait honneur à la faïence française jusqu’au dimanche 22 septembre 2019. Nichées dans la galerie Portico donnant sur les magnolias du jardin, les 75 pièces de céramiques exposées racontent l’histoire méconnue de ce savoir-faire arrivé en France au XVIe siècle.
Les objets, des plats aux assiettes d’apparat en passant par les pots, les jarres et autres pièces de table, proviennent tous de la collection de Sidney Knafel, qui les a rassemblées sur une période de cinquante ans.
« Ce sont des pièces exceptionnelles par la rareté de leurs formes, la qualité des dessins et leur condition parfaite. Elles n’ont pas de problème d’éclats ou de fissures », souligne Charlotte Vignon, commissaire des arts décoratifs de Frick Collection depuis plus de douze ans.
Le but de cette exposition ? « La faïence française est un sujet assez peu connu. Je trouvais que c’était un moyen formidable d’éduquer le public américain ou notre public en général à cette forme d’art français qui a plein de surprises », répond cette Parisienne d’origine.
L’exposition commence donc à Lyon, où les premiers artistes italiens importent la technique (le nom même de faïence est une francisation de la ville de Faenza en Italie). De Lyon, l’épicentre de ce savoir-faire se déplace à Nevers au XVIIe siècle, alors gouvernée par un prince italien.
La patte française s’affirme ensuite petit à petit et se retrouve à Rouen, avant d’être produite dans le sud de la France, à Moustiers ou encore Marseille au XVIIIe siècle, époque où les objets deviennent fonctionnels, raconte Charlotte Vignon.
« Ce sont des objets qui ont plein de charme parce que, même s’ils restent très raffinés, ils nous amènent directement dans le quotidien. On peut imaginer les gens se servir d’un pichet pour se laver les mains, d’un sucrier, d’une boite à épices », observe l’experte, qui a fait le choix de ne pas placer les objets sous vitrine pour accentuer l’effet de proximité avec les pièces. « C’est un endroit magnifique pour présenter de la céramique. Il faudrait d’ailleurs toujours voir les céramiques à la lumière du jour », relève-t-elle.
Si l’exposition de faïence française n’occupe qu’un espace restreint du musée, les visiteurs peuvent également profiter de la collection permanente du manoir, célèbre pour ses pièces de Fragonard, de Rembrandt ou encore de Vermeer. Jusqu’au dimanche 20 janvier, la Frick Collection propose également une exposition exhaustive sur l’orfèvre italien d’origine française Luigi Valadier, qui réunit pour la première fois les pièces du maître du XVIIIe siècle.

Le Menil Drawing Institute ouvre ses portes à Houston

Le Menil Drawing Institute, un bâtiment spectaculaire entièrement consacré aux dessins d’artistes modernes et contemporains, ouvre ses portes le 3 novembre.
Quarante ans après la construction du bâtiment principal imaginé par Renzo Piano, la Menil Collection offre à Houston un bâtiment iconique, élégant et léger comme une feuille de papier.
C’est le premier bâtiment indépendant conçu pour l’acquisition, l’étude, la conservation, le stockage et l’affichage de dessins modernes et contemporains, explique Rebecca Rabinow, directrice de la Menil collection depuis 2016. L’Institut a été créé pour mettre en avant le rôle central du dessin dans la vie des artistes et dans la culture artistique moderne et contemporaine. Toute l’architecture du bâtiment est entièrement pensée pour servir ces objectifs.

Menil Drawing Institute
Rebecca Rabinow, directrice de la Menil Collection, entourée des architectes Mark Lee et Sharon Johnston. / Laura Matesco

Trente mille pieds carrés, 40 millions de dollars, plus de trois années de travaux. Le bâtiment aux angles acérés, comme pliés, est baigné d’une lumière maîtrisée grâce à la disposition, autour de l’Institut, de trois cours à toit ouvert pensées par l’architecte paysagiste Michael Van Valkenburg. “Le plus grand défi pour les architectes était de maîtriser la lumière naturelle, très présente dans les autres bâtiments du campus mais proscrite pour la conservation des dessins”, affirme l’architecte Mark Lee, dont l’agence Johnston Marklee, fondée avec Sharon Johnston, a remporté le concours international en 2012.
Menil Drawing Institute
Menil Drawing Institute / Laura Matesco

Nous avons souhaité nous inscrire dans la tradition des autres bâtiments de la Menil Collection”, explique Mark Lee. On distingue tout de suite les références au bâtiment principal, imaginé par Renzo Piano : lumière naturelle, grandes ouvertures sur la nature… “Nous nous sommes également inspirés de la maison des de Menil, construite en 1950 par Philip Johnson. Nous avons d’ailleurs pensé cet institut comme une maison, avec des ouvertures sur les jardins. Nous sommes ici dans la pièce centrale que nous appelons le salon.
L’immense pièce, toute en longueur, aux plafonds bancs pliés comme des origami, recevra le public pour des lectures, conférences et événements. La galerie d’exposition, aux espaces modulables, accueille pour l’ouverture une exposition des dessins de Jasper Jones, le mythique peintre américain. Seules ces deux pièces seront ouvertes au public. L’espace de conservation et le centre d’études, réservés aux équipes du musée et aux chercheurs, occupent une grande partie du bâtiment. «C’est un institut dans le véritable sens du terme», explique Rebecca Rabinow. “Depuis sa création en 2008, nous avons collecté près de 2000 oeuvres, et nous allons nous consacrer à de nouvelles acquisitions et restaurations”. Un dessin de Mona Hatoum, réalisé lors de sa résidence en 2017, a récemment rejoint la collection.

Arnaud Mentré enfin nommé consul général de France à Boston

Il aura fallu de la patience. Depuis fin juillet et le départ de Valéry Freland, le Consulat de France à Boston vivait dans l’attente de la nomination d’un consul. Finalement, le sous-directeur d’Amérique du nord au Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères Arnaud Mentré a été nommé consul général à Boston par décret présidentiel le 22 octobre. Cet énarque de 39 ans a d’ores-et-déjà convié les conseillers consulaires, ce mercredi 31 octobre, afin de rattraper le temps perdu.
Pour Philippe Besson, l’écrivain proche des Macron pressenti au Consulat général de France à Los Angeles, c’est le statu quo. Aucun décret nominatif n’a été signé par le président de la République, ne permettant pas d’entériner sa nomination. L’auteur, dont l’annonce de la nomination avait provoqué la polémique, avait déclaré à la presse française qu’il reportait son arrivée à Los Angeles jusqu’à ce que le recours en justice déposé par l’un des syndicats du ministère des Affaires étrangères ait été examiné par le Conseil d’État. Cela devrait encore prendre plusieurs mois. En attendant, Christophe Lemoine occupe toujours ses fonctions à Los Angeles.

Lunii, la boîte à histoires multilingues qui stimule l'imaginaire des enfants

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(Article partenaire) Lunii, c’est tout un univers. Cette start-up, créée par quatre Français et porteuse de valeurs fortes humanistes et écologiques, veut changer le monde. Avec Ma Fabrique à Histoires, boîtier sans ondes ni écran qui diffuse de fabuleuses histoires à la demande et avec la participation des enfants, Lunii s’est donnée pour ambition de leur redonner goût à l’imagination.
Place à l’imaginaire avec Ma Fabrique à Histoires
Un objet littéraire, technologique et ludique
Lunii s’adresse aux enfants de 3 à 8 ans, soit la tranche d’âge idéale pour acquérir une seconde langue. Avec ses couleurs pop, ses matériaux doux au toucher et ses icônes lumineuses, Ma Fabrique à Histoires a presque tout du doudou idéal. Ce boîtier au design élégant pourrait bien être le descendant des postes transistors d’antan ou des Walkman des 80s. Une molette pour le son et une autre pour choisir ses options : le héros ou l’héroïne, le personnage secondaire, le lieu et un objet. En avant les histoires !

Accompagner la vie de l’enfant
Une aventure de “Citrouilles, Sorcières et Cie” avant de se coucher ou une histoire “Douce Nuit” pour s’endormir ? Pour un trajet en voiture -la batterie a une autonomie de 10 heures-, pourquoi ne pas choisir l’histoire dont l’enfant est le héros, comme dans À la recherche du lapin perdu. Cela devrait rendre sans nul doute la route beaucoup moins longue… Bref, avec différents degrés d’interactivité, variant les thèmes, les durées et les ambiances, Ma Fabrique à Histoires s’adapte aux différents temps de loisirs des enfants.



Une bibliothèque de poche
À peine plus grande qu’un livre de poche, Ma Fabrique à Histoires peut contenir jusqu’à une dizaine d’albums d’histoires. Chaque album pouvant contenir jusqu’à 48 histoires, c’est plus d’une centaine de récits et 14 heures d’écoute à dévorer !
Un outil pour apprendre de nouvelles langues
Avec huit langues différentes à disposition dans le Luniistore (anglais US, français, italien, espagnol, allemand, néerlandais, russe et flamand), Ma Fabrique à Histoires combine créativité et ouverture aux langues étrangères. Les histoires prennent alors une nouvelle dimension, permettant à l’enfant de démultiplier son imagination et de découvrir de nombreuses cultures différentes.


Et si on en veut plus ?
Lunii a été créée et développée par quatre amis : Maëlle, Igor, Thomas et Éric. Leur ambition : éloigner les enfants des écrans pour développer leur imaginaire et leur créativité en concevant une nouvelle marque jeunesse à l’univers original. Les produits et leur contenu sont donc conçus dans le respect de valeurs essentielles : s’éveiller au monde, se créer un imaginaire, cultiver sa curiosité, apprendre sans le savoir.
C’est pourquoi en plus de Ma Fabrique à Histoires, Lunii a créé le Luniistore, une application-librairie où les parents peuvent acheter et télécharger des contes, comptines et jeux. La diversité du choix devrait ravir les enfants.
Lunii, ce sont aussi les Éditions Lunii, une structure de création littéraire et audio dont le seul objectif est encore une fois de stimuler l’imaginaire des lecteur.ice.s et auditeur.ice.s.
Site internet
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Le notariat consulaire supprimé à partir de 2019

Déjà réduit, le notariat consulaire ne sera bientôt plus. À compter du 1er janvier 2019, ils ne seront “plus en mesure de recevoir les actes notariés“, selon le message qui figure sur les sites des différents postes diplomatiques habilités. Ils continueront cependant les légalisations de signatures sur des actes établis sous seing privé (entre personnes privées).
Ce changement découle du “recentrage des missions” consulaires sur fond de “rigueur budgétaire extrême” décrit par le directeur de l’administration des Français de l’étranger Nicolas Warnery en octobre devant l’Assemblée des Français de l’étranger (AFE). C’est la même logique qui a abouti à suppression des Journées Défense et Citoyenneté (JDC) dans les consulats et ambassades.
Jusqu’à présent, les postes consulaires et diplomatiques étaient compétents pour authentifier différents actes à l’égard des Français vivant dans la circonscription consulaire ou de passage (actes publics d’une autorité française destinés à être produits à l’étranger, actes publics de l’État étranger de leur résidence destinés à être produits en France…).
L’agence My expat, qui aide les expatriés à réaliser des investissements immobiliers en France, a mis en ligne une pétition pour protester contre cette suppression au motif que certaines transactions immobilières peuvent se retrouver affectées.
Les Français sollicitant des services notariaux sont invités à consulter un notaire local avant de contacter le consulat. Pour les demandes de copies d’actes, contacter le bureau des Légalisations à [email protected] ou par courrier (Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, Bureau des légalisations FAE/SFE/ADF/LEG – 57, boulevard des Invalides – 75700 Paris 07 SP.

À Larchmont et l'ONU, du street art pour la bonne cause

L’association Street Art For Mankind (SAM), qui lutte au travers du street art contre le trafic d’enfants, organise deux évènements à New York.
Le dimanche 4 novembre, direction Larchmont dans le Westchester. Cette ville prisée des Français possède une riche histoire héritée des féministes, artistes et abolitionnistes. A l’aide de l’art de rue et de réalité augmentée, SAM plonge dans cette histoire méconnue. Trois français, parmi d’autres artistes, réaliseront des fresques murales. Elles seront dévoilées lors d’une cérémonie en présence du maire dès 2pm au parking de la station Metro-North.
Du lundi 12 au dimanche 25 novembre, plongez dans l’univers de Jumanji dans une exposition multi-sensorielle et interactive. Aux Nations Unies, l’exposition UN-JI plongera le visiteur dans une mission pour retrouver son identité et son histoire grâce à des indices sensoriels semés le long d’un parcours. Au cours de l’exposition, plus de 30 toiles de street art en grand format réalisées par dix-sept artistes sur le thème de l’esclavagisme infantile seront à découvrir.
Lancé par le couple de Français Audrey et Thibault Decker, Street Art For Mankind rassemble des artistes de rue du monde entier pour sensibiliser le monde sur la question de l’esclavage des enfants. Les fonds sont reversés à des campagnes de sensibilisation et à des actions de sauvetage.

Houston Accueil fête ses 40 ans

Quarante ans, ça se fête. Houston Accueil l’a bien compris. L’association d’accueil des nouveaux arrivants francophones soufflera les bougies lors d’une grande fête le vendredi 25 janvier au Crystal Ballroom au Rice Hotel. Les tickets sont en vente depuis le jeudi 1er novembre.
Le thème: les “Roaring Twenties”. Les convives sont invités à sortir plumes, gilets, moustaches et fume-cigarettes et autres accessoires qui sentent bon les années 20. Un “casino” avec plusieurs jeux sera monté pour la soirée, qui comprendra aussi un cocktail, un dîner et le passage obligé sur la piste de danse (foxtrot de préférence).
Les non-membres qui souhaitent participer à l’événement doivent contacter Domitille McCulloch via le formulaire sur le site de l’association (en haut à droite de la page).
 

Jane Fonda, une star engagée au gala du FIAF à New York

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Jane Fonda n’est pas une célébrité qui reste silencieuse. Connue pour ses engagements féministes et pacifistes, l’actrice se mobilise en ce moment pour encourager la participation des jeunes Américains aux élections de mi-mandat du 6 novembre dans le cadre de la campagne de l’ex-Première Dame Michelle Obama “When we all vote”.
Le lundi 12 novembre, la francophile sera récompensée du Trophée des Arts lors du gala du French Institute Alliance Française (FIAF) pour son travail avec la France. L’actrice aux deux Oscars et quatre Golden Globes est notamment apparue dans les films de Roger Vadim (qui était aussi son mari) et Jean-Luc Godard et continue d’être distinguée en France, où elle a reçu un Prix Lumière en octobre. Comme récipiendaire du Trophée des Arts, elle succède à d’autres personnalités du monde culturel qui incarnent l’amitié franco-américaine comme Alain Ducasse, Marc Jacobs ou encore Angélique Kidjo.
Elle ne sera pas la seule “star” de la soirée. Comme il est de tradition, une personnalité du monde des affaires sera également distinguée. Cette année, il s’agit de Sébastien Bazin, PDG de la chaine hôtelière AccorHotels.